Vous l’aurez compris, on aime bien Robbie Williams. Ce n’est pas simplement un chanteur pour “midinette”. Ses textes sont parfois profonds et la musique toujours originale…. En plus il chante bien. La chanson No regrets est sans doute la plus personnelle du chanteur… c’est en cela qu’elle est intéressante. C’est vraiment dommage que les radios la passent si peu. Parmi toute l’œuvre de l’artiste, cette chanson est vraiment particulière voir un peu décalée mais tellement attachante.
Honestly this has got to be the most personal song Robbie has ever done and that is probably the underlying strenght to it. It’s a real shame this gem is so often overlooked, I find it one of the best he has ever created and is no small matter for an artist who made a ton of incredible music.
++ Webtube : Maintenant vous saurez où va votre argent quand vous croyez aider les pauvres…. Enfin ça fait un moment qu’on s’en doutait.
La Fondation Abbé Pierre lutte contre le « mal-logement » (néologisme francophone inventé par la fondation) en soutenant des acteurs locaux qui cherchent à « développer une offre de logement accessible au plus grand nombre ». Objectif : former une « véritable chaîne de solidarité » en fournissant des expertises, des aides logistiques ou en soutenant financièrement d’autres actions pour lutter contre la précarité. La Fondation organise aussi des campagnes de sensibilisation, comme récemment sur les espaces de la RATP parisienne où des affiches étaient exposées.
Jusque-là, tout va bien. Mais si l’on se penche sur les actions et associations soutenus par la fondation Abbé Pierre, on tombe des nues ! On découvre ainsi que cette œuvre soutient l’association Alliance citoyenne, à l’origine des revendications concernant le port du burkini dans les piscines municipales à Grenoble et le port du hijab pour les footballeuses ! Elle apparaît parmi les partenaires financiers dans le Rapport annuel de 2019 de l’Alliance citoyenne, à côté du département. Le Parisien révélait le 10 mai dernier que, depuis 2014, la Fondation Abbé Pierre avait versé 150.000 euros à Alliance Citoyenne au titre de sa lutte contre le mal logement !
Ce n’est pas tout : le 10 novembre 2021, des responsables associatifs de la Fondation Abbé Pierre ont travaillé conjointement avec Alliance citoyenne et Greenpeace France pour interpeller les pouvoirs publics sur la « situation d’urgence » de la précarité énergétique. Ils ont organisé ensemble un rassemblement de citoyens pour dénoncer la mauvaise qualité énergétique des logements de certains ménages et les charges de chauffage qui pèsent sur leur budget. Les trois associations ont enfin, de concert, déployé des banderoles géantes sur la façade d’une barre d’immeuble : « Nos factures explosent, chauffez nos apparts, pas le climat », suivi de leurs logos.
La Fondation Abbé Pierre est donc proche de l’Alliance citoyenne. Fondée par un prêtre, elle soutient ceux qui militent en faveur de la progression de l’islam dans le paysage politique et social en France. Qu’aurait dit, qu’aurait pensé l’abbé Pierre ?
Le 7 avril dernier, un jeune Aixois s’introduisait dans un champ cultivé situé sur les hauteurs de Chambéry (Savoie), estimant l’endroit idéal pour s’essayer à toutes sortes de frasques avec son véhicule. Les expériences n’ont pas duré bien longtemps, le propriétaire du champ ayant surpris le jeune homme sur ses terres alors que celui-ci était en plein rodéo avec une vieille voiture. Ulcéré par le comportement du conducteur, l’agriculteur a décidé de régler le problème à sa façon en embrochant avec la fourche de son tracteur la voiture du fauteur de troubles. Une réaction à chaud qui lui a valu d’être auditionné, le soir-même, par la brigade de gendarmerie de Chambéry pour avoir transpercé de part et d’autre le véhicule.
L’histoire aurait pu s’arrêter là : pas de blessé, une incivilité réglée de manière plutôt directe… L’arroseur arrosé, en fin de compte. Mais la Justice manque d’affaires, c’est bien connu, et elle dispose d’énormément de temps pour régler toutes sortes de litiges, si infimes soient-ils. C’est pourquoi le parquet de Chambéry a décidé de poursuivre en Justice l’agriculteur en question. Contactée par Boulevard Voltaire, la gendarmerie de Chambéry rapporte que c’est l’agriculteur lui-même qui a appelé les forces de l’ordre afin d’interpeller le jeune homme, qui a lui aussi été auditionné. « On peut tout de même imaginer qu’il sorte acquitté de cette affaire », confie un gendarme. Effectivement, qu’il nous soit permis d’espérer qu’une réaction de défense – si originale soit-elle – puisse être jugée avec clémence par le tribunal.
Et dans le même temps, Gérald Darmanin annonce fièrement aux personnels de police et de gendarmerie un élargissement de la lutte contre les rodéos urbains impliquant « qu’à l’approche des beaux jours, la mobilisation de tous les services doit s’intensifier avec la saisie systématique des véhicules et l’interpellation des auteurs ». Et de se targuer, ce lundi 16 mai, de la saisie de 118 deux-roues, le week-end dernier. L’idée serait donc d’endiguer seulement les problèmes qui se voient trop ? Ceux qui pourrissent la vie de trop de gens en même temps ? En revanche, pour les autres, on repassera. Ou plutôt, on sévira aussi, mais dans l’autre sens. Ça varie les plaisirs. La cible n’est pas unique, cela manquerait d’inclusivité : tout le monde doit avoir son lot d’ennuis avec la Justice, et pas seulement certains profils « à problèmes ». Alors au lieu de poursuivre l’auteur, on s’attaque à la victime. Celle qui voit ses récoltes massacrées, et donc son travail réduit à néant, celle qui travaille dur, celle, enfin, qui doit se défendre elle-même parce que l’État ne peut plus assurer la sécurité sur son propre territoire.
Après cet agriculteur charentais mis en examen pour avoir défendu sa vie et celle de sa fille, c’est au tour de ce Savoyard de faire les frais d’une Justice française devenue, à certains égards, ubuesque. Attaqué dans ce qu’il a de plus précieux, il doit venir se défendre de s’être défendu. Puisse-t-il être entendu !
C’est au terme de trois ans d’affrontements que la Commission européenne, par l’entremise de son Office européen de lutte antifraude (Olaf), aura réussi à avoir la tête Fabrice Leggeri, directeur exécutif de Frontex. Accusé, entre autres, d’avoir couvert des refoulements par les autorités grecques, le haut-fonctionnaire français aura résisté jusqu’au bout à une cabale menée contre lui par la branche immigrationniste européenne. Alors que cette agence était censée permettre à l’Europe la défense de ses frontières extérieures, cette campagne médiatique contre l’ancien directeur est un signal fort concernant l’idéologie dominante à Bruxelles. Il est dorénavant clair que l’UE joue contre les Européens autochtones, contre leurs identités propres et contre les frontières garantes de leur sécurité et de leur liberté.
Dirigé en partie par des ONG et une partie de la Commission européenne, ce rapport à charge – proprement politique – aura été une véritable entreprise de sabotage contre, comme l’a souligné Nicolas Bay, « l’un des derniers éléments permettant de penser une Europe puissance : la défense de ses frontières extérieures ».
Frontex : la cible à abattre
Repensée à la suite de la crise migratoire de 2015, Frontex fut redéployée comme l’agence des gardes-frontières et garde-côtes de l’Europe. L’agence s’inscrivait dans la continuité du code des frontières de Schengen qui obligeait les États à prévenir le franchissement illégal de frontière en dehors des points de passages officiels. Voilà pour la doctrine. Si jamais elle doit entrer en contradiction avec la convention de Genève, qui interdit de refouler tout migrant menacé dans son pays, c’est à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) de trancher. Celle-ci aura pourtant donné raison à l’Espagne, dans un arrêt du 13 février 2020, puis à la Macédoine du Nord dans des cas relatifs à des clandestins. Jurisprudences dont Fabrice Leggeri se servira, sans avoir gain de cause, pour sa défense.
La Commission européenne étant la « gardienne des traités », sa non-clarification sur ce problème de droit confirme la direction « pro-immigration » choisie par l’UE. Alors qu’en janvier dernier seize ministres de l’Intérieur demandaient, dans une déclaration commune lors d’un sommet en Lituanie, la création de clôtures aux frontières extérieures, la Commission européenne et Ursula von der Leyen refusèrent cette demande.
Le devenir de Frontex est donc celui, non pas d’une agence de protection des citoyens européens, mais bien d’une ONG accompagnatrice des migrants vers l’Europe. Au lieu d’être le rempart de protection de la souveraineté, de la libre détermination et de la continuité historique des nations, l’agence se pensera dorénavant comme la protectrice du droit des clandestins dont elle fera sa « priorité absolue ».
La réalité démographique de l’Europe
Depuis son passage en 2004 de 15 à 25 pays, l’UE se constitua en géant démographique derrière la Chine et l’Inde, mais devant les États-Unis. Ce poids démographique ne doit cependant pas cacher une triste réalité : l’Europe possède la population la plus âgée du monde, et n’est donc qu’un colosse aux pieds « séniles ».
Pendant que la pyramide des âges accentue chaque année son inversion, ce processus d’implosion démographique progresse sans que les responsables politiques ne daignent s’activer pour enrayer cette catastrophe. Plus grave, en raison de l’effondrement de la fécondité, certains pays de l’UE ont cessé d’assurer le remplacement des générations entraînant une chute de la part des moins de 20 ans dans la population et une augmentation de la part des séniors.
Depuis 1997, l’Europe est désormais moins peuplée que l’Afrique. Certains pays comme l’Allemagne connaissent même des taux d’accroissement naturels négatifs. Confrontée à ce contexte d’inversion des pyramides des âges et de déclin des populations de l’Europe, l’UE décida, et le cas Frontex en est le parfait exemple, que pour remplacer ces générations les pays européens deviendraient des pays d’immigration.
Déstabilisées par les multiples conflits et attirées par l’Europe et ses richesses, les jeunes populations d’Afrique et des Proche et Moyen-Orient, alors en vive croissance démographique et stagnation économique, devinrent les parfaits candidats à cet appel lancé par l’UE.
Une logique immigrationniste assumée
Ces immigrés étant considérés comme des facteurs de production et de consommation nécessaires à l’Europe, l’UE feint de combattre les filières de trafiquants et procède à des régularisations périodiques pour ces immigrants illégaux. Ayant fait le choix de l’immigration au lieu de la promotion de politiques natalistes pour les populations autochtones, le maintien des flux d’immigration est devenu une nécessité vitale pour l’UE.
Relevant traditionnellement de la souveraineté et de la compétence des États, le traité de Maastricht de 1992 invitait encore les gouvernements à se concerter afin de coordonner les politiques nationales en la matière. Or, depuis le traité d’Amsterdam de 1997, le transfert de ces matières (gestion des demandes d’asile et de l’immigration) à la Commission de Bruxelles, lesquelles furent rattachées au « premier pilier » des traités communautaires, acta qu’elles devaient dorénavant relever du traité de Rome comme le « marché intérieur » ou la « politique agricole commune ».
Après le traité de Nice de 2001, les États renoncèrent à leur véto, et, depuis 2004, les décisions du Conseil européen peuvent désormais être prises à la majorité qualifiée. La France n’ayant plus sa capacité d’exercer sa souveraineté, elle demeure incapable de prendre les dispositions juridiques qui lui permettraient d’agir sur l’immigration. Entravée par les structures supranationales que sont la CJCE (Cour de justice de l’Union européenne) et la CEDH, elle ne peut que se soumettre à des règles intransgressibles lui promettant une désintégration prochaine et une perte d’identité certaine.
Les conséquences d’un tel choix
L’acceptation de ces flux est le renoncement à toute politique d’intégration et d’assimilation. Toute l’histoire de l’immigration nous enseigne que le mélange se fait sur un rythme lent – en deux ou trois générations – au fil des mariages mixtes, d’une scolarisation publique forte et d’une imprégnation culturelle au sein de la population autochtone. Le nombre est donc capital, et n’oublions pas, aussi, que ces facteurs dépendent de la culture d’origine des immigrés. Toutes les immigrations ne se valent pas. À ce titre, Pierre Milza nous rappelait que sur les quelque 3 500 000 Italiens qui vinrent en France entre 1870 et 1940, seuls 1 200 000 à 1 300 000 sont restés : le creuset français fonctionnait donc d’une manière fort sélective et discriminante.
L’accentuation de la proportion et de la concentration géographique, dans les pays de l’Union, de populations d’origine extra-européenne est l’avenir de l’Europe. Toutefois, peut-être ne faut-il pas oublier la mise en garde du démographe Alfred Sauvy lorsqu’il écrivait : « Si décisifs sont les problèmes de population qu’ils tirent de terribles, et souvent fatales, revanches sur les sociétés qui s’obstinent à les ignorer. » La voie prise par l’UE indique une volonté d’acter l’évolution démographique européenne, et, par conséquent, d’accepter les répercussions géostratégique et géopolitique qui en découleront pour notre continent. De grands bouleversements politiques, sociaux et économiques procéderont de la transformation ethnique et culturelle de nos peuples.
L’analyse réalisée sur les dernières élections présidentielles, celle du danger de la tenailleTerra Nova(Grand Remplacement/Grand Vieillissement), n’est que la surface d’une lame de fond dont les décalages temporels et les évolutions démographiques sous-tendront la géopolitique des prochaines décennies. Au XIXe siècle, c’est la transition démographique de l’Europe qui a peuplé l’Amérique du Nord, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. Aujourd’hui, c’est l’explosion démographique des Latino-Américains qui décidera, en partie, du sort du prochain locataire de la Maison-Blanche. Alors que nous réserve l’accroissement des populations musulmanes et étrangères sur nos terres ? L’unification de l’Europe se fera-t-elle par l’arrivée d’un Napoléon musulman, comme Houellebecq le sous-entendait dans son livre Soumission ?
Bruxelles contre les nations européennes
L’Europe de Bruxelles est déterminée à se saborder dans la mondialisation (flux des hommes, capitaux et biens) sans prendre en considération les particularismes identitaires et nationaux. Elle continue de refuser le fait que la condition politique repose sur la séparation des groupes humains qui assure leur diversité. En Europe, c’est la nation qui fut la forme politique qui symbolisa la séparation entre les hommes par la langue, les mœurs, les lois et les cultures. Fondée sur le sacré de la frontière, elle instaurait, de fait, la séparation fondamentale entre le « nous » et les « autres ».
L’Europe de Bruxelles est le projet politique de tous les affranchissements et particulièrement de la condition humaine. Se faisant la championne du libéralisme, du capitalisme financier et d’une foi dans le progrès que l’on peut qualifier aisément de scientisme, l’Europe « réellement existante » est celle du transhumanisme, de la transexualité et du transfrontiérisme. Elle est celle de la fabrique d’un homme hors-sol sans origines, sans liens et sans foi grâce à l’indifférenciation généralisée.
Croyant se faire le phare de l’humanité par prétention au règne universel de la raison, les Occidentaux (les Européens sous domination américaine) continuent de penser – naïvement – qu’ils portent le seul modèle idéal de vie pour l’humanité. Convaincue que la révolution industrielle, la démocratie et les droits de l’homme sont la panacée pour tous les hommes, cette Europe se pense comme le point d’aboutissement de l’humanité vers lequel tous les autres peuples devraient converger. Cela causera-t-il sa perte ?
Daniel Prévost, invité de Patrick Simonin sur TV5Monde, présente son « Autobiographie de moi par moi ». C’est un comédien qui s’est fait un plaisir de dire non quand il lui aurait fallu dire oui et d’envoyer promener quand on lui manquait de respect. Sautons sur l’occasion de le rencontrer dans cette vidéo et de lire son livre, car ce genre de personnalité est en voie d’extinction.
Au cours de cette interview, Daniel Prévost fait référence à Jean Yann et au film “Tout le mon il est beau, tout le monde il est gentil” pour ceux qui ne connaitraient pas ce film, la BO du film ci-dessous et des extraits du film.