La chanson du jour, Look Up! – R Plus & Dido 

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On délaisse ses problèmes quotidiens et on s’envole faire un tour avec R Plus & Dido. Ca va planer moi je vous le dit ! En plus il y a du Dido dans l’air…

R Plus a dévoilé son premier album en octobre 2019. Fondé par Rollo Amstrong et soutenu par Dido et Sister Bliss cette dernière est collaboratrice de Rollo depuis longtemps, surtout après la formation de leur groupe Faithless. Cette alliance musicale reste très puissante en qualité lorsqu’il s’agit de créer de la musique. L’album « The Last Summer » est dans un style électro et léger, proche de la Transe et rappelant l’été. Le disque est porté par les singles « Summer Dress », « Those Were the Days » et « My Boy ». Les trois morceaux sont en featuring avec Dido qui pose sa voix sur la musique. Hors les singles, les titres « Together » et « Look Up! » feraient de bons singles.

We leave behind our daily problems and take off for a ride with R Plus & Dido. It's going to hover me I tell you!
R Plus unveiled their debut album in October 2019. Founded by Rollo Amstrong and supported by Dido and Sister Bliss, the latter has been a collaborator of Rollo for a long time, especially after the formation of their group Faithless. This musical alliance remains very powerful in quality when it comes to creating music. The album "The Last Summer" is in an electro and light style, close to Trance and reminiscent of summer. The disc is carried by the singles "Summer Dress", "Those Were the Days" and "My Boy". The three pieces are featuring Dido who puts her voice on the music. Excluding singles, the tracks "Together" and "Look Up!" would make good singles.
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Frontex débordé : pourquoi la mise en place de frontières extérieures à l’Union européenne est vouée à l’échec

Frontex, officiellement « Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes », est régulièrement sous les feux de l’actualité. Rarement pour de flatteuses raisons. Accusée soit d’inefficacité soit de brutalité, cette agence est présentée comme la solution aux problèmes migratoires auxquels sont confrontés les États européens. Car il faut bien rassurer les citoyens inquiets des vagues migratoires successives et de la croissance des trafics illégaux. Or, qu’en est-il ?

Les frontières terrestres extérieures des États membres de l’Union européenne s’étendent sur 14.647 kilomètres et les frontières maritimes sur 67.571 kilomètres de côtes, soit plus de 82.000 kilomètres de frontières. Leur surveillance appartient aux États avec le concours de Frontex, mais l’enjeu est d’autant plus important qu’à la suite des accords de Schengen, qui ont abattu les frontières internes à l’Union européenne, beaucoup d’États ont réduit considérablement leurs services de garde-frontières.

Conséquence : trois millions de franchissements clandestins des frontières des membres de l’Union européenne ont été détectés en sept ans. Le 11 janvier dernier, Fabrice Leggeri, directeur de Frontex, a indiqué que le nombre de clandestins avait cru de 57 % en 2021 par rapport à 2020, année de décrue en raison du Covid, mais aussi de 36 % par rapport à 2019, signe d’une pression d’immigration illégale toujours plus forte, qu’il situe à un niveau « tout juste inférieur à 200.000 ».

Comment s’en étonner ? L’idéologie mondialiste de l’Union européenne l’a conduite à se montrer favorable à l’immigration, en laquelle elle voit de surcroît un moyen de compenser l’effondrement démographique européen. Étrange naïveté qui pousse à croire que les jeunes des pays du Sud suppléeront sans difficulté à l’absence d’enfants des vieux Européens. Sans envisager que les différences de civilisation pouvaient mener à la confrontation. Sans imaginer que l’on puisse mener des politiques favorables à la natalité en Europe, chiffon rouge pour le lobby féministe.

Frontex est, en outre, l’objet d’un harcèlement incessant des ONG pro-immigration et du Parlement européen. Ainsi a-t-il refusé de voter la décharge du budget 2019 de l’agence en raison de « soupçons de violation ou de complicité de violation des droits fondamentaux ». L’Office européen de lutte antifraude (OLAF, organe de contrôle de l’Union européenne) a donc procédé à une perquisition dans les bureaux de Frontex, en décembre 2020, dans le cadre d’une enquête sur des allégations « d’inconduite et de refoulement des migrants ».

Dans la même veine, l’Agence avait été sommée de recruter « quarante inspecteurs des droits fondamentaux » mais n’en a recruté qu’une vingtaine, provoquant la colère du Parlement et l’activisme des ONG. De plus, certains États éprouvent des réticences à faire intervenir Frontex, car c’est reconnaître leur incapacité à protéger leurs frontières. Comment être efficace dans ces conditions ?

Plus profondément, la volonté de « mettre en place progressivement un système intégré de gestion des frontières extérieures » de l’Union européenne (article 77 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne) est vouée à l’échec pour des raisons simples. Quel est, en effet, le rôle d’une frontière ? Celui de définir l’exercice d’une souveraineté étatique et de constituer un des éléments forts de l’identité des nations. Or, l’Union européenne n’est ni un État ni une nation. C’est une construction juridique de coopération entre États qui prétend à un destin étatique et dont les promoteurs sont prêts pour cela à miner les nations et à contester les choix démocratiques des peuples sous couvert d’arguties juridiques, comme le montre l’attitude du système à l’égard de la Hongrie ou de la Pologne.

Depuis des décennies, Bruxelles développe la notion « d’ambiguïté constructive », sorte de « taqiya » européiste qui consiste à dissimuler aux peuples européens l’objectif final de sa politique des petits pas : la constitution d’un État européen, de plus en plus coercitif et souhaitant imposer, au-delà d’un libre échange dogmatique, une idéologie mondialiste de la déconstruction des nations et des peuples. Supprimer les frontières nationales et instaurer une frontière passoire « de l’Union » relève de cette stratégie.

Le cardinal de Retz avait noté que « l’on sort toujours de l’ambiguïté à son détriment ». O, il est un stade où la dissimulation n’est plus possible et il faut sortir de l’ambiguïté. Quitte à ouvrir les yeux des peuples. Les partisans de M. Macron peuvent bien agiter frénétiquement leurs petits drapeaux européens, la réalité charnelle des peuples se situe dans les nations. Voici venir le temps de leur réveil. Ils demanderont des comptes à ceux qui ont transformé le rêve européen en cauchemar.

Stéphane Buffetaut, dans BV

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Suède : Les provocations d’un parti d’extrême droite déclenchent des émeutes parmi les immigrés

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++ Webtube : C’est toute l’Europe qui est concernée par cette montée de violence de certains immigrés. Ici la Suède mais la France ou l’Allemagne ne sont pas épargnés…. Le printemps et l’été 2022 seront chauds ! Bon courage au futur président.

Douze policiers blessés, des dizaines de voitures incendiées, des camions de pompiers caillassés et un défoulement de violence stupéfiant, comme le rapportent Courrier international ou TF1 Info, secouent la Suède depuis la semaine dernière. La cause ? Des « contre-manifestants » musulmans d’origine immigrée, selon le Dagens Nyheter, quotidien le plus diffusé en Suède, s’opposent à la campagne politique mise en place par le groupe d’extrême droite Stram Kurs (« Ligne dure »), dirigé par le militant dano-suédois Rasmus Paludan.

Volontiers provocateur, Paludan est connu pour s’être régulièrement mis en scène en brûlant publiquement des exemplaires du Coran et en diffusant ses vidéos sur Internet. Alors que les élections législatives suédoises approchent (septembre 2022), Rasmus Paludan estime que la liberté d’expression est menacée dans le pays, notamment en matière de droit au blasphème. Annonçant son intention d’organiser un rallye dans la ville de Linköping, peuplée par plus de 50 % d’immigrés, Rasmus Paludan a aussi déclaré qu’il y brûlerait un Coran. A cette nouvelle provocation religieuse (inutile et qu’on ne peut que condamner), la réaction a été rapide, et très violente…

Des policiers attaqués aux cris de « Allah Akhbar »

Des émeutes ethnico-religieuses ont en effet éclaté dans plusieurs villes suédoises et ont vu forces de l’ordre et groupes organisés de jeunes immigrés s’affronter dans une rare violence, comme le montrent les images relayées par Euronews. Un climat qui tranche avec le calme social habituel aux pays scandinaves…

Une porte-parole de la police suédoise, Diana Qudhaib, a confié au journal Aftondablet, le quotidien le plus lu de Scandinavie, à quel point la situation a dégénéré en quelques heures à peine : « Au cours de l’opération à Örebro, quatre voitures de police ont été incendiées et au moins une personne privée a été blessée dans le chaos […] Il y a des blessures dues aux jets de pierres, aux coups et à la violence, peut-être quelques fractures et des bras cassés. Douze policiers ont été blessés et des secouristes attaqués également. »

Rasmus Paludan, qui n’est pas à son coup d’essai (en 2020, il a avait été arrêté en France et expulsé), a donné une interview à Simon Kristofferson, un journaliste indépendant ultraconservateur et réputé sur les réseaux sociaux suédois. Il y explique que ces « immigrants ne comprennent pas que les principes de la démocratie, notamment de liberté d’expression, devaient passer avant leurs convictions religieuses […] Vous ne pouvez rien dire qui aille à l’encontre de leur religion sans que la paix sociale ne soit fragilisée… »

Interrogé sur la question de savoir pourquoi il tenait tant à brûler des exemplaires du Coran en place publique, Rasmus Paludan a répondu : « Je ne m’attaque pas aux musulmans mais à l’islam en faisant cela. Je veux montrer qu’en Suède, on peut critiquer une idée sans crainte. Et l’islam est une idée ». Malgré quelques déboires avec la police et certaines préfectures suédoises, Paludan devrait pouvoir continuer ses activités, la liberté d’expression et le droit au blasphème étant des principes très protégés en Suède.

La Suède face aux démons de l’immigration

Ces manifestations à caractère insurrectionnel ne sont pas sans rappeler les émeutes de Stockholm de 2010, 2013 et 2020 qui, déjà, avaient opposé de très nombreux immigrés à la police suédoise. En 2013, à Husby, une banlieue de Stockholm majoritairement peuplée par des immigrés extra-européens, un homme armé d’une machette et menaçant une patrouille policière avait été abattu. Ce décès avait provoqué des émeutes et de nombreux immigrés s’étaient livrés à des pillages de magasins et à des agressions des forces de l’ordre.

Cette récurrence insurrectionnelle qui voit forces de l’ordre et jeunes immigrés s’affronter dans la rue en dit long sur la fragilité du modèle multiculturel suédois. En ouvrant ses portes à l’immigration massive au début des années 2000, la Suède a compromis la paix sociale.

Geoffroy Antoine, Boulevard Voltaire

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Ignorée pendant la campagne, la transition écologique départagera-t-elle les deux finalistes ?

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« La politique que je mènerai dans les cinq années à venir sera écologique ou ne sera pas », voilà comment on peut résumer en une phrase le discours fleuve d’Emmanuel Macron à Marseille samedi dernier. Il y a derrière cette phrase d’abord et avant tout un calcul purement électoral. Selon la plupart des observateurs, c’est l’électorat de Jean-Luc Mélenchon et dans une moindre mesure celui de Yannick Jadot qui feront la différence au soir du 24 avril. Aussi chacun des deux finalistes « drague à sa façon » les électeurs indécis de La France Insoumise avec deux angles d’attaque très différents.

Comme nous l’indiquions récemment dans une autre tribune, Marine Le Pen a un programme énergie/climat très peu abouti. Ses principales mesures (TVA à 5,5% sur le différents vecteurs énergétiques, démantèlement de la filière éolienne, sortie du système électrique européen) sont critiquables, coûteuses et ne vont pas vraiment dans le sens de l’Histoire. Elles laissent même supposer une certaine dose de climato-scepticisme que son challenger a pointé du doigt à Marseille. Aussi, dans la continuité de sa campagne du premier tour, elle essaye de séduire les Insoumis en leur parlant de pouvoir achat, de TVA à 5,5%, de retraite à 60 ans et de rétablissement de l’ISF financière.

Des sujets sur lesquels Emmanuel Macron peut difficilement s’aventurer sous peine de se couper de son électorat de centre droit qui représente son principal capital électoral. On imagine mal Bruno Le Maire, Christian Estrosi, Renaud Muselier ou encore Eric Woerth adhérer à la nouvelle lutte des classes mélenchoniste. Aussi, a-t-il logiquement choisi la seconde thématique largement mise en avant par les Verts et les Insoumis, à savoir la transition écologique. Une stratégie qui n’est pas vraiment nouvelle : depuis 2017, le ministère de l’Economie et des Finances a toujours été occupé par une personnalité de droite alors que le ministère de l’Ecologie l’a été par un « vert repenti ». L’exercice n’est pas simple puisqu’il faut « en même temps » donner des gages à des jeunes écologistes épris de sobriété énergétique sans pour autant répondre aux sirènes du décroissantisme promouvant un utopique mix énergétique 100% renouvelable associé à la sortie du nucléaire.

Depuis six mois, le président-candidat a incontestablement pris la mesure du risque que la crise énergétique amorcée à l’été 2021 et renforcée par le conflit russo-ukrainien faisait courir à l’Europe et à la France. Plus aucune fermeture de réacteurs nucléaires en état de fonctionner, lancement sans délai du grand carénage prolongeant de 20 ans les 56 réacteurs existant, lancement immédiat de la construction de six nouvelles EPR et étude de faisabilité de 8 autres, 1 milliard d’euros en faveur des SMR (petits réacteurs nucléaires) : il s’agit bien sur la question du nucléaire d’un virage à 180° par rapport au candidat de 2017. Ses ambitions sont tout aussi fortes en matière de renouvelables avec 100 GW de solaire, 37 GW d’éolien terrestre et 40 GW d’éolien off-shore à l’horizon 2050. Il supporte également le lancement d’un grand plan hydrogène principalement dédié à la mobilité ainsi que la rénovation thermique de l’habitat.

Pour mener à bien ce programme ambitieux, Emmanuel Macron a proposé de séparer l’énergie de ses usages. Pour ce faire il suggère de créer sous la tutelle du premier ministre deux ministères. L’un plutôt centralisé serait chargé de la planification énergétique (par exemple, du programme détaillé ci-dessus), l’autre plutôt décentralisé chargé de planifier dans les territoires le changement des équipements dans la mobilité et l’habitat (voitures électriques, hydrogène, pompes à chaleur, rénovation énergétique).

Avant la prise de conscience climatique, l’autorité de tutelle de l’énergie était historiquement le ministère de l’Industrie. Pour donner davantage de poids aux politiques environnementales, Nicolas Sarkozy avait souhaité fusionner énergie et environnement. Il est rapidement apparu que ce rapprochement était un peu « l’impossible mariage de la carpe et du lapin » conduisant à des politiques environnementales plus militantes que rationnelles. L’énergie étant à la fois une composante clé de la politique environnementale mais aussi l’aliment incontournable de la croissance économique et du développement social, l’idée de créer un ministère plénipotentiaire de l’énergie séparé des usages apparaît très pertinent. Lançons les paris : si Emmanuel Macron est élu, ce ministère de l’énergie reviendra à une personnalité de droite alors que celui dédié aux usages devrait normalement incomber à une personnalité de gauche.

Il n’est pas certain en revanche que les Verts et les Insoumis y trouvent leur compte et ne l’interprètent pas comme une tentative de hold-up électoral. Dans son discours fondateur de Lyon le 29 janvier dernier, Yannick Jadot voulait « que l’intérêt privé et le profit économique obéissent désormais à la loi du vivant qui les supplantera ». Cette soumission totale de l’économique (et donc de l’énergie) à l’écologique avait été théorisée par l’ancien patron des Verts David Corman : « il n’y a pas de compromis possible avec le capitalisme si on veut maintenir la vie humaine sur terre dans des conditions à-peu-près correctes ».

Quoi qu’il en soit Emmanuel Macron devrait attirer Marine Le Pen sur ce terrain qu’elle n’affectionne pas particulièrement durant le débat de mercredi prochain. Elle aurait intérêt à s’y préparer sérieusement si elle ne veut pas revivre le cauchemar du 5 mai 2017.

Philippe Charlez, Boulevard Voltaire

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Marine Le Pen ne veut finalement plus interdire le voile islamique

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++ Webtube : Le RN c’est simplement un vote pour faire le barrage à Macron…. Marine n’est malheureusement pas à la hauteur de l’enjeu. Elle n’a pas de vraies convictions et elle a tendance à suivre le sens du vent là où il faudrait un vrai capitaine affirmant sans faiblir ses convictions…. Il en va du voile comme du reste, on n’aura pas une vraie présidence pour redressée la France. Dans le chaos elle cédera sur presque tout. Nous verrons si l’avenir nous donne raison.

L’article du dans D. P.

Marine Le Pen a encore changé d’avis et de programme.

Après le référendum sur la peine de mort abandonné en 24 heures de pression médiatique, c’est l’interdiction du port du voile islamique qui est abandonné.

Le 15 avril, elle affirmait que c’était « essentiel ».

Désormais, ce n’est plus une priorité.

La proposition était stupide dès l’origine. C’est l’obsession des laïcards antiracistes que de dévoiler les beurettes pour les « assimiler ».

Ceci dit, puisque Marine Le Pen en avait fait une proposition frontale, se dédire en 48 heures démontre qu’elle n’a aucune espèce de conviction, peu importe le sujet. Elle capitule au moindre début de protestation de la part des médias.

Rien de nouveau, pour ceux qui la connaissent, mais à quelques jours du second tour, c’est encore plus spectaculaire. Tout cela nous montre une France qui va droit dans le mur : Macron ou Le pen ? Lequel est le moins pire ?

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Von der Leyen prépare un embargo sur le pétrole russe pour sauver la démocratie

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L’Union Européenne est une vibrante démocratie qui, contrairement à la Russie, est dirigée par une femme non-élue.

Il se trouve que cette femme non-élue est actuellement occupée à déclencher un conflit nucléaire pour que la démocratie l’emporte en Russie.

La Tribune :

Les prochaines sanctions que l’Union européenne (UE) imposera à la Russie viseront les banques, en particulier Sberbank, ainsi que le pétrole, a déclaré la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen à un journal allemand.

« Nous nous penchons davantage sur le secteur bancaire, notamment sur Sberbank qui représente 37% du secteur bancaire russe. Il y a également les question énergétiques », a déclaré Ursula von der Leyen au journal dominical Bild am Sonntag, qui lui demandait de détailler les points clés des nouvelles sanctions.

Je ne sais pas qui est cette Von der Leyen.

Personne ne sait qui elle est, ni d’où elle vient ou ce qu’elle fait.

En revanche, elle décide de tout pour 500 millions de citoyens européens.

L’UE a, pour l’instant, épargné la plus grande banque de Russie car elle représente, avec Gazprombank, l’un des principaux canaux de paiement du pétrole et du gaz russes, que les pays du bloc achètent malgré le conflit en Ukraine.

Sberbank et une autre grande banque russe, VTB Bank, avaient déjà fait l’objet dès février de lourdes sanctions américaines, visant à limiter largement leurs transactions internationales. Les filiales européennes de Sberbank ont déjà connu des déboires.

La présidente de la Commission européenne a ajouté que l’UE développait des « mécanismes intelligents » pour que le pétrole soit également inclus dans les nouvelles sanctions.

« Poutine ne devrait pas pouvoir percevoir sur d’autres marchés des prix encore plus élevés pour des réserves qui seraient normalement destinées à l’UE », a déclaré Ursula von der Leyen. « La priorité est de réduire les revenus de Poutine », a-t-elle ajouté.

Pour l’instant, Von der Leyen n’a réussi qu’à sanctionner l’économie européenne.

En ciblant l’accès au pétrole russe, l’économie européenne va certainement aller mieux.

Plus l’énergie est chère, plus l’économie va mieux… c’estbien connu. Finalement c’est les écolos qui vont être contents !

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky ne cesse de demander à tous ses interlocuteurs européens « l’adoption de sanctions puissantes ». Il réclame un arrêt des achats de pétrole et de gaz et la fourniture d’armes lourdes pour résister à l’offensive annoncée dans la région du Donbass (est).

Depuis le début de la guerre en Ukraine fin février, le Kremlin a engrangé 27,3 milliards de dollars avec les achats de pétrole, gaz et charbon de l’UE, selon Velina Tchakarova, directrice de l’Institut autrichien pour l’Europe et la politique de sécurité (AIES).

En 2020-2021, 45% de ses importations de gaz, 47% de celles de charbon, et de 25% à 30% de celles de pétrole venaient de Russie.

L’UE a décrété un embargo sur les achats de charbon mais leur montant est très inférieur à ceux de gaz et pétrole.

Le mois dernier, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) estimait que les sanctions contre la Russie pourraient provoquer un « choc » de l’offre pétrolière mondiale. Or les pays de l’OCDE craignent une flambée des cours du brut, alors que l’inflation atteint déjà des niveaux inédits depuis des décennies.

Ces gens de l’Union Européenne sont en train de créer de toutes pièces une dépression économique. Ils ont l’air de particulièrement aimé l’idée de détruire le niveau de vie des Européens pour donner une bonne leçon à Poutine.

Pas le leur, évidemment.

Lu dans D.P.

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“Une histoire de plusieurs siècles s’achève ainsi…” : Emmanuel Macron vient de supprimer par décret le corps diplomatique de la France. Désormais, “on nommera les amis”, déplore un ex-ambassadeur

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La réforme de la haute fonction publique, qui prévoit notamment la suppression du corps diplomatique, est redoutée par les hauts-fonctionnaires. Ils seront rassemblés sous un même statut, celui des administrateurs de l’État. L’éditorialiste d’Europe 1 Nicolas Beytout y voit “un recul des ambitions de la diplomatie française dans le monde”.

Europe 1

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Paris : à la Foire du Trône, des bandes de jeunes tentent de piller les stands

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++ Webtube : La fête foraine ce n’est plus ce que c’était ! Renvoyez vos souvenirs d’enfance aux oubliettes, maintenant c’est pillage, menace et délinquance.

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Cinq ans de Macron : les dix perles de la Macronie

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++ Webtube : Comme quoi avec le temps on arrive à s’habituer à la bêtise et à l’incompétence…. mais quand même attention de ne pas tomber addicte… Le 24 avril il faut faire barrage.

Cinq ans de Macron : cinq ans, déjà, diront les uns, cinq ans de trop, diront les autres. Cinq ans encore ? On le saura la semaine prochaine. En attendant, Boulevard Voltaire est parti à la chasse, non pas des œufs de Pâques, mais des meilleures perles de la Macronie. À consommer sans modération…

Boulevard Voltaire

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Le meeting de Macron à Marseille fait un flop

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Toutes les conditions étaient réunies. C’est sa « ville de cœur » : au passage, chez ce Président à la sincérité aléatoire, la formule fait sourire. Il faisait beau. Et puis, Marseille est une terre de conquête pour le macronisme, et de réserve de voix – ou pas – pour ce second tour plus difficile qu’il y a cinq ans : c’est encore Mélenchon qui a pris la tête du premier tour, progressant fortement (de 24,8 à 31 %), tandis que Macron n’est passé que de 20,8 à 22 %. Si Marine Le Pen est à 20,9 %, elle est suivie par Éric zemmour, qui a réussi à faire ici un score à deux chiffres (11 %). C’est dire si, malgré le plan Marseille et le milliard et demi annoncé en septembre, malgré le ralliement d’une partie des barons LR locaux (Muselier, Vassal), Emmanuel Macron n’a pas vraiment séduit l’électorat marseillais, contrairement aux autres grandes villes de France. D’ailleurs, les élus de gauche de la municipalité et le maire Benoît Payan, pourtant « barragistes », ont refusé d’assister au meeting.

Les Échos est un des rares titres à avoir relevé la faible affluence à ce meeting – le seul – organisé par le candidat Macron pour le second tour : « public clairsemé »« quelques centaines de personnes ». Ce n’est pas la jauge Hidalgo, mais c’est inquiétant pour un Président arrivé en tête au premier tour… On ne se déplace pas à Marseille pour aller voir ou entendre Macron. S’y déplacera-t-on davantage pour voter ? Au premier tour, l’abstention était en hausse par rapport à 2017. Peut-être la faute aux vacances scolaires. Peut-être la lassitude devant une élection que l’on disait jouée.

Emmanuel Macron s’est donc rabattu sur les images : chemise blanche sous le ciel bleu de la Bonne Mère. Et sur deux thématiques principales. D’abord l’écologie, qui sera au centre de son second mandat , assurant que son « prochain Premier ministre sera directement chargé de la planification écologique […] Parce que cela concerne tous les domaines, tous les secteurs, toutes les dépenses, tous les investissements, bref, toutes les politiques. Ça n’est pas simplement une politique, c’est la politique des politiques. » Lequel Premier ministre sera « appuyé par deux ministres forts » : un « ministre de la planification énergétique » et un « ministre de la planification écologique territoriale ». Sans doute un clin d’œil aux électeurs de Jadot et à la frange – importante – des écolos partis chez Mélenchon. Cette niche devrait lui être acquise. Pour faire vraiment printemps, le Président sortant propose aussi l’institution d’une « fête de la nature », le quatrième samedi de mai, comme la fête de la musique.

Pour cibler les milieux populaires, les plus hostiles au personnage et à sa politique, il essaie d’actionner, sans surprise, le levier de « l’extrême droite ». Il présente même le vote du 24 avril, en reprenant les termes d’un Zemmour ou d’une Marine Le Pen, comme « un choix de civilisation », pointant du doigt « ceux qui prônent le grand rabougrissement ». Avec une anaphore façon Hollande, cela donne : « Le 24 avril, c’est un référendum pour ou contre l’Union européenne. Le 24 avril, c’est un référendum pour ou contre l’écologie. Le 24 avril, c’est un référendum pour ou contre notre jeunesse. Le 24 avril, c’est un référendum pour ou contre notre République. »

Le problème, pour lui, c’est que le 24 avril, c’est d’abord, pour beaucoup de Français, un référendum contre Macron.

Frédéric Sirgant, pour Boulevard Voltaire

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