En avril 2018, sur @BFMTV, Emmanuel Macron qualifiait le #voile de « pas conforme à la civilité qu'il y a dans notre pays, c'est-à-dire au rapport qu'il y a entre les hommes et les femmes », appelant sur ce sujet à une « bataille pour l'émancipation ». Souvent homme varie… https://t.co/e9zBmwqUUI
Le score de #Melenchon étant vu comme porté par un électorat #musulman, #Macron souhaite siphonner cette clientèle et se montre complaisant envers ce signe du refus de l’egalité h/f qu’est le #voile. Une faute et une trahison. https://t.co/MkmRlBChGV
Une 101ème raison : nous n’avons pas la même conception du féminisme. C’est la quintessence de l’islamo-gauchisme cette phrase ! https://t.co/Wen5s9KRT8
Complice et coupable ! Je ne voterai pas pour un candidat qui, par une fausse naïveté, par complaisance avec un islam radical clairement affiché qui impose la soumission des femmes, laisse notre pays, la France 🇫🇷 perdre son identité, sa culture, son mode de vie, l’assimilation.. https://t.co/lz18ECNuD0
++ Webtube : Ils me font rire tous ces français qui pendant 5 ans disent “Macron y’en a marre” et aujourd’hui préfèrent voter Macron que MLP. Ils oublient la répression des Gilets jaunes, la façon dont le covid a été combattu avec un accroissement de la dette phénoménal, ils oublient les mensonges sur les masques, les affaires (Benalla, Mc Kinsay, …), la façon de s’adresser aux français, aux soignants, les lits d’hôpitaux fermés, l’afflux de migrants non maîtrisés, l’éducation qui a atteint le fond, notre souveraineté nationale bradée aux intérêts de l’Europe et des américains….. et j’en oublie.… Et on voudrait remettre le couvert pour 5 ans ?
La priorité des priorités, le 24 avril prochain, sera « La France contre le robot » et, donc, le Grand Dégagement de Macron, bien sûr, pour l’ensemble de son œuvre. Le Président-candidat a comparé – durant son mandat – la France à une start-up nation ou à « une gare […] lieu où l’on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien », selon son odieuse formule qui traduit un mépris extraordinaire du peuple. Mais aux mots succèdent les maux. En effet, son quinquennat s’est caractérisé par une politique antisociale et liberticide sans précédent. Les gilets jaunes réprimés, les grévistes acculés et les anti-passe sanitaires diabolisés s’en souviennent.
À l’instar de ses prédécesseurs – la liste est longue –, Emmanuel Macron est comptable d’un bilan quinquennal désastreux. Il a renforcé l’immigration incontrôlée, les crimes et délits en pagaille et la précarité galopante. Les Français, surtout modestes, souffrent ainsi d’une triple forme d’insécurité physique, culturelle et sociale. Ils sont les « oubliés », les « invisibles », les « exclus » de la métropolisation gentrifiée. La Nouvelle Classe capitaliste les considère comme des « losers » ou des « déplorables ». Ils représentent la fameuse « France périphérique », pour reprendre l’expression du géographe Christophe Guilluy, lequel nous rappelle cette réalité sociologique effrayante : « On se fiche de savoir ce qu’est le devenir de ceux qui vivent déjà dans la France périphérique (entre 60 % et 70 % des Français). Les élites pensent que l’avenir de ces territoires dépend de l’arrivée du bobo parisien, bordelais ou lyonnais. En réalité, l’arrivée des CSP+ par exemple sur les littoraux et dans les beaux villages de France fait qu’aujourd’hui les jeunes issus des milieux populaires ne pourront pas vivre là où ils sont nés. Ils sont obligés de se délocaliser le plus loin possible […] On nous fait craindre depuis trente ans le retour du fascisme : c’est du théâtre » (Le Figaro, 22 novembre 2021). Des classes populaires et moyennes déclassées expropriées de leur lieu d’habitation et qui n’arrivent pas à joindre les deux bouts à la fin du mois. Or, l’on sait depuis toujours que le lieu natal fait sens avec le lien social…
Face à Macron et à la Macronie s’oppose Marine Le Pen, avocat du peuple français et notamment des jeunes, des ouvriers, des employés, des chômeurs, des petits, des obscurs, des sans-grade et de tous ceux qui sont frappés de plein fouet par l’immigration de peuplement (en bas) et la mondialisation libre-échangiste (en haut).
Alors, bien sûr, nous pouvons être en désaccord sur de nombreux points avec la ligne politique de Marine Le Pen. Il est loisible de lui reprocher son ambivalence sur les questions dites pudiquement « sociétales » (mariage des homosexuels et adoption d’enfant par ces derniers, PMA sans père), son jacobinisme (il est vrai tempéré par le « localisme » d’un point de vue économique) ou sa conception étroite de la laïcité (bien qu’elle reconnaisse « les racines chrétiennes de la France comme une évidence » et qu’elle distingue islam et islamisme, comprenant que les musulmans ne se coupent pas de leur pays d’origine à condition de respecter la loi commune française).
"Notre héritage culturel puisse ses racines dans le christianisme, c'est une évidence." #LEmissionPolitique
Mais il y a les très nombreux points où Marine Le Pen voit large et juste. Dans son programme présidentiel (22 mesures pour 2022), elle donne les axes prioritaires de sa politique en matière sociale. Elle est incontestablement la candidate du pouvoir d’achat, estimant que les plus riches ne sont pas les seuls à y avoir accès (« Baisser la TVA de 20 % à 5,5 % sur les produits énergétiques – carburants, fioul, gaz et électricité – en tant que biens de première nécessité »). Elle annonce aussi, le 6 avril dernier, « l’abaissement, voire la suppression de la TVA, tant que l’inflation est supérieure à 1 point de croissance », sur un panier de 100 produits de première nécessité comme les produits alimentaires, mais également les produits d’hygiène). Elle justifie ces mesures parce que « les Français sont étouffés, ils n’ont plus les moyens de boucler leurs fins de mois ». Elle propose encore de « supprimer l’IFI (impôt sur la fortune immobilière) qui taxe l’enracinement et [de] créer un IFF (impôt sur la fortune financière) pour taxer la spéculation ».
Beaucoup d’autres mesures sociales sont envisagées par Marine Le Pen, auxquelles s’ajoutent des mesures écologiques (dont la protection animale), migratoires, de proximité démocratique à travers le référendum d’initiative citoyenne et la mise en place de la proportionnelle.
++ Webtube : Bravo Mélenchon ! Un tel score ça force le respect. En résumé, le vote Mélenchon c’est principalement le vote des étrangers musulmans (consigne des imams ) et le vote des délinquants. Une belle synthèse de notre nouveau peuple français qui bientôt permettra à un homme de prendre le pouvoir et d’appliquer un programme de gouvernement en accord avec ce type de population. Comment on fait déjà pour s’expatrier ?….. Plus que 5 ans pour sauver les meubles.
L’article :
Paris coupé en deux. Alors que Jean-Luc Mélenchon a raflé lors du premier tour de l’élection présidentielle dimanche 10 avril les arrondissements de l’est, en sus de la petite couronne, Emmanuel Macron règne en maître sur l’ouest. A l’exception notable d’un irréductible, le 1er arrondissement. Dans cette zone pourtant cossue, le candidat « insoumis » affiche une large avance, recueillant 34,54 % des suffrages, contre seulement 29,8 % des voix pour le président sortant. Une anomalie qui s’explique en grande partie par le vote des détenus par correspondance, centralisé… place Vendôme, au ministère de la Justice.
Selon les chiffres communiqués par la Chancellerie, 13 672 personnes détenues – sur un total de plus de 70 000 prisonniers au 1er mars – ont opté pour ce vote par correspondance dans leur prison, avant l’élection. Et 10 234 ont effectivement voté, soit 14 % du total des détenus.
Une fois déposés, les bulletins sont acheminés au ministère de la Justice, dans le 1er arrondissement de Paris, où ils sont dépouillés dans ce bureau unique. « Les votes sont comptabilisés place Vendôme », confirme à « l’Obs » le ministère. Les scores « sont ajoutés à ceux de l’arrondissement », modifiant ainsi la cartographie du vote dans ce quartier de Paris.
Selon les calculs de BFMTV et les chiffres de « la Croix », qui cite le ministère de l’Intérieur, les détenus qui ont opté pour ce système de vote ont en effet plébiscité Jean-Luc Mélenchon. Le candidat de la France insoumise rafle 45,8 % des suffrages en prison, devant Emmanuel Macron, qui obtient 20,3 % des voix. En troisième position, Marine Le Pen recueille 18,6 % des votes.
«Je n'ai jamais vu un président de la Ve République aussi nul que vous» : échange tendu entre Emmanuel Macron et un électeur #Punchlinepic.twitter.com/9PRGRv23Ee
++ Webtube : Pendant ce temps là, en Europe rien ne change. Les clandestins rentrent toujours en masse… Combien viendront enrichir notre beau pays ? Merci qui ? Merci Macron !
Les arrivées d’embarcations de migrants se multiplient sur l’île italienne ces derniers jours, après des semaines de mauvais temps. Plus de 800 personnes ont débarqué en 48 heures pendant le week-end. Plus de 260 migrants ont été transférés du hotspot de l’île surchargé vers d’autres centres du pays.
Les arrivées de migrants repartent à la hausse sur l’île italienne de Lampedusa. Plus de 800 personnes sont arrivées sur l’île en 48 heures, au cours du week-end, à bord d’une douzaine d’embarcations.
Selon la presse italienne, les exilés sont principalement originaires d’Égypte, de Syrie, du Soudan, de Somalie, du Niger et d’Érythrée.
Avec ces arrivées, le centre de premier accueil de Lampedusa – d’une capacité d’accueil de 250 places – s’est rapidement retrouvé surchargé et plusieurs opérations de transferts ont dû être effectuées.
Dimanche, la préfecture d’Agrigente, en accord avec le ministère de l’Intérieur, a organisé le transfert de 127 personnes, en ferry, vers Porto Empedocle, en Sicile, a indiqué Il Primatonazionale.
Lundi soir, 104 migrants ont été transférés, également vers Porto Empedocle, à bord du ferry Sansovino. Cent soixante autres migrants ont, quant à eux, quitté le hotspot de Lampedusa sur le navire de quarantaine Moby Dada et ont accosté à Cala Pisana, un petit port de l’île.
Selon Skytg24, 441 personnes se trouvaient toujours dans le hotspot, lundi.
++ Webtube : Nous voilà bien ! Ca va “macroner” pour encore 5 ans. On n’en peut plus.
Un dictionnaire de mots liés à la guerre publié sur les réseaux sociaux indique que ce nouveau verbe signifie “se montrer très inquiet d’une situation, mais ne rien faire”.Je macrone, tu macrones, il, elle, on macrone… Dans l’horreur de la guerre, les Ukrainiens ont inventé de nouveaux mots pour décrire la réalité dans laquelle ils sont plongés depuis le 24 février, date du lancement de l’invasion russe sur leur pays. Et l’un d’entre eux concerne le chef d’État français, comme le rapporte Le Parisien.Sur Telegram, un lexique de nouveaux mots sur la guerre mentionne en effet le verbe “macronete”, qui pourrait se traduire par “macroner”. La définition: “se montrer très inquiet d’une situation, mais ne rien faire”. Pour ceux qui douteraient de l’origine de ce néologisme, une précision a été apportée. Emmanuel Macron est mentionné nommément, “dont on ne se souvient pas pour une aide réelle, mais pour ses photos préoccupées de l’Élysée”, est-il écrit.(…) Ce nouveau verbe gagnerait d’ailleurs en popularité en Ukraine. L’expression “arrête de macroner” serait ainsi en train de passer dans le langage courant, toujours selon le quotidien francilien. BFMTV
Les entrants sont moins de 500 par jour désormais, tandis que 36.000 ont acquis la protection temporaire et 10.000 sont scolarisés.
Où est en la migration des Ukrainiens en France? Un document de la Commission européenne, en date du vendredi 8 avril, fait état d’un mouvement de population de 39.283 personnes vers l’Hexagone (entre le 14 février et le 3 avril), soit une moyenne de près d’un millier de migrants par jour. Le total officiel des entrants comptabilisé par la Police aux frontières (PAF) est monté à 43.000 depuis. Mais il s’agit de chiffres planchers dans un pays où les frontières ont été abolies. La PAF ne voit pas tout.
Le rapport du 8 avril évoque d’autres statistiques, comme celles de la société Meta (maison mère de Facebook), qui estime à 86.600 le nombre d’entrées en France de personnes déplacées de 16 ans et plus. L’écart se justifierait largement par le nombre d’Ukrainiens comptabilisés mais ayant simplement transité par l’Hexagone pour rejoindre l’Espagne ou le Portugal, par exemple.
Avec la frontière sud poreuse de la Californie, la flambée des impôts et le flux continu de réglementations autoritaires et parfois bizarres (une loi cible les flatulences des vaches , par exemple), les résidents de l’État pourraient profiter d’une pause dans les mauvaises nouvelles. Malheureusement, cela ne semble pas se produire de si tôt. Selon un rapport récent, la Californie est désormais en tête du pays en matière d’analphabétisme. En fait, 23,1 % des Californiens de plus de 15 ans ne savent pas lire cette phrase .
Bien que le problème ait de nombreuses causes, une grande partie du blâme incombe aux écoles publiques défaillantes de l’État. L’évaluation nationale des progrès de l’éducation de 2019 a révélé que seulement 30 % des élèves de huitième année de Californie maîtrisent la lecture. Et ces chiffres reflètent les résultats recueillis avant les blocages de Covid-19.
L’attitude des électeurs envers les écoles gérées par le gouvernement de Californie a chuté en conséquence. Un nouveau sondage de l’Institut d’études gouvernementales de l’UC-Berkeley révèle que seulement 35 % des électeurs de l’État ont attribué aux écoles publiques de leur district local une note de A ou B, contre 55 % en 2011. À l’autre extrémité du spectre, 25 pour cent donnent maintenant à leurs écoles publiques locales un D ou un F, en hausse de 15 points de pourcentage par rapport à 2011. Le sondage comprenait les réponses de 800 électeurs californiens, dont 50 % s’identifiant comme démocrates , 26 % comme républicains et 24 % comme indépendants.
Il n’est donc pas surprenant que les inscriptions dans les écoles publiques diminuent. En 2018-2019, le système a perdu environ 23 000 élèves, mais entre les trimestres 2019-2020 et 2020-2021, les écoles publiques californiennes ont vu plus de 160 000 élèves partir, soit sept fois plus. […]