De SÉGUIN à ZEMMOUR : Guillaume PELTIER se livre sur 20 ans de vie politique.

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Mis au ban des Républicains pour avoir exprimé son admiration d’un discours d’Eric Zemmour, Guillaume Peltier est depuis janvier 2022 le vice-président de Reconquête, le parti fondé par Eric Zemmour. Mais il est aussi un homme politique d’expérience, il livre dans cet entretien à Geoffroy Lejeune ses meilleures anecdotes en politique.

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Gérard Depardieu et Poutine, la Russie et nous…

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Gérard Depardieu et Poutine, la Russie et nous… « Le plus d’Éléments » fait le point sur une rencontre au sommet avec le dernier de nos monstres sacrés, Gérard Depardieu, qui a donné lieu à un entretien-culte dans le dernier numéro de notre revue. Avec Patrick Lusinchi, François Bousquet, rédacteur en chef, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart. Au menu, outre Depardieu : le commissaire Maigret et Éric Zemmour.

Revue Éléments

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L’affaire McKinsey : Le conflit d’intérêt, doublé du délit d’initiés, est INCONTESTABLE

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Pendant que le Parquet National Financier (PNF) se réveille, que nul ne soit dupe : il enquête sur un soupçon de fraude fiscale et de blanchiment aggravé de la part de McKinsey, mais surtout pas sur la déclaration patrimoniale potentiellement frauduleuse de M. Macron et encore moins sur l’existence d’un délit de favoritisme pour compenser l’aide gratuite apportée par McKinsey via Maël de Calan en 2017 à M. Macron dans sa campagne.

Le Parquet cherche encore moins de savoir s’il y a eu rétrocession d’argent à notre encore président sur un éventuel compte offshore monté aussi par McKinsey.
Rappelons un fait important, surtout pour un média comme le 442 : imaginons le responsable de l’assistance vidéo dans un match de football être nommé par un des deux capitaines d’équipe. Le président du Parquet National Financier (PNF) est Jean-François Bohnert, nommé par le capitaine Macron de l’équipe LREM mise en cause…
Le match sent la corruption ou tout au moins le conflit d’intérêts avant même qu’il ne commence. Mais je joue à l’esprit chagrin, dira-t-on. Au « complotiste », dira LREM, faute de contre-argument. Tout se saura un jour, mais potentiellement et vraisemblablement trop tard.

McKinsey conseille et McKinsey & Company Inc empoche

Sur le fond, voici l’histoire résumée : McKinsey a une activité de « conseil » que j’appelle par défaut McKinsey Conseil et une activité de fonds d’investissement (investissements en fonds propres via détention d’actions) via McKinsey Investment Office (MIO), dont les actionnaires sont les dirigeants de McKinsey Conseil… et pas McKinsey Conseil en tant que société.
McKinsey Conseil travaille gratuitement pour le candidat Macron sur 2016-2017 sous l’égide de M. Maël de Calan. Le candidat Macron ne déclare pas ce « don » dans ses comptes de campagne, comme il se doit. Mais de cela, la commission de contrôle des comptes n’en a cure. Le PNF également ne se saisit pas de l’affaire. On l’a connu plus prompt sur ce qui devait devenir le scandale Bygmalion du temps de Nicolas Sarkozy. Ceci crée pourtant une fraude aux comptes de sa campagne en vertu de l’article L52-8 du Code électoral que, comme par hasard, la commission de contrôle… occulte ! Zéro sanction, tout va bien, en route pour la site Madame la Marquise ! Même pas un carton jaune !

Sitôt élu, les contrats (marchés publics soumis à appels d’offres) pour tout et n’importe quoi sont affectés par divers ministères à McKinsey. Les montants paraissent sans aucune mesure par rapport à la difficulté des tâches et en dépit de hauts fonctionnaires qui continuent à être payés pour assumer ce travail. Nous payons donc deux fois : les fonctionnaires ET les cabinets de conseil, dont McKinsey… Là, un second carton jaune serait mérité, mais non, rien ne se passe… Les affaires continuent. Les appels d’offres contractés autorisaient-ils la réalisation des missions menées ? Pas sûr du tout… Un gros doute subsiste. Les seul avis retrouvés sont d’un flou artistique total permettant les pires surfacturations. Seuls deux sont trouvables sur http://marchespublics.com et pour des montants bien inférieurs au presque un milliard d’euros réalisés en cinq ans…

Un copié-collé de politiques « sanitaires » à travers les pays occidentaux

Au 02/04/2022, la recherche « McKinsey & Company Inc France » a retourné deux avis d’attribution sur ce site. Disons que nous avons mal cherché, au bénéfice du doute quoique…

  • McKinsey dicte au gouvernement la politique sanitaire vers la vaccination ARNm tous azimuts.
  • McKinsey duplique dans 65 pays occidentaux les mêmes recommandations en les facturant à chaque fois au prix fort, alors qu’ils ne modifient que quelques chiffres.

Ça ne semble choquer personne dans les strates de l’État. Le Sénat vient de le constater via une commission d’enquête respectable. Dans ces propositions (car certes seuls les ministres et le président décident), McKinsey privilégie à outrance les « injections géniques » à base d’ARNm en ne privilégiant aucune autre solution… et surtout pas des soins pourtant utilisés dans d’autres pays. Seules de rares exceptions sont autorisées mais en mode compassionnel quand il est trop tard ou des traitements toxiques car mutagènes comme le Remdésivir… de Gilead !

McKinsey recommande Pfizer (et Cie) dont il est actionnaire

Le souci est que, en agissant ainsi, la branche Conseil de McKinsey enrichit MIO, la société de fonds d’investissement des dirigeants de McKinsey. Pour quelle raison ? Parce que MIO détient des actions dans Pfizer, Moderna et Gilead aussi (tiens ?) McKinsey n’affiche pas le nom de ses clients sur ses sites Web… mais donne tellement la parole au patron de Pfizer que sa présence en tant que client ne laisse guère de doute, un doute levé d’ailleurs par la récente commission d’enquête sénatoriale qui le stipule très clairement. Ça sent, ça pue le délit d’initiés pour lequel McKinsey a déjà été condamné au sujet du… Remdésivir de Gilead à payer une transaction ridicule de 18M$.

Pire, McKinsey aussi été condamné à payer un montant bien plus lourd sur le scandale des opiacés aux Etats-Unis qui aura causé  un demi-million de morts ! Votre santé ? Mais McKinsey s’en fout ! Ce n’est pas moi qui le dit : même Le Figaro le laisse entendre. Là, ce n’est plus un carton rouge qui serait mérité, mais une exclusion à vie de tout soumissionnement aux marchés publics.
Le conflit d’intérêt, doublé du délit d’initiés, est INCONTESTABLE : la branche « Conseil » de McKinsey a dicté une politique UNIQUE dans près de 65 pays occidentaux visant à enrichir l’autre branche « Fonds d’investissement » (MOI) et tout ceci en vidant les comptes publics de plusieurs pays. Donc en vidant vos poches, nos poches, pendant que les hôpitaux crèvent et que les déserts médicaux sont présents partout ! Cerise sur le gâteau : la maison-mère de McKinsey est basée au DELAWARE (paradis fiscal américain où fleurissent de plus les comptes offshore … que McKinsey contribue à faire ouvrir à ses clients privilégiés). McKinsey « maison-mère » surfacture plus que vraisemblablement ce qu’il faut à sa filiale française, afin de ne payer aucun impôt sociétés en France. Ces surfacturations rendent bénéficiaire la maison-mère qui paie un impôt société (IS) minimum au DELAWARE.

En fait M. TADJEDDINE, dirigeant de McKinsey en France, ne ment pas lorsqu’il dit que la « succursale » française paye son impôt sur les société en France … eh oui ! Sauf que l’assiette de calcul de l’IS est toujours nulle ou négative depuis plus de dix ans, donc il n’y a pas du tout d’IS à payer, du fait des charges a priori disproportionnées facturées par la maison-mère à sa « succursale » française… dans ce but bien précis ! McKinsey joue sur les mots. Il y a simulation qui vaut un nouveau carton !

Fraude fiscale : c’est prévu par la loi

Pour sauver le soldat Macron, ne doutons pas un seul instant que McKinsey sera condamné par le PNF à une amende de quelques millions mais sans commune mesure avec les gains réalisés et sans jamais investiguer sur la responsabilité du chef de l’État. En regardant un film ancien « 1000 milliards de dollars » ou « La firme » avec Tom Cruise (N.B. : c’est ma minute culture), chacun comprendra que ces cabinets ne sont pas des mécènes et se moquent éperdument de votre santé. Seul l’argent compte. L’affaire des opiacés de McKinsey en témoigne

Dernier point : McKinsey sait ouvrir des comptes off-shore. Comment fonctionnent-ils ? C’est ma minute « formation ». Précision : Je n’en ai pas, mais ai travaillé le sujet.

  1. Une société bidon est immatriculée avec un nom disponible dans un paradis fiscal.
  2. Un compte bancaire est ouvert dans le même pays ou ailleurs, mais toujours dans un paradis fiscal. Une carte bancaire anonyme est possible dans certains pays « paradis fiscaux » (pas tous).
  3. Un « agent » (un tiers) est censé être le dirigeant de la société offshore, mais n’a aucun moyen d’utiliser le compte bancaire. C’est un homme ou femme de paille.
  4. Les fonds virés de compte off-shore à compte off-shore échappent à tout contrôle en France nonobstant les accords passés avec la plupart des pays.

Zelensky, McKinsey et Macron naviguent off-shore

D’ici à ce que nous découvrions l’existence d’un compte off-shore pour notre président, au même titre que le fameux Zelensky dont le nom apparaît dans les PANAMA/PANDORA PAPERS, je ne serais pas étonné. Maintenant qui enquêtera sérieusement et avec intégrité sur ce point, comme sur la réalité du patrimoine du président ? Personne, car le danger pèse sur ceux qui s’amuseraient à le faire. Bon, je vais aller m’équiper pour assurer ma self-défense au cas où…

Bonus : « LA » séquence de 4 min de « 1000 milliards de dollars » pour comprendre les déficits en France de McKinsey France … Remplacez GTI tantôt par McKinsey, tantôt par Pfizer.

Jean-Yves Capo pour Le Média en 4-4-2.

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L’élection présidentielle de 1965 : autres temps, autres mœurs ?

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Décembre 1965 : une époque très différente de la nôtre, dont les plus anciens de nos lecteurs se souviennent. À mi-chemin entre la fin de la guerre d’Algérie et la chienlit de mai 1968. Pour la première fois, sous la Cinquième République, le président est élu au suffrage universel ; en 1958, il avait été élu par un collège électoral de grands électeurs. Autre différence notable, il s’agissait d’un septennat.

Six candidats étaient en lice : faut-il les présenter tels qu’ils pouvaient apparaître aux électeurs ? Par ordre alphabétique, Marcel Barbu, inconnu au bataillon, Charles de Gaulle, l’homme de la Résistance ou le bradeur de l’Algérie, Jean Lecanuet, le centriste aux dents blanches, Pierre Marcilhacy, bien austère, François Mitterrand, vieux renard de 49 ans, Jean-Louis Tixier-Vignancour, un des avocats du général Salan. Le président sortant est largement favori, donné pour vainqueur dès le premier tour : 66 % de bonnes opinions selon le baromètre de l’Ifop ! Surprise, quand, à l’issue du scrutin, il est mis en ballottage par François Mitterrand, qui commence son ascension vers la magistrature suprême, qu’il atteindra en 1981.

La candidature de Gaston Defferre, « Monsieur X », comme le désigne L’Express, et celle de Pierre Mendès France avaient échoué, à cause des divisions de la gauche et des peaux de banane mises sous leurs pieds. François Mitterrand, ancien ministre de la Quatrième République, sans doute plus roué, est investi par la SFIO, soutenu par le PCF, le Parti radical et le PSU, et se présente comme « le candidat unique de la gauche ». Au second tour, il obtient 44,80%, de Gaulle étant élu avec 55,20% des voix. Une victoire qui, pour lui, a un peu le goût de la défaite.
Il est à noter que le président sortant, pendant la campagne électorale, interdit au ministre de l’Intérieur d’utiliser le passé de François Mitterrand pour essayer de le déstabiliser. Pas question de publier une photo du candidat de gauche aux côtés du maréchal Pétain ou de mener une enquête sur ses liens supposés avec René Bousquet. Quoi qu’on pense du général de Gaulle, force est de constater que tous les candidats aux élections suivantes n’ont pas eu la même élégance, fût-elle teintée d’orgueil. O tempora, o mores !

De Gaulle ne savait pas, à ce moment, qu’il ne terminerait pas son second mandat. Désavoué le 27 avril 1969, lorsque les Français rejettent le référendum sur « le projet de loi relatif à la création de régions et à la rénovation du Sénat », il quitte aussitôt ses fonctions, comme il s’y était engagé. Un certain panache, une certaine conception de la politique, que certains de ses successeurs pourraient lui envier. Nous nous garderons bien de donner plus de détails, période de réserve oblige. Toute ressemblance avec des personnages existants serait, comme on dit, purement fortuite.

Philippe Kerlouan, dans BV

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Provocateur, drôle et fantasque, le mensuel Causeur d’Élisabeth Lévy sort son numéro 100

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Dans l’océan de consensualisme mou de la presse française, un titre émerge avec fierté comme un phare sur une mer d’ennui. Le mensuel Causeur fête son numéro 100. Daté d’avril et en vente dans tous les bons kiosques, Causeur met à sa Une une hypothèse politique assez gonflée que la période de réserve avant le premier tour de l’élection présidentielle nous interdit malheureusement de mentionner ici. Ce numéro 100 revient surtout sur les années passées dans un dossier « Nos années Causeur », appuyé sur une brochette de plumes brillantes et de penseurs dont certains font la richesse de ce journal atypique : Alain Finkielkraut, Marcel Gauchet, Renaud Camus, Natacha Polony, Gilles-William Goldnadel, Jérôme Leroy… « C’est pas pour me vanter, comme dit l’ami Basile [de Koch, ndlr] mais nous sommes toujours là », lance au début de son éditorial Élisabeth Lévy, l’âme et la cheville ouvrière de la maison. Le journal marqueur d’une droite inventive, intellectuelle et libre a neuf ans, le site treize ans : des âges tendres encore et pourtant, Causeur ne manque ni d’audace, ni de brio, ni de personnalité. Quelques numéros ont marqué l’actualité et illustré le style provocateur, drôle et un peu fantasque du magazine et de sa patronne. « Il y a quelques Unes qui m’ont fait marrer, pas forcément celles qui ont le mieux marché, explique Élisabeth Lévy à Boulevard VoltaireJ’avais été assez contente de faire une Une sur Plenel : j’ai créé Causeur pour pouvoir me payer sa tête. Au moment de l’affaire Cahuzac, on avait titré “Plenel président” : ce con a pris cela au premier degré ! Il a répondu qu’il était contre le présidentialisme ! »

Un autre numéro, titré « Touche pas à ma pute », provoque un vrai scandale en septembre 2013. Il comprend le « Manifeste des 343 salops » (en référence au « Manifeste» dit « des 343 salopes » paru en 1971 dans le Nouvel Observateur, qui marquera la bataille en faveur de l’avortement). Le manifeste de Causeur démarre par ces mots : « En matière de prostitution, nous sommes croyants, pratiquants ou agnostiques ». Le goût de la provocation fait partie de l’identité du journal. Nouvelles gifles aux bien-pensants avec ces numéros sur le « Grand remplacement » ou « la terreur féministe », « car quand les hommes adultes n’osent pas dire ce qu’ils pensent, moi j’appelle cela de la terreur, on ne peut pas parler de terreur juste pour Staline et Hitler », fulmine Élisabeth Lévy. Dans le même esprit, un numéro titré « Délivrez nous du mâle » aura son petit effet. La gauche consensuelle bout, Élisabeth Lévy se régale, s’indigne et éclate de rire.

C’est peu dire que Causeur porte son empreinte. Elle relit personnellement tout le journal, 100 pages serrées tout de même, et corrige à la virgule près. « Je suis très emmerdante pour l’écrit, je relis tout, mais du coup, la personne que j’emmerde le plus, c’est moi !», explique-t-elle. En est-elle certaine ? Élisabeth Lévy reste lucide sur sa personnalité un peu râpeuse : « Je ne censure pas les gens mais je suis très exigeante, je les engueule quand les papiers sont mal torchés, c’est vrai. J’ai mauvais caractère, je suis soupe au lait, ça c’est vrai, mais j’écoute. »

À l’origine de Causeur, la fascination de « la tsarine », son surnom en interne, pour les salons d’autrefois. « J’ai toujours rêvé d’avoir un salon, un salon du XVIIIe siècle, explique-t-elle en riant à demi seulement. Je me voyais très bien en Madame Duschmoll recevant et animant les conservations. » Entrechoquer des idées, contribuer au débat public, offrir un champ de liberté aux intellectuels de droite, c’est la vocation de Causeur qui offre de temps à autres à une personnalité une page pour… démonter et critiquer le journal ! Du jamais vu ailleurs.

Rançon de l’inventivité et du culot, Élisabeth Lévy estime avoir été copiée. « Le Figaro Vox a joué les pompes aspirantes avec nos auteurs, dit-elle. Le Vox, c’est un peu Causeur, l’humour en moins. » L’humour est en effet la vraie marque de fabrique de l’improbable OVNI d’Élisabeth Lévy. « Je ne peux pas vivre sans me marrer : l’humour, c’est une façon de penser. On n’est pas toujours drôles, on n’est pas Hara Kiri. Mais on essaie d’être malicieux… On y arrive ou pas. Quand les gens me disent : Vous me faites rire, c’est le plus beau compliment ». Vivement le numéro 1000 !

Marc Baudriller Boulevard Voltaire

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France Orange Mécanique, 14e semaine 2022: de pire en pire !

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A l’attention de messieurs les ministres de la Justice – Garde des Sceaux et de l’Intérieur, quelques « faits divers » au cours de ce mois de Avril 2022 dans notre « Douce France » où, selon eux, l’insécurité ne serait qu’un sentiment !

Au sujet de la « double nationalité » : la supprimer ne serait pas la solution, elle peut même être une protection efficace contre la délinquance, à la condition que tous, récidivistes, délinquants, voleurs, agresseurs, violeurs et criminels, soient déchus de leur nationalité française et expulsés immédiatement. La déchéance de nationalité doit être inscrite au programme du candidat que nous choisirons !

**Le quotidien « Le Figaro » a publié en exclusivité « La flambée de l’insécurité et de la délinquance durant le premier trimestre 2021, une progression effrayante par rapport à 2019 : environ 1900 cas par jour, soit environ 350.000 pour l’année. »

Semaine 14 : du 02 au 08 avril. 

02/04 – Tarbes (Hautes-Pyrénées) : Prison ferme pour Mohamed, 44 ans, multirécidiviste et polygame, qui exigeait que son fils de 18 ans ait des relations sexuelles avec sa propre mère : « Tu as cinq minutes pour niquer ta mère. ». Sur le banc du tribunal son épouse officielle et deux de ses quatre enfants, en face, sa compagne et son fils, les victimes des violences. Mohamed avait déjà échappé aux Assises pour « tentative de meurtre » il y a plusieurs années.

Cesson-Sévigné (35) : Tôt samedi matin, alors qu’elle se rendait à son travail en vélo, une jeune femme de 19 ans a été frappée et violée en pleine rue par un migrant camerounais, âgé de 21 ans et déjà connu des services de police. Il a été appréhendé.

Montpellier (34) : Alexandre, 32 ans, dansait sur le parvis de l’Opéra comédie lors d’un concert « Montpellier chante la liberté et la paix ». « Un individu a surgi et l’a propulsé par trois fois dans l’escalier, sans aucune raison, gratuitement, sa tête a frappé la dalle de pierre, c’était horrible. Il est mort sur le coup » explique Sandrine, témoin de la scène.

Bobigny (93) : Un chauffeur de bus et deux passagers ont été violemment agressés par un groupe d’individus armés de battes de baseball et de gaz lacrymogène. Trois des agresseurs ont été interpellés alors qu’ils tentaient de prendre la fuite.

Lorient (56) : Cinq voyous pénètrent en pleine nuit, et en fracassant la porte, dans l’appartement occupé par un jeune couple et un copain, dans le quartier de Kerfichant. Au lit, avec son amie, il est roué de coups de pieds, enchaîné, étranglé avec une chaîne de vélo, inondé d’essence et menacé d’être brulé vif. L’un des agresseurs, âgé de 29 ans, s’isole avec l’amie et la viole en filmant la scène et la menaçant de tout diffuser sur les réseaux sociaux. Ils ont été séquestrés durant plusieurs heures. Sans doute un motif de dette pour des stupéfiants.

Châteaudun (28) : Un codétenu radicalisé a frappé à mort, à coup de tesson de bouteille, un autre détenu de ce centre de détention, âgé de 27 ans. Le parquet de Chartres indique que « l’auteur des faits était suivi au titre de la radicalisation depuis 2016 mais que rien n’indiquait qu’il y avait un lien avec cette radicalisation. ». Cela ne vous rappelle rien ?

Haillicourt (62) : Quatre individus ont frappé à coups de marteau puis poignardé un homme âgé de 43 ans qui se trouve à l’hôpital entre la vie et la mort. C’est la mère de la victime qui a ouvert la porte de son domicile de la « cité des Fleurs » à Haillicourt, près de Béthune. Elle a été mise en joue avec un fusil à pompe. Il pourrait s’agir d’un règlement de comptes.

03/04 – Bayonne (64) : Un individu âgé de 30 ans, dont on ignore l’identité et les origines mais faisant l’objet d’une OQTF, a été interpellé pour avoir agressé au couteau deux femmes, âgées de 64 et 28 ans, qui l’hébergeaient dans leur appartement de l’esplanade Jouandin, dans les quartiers hauts. Elles ont été dirigées dans un état grave vers le centre hospitalier.

**Puisqu’il est justement question d’Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF), le président Macron vient d’affirmer « qu’il n’avait aucune leçon à recevoir sur l’immigration clandestine. ». Rappelons-lui qu’il y avait 120.000 OQTF en 2020 et que moins de 8% ont été expulsés depuis, alors qu’il y a plus d’un million de clandestins en situation irrégulière actuellement en France, et bien plus demain !

Nancy (54) : Place Dombasle, centre-ville vers 2 h 15, un homme d’une quarantaine d’années a été laissé pour mort, après avoir été roué de coups de pied et de poing par deux individus, sur le passage piétons, en plein milieu de la chaussée.

Scène identique à Rouen (76), c’est sur la voie publique, à la sortie de la discothèque « Le Duc », rue François Arago, qu’un homme, âgé de 24 ans, a été également retrouvé mort après avoir été agressé de plusieurs coups de couteau. Certainement après un différent, après qu’ils aient été « expulsés » de l’établissement. Le meurtrier est activement recherché.

Roanne (Loire) : Rue de Bourgogne, Mohamed Rahrah a poignardé à plusieurs reprises son voisin, âgé de 87ans, lui occasionnant sept plaies au visage, dont une près de la carotide, qui aurait pu être fatale et lui valoir les « Assises » pour tentative de meurtre. Bien au contraire, il n’a écopé que de deux ans ferme « pour violences avec usage d’une arme ».

Bobigny (93) : Jeremy Cohen était juif et il n’a pas quitté Bobigny, l’une de ces banlieues où les juifs n’ont pas le droit de vivre. Comme il avait un léger handicap mental, Jeremy ne pensait pas que porter une « Kippa » était mortel. Une bande de voyous, dont vous devinez les origines, l’ont insulté, agressé, frappé, Jeremy s’est enfui et il n’a pas vu le tram. Il est mort écrasé, mais ce n’est pas un accident, comme on voulait nous le faire croire, c’est un meurtre « sans probablement intention de donner la mort ». Un juif de moins à Bobigny, en reste-t-il encore un ?

04/04 – Brest (Finistère) : « La place de la Liberté est devenue un vrai coupe-gorge. Je ne passerai jamais par là le soir. » : Harcèlement de rue, agressions, trafic de drogue. Son tunnel, le passage Jean-Monet, menant rue de Siam est évité par de nombreux passants. Cette retraité, vivant depuis 40 ans à Brest, explique « ne plus se sentir en sécurité dans ce centre-ville. Nous sommes constamment les cibles. Ce n’est plus possible. » 

Boulogne-sur-Mer (62) : Agressé à coups de bouteille à la tête, à la sortie d’une discothèque, par des gens du voyage, le pronostic vital de ce policier hors service, âgé d’une trentaine d’années, est engagé.

Oullins (69) : Sur la ligne 63 : Un bus caillassé par trois d’individus qui ont roué de coups et menacé de mort le chauffeur avant de s’enfuir. Ils sont activement recherchés.

Antibes (06) : Avenue des Oiseaux, un homme de 63 ans a été étranglé par le migrant étranger, originaire de Géorgie, âgé de 35 ans, qu’il hébergeait depuis plusieurs mois. Il se trouve entre la vie et la mort à l’hôpital de La Fontonne. Inconnu des services de police français, l’individu faisait tout de même l’objet d’une fiche de recherche Schengen, émise par l’Espagne, pour homicide et vol.

05/04 – Lewarde (59) : Dans la rue de Loffre, alors qu’il surprenait trois voyous « qui s’intéressaient aux voitures en stationnement », un habitant a reçu un coup de machette à la tête en tentant de les faire fuir. L’un des trois, âgé de 18 ans, a été interpellé et placé en garde à vue.

Nancy (54) : Les policiers de la BAC ont ouvert le feu à sept reprises contre un véhicule qui refusait de se laisser contrôler, à Saint-Max, après une longue course poursuite et qui, piégée au fond d’une impasse, est venue percuter la voiture de la BAC.

06/04 – Le Mans (Sarthe) : Elle avait 17 ans lorsqu’elle a été violée dans la cave de son immeuble le 27décembre 2018 par un migrant congolais de 28 ans qui était sorti de prison un mois auparavant. Il avait été incarcéré également pour un viol en 2013.

Il est jugé par la cour d’Assises de la Sarthe depuis mardi.

Seine-Saint-Denis (93) : La cour d’Assises juge Abdallah Miladi, 35 ans, un migrant clandestin tunisien multirécidiviste qui avait tué Maxime Rendu, un ingénieur de 23 ans, à la sortie d’un festival techno, en 2016, au parc de la Villette, pour le dépouiller. Son corps avait été repêché dans le canal de l’Ourcq. 18 années de prison ont été requises.

Châlons-en-Champagne (51) : Vêtu d’une djellaba et armé d’un couteau de cuisine, il hurle « Allah détruit la France. Vous êtes un peuple de vaincu. Vous êtes morts ». Il a été interpellé et ses facultés mentales sont probablement défectueuses.

07/04 – Canteleu (76) : Les policiers interpellent un voyou qui venait d’agresser un homme à l’aide d’une batte de baseball. Ils sont attaqués par une bande de « jeunes » qui tentent de le libérer. Véhicule endommagé, policier blessé. La vidéo présente l’agression dans toute sa violence. N’y avait-il pas « légitime défense » ?

Pontivy (56) : Cette mère de famille avait décidé d’héberger un individu « en situation d’errance ». Elle s’absente 20 minutes et cette ordure en profite pour agresser sexuellement le petit garçon, âgé de 4 ans, de sa bienfaitrice. Saïd, 40 ans, n’a été condamné qu’à 18 mois de prison. Sera-t-il expulsé ?

Melun (77) : Cela fait plus d’un an que le facteur ne distribue plus le courrier dans cet immeuble de la Tour 13, square de Lorient, où résident encore une cinquantaine de locataires. Motif : des dealers au pied de l’immeuble qui casse tout, boîtes aux lettres, ascenseur, etc. La poste propose de venir chercher le courrier à Vaux-le-Pénil, tout près, à quatre kilomètres.

08/04 – Cahors (46) : Quatre jeunes voyous, déjà connus de la police pour des actes de violence, ont agressé et gravement blessé au couteau, à la sortie du lycée Clément-Marot, un jeune élève de 17 ans, accompagné de son grand-frère. « Cela aurait pu être très grave. Ce sont des mini-terreurs qui jouent au caïd dans la rue » a ajouté le commissaire Patrick Meynier.

Guéret (23) : Connu pour différents troubles à l’ordre public et comportements perturbateurs à l’égard des femmes, ce migrant Afghan de 31 ans avait pourtant obtenu son titre de séjour en 2019 par la préfecture de Guéret. Il vient d’agresser sexuellement, en la plaquant sur le sol, une femme de 72 ans.

Creil (60) : Attirés dans un guet-apens, dans le quartier des Hauts-de-Creil (un feu déclenché dans la rue de Renette), les policiers ont été encerclés et agressés par des dizaines d’individus. Trois d’entre eux ont été placés en garde à vue.

Echirolles (38) : Pour un mauvais regard, trois personnes ont été agressées sur le parking d’un magasin de l’avenue d’Honhoue. L’une des victimes a été blessée au visage par une pince coupante. Un individu a été placé en garde à vue, son complice s’est enfui.

Marne : Avec déjà 46 mentions sur son casier judiciaire, la « Justice » a décidé de faire de nouveau confiance à ce « Rémois », âgé de 42 ans, compte-tenu de « ses efforts pour se réinsérer. ». Nous ignorons l’identité de ce « Rémois » et applaudissons à « ses efforts pour se réinsérer…pour la 47éme fois ».  

Espagne – Iles Canaries : Trois migrants ont été arrêtés dès leur arrivée aux Canaries pour « avoir jeté par-dessus bord 25 autres migrants durant la traversée depuis la Mauritanie », selon les témoignages des survivants. Ils étaient environ 75 au départ de Nouakchott, dont des femmes et des enfants et 48 seulement ont débarqué sur l’île espagnole d’El Hierro, selon les autorités policières.

Toujours en Espagne, RFI a regretté qu’il n’existe pas dans la péninsule ibérique une page quotidienne qui relate les principaux « Faits divers », comme c’est le cas, en France, avec « Fdesouche », alors que l’insécurité est en progression constante.

Depuis ses accords avec le Maroc, au sujet du Sahara, l’Espagne échappe à l’immigration clandestine des subsahariens. Depuis le début de l’année plus de 800 migrants ont été expulsés depuis Tanger. « Inacceptable » jugent l’Association marocaine des droits de l’homme et, bien entendu, les migrants concernés.

Manuel Gomez, Riposte Laïque

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