Comment’R: Webtube n’est pas toujours en accord avec l’ensemble de la vision de Laurent Obertone, notamment sur la remise en cause des élections présidentielles. Chez Webtube nous pensons que ce sont les institutions qui ont été détournées qui font que l’on a abouti à cet état de fait. 7 ans pour un président et 5 pour les députés permet une meilleur alternance tout en gardant la capacité à gouverner et à décider. C’est l’essence de la 5ème République à ses débuts.
Laurent Obertone est écrivain. Auteur à succès, il a publié une dizaine d’ouvrages, des essais traitant de l’insécurité, des médias, de l’immigration ou de l’État, ainsi que des romans et des récits inspirés de faits criminels. Dans son dernier essai, Game Over, publié aux éditions Magnus, maison d’édition qu’il a cofondée avec Laura Magné, Laurent Obertone complète les constats dressés dans ses précédents ouvrages et propose une série de solutions concrètes et radicales pour permettre aux Français de reprendre leur destin en main et de retrouver leur âme. Un « testament antipolitique » et un « manifeste antidémocratique » à travers lequel l’auteur pourfend la doxa et la bienpensance, et passe en revue les grands enjeux nationaux, exposant point par point les remèdes nécessaires pour sortir de l’ornière et résoudre les maux qui accablent le pays depuis plusieurs décennies. À quelques jours de l’élection présidentielle, Laurent Obertone explique notamment pourquoi il ne faut, selon lui, rien attendre de la grand-messe électorale et pourquoi les Français doivent désormais sortir du jeu, se prendre en main et ne compter que sur eux-mêmes afin d’être prêt à faire face à l’effondrement qui vient. Retrouvez l’analyse de Laurent Obertone dans la vidéo et dites-nous ce que vous en avez pensé dans les commentaires.
48 millions d’euros blanchis à travers deux réseaux extra-européens : le tribunal de Rennes a condamné 13 individus dont plusieurs Pakistanais et des Africains.
Blanchiment d’argent : des réseaux africains et pakistanais démantelés
Ces dernières semaines, l’actualité judiciaire bretonne a de quoi régaler les amateurs d’exotisme, comme en témoigne cette nouvelle affaire jugée du 4 au 7 avril devant le tribunal correctionnel de Rennes.
Notre région ne manquant pas de ressources en matière de criminalité, en 2018, dans le cadre de l’instruction d’un dossier de trafic de stupéfiants en Bretagne, les enquêteurs vont finir par mettre à jour, via des écoutes téléphoniques, deux vastes réseaux de blanchiment d’argent, l’un étant africain et l’autre pakistanais.
Il faudra alors plusieurs mois d’investigations à l’Office central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF) pour identifier les mécanismes.
Concernant le réseau africain, ce sont plus de 5 millions d’euros qui auraient été blanchis entre les mois d’avril 2018 et janvier 2019. Quant aux donneurs d’ordres, deux individus sont alors identifiés : l’un se trouvant Mauritanie et l’autre étant au Maroc.
En ce qui concerne le deuxième réseau de blanchiment d’argent, tenu par des Pakistanais et d’une tout autre ampleur, il est cette fois question d’une somme dépassant les 43 millions d’euros sur une période comprise entre 2018 et 2020. Une perquisition menée en région parisienne permettra notamment de saisir 475 000 € en espèces mais aussi plusieurs cahiers de comptes et des enveloppes. Au mois de mars 2019, les enquêteurs mettront également la main sur près de 135 000 € dans un véhicule à Paris.
Pakistanais, Congolais, Marocains, etc. jugés à Rennes
Bilan des opérations, les enquêteurs auront saisi au total plus de 856 000 € en billets. Une somme ne comprenant pas les montants saisis directement sur des comptes bancaires. Ce qui a conduit à la mise en examen de 24 personnes pour des chefs de blanchiment en bande organisée. Durant quatre jours, ce sont pas moins de 14 prévenus qui ont été jugés à Rennes pour leur implication dans ces deux réseaux. Concernant les 10 autres, principalement des chefs d’entreprise, le juge d’instruction de la JIRS a ordonné leur renvoi afin qu’ils soient jugés selon la procédure de reconnaissance préalable de culpabilité.
La diversité des profils des prévenus avait de quoi ravir les tenants du multiculturalisme puisque les individus cités à comparaître à la barre du tribunal correctionnel, âgés de 32 à 58 ans et résidant tous en Île-de-France, étaient pour certains de nationalité française quand d’autres étaient pakistanais, marocains, congolais et sénégalais.
À l’issue de l’audience, 13 des 14 prévenus ont été condamnés à des peines de prison comprises de 18 mois avec sursis à huit ans d’emprisonnement ferme pour les délits de blanchiment en bande organisée et blanchiment. Par ailleurs, un chef d’entreprise a été relaxé.
Les peines les plus lourdes, de six à huit ans de prison, ont été requises contre les cinq têtes principales animant les réseaux. Ont ensuite été visés les collecteurs. Ainsi, un Mauritanien de 44 ans et un Malien de 34 ans, présentés comme étant deux gros collecteurs, ont écopé de cinq ans de prison. Une peine de trois ans de prison dont 18 mois avec sursis a été prononcée contre un autre collecteur congolais de 44 ans. D’autre part, un Français de 37 ans et une Sénégalaise de 58 ans ont été condamnés à respectivement un an de prison et 18 mois avec sursis.
Enfin, six mandats d’arrêt ont été délivrés par le tribunal à l’encontre de prévenus absents lors du délibéré.
Le dernier meeting avant le premier tour de l’élection présidentielle est un grand rassemblement de jeunes à Paris. Je prononce un grand discours à la Jeunesse face à des milliers de jeunes Français réunis.
Comment’R : Exceptionnellement Webtube s’engage pour vous demander d’aller voter demain dimanche 10 avril 2022. Si votre choix est déjà arrêté alors votez pour votre choix. Par contre si vous ne savez pas encore pour qui voter alors écoutez ce meeting avec les jeunes et votez Eric Zemmour. Merci.
Les acteurs (Français ou étrangers) d’autrefois avaient vraiment une classe et une culture autrement plus intéressante qu’aujourd’hui. Ils s’impliquaient et ne faisaient pas semblants. De vrais professionnels du métier. C’est cette époque du cinéma qui manque aujourd’hui !
L’idéologie mondialiste du flux, du mouvement perpétuel et de l’accueil immodéré se craquèle de toute part en Occident. On le voit en Europe, on le voit également aux États-Unis. Outre-Atlantique, c’est de la gestion de la frontière sud dont il est question, véritable tonneau des Danaïdes.
Si cette frontière est problématique depuis des décennies, Trump avait eu le mérite de réintroduire un discours rigoriste dans le débat public. Or, le laxisme des Démocrates revient au galop et, surtout, met en lumière une gestion calamiteuse.
Lors de sa campagne, Joe Biden avait promis de démanteler la politique stricte d’immigration mise en place par Donald Trump en janvier 2019, connue sous le nom de « Remain in Mexico » (Rester au Mexique). Cette disposition obligeait les personnes arrêtées à la frontière à rester au Mexique jusqu’à leur comparution devant le tribunal américain pour traiter leur dossier de demande d’asile. Autant dire que ceci avait eu un effet assez dissuasif. À son arrivée, en février 2021, Biden a donc tenté de mettre fin à cette politique, d’où sans doute les records de flux enregistrés. En août 2021, le nombre de clandestins appréhendés à la frontière sud connut une augmentation de +317% par rapport à l’année précédente.
De même, ces derniers mois, la tension migratoire est plus forte que jamais. D’octobre 2021 à février 2022, soit en cinq mois, la police des frontières a interpellé 838.685 clandestins. Raul Ortiz, le chef de la police frontalière des États-Unis précise que celles-ci atteignent, ce début avril, d’ores et déjà le million et projette un chiffre de 2,7 millions à la fin de l’année fiscale, en octobre 2022. Si un petit nombre est placé en détention, les autres sont – dans l’attente – entassés dans des conditions très précaires.
Pourtant, depuis l’été dernier, l’enthousiasme des plus laxistes est redescendu suite à divers rejets par les tribunaux fédéraux et la Cour Suprême, ainsi que des négociations avec le gouvernement mexicain. L’administration Biden a dû faire marche arrière et revenir aux dispositions antérieures. Du côté des Républicains, il ne s’agit que d’un très court répit puisqu’actuellement, une autre disposition de Trump est en train d’être démantelée. Le 1er avril dernier, en effet, l’administration Biden a annoncé mettre fin d’ici le mois de mai à la législation « titre 42 » mise en place par Trump dans le cadre de la crise sanitaire, et contournant judicieusement la législation sur l’immigration. L’article 42 du Code américain accorde effectivement au gouvernement le « pouvoir d’interdire, en tout ou en partie, l’introduction de personnes et de biens » pour empêcher une maladie contagieuse de se propager dans le pays.
Aussi, l’ordonnance signée le 20 mars 2020 par Robert R. Redfield, alors directeur des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), précisait la nécessité d’expulsions pour contrôler la propagation du Covid-19 dans les installations frontalières ainsi que pour protéger les agents américains et préserver les ressources médicales.
De sorte que, depuis, les migrants ne peuvent pas solliciter une demande d’asile et sont automatiquement refoulés. Prévue pour être temporaire (elle ne devait durer que trente jours), la mesure s’est éternisée et, en deux ans, a conduit à l’expulsion systématique de deux millions de personnes.
La révocation de la mesure 42 fait craindre aux Républicains un raz-de-marée de clandestins sans précédents, venus d’Amérique centrale et d’Haïti. À ce sujet, Stephen Miller, l’ancien conseiller politique de Donald Trump ayant travaillé sur le dossier, a réagi sur Twitter : « cela ouvrira les vannes de l’immigration à une échelle biblique. » Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a, lui, annoncé qu’il enverrait les bus de migrants, entrant dans son Etat, directement à Washington DC.
Si le gouvernement Biden se défend en annonçant le déploiement de centaines d’agents supplémentaires à la frontière mexicaine, le sujet sera décisif pour les élections de mi-mandat.
Comment’R: dans la France d’avant, le professeur inscrivait parfois dans votre bulletin de notes: peu mieux faire, doit faire des efforts, doit se rattraper au trimestre prochain. Dans la France de 2022, je justice fonctionne différemment. Quand elle juge un délinquant récidiviste, elle inscrit : n’a rien fait du tout, aucun effort, toujours aussi nul et c’est très bien comme ça, on peut le relâcher. C’est le pays où on vit….et on comprend pourquoi tout va mal. Il en va de la justice comme du reste : hôpitaux, école, économie, rayonnement de la France. Tous les voyants sont au rouge! Et on voudrait reprendre du Macron pour 5 ans ? C’est quoi ce délire ! Demain allez tous voter, sauf les électeurs de Macron.
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42 ans, 46 mentions sur son casier pour violence, recel, proxénétisme, outrages, dégradations… Ce Rémois cumule, notamment « de trop nombreuses infractions routières », précise le ministère public ce jeudi 7 avril, dans l’après-midi. Il a d’ailleurs été interpellé le 6 novembre dernier…[…]
Ses efforts pour se réinsérer soulignés
Le tribunal a en effet décidé de lui faire confiance, sans lui imposer le contrôle judiciaire requis par le ministère public. Et pour cause, en dépit des 46 mentions figurant sur son casier et de la nouvelle infraction qui le conduit à nouveau à la barre du palais de justice, le Rémois a, ces dernières années, fait des efforts pour se réinsérer.
Père d’un enfant de 15 mois dont il s’occupe, il exécute actuellement un travail d’intérêt général, issu d’une ancienne peine convertie, et fait l’objet d’un suivi par le juge d’application des peines qui « se passe bien », constate le tribunal. Nul besoin, à son sens de mesure de sûreté dans ce contexte.
Il devra simplement se présenter pour être jugé à la fin du mois.[…]
PROXENETISME Deux hommes de 28 et 21 ans ont été mis en examen jeudi à Bordeaux pour « proxénétisme aggravé », soupçonnés d’avoir prostitué sept mineures âgées entre 13 et 16 ans, et qui étaient placées au foyer de l’enfance d’Eysines[…]
L’affaire est particulièrement sordide. Sept mineures placées au Centre départemental de l’enfance et de la famille d’Eysines (CDEF), dans la banlieue de Bordeaux, ont été victimes d’exploitation sexuelle, au moins depuis le mois d’octobre 2021, a révélé jeudi soir le parquet de Bordeaux.[…]
« Possibilité d’obtenir facilement de l’argent »
Le principal mis en cause âgé de 28 ans, « séduisait dans un premier temps l’une des mineures et l’incitait ensuite à rabattre d’autres jeunes filles mettant en avant la possibilité pour elles d’obtenir facilement de l’argent. » Il mettait à disposition son appartement, à Mérignac, « pour la réalisation des prestations sexuelles, en échange de 50 % des gains. »
Il était également découvert à son domicile 3.830 euros, 320 grammes de résine de cannabis, 50 grammes de cocaïne et 65 grammes d’herbe. L’autre individu mis en cause, âgé de 21 ans, est considéré comme « associé occasionnel ».[…]
Jugé pour avoir vendu une « fausse » raquette de « son » Roland-Garros 1983, Yannick Noah relaxé
Yannick Noah a été relaxé jeudi 7 avril 2022 par le tribunal de Versailles dans une affaire l’opposant à un fan qui pensait avoir acheté une raquette utilisée par l’ancien tennisman lors de la finale victorieuse de Roland-Garros en 1983.
Un passionné de tennis, Pierre R., décédé en novembre 2020, l’a achetée 12.000 francs, soit près de 2.000 euros, sur la base d’une attestation manuscrite signée par Yannick Noah.
Mais fin 2016, l’acquéreur décide de la vendre et la fait donc expertiser pour connaître sa valeur. Un spécialiste de l’étude Drouot lui indique alors que cette raquette de la marque Coq sportif n’a jamais été utilisée par le tennisman lors de cette édition de Roland-Garros.
Une action « irrecevable » car « prescrite »
L’homme, puis sa fille et son épouse, ont donc saisi le tribunal de Versailles pour que soit engagée la responsabilité de Yannick Noah pour avoir réalisé un faux document, et la responsabilité contractuelle de Care France, bénéficiaire de la vente aux enchères. Ils demandaient 35.000 euros de préjudice.
Le tribunal de Versailles, qui a jugé en février cette affaire, a déclaré jeudi cette action « irrecevable » car « prescrite », la vente ayant été réalisée 33 ans avant la saisine du tribunal.[…]