Au cœur de l’enfer du crack…épisode 2. Vous aviez été nombreux à suivre notre aventure en immersion au milieu des crakeurs en septembre 2021. Six mois plus tard, la situation a-t-elle évolué ? Insécurité, violence, misère… où en est la plaque tournante du crack à Paris ? Réponse en immersion dans ce reportage de Vincent Lapierre.
📚 DÉPASSER YOUTUBE YouTube ne suffit pas, il faut lire pour s’instruire vraiment. Ça tombe bien, Vincent Lapierre a monté une petite maison d’édition : https://www.editions-jeanne.fr/
Volodymyr Zelensky est indubitablement courageux, qui, refusant les accords de Minsk, appelle à l’embrasement général et à la guerre mondiale. Bien sûr, l’Europe et les États-Unis n’ont pas envie de mourir pour l’Ukraine et savent jusqu’où se retenir. La sanctuarisation de l’espace aérien ukrainien en est la frontière. Poutine, qui n’était pas un démocrate, est désormais un criminel. Pourtant, en 2001, l’ancien tchékiste, venant après Eltsine l’alcoolique, était ovationné au Bundestag. Et il se solidarisait avec Bush après les attentats du World Trade Center. Clinton et Poutine discutaient alors d’une défense antimissiles commune… Plutôt que l’analyse de son mental par des consultants en psychiatrie radiophonique, il serait aussi judicieux d’interroger l’Histoire des trente dernières années pour comprendre comment nous en sommes arrivés là.
Les analystes de l’OTAN écrivaient, en 1991 : « Moscou ne manquerait pas de considérer comme une provocation intolérable toute tentative de repousser la frontière de l’OTAN jusqu’à la Bug – ce qui aurait pour effet de renforcer la position du camp des réactionnaires en Union soviétique. »
Avec la chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989, et le démantèlement de l’URSS, les deux alliances militaires, pacte de Varsovie et OTAN, devenaient sans objet. Václav Havel, président de la Tchécoslovaquie, appelait à la suppression des deux. Le 25 février 1991, à Budapest, le pacte de Varsovie est dissous. Fin du rideau de fer, tout le monde s’embrasse. Mais tout de même… Soucieux de ménager l’avenir, Genscher, ministre des Affaires étrangères allemand, propose une alliance proprement européenne, découplée des États-Unis. C’est l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), anciennement Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE). Les Américains torpillent l’initiative. Dans un mémorandum en neuf points, ils la décrivent comme une excellente idée, mais en attendant, il ne faut surtout pas se priver de l’OTAN ! Et pour cause ! Bien davantage qu’un pacte militaire, l’OTAN, c’est d’abord un marché. L’OTAN dont les manœuvres sont autant de terrains de tests pour la recherche et le développement militaire américain. Un fantastique débouché pour les marchands d’armes américains.
« L’Union européenne ne doit pas se substituer à l’OTAN » et « ne doit pas fermer ses marchés de défense aux Américains » (Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’OTAN).
Mais, bien sûr, promis juré, on ne l’étendra pas ! Promesse réitérée en 1990 à Gorbatchev. En contrepartie de la réunification allemande, pas d’extension de l’OTAN. Douglas Hurd, ministre des Affaires étrangères anglais, affirmait à son homologue soviétique Alexander Bessmertnykh, le 26 mars 1991 : « L’OTAN n’a aucunement l’intention d’inclure la Pologne, la Roumanie, la Hongrie ou la Tchécoslovaquie. » Le Premier ministre britannique John Major assure : « Nous ne renforcerons pas l’OTAN ! » Pourtant, les États-Unis seront les instigateurs de cinq vagues d’expansion de l’OTAN : 1999 (Pologne, Tchéquie, Hongrie) ; 2004 (Bulgarie, Estonie, Lettonie, Lituanie, Roumanie, Slovaquie et Slovénie) ; 2009 (Albanie et Croatie) ; 2017 (Monténégro) et, en 2020, la Macédoine du Nord.
La guerre en Ukraine va donc justifier une nouvelle fois cette expansion et constituer une magnifique occasion pour surarmer l’Europe made in USA.
Selon Reuters, l’administration Biden s’apprête à proposer un budget pour la Défense qui pourrait dépasser les 800 milliards de dollars pour l’exercice 2023. Trois fois plus que la Chine et dix fois plus que la Russie. En annonçant, le 14 mars, l’achat de 35 avions Lockheed F-35 pour rénover son aviation, ce ne sont pas les Rafale de Dassault que l’Allemagne a choisis mais le savoir-faire américain décidément irremplaçable en matière d’extermination. Au grand dam de la France et de l’Europe. À l’heure d’aujourd’hui – Ukraine oblige -, pas un seul dirigeant européen n’oserait mettre en doute la nécessité de l’OTAN, mais si vous la voulez efficace, achetez les armes qui vont avec. Sinon, nous refusons la garantie !
Au sortir de la crise ukrainienne, le seul vrai vainqueur sera le bizness USA. Merci, Poutine.
Quinze jours. C’est le temps qu’il aura fallu au gouvernement pour réagir de façon officielle, par une conférence de presse, au rapport de la commission d’enquête du Sénat sur l’affaire des cabinets de conseil, qualifiée par beaucoup de journalistes et de membres de l’opposition de « scandale d’État ». Une réaction gouvernementale que le Sénat n’a par ailleurs pas appréciée : par un communiqué du 30 mars, il indique : « Le Gouvernement continue de minimiser l’influence (avérée) des cabinets de conseil sur les politiques publiques. Pour les ministres, l’appel aux consultants resterait “modéré et justifié”, voire “ponctuel”. » La chambre haute réfute cette version des faits.
Retour sur les réactions chaotiques du gouvernement sur cette affaire
Lors de l’émission « Les Grandes Gueules » sur RMC, le 24 mars dernier, l’on demande à Gabriel Attal si l’affaire McKinsey constitue un scandale d’État. Réponse : « Alors pas du tout. […] Ça fait des décennies que c’est utilisé, dans tous les pays, y compris par des mairies et des régions… Ce qu’il faut, c’est les utiliser avec un cadre et avec parcimonie. Ce qu’il faut, c’est ne pas demander à un cabinet de conseil de faire quelque chose qui est dans les compétences qui sont dans l’État. » Le tout sur un ton parfaitement irrité. Ces questions le dérangent. Il justifie l’utilisation des cabinets « pour aller vite, être les plus agiles possible, pour pouvoir avoir un appui d’experts… » Résultat : l’État macroniste s’est copieusement gavé de consultants.
Bruno Le Maire, de son côté, joue la victime. Invité au micro de Sonia Mabrouk, sur Europe 1, ce mercredi, il affirme, très sérieux : « C’est la preuve de l’immense désarroi des oppositions qui n’ont pas réussi à déstabiliser Emmanuel Macron avec des propositions qui soient convaincantes pour les Français et qui, du coup, montent en épingle des affaires qui n’existent pas. Je rappelle que nous avons engagé des vérifications fiscales sur McKinsey avant le rapport du Sénat. » Peut-être, mais cela fait plus de dix ans que ces cabinets s’agitent dans les coulisses de l’État sans payer l’impôt sur les sociétés, malgré des chiffres d’affaires exorbitants. Par ailleurs, l’argument ne manque pas de sel, venant de celui qui soutint François Fillon avant de le lâcher, justement, parce qu’il était victime de la déstabilisation de ses adversaires.
Moins victimaire mais beaucoup plus grandiloquent, Emmanuel Macron lui-même n’a pas réussi à camoufler sa colère dans les studios de France 3, le 27 mars : « Que quiconque a la preuve qu’il y a une manipulation mette le contrat en cause au pénal ! » Rien que ça ! Il est clair qu’il n’y a rien d’illégal dans cette affaire, encore heureux. Mais ce que l’on reproche au gouvernement est un usage abusif de ces cabinets et un laxisme pour réclamer les impôts. « Il faut être très clair, car on a l’impression qu’il y a des combines : c’est faux ! […] Je ne suis pas persuadé que sous ce quinquennat, il y ait eu moins de contrat que sous certains autres. »
Le mot le plus cocasse, pour défendre le gouvernement face au scandale qui le guette, est à attribuer au ministre Amélie de Montchalin. Elle assure qu’« aucun cabinet de conseil n’a décidé d’aucune réforme » ! Ouf, nous voilà rassurés, ce n’est pas un cabinet américain privé qui dirige en France. Mais ces cabinets ont tout de même soigneusement préparé nombre de décisions. La différence peut être ténue. En plus d’être tardives, les réponses du gouvernement demeurent ainsi insuffisantes et légères pour un sujet extrêmement grave. Et l’argumentation employée est faible quand elle n’est pas hors sujet. Cela commence à faire beaucoup…
En passant cependant, il y a des trajectoires intéressantes. De véritables cas d’école de pourriture démocratique. Robert Ménard est le plus spectaculaire, à son échelle.
Il exige désormais de faire barrage à Zemmour.
Robert Ménard : «Si Marine Le Pen fait des concessions à Zemmour, je ne la soutiendrais pas» https://t.co/lMOTMwvijx
Comment’R : Après ces images on voit réellement où elle se trouve la haine et la violence….. pas du côté de Reconquête ça c’est sûr. Dans un semaine faites le bon choix. Merci à vous et surtout merci pour la France.
Dégaine, méthodes etc… La carricature du "facho" c'est celui qui accuse l'autre de l'êtrehttps://t.co/8zkmPfQLIU
Pourtant, le vote musulman représente sans doute aujourd’hui 5 millions d’électeurs, soit aux alentours de 15 % de l’électorat. Et comme ce vote est homogène, on peut considérer qu’un Français doit pouvoir compter sur le vote de 60 % de Gaulois pour emporter la présidentielle.
C’est dans ce contexte qu’Eric Zemmour, de passage à Aix-en-Province, ce 2 avril, premier jour du ramadan, avait décidé de louer un stade appartenant à Zinedine Zidane, et de faire un petit match de football entre amis.
Est-ce le fait que cela soit le ramadan, ou qu’Eric Zemmour soit juif, ou qu’il n’ait pas un discours islamiquement correct, toujours est-il que les gérants de ce complexe appartenant à Zinedine Zidane, dont son frère, se sont permis de leur demander de quitter le stade, et de mettre fin à la partie.
Question : des arabo-musulmans, en France, peuvent-ils se permettre d’interdire à Eric Zemmour de jouer au football pendant le ramadan ? Il est où le racisme ?
Quelle va être la réaction des journalistes ? Vont-ils s’indigner de cette discrimination, contraire à nos valeurs, ou bien vont-ils à nouveau charger le candidat de Reconquête, l’accusant d’avoir monté une nouvelle provocation ?
Ses adversaires à la présidentielle vont-ils soutenir la famille Zidane, et soutenir le candidat injustement privé de pratiquer un sport qu’il adore ?
N’y a-t-il qu’Emmanuel Macron qui a le droit de jouer au football ?
Question subsidiaire : le ramadan est-il compatible avec une société laïque et démocratique ?
Le mois du ramadan, ce mois satanique du culte des 7 péchés capitaux, est de retour, comme un Tsunami balayant tout sur son passage.Un mois de l’haleine fétide, de la gueule du bois,
de la mauvaise humeur,
de la perte de ses nerfs.
de la chamaillerie pour des broutilles,
de l’explosion de la violence conjugale,
de la flambée des prix,
du obligé de se cacher pour manger,
de l’état de manque de nicotine,
de la boulimie et obsession compulsive alimentairedu à ramasser à la petite cuiller, tellement ils sont comme des légumes pourris,
de la sucrerie en veux-tu en voilà pour nourrir son diabète et son hyper tension,
des agapes nocturnes où ils se goinfrent comme des malades,de l’absentéisme à ne pas en finir.
du tout à l’arrêt.des queues interminables devant les chopes de gâteau au sirop de glucose avec des vendeurs dégoulinant de sueur,de l’huile de friture empestant les rues,
de dormir la journée et se lever 20 minutes avant le coucher du soleil,, une journée de gagné sur l’épreuve de la faim et de la soif,
des bureaux vides et des fonctionnaires somnolents quand ils y sont,du excusez-moi le jeûne m’a « tuer »,
de la surmortalité routière,
de on s’endette pour se nourrir.de 3500 calories dans la soirée,
de la sur affluence dans les urgences,
d’une mauvaise hygiène de vie érigée en dogme religieux,
du ne regarde pas les jolies fille tu annules ton jeûne,
de la persécution de ceux qui bravent ce mois qui n’est pas plus sacré que la pisse de chameau,
de l’attente impatiente de l’appel du muezzin à la rupture du jeûne,
du la tartuferie et du faux-devotisme,Quant à la productivité Allah s’en charge pour la réduire à néant.
Le mois où Thanatos se fait la part belle.11 mois ils sont au régime sec et 30 jours où l’on est plus regardant sur les dépenses grâce au prêt spécial Ramadan sur 1 an.Le plaisir de la chair grasse et hypercalorique est leur vraie religion.
Si l’extrême droite avait gagné, affirme Emmanuel Macron dans une bouffée délirante, on aurait pu être soignés avec de l’hydroxychloroquine. Cela nous aurait épargné la gestion par McKinsey : confinement, vaccination obligatoire sous peine de suspension de travail pour certains, d’interdiction d’être soignés pour d’autres. Nous aurions échappé à l’interdiction de boire au bar assis, debout, dedans, dehors, au port du masque à la plage, à l’école, sans compter les insultes, les attestations signées par soi-même de sortir une heure, les couvre-feux… Les Gilets Jaunes auraient gardé leurs deux yeux. Les « affaires » auraient été jugées au lieu d’être étouffées dans les médias. Et, en plus, on serait sortis de l’Europe !
Au large de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), un parc éolien en mer de 80 éoliennes, à 12 kilomètres des côtes, doit voir le jour, ces prochaines semaines. Expert en politique énergétique, auteur des livres Nucléaire. Les vérités cachées (2021) et Éoliennes. La face noire de la transition écologique (2022) aux Éditions du Rocher, conseiller municipal de Versailles, Fabien Bouglé revient sur cette installation qui constitue, selon lui, « l’événement majeur qui va annoncer la défaite du Président actuel ». Il s’explique au micro de Boulevard Voltaire.
Jean Bexon. Des éoliennes vont être installées en mer au large de Saint-Nazaire. Quel dispositif est prévu ?
Fabien Bouglé. Ces éoliennes sont prévues depuis l’appel d’offres de 2011 lancé à l’initiative de Valérie Pécresse, dont le mari avait obtenu le marché des pales d’éoliennes et des éoliennes. Ce sont les premières éoliennes installées en France, il y a en tout 7 centrales éoliennes entre Saint-Nazaire et Le Tréport. Lors de son discours de Belfort, le président de la République Emmanuel Macron a annoncé vouloir installer 50 centrales éoliennes supplémentaires. Cela représente 4.000 mâts éoliens en mer. Emmanuel Macron veut parsemer le littoral français d’éoliennes marines. Le début de ce chantier, où on va voir les éoliennes au large de Saint-Nazaire et de La Baule une semaine avant les élections présidentielles, sera probablement l’événement majeur qui va annoncer la défaite du président de la République. Ces éoliennes vont lui coûter très cher, politiquement. En effet, un dernier sondage d’OpinionWay pour la SPPEF (Société de protection des paysages et de l’esthétique de la France) mentionne que 70 % des Français souhaitent le démantèlement des éoliennes. Il y a une forte distorsion entre la politique du président de la République et la volonté des Français de voir arrêter cette politique éolienne de pollution, soit sur le littoral soit sur terre.
J.B. Pourquoi vous opposez -vous à ce projet ?
F.B. Je m’oppose à toute éolienne installée, je suis favorable au démantèlement des éoliennes existantes et à l’arrêt définitif de toute éolienne installée. En effet, les éoliennes nous rendent dépendants du gaz, en particulier du gaz russe. Dans un article récent paru dans Les Échos, je précise qu’en raison de l’intermittence des éoliennes, qui ne produisent que 22 % de leur capacité maximale de production, on est obligé de compenser cette intermittence par des centrales back-up au gaz ou au charbon. À Landivisiau, en Bretagne, Total vient d’installer une centrale à gaz et explique, sur les réseaux sociaux, que c’est dans le but de compléter l’intermittence des éoliennes. Plus on installe d’éoliennes, plus on est obligé d’installer des centrales à gaz supplémentaires et le gaz, en Europe, vient de Russie. C’est tout le paradoxe : les éoliennes nous rendent dépendants du gaz russe. On ne peut pas vouloir sauver la planète en développant les énergies fossiles.
J.B. C’est ce qu’il se passe en Allemagne…
F.B. En Allemagne, où le choix a été fait d’arrêter les centrales nucléaires, il y a une explosion des émissions de gaz à effet de serre, en raison des centrales à charbon et au gaz qui complètent les éoliennes. Les Grünen, les ayatollahs verts du gouvernement actuel en Allemagne, sont favorables à l’ouverture des centrales au charbon. C’est un paradoxe incroyable, quand on sait que le bilan carbone d’une centrale nucléaire est de 6 g par kWh produit, alors que celui des centrales au charbon est de 1.000 g par kWh produit. C’est la raison pour laquelle la France est la championne du monde de l’électricité décarbonée. Notre bilan est de 50 g par kWh produit là où l’Allemagne en produit 500 g par kWh produit. Et elle produit 10 fois plus de gaz à effet de serre que la France. Certains, comme Yannick Jadot ou Jean-Luc Mélenchon, voudraient que l’on suive le modèle allemand, un modèle raté, un échec retentissant, alors que la France est un modèle vertueux. C’est un paradoxe incroyable. Aujourd’hui, nous sommes à la croisée des chemins en matière de systèmes énergétiques et le choix de l’éolien est un très mauvais choix réalisé par Emmanuel Macron, puisque dans le discours de Belfort, il voulait coupler le nucléaire avec les éoliennes.
Comment’R :Depuis maintenant plusieurs années l’ensauvagement de nos villes s’accroit et touche de plus en plus de personnes. Voici l’échantillon du jour qui ne représente que quelques cas parmi un océan de méfaits.Cette population de délinquants souvent immigrée et clandestins est parait-il une chance pour la France…. A vérifier.