Éric Zemmour était, ce samedi, à Moissac, dans le Tarn-et-Garonne, où il a été accueilli par Romain Lopez, premier maire RN du Tarn-et-Garonne. Le candidat à la présidentielle a salué le bilan local du jeune maire : un « laboratoire de l’union des droites », dit-il. De son côté, Romain Lopez explique les raisons de son ralliement et reproche à Marine Le Pen un manque d’écoute de ses élus locaux. Reportage sur place.
Jeudi, Emmanuel Macron présentait son programme présidentiel. Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité. Enfin, « absents », pas tout à fait, sachant que si en cas de grève, un service public minimum est malgré tout assuré, il en est malgré tout de même à l’Élysée.
Ainsi, la fameuse « loi contre le séparatisme » devrait encore avoir de beaux jours devant elle ; même si l’on n’en connait pas trop bien le contenu. Mais que l’on se rassure, les mosquées radicales et leurs financements devraient continuer à être surveillés de près, tout comme la formation de nos imams. Voilà des décennies qu’on en parle. Les résultats ? On en parle évidemment moins, et pour cause, tant ceux de cette politique ne sautent pas vraiment aux yeux.
L’immigration ? Il s’agira avant tout de « réduire la lourdeur des procédures pour les demandeurs d’asile. » C’est-à-dire qu’il sera désormais plus facile pour le premier venu de s’installer chez nous comme chez lui ? Ça y ressemble, même si le président-candidat assure que « le refus d’asile fera l’obligation de quitter le territoire français. » Comme toujours, le tout, c’est d’y croire…
Ensuite, la délinquance. Là encore, les grands moyens, avec possibilité de « porter plainte en ligne » et la mise en place de « forces d’action républicaines dans les quartiers », lors des « situations d’insécurité ». Si l’on résume, entre flics et voyous, la peur n’est pas prête de changer de camp.
À y mieux réfléchir, on aurait imaginé Emmanuel Macron plus malin sur ces sujets qui, même si le pouvoir d’achat semble demeurer la principale priorité des Français, font pourtant partie de leurs préoccupations quotidiennes. Ce d’autant plus que si l’on ne saurait véritablement reprocher à un président de ne pas faire disparaître le chômage de masse, pour ne prendre que ce seul exemple emblématique, tant il constitue un vaste problème en forme d’équation à inconnues multiples, il est d’autres dangers sur lesquels il est plus aisé d’agir.
Donner plus de pouvoirs aux policiers et moins de droits aux délinquants tout en construisant de nouvelles prisons ; voilà qui n’est tout de même pas insurpassable et assurerait à l’homme ou la femme politique au pouvoir un sérieux surcroît de popularité si de telles mesures étaient enfin mises en place. De même, renvoyer les immigrés clandestins dans leurs pénates d’origine ne nécessiterait pas non plus « un pognon de dingue », et ferait gagner tout pareil le même regain de popularité.
La question de l’islam politique est certes autrement plus complexe, puisque concernant la foi et les convictions intimes de nombre de nos compatriotes. Mais entre les positions radicales d’un Éric Zemmour et le je m’enfoutisme manifeste d’Emmanuel Macron sur la question, il y a tout de même de la marge et une place pour les indispensables nuances qui s’imposent, telles celles dont Marine Le Pen fait preuve, pour ne citer qu’elle, qui se refuse à « entrer en guerre contre une religion ».
Bref, on voit bien que ce programme présidentiel, visiblement à la va-vite rédigé, n’est pour le candidat sortant qu’une simple formalité dont il paraît s’être vite débarrassé. Tout comme l’élection qui s’annonce en est une autre, dont on sent qu’il voudrait s’acquitter en moins d’un quart d’heure, douche comprise.
Notre homme devrait pourtant savoir que l’excès de confiance en soi n’est pas toujours le meilleur des conseillers.
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47:36 La Corse flambe, les médias détournent le regard Jean-Yves Le Gallou revient pour vous sur les affrontements violents qui opposent manifestants corses et forces de l’ordre et sur le traitement de faveur dont jouissait Franck Elong Abe, l’agresseur d’Yvan Colonna, en prison.
Eric Zemmour vous donne rendez-vous en direct du meeting de Metz pour vous parler de notre Reconquête, une semaine avant le grand rassemblement populaire au Trocadéro du dimanche 27 mars.
Cela fait une quinzaine de jours que la basilique de Koekelberg est la cible d’actes de vandalisme. Les jets de pierre se sont multipliés et ont endommagé le somptueux édifice bruxellois. La directrice des lieux, elle-même visée, dénonce une situation devenue “intenable”. “Dingue ce vandalisme gratuit qui peut blesser ou tuer carrément!”
Selon Martine Motteux-Abeloos, vice-rectrice de l’église, les faits ont été commis par de jeunes adolescents venus en trottinette ou des adultes en voiture. Mardi, une brique est passée à 50 centimètres de sa tête alors qu’elle se trouvait dans son bureau. “Cette situation devient intenable et les collègues commencent à avoir peur sérieusement. Dingue ce vandalisme gratuit qui peut blesser ou tuer carrément. Jamais cru que l’on pourrait craindre pour sa vie dans la Basilique”, déplore-t-elle sur Facebook, en y joignant les photos des dégâts.
“Ces gamins vandales opèrent de jour comme de nuit, nul n’est à l’abri. La sécurité?? Tout ce vandalisme gratuit dépasse largement les possibilités d’intervention de la police. Il faudra bientôt faire appel aux services de sécurité privés”, prolonge-t-elle.
La basilique de Koekelberg fait l’objet d’actes de vandalisme lourd depuis une quinzaine de jours. La directrice générale Martine Motteux-Abeloos en appelle aux autorités publiques. Elle décrit des actes quotidiens menés, soit par des très jeunes adolescents en trottinette, soit par des adultes en voiture noire “qui jettent des pavés par les vitres de leurs véhicules”. Ce petit jeu de très mauvais aloi dure depuis une quinzaine de jours. “Nous avons ramassé 35 pavés, soit 35 carreaux brisés”, déplore-t-elle.
“La première fois, c’était un pavé dans la porte du concièrge. Le lendemain, on a retrouvé des pavés sur la table à manger du réfectoire utilisé par les collaborateurs. Semaine passée, des briques ont été trouvées dans le local de la fabrique d’église et dans un autre loué au Saint Sépulcre… Ce week-end, une vingtaine de carreaux ont été brisés ! Dont celui de mon bureau. D’habitude, ma petite fille vient parfois jouer au milieu du bureau. Si elle avait été là, elle aurait pu être tuée ! Depuis deux semaines, j’appelle la police quasiment tous les jours pour constater les dégâts.”
(…) Les actes de vandalisme sur et autour de la basilique ne sont pas récents : tags obscènes sur la façade, les rodéos urbains et dérapages contrôlés sur l’esplanade, classée, devant la basilique, deals et consommation de drogue derrière les buissons, taillés depuis par Bruxelles Environnement (en charge de la gestion du site, NDLR). Mais ils se sont largement intensifiés ces deux dernières semaines. “Hier encore, ils ont vidé leurs extincteurs du chantier juste à côté (le matériel de chantier du tunnel Annie Cordy est stocké sur le parking de la basilique, NDLR) sur les conteneurs du chantier…”
Comment ‘R : Encore un exemple du rejet de la civilisation européenne par les nouveaux arrivants : cette volonté de faire disparaitre tout ce qui n’est pas de leur culture. Il n’y a plus assimilation mais négation et destruction…. et comme toujours dans l’indifférence générale. Le réveil va être dur pour les européens de souche dans quelques années….mais il sera trop tard ! Toujours le même constat : le nombre a toujours raison….attention le grand “basculement” arrive.
Comment’R : un témoignage poignant à ne pas manquer. C’est toute la culture française qui disparait sous nos yeux sans que personne ne bouge. Les enfants français issus de l’immigration s’en foutent leur avenir ils le conçoivent à la mode islamique. Par contre les enfants de français de souche ont du soucis à se faire…. leur liberté risque bien de disparaitre avec les années à venir…. A eux de comprendre et de se battre pour leur liberté !
Le soleil étincelant, en cette matinée du 20 septembre 2019, donne à cette rentrée un air d’été indien, près du canal Saint-Martin, Paris (Xe). Comme tous les jours, Anna (le prénom a été changé), consultante en communication de 42 ans, vient de déposer sa fille de 3 ans à l’école maternelle. Cette maman solo dynamique, brune aux yeux verts, se hâte jusqu’au jardin Villemin. Elle veut faire un petit saut au compost. Elle passe sous le porche d’entrée du square, rue des Récollets, et se dirige vers le bureau des employés municipaux. Soudain, elle entend une voix l’appeler. C’est son voisin, Abdelaziz A. « Il avait des yeux comme des billes, qui partaient dans tous les sens. Ça m’a glacé le sang. J’ai su qu’il allait se passer quelque chose de grave », se remémore la jeune femme.
Abdelaziz dit à Anna qu’il l’aime. Il veut coucher avec elle. « Je lui dis que j’ai déjà quelqu’un dans ma vie. Et là, c’est parti en vrille. » Selon le récit d’Anna, cet homme de 47 ans se rue sur elle, et l’étrangle avec son bras droit. « Je n’arrivais plus à respirer, mais j’ai réussi à appeler au secours. » Anna sent alors trois impacts sur son flanc gauche. Elle pense à des coups de pied, ou de genou. En réalité, ce sont des coups de couteau. « La suite, c’est très flou », confie la quadragénaire, en ravalant sa salive.
« Si des gens ne l’avaient pas interrompu, il m’aurait tuée »[…]
« Je sais qu’il visait la gorge, pour me finir… »[…]
Il était gentil, cordial.[…]
Six mois avant son agression, Anna est chez elle, lorsqu’elle entend des sirènes de police. Pendant toute la matinée, elle reste bloquée chez elle, comme tous les autres résidents de l’immeuble. Elle apprend qu’une tentative de meurtre vient d’avoir lieu dans le bâtiment. Abdelaziz en est le principal suspect. Mais il a pris la fuite. « Il y avait des traces de sang partout. Tout le périmètre était bloqué. » Elle apprendra plus tard que la victime était la voisine de palier d’Abdelaziz. Cette jeune femme, Sandra, avait contracté un mariage blanc avec le frère du suspect, mais elle voulait divorcer.Elle aussi avait failli succomber à ses blessures à l’arme blanche au thorax, à l’abdomen et au bras.
Entendue par la police quelques jours après les faits, Anna s’était abstenue de dire du mal de son voisin. « C’est dire comme j’étais naïve, soupire-t-elle. Ça m’avait fait complètement stresser. D’autant que je suis seule. Je ne me sentais pas en sécurité. »[…]
« Pourquoi le mot islamisme n’existe pas en arabe ? C’est un artefact sémantique créé pour dédouaner l’islam de sa frange intégriste. C’est un effort qu’on ne consent pour aucune autre religion. » Jean Messiha#ZemmourMobilisationGénérale#FaceABabapic.twitter.com/stqXzxl7lk
Dans la nuit de jeudi à vendredi 11 mars 2021, deux militants du parti Reconquête ont été agressés au couteau, à Montévrain. Il était près d’une heure du matin quand les deux militants ont été pris à partie. Ces deux habitants de la commune, âgés d’une trentaine et d’une cinquantaine d’années, collent alors des affiches d’Eric Zemmour sur les panneaux réglementaires.
Derrière eux, deux mineurs les interpellent. Très vite, l’un d’eux sort un couteau et tente de poignarder l’un des militants qui parvient à esquiver le coup, non sans se blesser en tombant. Le second aura moins de chance, atteint au niveau des côtes.
Les deux victimes parviennent à s’enfuir et se rendent au commissariat où ils sont pris en charge par les pompiers puis conduits à l’hôpital de Jossigny. Rétablis, les deux militants sont toutefois « encore sous le choc ».
Grâce aux caméras de vidéosurveillance, l’un des deux agresseurs est identifié et interpellé chez lui, dès le lendemain matin. Le second également, en fin de journée. Aucun des deux n’appartiendrait à un parti politique. Déférés au tribunal et présentés devant un juge d’instruction, ils ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire.
🔴 Deux militants de @GenerationZ_77 ont été violemment pris à partie par des (anti)fascistes lors d'un collage, à Montévrain. L’un d'eux a reçu un coup de couteau dans le flanc. Ils ont été transportés à l'hôpital. Une plainte contre X a été déposée pour tentative de meurtre.
Deux militants de Reconquête 77, lors d'un collage d'affiches, ont été violemment attaqués et blessés à coups de couteau par des antifas à Montévrain. Ils ont été transportés à l'hôpital de Jossigny pic.twitter.com/N8TUkH9swG
— Reconquête 77 ! Seine et Marne (@Reconquete_77) March 11, 2022
Ce matin, Cyril Hanouna était l’invité de Jean-Marc Morandini dans “Morandini Live” sur CNews. L’animateur de “Face à Baba” a répondu, en exclusivité, aux propos de Patrick Cohen tenus dans “Le Parisien” aujourd’hui. Le journaliste s’en est pris à l’émission politique de C8. “Chez lui, tout est au service du clash, du spectacle et des coups bas. On zappe d’un thème à l’autre sans approfondir, de façon caricaturale (…) On ne se grandit pas toujours sur ses plateaux. C’est compliqué de garder une stature présidentielle en participant à ces jeux du cirque”, a déclaré le chroniqueur de “C à vous” sur France 5.
Alors invité de “Morandini Live” sur CNews, Cyril Hanouna a alors tenu à lui répondre. “Je peux être en désaccord avec Marine Le Pen mais je respecte les gens sur mon plateau. Je ne suis pas un donneur de leçons. Je suis l’anti-Patrick Cohen. C’est un donneur de leçons. Les gens ne veulent plus de ça !”, a-t-il débuté. Et d’ajouter : “Patrick Cohen, il est chez lui. Il est tranquille. Il va tous les soirs poser son cul dans C à vous pour dire deux mots et pour prendre une salaire qui doit être confortable. Il se permet de donner des leçons aux Français : il ne faut pas voter pour untel, il faut voter pour untel”.