Comment ‘R : Toujours aussi documenté et intéressant les “posts” de M. Asselineau.
Dans le contexte du conflit entre l’OTAN et la Russie en Ukraine, 3 pays souhaitent adhérer rapidement à l’Union européenne : l’Ukraine, la Géorgie et la Moldavie. Mais les choses sont bien plus complexes que cela, c’est pourquoi François Asselineau vous propose ici d’éclaircir les 10 projets d’élargissement de l’UE de marnière approfondie, détaillée et sourcée.
—– Erratum 37:58 : Le nom de l’actuelle Macédoine du Nord posait problème pour la Grèce pour le début de la phase 3 (Négociations) et non pour sa demande de candidature (Phase 1).
Erratum 45:20 : En réalité, Maria Callas n’a pas prononcé cette célèbre répartie lors de son mariage avec Aristote Onassis, mais après sa séparation d’avec lui. Elle imputa cette pensée à Jackie Kennedy lorsque l’on apprit que la veuve du président américain assassiné allait se remarier avec le milliardaire grec.
En Roumanie méridionale, notre reporter Geoffroy Antoine est allé à la rencontre des 500 soldats français déployés sur une base militaire de l’OTAN.
Dans un contexte géopolitique très tendu, cette mobilisation militaire a pour objectif de rassurer les populations locales et de témoigner de la capacité de déploiement des armées françaises.
Nous nous sommes fait scandaleusement agressés ce jour à Vedène…… Insultes, agressions physiques, notre Marc qui s'est pris un coup par derrière une honte ! pic.twitter.com/roxoSLgN58
Soutien aux militants RN du Vaucluse agressés à Vedène. Nous subissons déjà une présidentielle étouffée, sans débat. Elle est maintenant pourrie par des violences visant plusieurs candidats et leurs militants : @GDarmanin doit agir pour que la campagne se termine sereinement. https://t.co/zNWYP6aIBN
Les éditions Perrin viennent de publier un ouvrage intitulé « Algérie, le piège gaulliste » signé Henri-Christian Giraud, ancien rédacteur en chef au Figaro Magazine.
Un ouvrage édifiant, et éclairant sur De Gaulle et sur sa gestion de la guerre d’Algérie.
Pour évoquer l’ouvrage, nous avons interrogé Henri-Christian Giraud.
Breizh-info.com : pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?
Henri-Christian Giraud : Journaliste, ancien rédacteur en chef du Figaro Magazine, adjoint de Louis Pauwels, je collabore régulièrement au Figaro Histoire. Je suis l’auteur d’un certain nombre de livres à caractère historique dont : « De Gaulle et les communistes » (Albin Michel 1988 et 1989, et Perrin 2020, réédition revue et augmentée), « L’Accord secret de Baden-Baden » et « Une histoire de la révolution hongroise » (aux Editions du Rocher). Né en Algérie en 1944 et petit-fils du général Giraud, le rival de De Gaulle pendant la guerre, j’ai naturellement un regard distancié tant sur l’œuvre gaulliste que sur le personnage historique. La guerre d’Algérie que j’ai vécue adolescent, m’a profondément marqué et je me suis toujours posé la question suivante : le traitement gaulliste de l’affaire algérienne devait-il fatalement se terminer tragiquement ? C’est à cette question que mon livre tente de répondre.
Breizh-info.com : Vous allez à contre-courant de la doxa actuelle en évoquant notamment le fait que le général de Gaulle savait parfaitement où il voulait aboutir, c’est-à-dire à l’indépendance de l’Algérie. Pourquoi cela ne fait-il pas consensus chez les historiens ?
Henri-Christian Giraud : Parce qu’ils ignorent ou écartent certains faits qui, à mes yeux, confirment que de Gaulle voyait en réalité plus loin que l’indépendance qui n’était pour lui que le moyen et le paravent -gratifiant car dans l’air du temps -, pour un dégagement sans retenue. Ce qui, par-delà l’incontestable aboutissement du projet gaulliste, explique la tragédie humaine finale : la néantisation des pieds noirs et des harkis, dont même les gaullistes les plus fervents ont encore aujourd’hui moralement du mal à concevoir la nécessité. C’est qu’ils ne voient pas – ou ne veulent pas voir – la raison gaulliste des massacres, or il y a bien une raison gaulliste des massacres : « Je ne suis bien que dans la tragédie », disait de Gaulle pour lequel, contrairement à Camus, la tragédie est une solution. Ou pour être plus précis : la solution passe par la tragédie. Concrètement, cela s’est traduit pour de Gaulle par un renversement des alliances au profit du seul FLN et par la désignation d’un ennemi commun : le camp pro-Algérie française.
Breizh-info.com : De Gaulle a-t-il finalement menti à tout le monde ?
Henri-Christian Giraud : De Gaulle disait à chacun ce que chacun voulait entendre. « Il y avait autant de De Gaulle que de catégories d’interlocuteurs », a écrit Peyrefitte, bien placé pour le savoir. Raymond Aron est encore plus dur : « Dans cette affaire algérienne, de Gaulle a menti à tout le monde, mais (…) sans ses mensonges, il n’aurait pas pu faire la paix en Algérie. » Aron ne se contente pas de constater l’apocalypse finale mais, à travers le mensonge, en pointe la cause : la solution par la tragédie. Reste à savoir ce que vaut une paix fondée sur le mensonge. Car l’histoire écrite par de Gaulle ne s’est pas arrêtée et, bien au contraire, a poursuivi son chemin dans la voix tracée par ses soins, affectant à divers niveaux l’unité politique du peuple français. D’où l’origine d’un malaise qui ne passe pas.
Henri-Christian Giraud : Pour des raisons financières, car l’Algérie était coûteuse (l’exploitation du pétrole n’en était qu’à ses débuts) et pour éviter à la France, ce qui était louable, une algérianisation progressive de son territoire et de ses mœurs, mais le traitement gaulliste de l’affaire algérienne a finalement abouti à son exact contraire, car l’immigration a été rendue effective par les Accords d’Evian et, très précisément, par l’article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties : « Sauf décision de justice, tout Algérien muni d’une carte d’identité est libre de circuler entre l’Algérie et la France » et par l’article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière, selon lequel tout Algérien a, à tout moment, la possibilité de venir résider en France et d’y bénéficier des avantages sociaux. C’est sous la présidence de De Gaulle entre 1962 et 1969 que l’immigration a plus que doublé (or elle avait déjà doublé entre 1954 et 1962) et pris son essor pour ne plus s’arrêter en raison notamment des politiques de ses successeurs.
Breizh-info.com : Vous avez eu accès à des archives inédites ?
Henri-Christian Giraud : Pour certaines, curieusement non exploitées comme les mémoires d’Alfred Sauvy et celles du commandant Vincent Monteil un arabisant distingué converti à l’Islam et auteur d’une note d’information qui a conduit de Gaulle à proposer dans sa conférence du 30 juin 1955 « l’intégration de l’Algérie dans une communauté plus large que la France » donc dans une ensemble fédéral. Phrase passée totalement inaperçue à l’époque. Aucun grand quotidien, ni le Monde, ni le Figaro, ni l’Humanité ne la mentionne. Quant aux archives inédites elles sont tirées du journal de Vinogradov, l’ambassadeur soviétique à Paris, à qui Gaston Palewski, le missi dominici de De Gaulle auprès du Kremlin depuis toujours (novembre 1940), annonce le 10 octobre 1956, trois semaines avant l’expédition de Suez, l’arrivée imminente de De Gaulle au pouvoir et son intention de négocier immédiatement avec les représentants du FLN. Ce faisant, de Gaulle renverse le triptyque de Guy Mollet : « cessez-le-feu, élections, négociations », et privilégie un processus politique plus en accord avec les exigences dudit FLN.
Lorsqu’il affirme qu’il ne se sent bien que dans la tragédie, de Gaulle satisfait-il un besoin intime ?
Nul doute qu’il agit à la fois par calcul et par tempérament. De Gaulle se voit en guerrier de la politique.
Breizh-info.com : Comment expliquez-vous que le récit de la guerre d’Algérie soit si partisan, si idéologisé, si repentant aussi ?
Henri-Christian Giraud : Pour arriver à ses fins, de Gaulle a dû convertir la victoire en défaite. Résultat : le 9 mars 1961, il accepte que le cessez-le-feu ne soit pas un préalable pour l’ouverture de négociations ; le 6 avril, il accepte que le FLN soit l’interlocuteur unique et le représentant exclusif du peuple algérien; le 5 septembre, il reconnaît la souveraineté algérienne sur le Sahara ; le 18 février 1962, il abandonne le sort des populations européenne et musulmane à la discrétion du FLN. La négociation a tourné ainsi à l’habillage diplomatique d’un abandon pur et simple et le 19 mars, c’est la France qui vient à Canossa, avec tout ce que cela veut dire d’humiliation à venir. On n’en est pas sorti avec un président qui a taxé la colonisation française de « crime contre l’humanité », bouclant ainsi à sa façon la boucle gaulliste. Et la France vaincue, enchaînée à sa défaite, n’en finit pas de la payer. Le piège gaulliste est devenu une machine infernale.
La chasse aux collabos est lancée. Le Monde a dressé les premières listes, le 16 mars dernier. Un travail de salubrité publique car l’heure est grave. Si « RT et Sputnik ont été interdits », un « îlot prorusse » subsiste « dans certains supports ou émissions très à droite », nous révèle l’enquêtrice.
Heureusement, une presse vertueuse nous donne les noms de cette cinquième colonne qui désinforme à tout va : Valeurs actuelles, André Bercoff sur Sud Radio, Pascal Praud sur CNews. Mais aussi « des médias de niche » qui « prennent encore moins de gants » : TV Libertés ou encore Livre noir.
La journaliste ne se contente cependant pas de dresser des listes, elle nous révèle les vraies causes du mal grâce à un spécialiste : « Ces gens sont obsédés par les États-Unis, l’OTAN et nourrissent une forme de détestation vis-à-vis de tout ce qui vient d’outre-Atlantique », analyse Jean-Yves Camus, spécialiste de l’extrême droite.
S’interroger sur la politique américaine et le rôle de l’OTAN relève donc du pathologique, de l’« obsession ». À ce titre, il aurait donc fallu enfermer le général de Gaulle dont Alain Peyrefitte rapportait, dans C’était de Gaulle, les propos suivants : « Nous pouvons vivre comme un satellite, comme un instrument, comme un prolongement de l’Amérique. Il y a une école qui ne rêve que de ça. » Et il ajoutait : « La presse est aux basques des Américains. […] S’abaisser, s’effacer, s’humilier, courber l’échine, voilà l’idéal. Abandonner sa défense, donner son économie, adopter la politique étrangère des autres, ça, c’est beau ; ça, c’est irréprochable. »
On suggérera néanmoins au Monde et à sa journaliste d’aller plus loin dans leur enquête, car il semblerait que les terribles réseaux de désinformation poutiniens aient franchi l’Atlantique depuis plusieurs années.
Par exemple, le Washington Post, dès 2014, donnait la parole à Henri Kissinger dont les propos, rétrospectivement, paraissent des plus suspects. Loin d’encourager à une guerre totale contre les Russes, malgré l’annexion de la Crimée, l’ancien secrétaire d’État, adepte de la realpolitik, réclamait une prise en compte des enjeux de chaque partie au conflit, sans quoi la conséquence serait « une guerre civile ou l’éclatement du pays ». Il fallait donc, d’après lui, sortir du schéma de confrontation Est-Ouest. Raison pour laquelle il considérait que l’Ukraine ne devait pas adhérer à l’OTAN et que les dirigeants ukrainiens devaient travailler à une « politique de réconciliation entre les différentes parties de leur pays ». Kissinger concluait en indiquant : « Le critère n’est pas la satisfaction absolue, mais une insatisfaction équilibrée. Si une solution fondée sur ces éléments ou des éléments comparables n’est pas trouvée, la dérive vers la confrontation s’accélérera. »
Des propos défaitistes à n’en pas douter, nous dirait la journaliste du Monde.
Autre exemple, plus récent, avec encore le Washington Post qui doit être financé par le Kremlin ! Le 23 décembre dernier, le journal ouvrait, en effet, ses colonnes à deux universitaires, Joshua Shifrinson et Stephen Wertheim, qui écrivaient : « En soutenant la possibilité d’un alignement étroit de l’Ukraine sur l’Occident, les actions américaines exacerbent les inquiétudes qui ont déclenché les incursions condamnables, mais prévisibles, de la Russie. » Selon eux, « les États-Unis devraient stopper la dérive expansionniste de leurs politiques d’après-guerre froide ».
De la pure propagande poutinienne que l’on retrouvait également dans Time Magazine, le 25 janvier dernier ! Le chercheur Anatol Lieven déclarait que dès les années 90, bien avant Poutine, les responsables russes, « y compris des réformistes libéraux », avertissaient « qu’une offre d’adhésion à l’OTAN, à la Géorgie et à l’Ukraine entraînerait une confrontation avec l’Occident et un grave danger de guerre ». Il ajoutait qu’il n’y avait rien « de mystérieux, d’extrême ou de poutiniste dans cette attitude russe » dans la mesure où les États-Unis rejetaient également, au nom de la doctrine Monroe, toute idée de présence d’une alliance militaire hostile à leurs frontières ou dans leur étranger proche.
Devant cette déferlante prorusse, on se félicitera que le journal Le Monde contribue, avec ses listes de suspects, à ressusciter en quelque sorte le maccarthysme.
Comment’R : malgré mon ironie, ne vous y trompez pas, cela ne m’amuse pas du tout. Simplement j’en ai un peu assez que l’on me fasse prendre des vessies pour des lanternes. Les occidentaux ne devraient pas jouer avec le feu… surtout si ce feu est nucléaire. Alors s’il vous plait trouvez rapidement un terrain d’ententeavec la Russie.
Tir de missiles hypersoniques. Un message clair aux Occidentaux.
Cela fait un moment que j’attendais que Poutine nous fasse une démonstration en situation réelle, voilà qui est fait. Une arme invincible que ne possèdent pas encore les Occidentaux.
Mais il parait que les Russes font la guerre avec des rossignols datant de l’ère soviétique, que les généraux sont en retard de deux guerres, que les soldats appellent leur mère en pleurs, qu’ils crèvent de faim parce que les rations de combat ne suivent pas, que les chars sont bloqués faute de carburant, que les pilotes visent toujours à côté des cibles et que Poutine est aux abois, ne sachant comment se tirer de ce guêpier !
Et tout cela dans la presse officielle la plus « sérieuse » qui soit. Sidérant. J’ai vu et lu pas mal de conneries au cours de mes 25 ans de carrière militaire, puis au cours de mes 15 ans de carrière civile à travers le monde, mais je dois dire que les délires actuels de la presse et des analystes dépassent l’entendement.
Ou bien ils le font exprès, ou bien l’Occident est devenu un ramassis de débiles profonds.
En détruisant un entrepôt souterrain de missiles et de munitions avec des missiles hypersoniques, Poutine a décidé ce matin de siffler la fin de la récré et d’envoyer un signal fort et menaçant aux Occidentaux irresponsables, qui continuent de jouer avec le feu en armant l’Ukraine.
Le jour du déclenchement des opérations, Poutine avait déclaré : « Ceux qui tenteraient d’interférer avec nous doivent savoir que la réponse de la Russie sera immédiate et conduira à des conséquencesque vous n’avez encore jamais connues« .
La presse y a vu une menace nucléaire, mais en fait, Poutine se référait aux armes conventionnelles de dernière génération, que les Américains ne possèdent pas encore, mais que détiennent déjà les Chinois et les Russes : les missiles hypersoniques, capables de voler de 5 000 à 25 000 km/h.
L’arme nucléaire, le monde connaît déjà, hélas, depuis Hiroshima et Nagasaki. Et Poutine, qui est loin d’être le fou furieux que la presse occidentale nous vend, sait très bien où mènerait un conflit nucléaire avec des armes 100 ou 200 fois plus puissantes que celle d’Hiroshima. Cela reste une arme de dissuasion appelée à ne jamais servir.
Le fou furieux ce serait plutôt l’hystérique et sénile Joe Biden, qui se permet d’insulter le président de la première puissance nucléaire du monde, lequel possède en outre les armes les plus redoutables du moment, capables de porter des charges nucléaires ou conventionnelles.
Avec les missiles hypersoniques, c’est un virage technologique majeur qui s’opère dans la guerre conventionnelle. Et c’est la première fois que cette arme invincible, grâce à son hyper-vélocité et à sa manœuvrabilité, est utilisée sur un théâtre de guerre.
Cela donne à la Russie une écrasante supériorité technologique sur les États-Unis. C’est le message que vient d’envoyer Poutine aux va-t-en-guerre occidentaux.
Pour l’instant, l’Amérique en est encore au stade de l’échec.
Une salve de missiles hypersoniques russes lancée sur les 11 porte-avions américains coulerait 90 % de la flotte, voire la totalité.
Pour la première fois depuis 1957, date de la mise sur orbite de Sputnik 1, exploit soviétique qui avait tétanisé l’Amérique, le Pentagone sait qu’il est à nouveau en position d’infériorité face aux Russes. Une situation insupportable pour la superpuissance qui entend dominer le monde.
Eh oui, la Russie de Poutine n’est pas la petite Serbie que l’Otan a lâchement écrasée en 1999, en l’accusant à tort d’un génocide au Kosovo.
C’est là la principale raison de la non-intervention des Américains sur le terrain. Poutine peut couler la VIe flotte US en quelques minutes, sans besoin d’exercer un quelconque chantage au nucléaire.
On comprend que Biden enrage et perde les pédales, au point de traiter Poutine de « criminel de guerre », alors que l’Amérique a semé la terreur partout depuis 1945.
Quand les Américains forment et arment les Ukrainiens pour massacrer les populations pro-russes du Donbass, conflit qui a fait 13 000 morts en huit ans, qui sont les criminels de guerre ?
Et que penser des laboratoires biologiques en Ukraine, financés par les Américains à des fins militaires ?
Toute la presse occidentale dément, évidemment, comme elle a nié la réalité de la colossale fraude électorale qui a porté Biden au pouvoir, en volant 8 millions de voix à Trump.
Quand tous les juges d’Amérique, y compris ceux de la Cour Suprême, refusent d’instruire les dizaines de milliers de plaintes et d’examiner les témoignages présentés, il est évident qu’il n’y a plus de preuve possible. Ce fut le plus ignoble scandale démocratique de tous les temps.
En conclusion, quand l’Amérique prise en défaut dément, c’est que c’est vrai.
Et quand elle affirme et accuse, c’est que c’est faux. Comme on l’a vu avec les armes de destruction massive en Irak, pure invention pour justifier une guerre qui a disloqué tout le Moyen-Orient.
L’Amérique est le pays du mensonge et de la désinformation à l’échelle mondiale, pour parvenir à ses fins : continuer de dominer le monde.
Mais l’âge d’or de la puissance américaine touche à sa fin. Un nouvel ordre mondial se met en place, signant la fin d’un Occident moralement décadent, qui a perdu son âme et son identité en sacrifiant tout au roi dollar.
Pourquoi rester dans l’Otan quand l’Amérique n’a qu’une obsession, détruire notre outil industriel militaire et nous voler nos contrats d’armement ?
Et on appelle ça un allié !
Je ne répéterai jamais assez que les Américains sont les principaux responsables de la guerre, pour avoir trahi leur parole et acculé l’ours russe à se défendre d’un encerclement mortel.
Une voiture a foncé dans la foule lors d’un carnaval en Belgique.
Belgique : six morts après qu’une voiture a foncé sur une foule se rassemblant pour participer à un carnaval ce matin à La Louvière #AFPpic.twitter.com/0Dt8DP47NE
C’est en tout cas quelque chose de devenu assez banal aujourd’hui….
Le réflexe des gens dans nos sociétés multiculturelles d’Europe de l’Ouest, c’est de se dire que c’est un musulman de la paix qui est à l’origine de l’attentat.
C’est le genre de réflexes qui devient naturel, une fois enrichi par la présence de l’islam dans n’importe quel pays.
La présence de l’islam va de paire avec la présence de musulmans, pour information.
C’est peut-être autre chose, on le saura très bientôt.
Il n’en reste pas moins que la Belgique est submergée de mahométans haineux et que Bruxelles est devenu un repère d ‘islamistes, peu importe qui était dans cette voiture. C’est la chose principale à retenir suite à cette affaire.
Le président français Emmanuel Macron a-t-il bénéficié, lors de son accession au pouvoir, du soutien discret d’un certain nombre d’oligarques algériens historiquement liés au régime du défunt Abdelaziz Bouteflika ou aux gros bonnets de l’armée ?
C’est cette piste qu’explorent Yanis Mhamdi et Jean-Baptiste Rivoire, du tout média vidéo spécialisé dans l’enquête, Off Investigation. Ils viennent de publier sur la chaîne YouTube et le site Internet de Off un documentaire passionnant que nous vous invitons à prendre le temps de regarder.
«Ce que je crois, c’est que si nous continuons sur cette courbe, en 2060, le peuple historique, les natifs, seront minoritaires sur le sol français, nous pourrions avoir une France africaine» affirme Marion Maréchal dans #LeGrandRDVpic.twitter.com/AyaBncMJdf
« Les Français s’inquiètent autant de la fin du mois que de la fin de la France. On estime que l’immigration coûte 40 milliards d’euros par an. Décorréler la question du pouvoir d’achat de la question migratoire est absurde. » @MarionMarechal#VoteCachépic.twitter.com/eYb5nL6LKQ