Yvan Colonna, le tueur du préfet Erignac en 1998, est tombé dans un coma profond suite à une agression acharnée par un de ses co-détenus de la prison d’Arles. Retour sur les dessous d’une affaire dont vous n’avez pas entendu tous les détails dans la presse française.
Ukraine : la vérité première victime de la guerre
Les médias occidentaux relaient la propagande de guerre ukrainienne sans y apporter contradiction ou vérification. Jean-Yves Le Gallou vous réinforme sur le conflit sur 4 sujets majeurs de cette semaine : le témoignage d’Anne-Laure Bonnel, la visite du premier ministre israélien à Poutine, les laboratoires biochimiques américains en Ukraine et l’arrivée de réfugiés “ukrainiens” en France.
Macron : théâtre et magouilles
Emmanuel est candidat à l’élection présidentielle. Il refuse de débattre avec ses pairs et dit préférer le dialogue direct avec les français. Jean-Yves Le Gallou revient sur le dialogue télévisé bidonné de Poissy et sur les casseroles que traîne le président sortant, pourtant toujours choyé par la caste médiatique.
Une guerre peut en cacher tout plein d’autres. Il y a la guerre, la vraie, bien sale, qui fait rage en Ukraine et qui ne fait pas sourire du tout. Et puis, il y a celles qui en découlent plus ou moins directement ou indirectement, qui feront sans doute plus de cocus que de morts et qui peuvent prêter à rire.
Ainsi, sur le front des économies d’énergie, on est en train d’expliquer qu’il va peut-être falloir penser à baisser un peu le chauffage, rouler moins vite ou faire du vélo. Ce mardi matin, sur RTL, une dame expliquait doctement que réduire la vitesse de 10 km/h sur l’autoroute permettrait de se libérer de la dépendance du pétrole russe. Un acte de solidarité, en quelque sorte, avec le peuple ukrainien, tout en faisant des économies (ou, tout du moins, en essayant d’atténuer la hausse du prix des carburants) et en sauvant la planète. Mettre un pull de plus dans son appart’ ou ne plus s’y promener à poil, c’est un peu comme si l’on revêtait un gilet pare-balles et qu’on se coiffait d’un casque lourd. Il est vrai que la France a acquis un solide savoir-faire en matière de résistance depuis la dernière guerre (celle du Covid) et qu’elle a découvert que l’on pouvait lutter contre le virus en restant avachi sur son canapé et calfeutré dans son petit chez-soi.
Cette guerre loin de chez nous est aussi l’occasion de se remettre en cause. De remettre en question ce modèle de société où chacun veut son chez-soi à lui, son pavillon, son petit jardin et sa petite bagnole. En cela, Mme Wargon était précurseur lorsqu’elle déclarait que la maison individuelle était « un non-sens écologique, économique et social ». Elle avait d’ailleurs fait un tabac !
Dans la même veine, Jean-Sébastien Catier, président de l’association Paris en selle, tweetait, il y deux jours : « Quand on parle du prix de l’essence, rappelons qu’on n’a jamais obligé personne à habiter en grande banlieue ou à la campagne. Avoir un jardin et plus d’espace, c’est bien, mais ne pas en rejeter les conséquences sur les autres, c’est mieux. » C’est vrai, ça, c’est quand même mieux d’habiter un appartement hausmannien en plein cœur de Paris que dans une zone pavillonnaire loin de tout. Inutile de dire que cette déclaration a déclenché une bataille dans les tranchées de Twitter. Le président de Paris en selle a, depuis, rétropédalé en retirant son tweet et a publié son mea culpa : « Hier soir, j’ai fait un tweet. Mal foutu, et bien trop court pour exprimer clairement le fond de ma pensée. Il a suscité énormément de réactions [Tu m’étonnes !], d’insultes et quelques échanges. Je le supprime donc et m’excuse auprès de ceux que ça a choqué. »
Hier soir j'ai fait un tweet. Mal foutu, et bien trop court pour exprimer clairement le fond de ma pensée. Il a suscité énormément de réactions, d'insultes, et quelques échanges. Je supprime donc et m'excuse auprès de ceux que ça a choqué.
Déjà, c’est bien de reconnaître qu’on a peut-être un peu merdé sur les bords. Ce n’est pas donné à tout le monde. Cela dit, ces excuses ne sont pas sans nous rappeler la déclaration de Gilles Le Gendre, en décembre 2018, qui expliquait doctement qu’une erreur avait été faite par le gouvernement et la majorité : celle « d’avoir probablement été trop intelligent, trop subtil, trop technique dans les mesures de pouvoir d’achat ». On n’avait retenu que le « trop intelligent » et « trop subtil ». Depuis, les Français ont oublié.
Mais pour revenir à ce tweet malheureux, et notamment à sa première phrase, c’est vrai, ça : on n’a jamais obligé personne à habiter en grande banlieue ou à la campagne. D’ailleurs, il y a tout plein de choses, dans la vie, qu’on n’est pas obligé de faire. Le seul problème, c’est que la plupart du temps, on n’a pas le choix.
Les petits drapeaux ukrainiens dans les bios Twitter et Facebook vont avoir un prix.
Bruno Le Maire avertit les paysans que l’économie française déjà moribonde depuis la pandémie de Grippe19 […] est condamnée à la dépression suite au Great Reset énergétique lié aux sanctions antirusses.
C’est une comparaison faite pour intoxiquer la plèbe.
En 1973, les pays arabes avaient artificiellement augmenté les prix du pétrole pour sanctionner l’Occident pour son soutien à la colonie juive israélienne.
En 2022, c’est l’Occident qui suspend artificiellement ses approvisionnements en gaz et en pétrole russes dans l’espoir d’étouffer économiquement la Russie, sur ordre des financiers […] new yorkais.
D’abord avec la suspension de NordStream 2, puis ensuite avec son soutien au gouvernement […] ukrainien par où passent un certain nombre de gazoducs.
La comparaison que fait Bruno Le Maire vise à accuser la Russie d’avoir déclenché la cataclysme économique qui arrive pour détourner l’attention des sanctions fomentées par Les US pour détruire l’alliance énergétique euro-russe.
Les paysans savourent déjà les timides débuts du véritable Great Reset.
Premier point, le monde en général et l’Europe en particulier sont en train de rentrer dans une période de pénurie énergétique globale et durable. L’Allemagne en particulier est dans une situation impossible après avoir fermé toutes ses centrales nucléaires au moment où il aurait fallu en bâtir d’autres.
Deuxième point, la zone Euro a un énorme déficit énergétique avec la Russie qui lui vend du gaz, du pétrole et du charbon, facturés au moins en partie en Euro, ce qui est une bonne nouvelle pour la zone euro.
Comme la Russie a des comptes courants excédentaires avec la zone Euro, elle se retrouve donc avec trop d’euros, qu’elle investissait en obligations allemandes et françaises, ce qui est la façon normale de procéder entre un client et son fournisseur de matières premières. Dans le fond, la Russie nous faisait crédit et donc nous permettait de vivre au-dessus des moyens, ce qui était bien aimable de sa part.
Mais la décision a été prise (par qui ? et pourquoi ?) de geler ces réserves de changes qui constituaient environ un quart des réserves de change russes.
Nous venons donc de dire à la Russie : Allez-vous faire voir, nous n’avons que faire de votre crédit ! Ce qui est bien stupide quand on a besoin de pétrole pour faire tourner son économie et qu’il n’y en a pas ailleurs.
Dans la pratique, qu’est que cela veut dire ? La Russie ne peut plus tirer sur ses réserves en cas de besoin, ce qui est bien sûr le but recherché.
Mais, comme l’Europe ne peut survivre sans acheter de l’énergie en Russie, la question qui ne va pas manquer de se poser est la suivante : dans quelle monnaie les Russes vont-ils demander à être payés ?
En Dollar ? Pour se les faire piquer par les américains ?
En Euro ? Comme le précisent les contrats, mais pour les déposer où et dans quelle banque ?
En Or ? Mais la Bundesbank va écumer si on la force à vendre son or au profit du reste de la zone euro.
En Yuan ? Mais la Chine est tres excédentaire vis-à-vis de l’Europe, et nous n’avons pas beaucoup de yuans dans nos réserves de change.
En Rouble ? Mais personne n’a des Roubles dans ses réserves de change. Et je ne vois pas Poutine ouvrir une ligne de crédit aux pays européens qui viennent de lui voler ses réserves de change.
Et donc, nous nous trouvons dans une situation complètement ubuesque : Les Européens ont besoin de l’énergie russe, ceux-ci sont prêts à leur en fournir, mais on ne sait pas comment solder la transaction.
Et du coup, nous nous retrouvons avec d’un côté du pétrole Russe que personne ne peut acheter et de l’autre une pénurie de pétrole ou de gaz qui fait monter les prix de façon gigantesque.
Et bravo encore une fois aux génies qui nous gouvernent. Il est difficile de se tirer une balle dans le pied avec plus de précision.
Je connais déjà la réponse, le capitalisme restant le capitalisme : une grande société de trading Japonaise ou Singapourienne va acheter la production Russe et la revendre à l’Allemagne, la France ou l’Italie (en prenant une marge, bien sûr) mais rien ne garantit que la Russie va accepter le paiement en Euro. Elle va peut-être exiger d’être payée en Yen ou en dollar de Singapour, ce qui financera les déficits budgétaires Japonais ou Singapouriens, ce qui ne va pas nous aider à financer les nôtres.
Élargissons le débat et essayons de réfléchir à ce que cela veut dire pour le financement du commerce international.
Comment ce dernier se finançait -il ?
Facile. Tous les produits internationaux (énergie transport, matières premières industrielles ou alimentaires etc…) étaient étiquetés en dollar US, ou parfois en Euro dans le cas du commerce Euro-Russe.
Les pays consommateurs de ces biens ou services payaient en dollar, ce qui voulait dire qu’ils avaient des réserves de change en dollar, et ces réserves étaient investies en obligations du trésor américain.
Ce qui fait que les producteurs avaient eux aussi des réserves de change en dollar, souvent pour acheter les autres matières premières et voilà qui finançait le déficit budgétaire américain et constituait ce que Rueff avait appelé « le privilège impérial des Etats-Unis ».
Mais si les USA et les Européens décident de vous piquer vos réserves de change quand il leur semble bon, alors là, tout change.
Le pays producteur de matières premières n’a plus de raison de vendre en dollar et de conserver des réserves de change en dollar puisque ses réserves peuvent être volées à tout moment si son gouvernement venait à déplaire aux USA.
Quant au pays consommateur de matières premières avoir des dollars en réserve ne veut plus du tout dire qu’il aura accès aux matières premières dont il a besoin surtout s’il venait lui aussi à se fâcher avec les USA.
Et, à mon avis, les USA vont avoir tendance à se fâcher avec tous les pays auxquels ils doivent beaucoup d’argent, se fâcher coûtant moins cher que de rembourser sa dette.
Les réserves en dollar ou en euro déposées auprès des banques centrales des USA ou de l’Europe sont donc devenues un investissement sur lequel je peux tirer, à condition que mon débiteur soit d’accord, ce qui est inattendu.
Ce qui m’amène à une conclusion stupéfiante :
Avec la Crise Russo-Ukrainienne , le système des paiements internationaux qui existait depuis 1945 vient de voler en éclats, puisque les réserves de change ne servent plus à rien.
Et donc, les USA et l’Europe viennent de détruire le mécanisme qui leur permettait de vivre au-dessus de leurs moyens, ce qui veut dire que leur niveau de vie va baisser à partir de maintenant.
Il faut encore préciser que l’économie française covidiste est une économie dirigée taxée à 60% où les bars, restaurants et cinémas sont remplis par l’Etat grâce à des centaines de milliards d’euros imprimés à partir de rien qui s’ajoutent à des milliers de milliards d’euros imprimés à partir de rien.
La bonne nouvelle, c’est que d’ici 2030, il y aura 21 millions de boomers inactifs à nourrir en France contre 17 millions actuellement.
Sans parler des 17 millions d’allogènes établis en France.
Quand Le Maire parlait de « détruire l’économie russe », il parlait en fait de l’économie française. Le Maire restera certainement comme le ministre de l’économie français qui a réussi à détruire la France en moins de trois ans.
La Russie passera en économie de guerre, la France passera aux émeutes raciales une fois la CAF plantée par sa politique antirusse.
Donc les gueux devraient soutenir à fond la guerre en Ukraine au vu du prix du billet qu’ils ont payé pour participer au spectacle.
[…]
Pour les nantis et manipulateurs en tout genre, Ces gens n’auront pas froid l’hiver et leurs jets privés continueront de voler librement.
Aujourd’hui, comme hier et demain, les pays occidentaux verseront 700 millions de dollars à la machine de guerre russe. Le temps est venu de mettre fin aux importations d’hydrocarbures russes. Nous ne ferons pas la guerre, mais nous pouvons arrêter de financer celle de Poutine.
J’ai hâte de voir la rhétorique antirusse des zombies lobotomisés par BFM Drahi se heurter de plein fouet à leur fin de mois.
Cela va arriver très vite.
Et c’est avant que la dette souveraine française ne s’effondre sur elle-même, faute d’acheteurs.
L’économie européenne est virtuellement anéantie et l’économie française est vouée à la destruction finale après 20 ans de désindustrialisation générale.
Mais oui, les ahuris ont des drapeaux ukrainiens dans leur bio Twitter pour bien montrer à Poutine qu’ils n’ont pas peur de lui.
Notez bien ceux qui ont refusé de suivre bêtement les analyses distillées par les intérêts de l’OTAN dans cette guerre, parce qu’ils auront été les rares à annoncer le désastre succédant à celui du covidisme.
Macron à 33,5 % ? Le pire serait de baisser les bras.
On peut dire qu’Emmanuel Macron est le grand gagnant de cette guerre en Ukraine, du moins dans les sondages, où sa cote ne cesse de monter.
Une aubaine, qui lui permet d’éviter tout débat sur son bilan calamiteux, le pire de la Ve République, puisque nous sommes ruinés et que la France est passée en cinq ans du 5e au 7e rang mondial.
600 milliards de dettes supplémentaires. Ce qui représente la bagatelle de 328 millions de dette par jour ! Macron a dilapidé les caisses, ruiné la France pour plusieurs décennies.
Les seuls intérêts coûtent 40 milliards par an, soit 200 milliards sur un quinquennat. C’est davantage que la croissance moyenne de 1 à 1,5% par an. C’est criminel.
Chaque famille de 4 personnes est dorénavant endettée de 180 000 euros et Macron ose nous dire que le pouvoir d’achat a augmenté ! Mais il pourra invoquer les Gilets jaunes, le Covid et la guerre pour se dédouaner.
Macron n’est ni coupable ni responsable du désastre.
Encore un quinquennat et nous finirons au rang du Zimbabwe, ce qui n’aurait rien d’étonnant si Bruno Le Maire continue de tenir la caisse.
La France ne fait pas partie des belligérants mais le simple fait d’assurer la présidence de l’UE et de traiter régulièrement avec Biden, Poutine et Zelenski confère au fossoyeur de la France une aura internationale soudaine, que ses adversaires politiques subissent de plein fouet. Depuis 15 jours, la campagne présidentielle est passée à la trappe.
Effrayés par le son du canon, les Français qui ont été bercés au son du violon depuis la fin de la guerre froide voient en Macron le Père de la Nation, le chef de guerre seul capable de nous éviter l’Apocalypse.
Qu’a-t-il fait de si méritant ? Il a gardé le contact avec Poutine, devenu le pestiféré de la planète aux yeux des Occidentaux. Qu’a-t-il obtenu du maître du Kremlin ? Rien. Mais ce contact permanent doit être maintenu, dans l’espoir d’obtenir un cessez-le-feu en vue des négociations de paix.
Sondages
La dernière étude Elabe donne :
Macron à 33,5 %, un bond de 8 points en quelques jours
Marine à 15 %
Mélenchon à 13 %
Zemmour à 11 %
Pécresse à 10 %
Ne nous voilons pas la face, c’est très décevant quand on se souvient que Zemmour était à 18-19 % en novembre 2021. Mais pas de quoi capituler.
1 Tout d’abord, le passé récent nous montre que les sondages se sont souvent trompés, sciemment ou pas
2 Quand l’intéressé lui-même se bat sur tous les fronts, meetings, plateaux TV, réunions, on le soutient
3 Quand Marion rejoint Zemmour par conviction, c’est que le combat du rassemblement des droites est juste
4 Si Macron se détache du peloton, la course à la deuxième place reste ouverte, dans la marge d’erreur.
5 Devant les urnes, les Français voteront pour l’avenir de la France, pas pour celui de l’Ukraine
6 La crise économique et le litre d’essence à plus de 2 euros vont se retourner contre Macron
7 La guerre à l’extérieur qu’on croyait impossible montre que la guerre à l’intérieur est une réelle menace
8 Si 84 % des Français ne veulent plus de Macron, comment peut-il caracoler à 33,5 % ?
Par conséquent, rien n’est joué. Zemmour, attaqué de toutes parts parce qu’il est le plus dangereux pour le Système, n’a pas dit son dernier mot.
Il reste 30 jours pour convaincre les électeurs que la guerre en Ukraine ne doit pas faire oublier que Macron n’a cessé d’affaiblir la France, de la livrer à une immigration démentielle, de l’abandonner à une islamisation de masse, de saborder notre industrie et notre agriculture en les exposant à une concurrence déloyale, de faire le jeu des voyous jamais condamnés.
Macron a abandonné la France. Son credo, c’est l’Europe d’abord.
Et aujourd’hui, les sanctions contre Moscou, totalement irresponsables alors que nous sommes ruinés avec 3000 milliards de dettes, vont faire exploser l’inflation et tuer la croissance.
Ce sera la stagflation, le pire des fléaux économiques.
Enfin, pour vous prouver que rien n’est perdu, voici le bilan de l’Intelligence artificielle en potentiel électoral, au 9 mars 2022.
Macron 23 %
Zemmour 18 %
Marine 16,1 %
Mélenchon 9,7 %
Pécresse 8,3 %
Pour ma part, je mise davantage sur l’IA que sur les sondages
Je pense que le second tour se jouera entre Marine et Zemmour et que Pécresse et Mélenchon se battent pour la 4e place. A suivre, car nul n’est devin.
Les 30 jours qui viennent sont décisifs pour Éric.
On apprend dans le Canard enchainé de ce jour qu'Emmanuel Macron était en train de négocier avec les assassins du préfet Erignac afin d'obtenir le soutien des « nationalistes » de Corse pour l'élection présidentielle ; je suis – littéralement – tombé de ma chaise en le lisant. pic.twitter.com/wNTKhw5h5u
Des manifestants ont pris le contrôle d'un engin de chantier et circulent avec sur le cours Napoléon. Ils s'en prennent ensuite à l'agence du Crédit Agricole pic.twitter.com/RXkzhjk9DY
Situation très tendue ce soir en #Corse avec des affront*ments devant la Préfecture d'Ajaccio, de Bastia et la sous-préfecture de Calvi. La situation s'embrase depuis plusieurs jours sur l'île dans l'indifférence générale. (Via Stella/ Alta Frequenza/ Corse-Matin) #YvanColonnapic.twitter.com/s4unXNkvWK
Des images diffusées par le syndicat policier Alliance montrent les CRS totalement dépassés à la préfecture de #Bastia. « Obligés de gérer drastiquement les grenades car nous n'avons plus de réserve ». 95 cocktails molot*v lancés et 8 CRS blessés selon la Préfecture. #Corsepic.twitter.com/RWjywrTX7m
Situation très tendue à #Corte en #Corse lors de la manifestation de soutien à Yvan #Colonna suite à sa tentative d'assassinat en prison cette semaine. Le gouvernement suit de prêt les manifestations et craint l'embrasement de l'île. (CNI) pic.twitter.com/EbTozeXh0i
Des affront*ments éclatent devant la sous-préfecture de #Corte à la grande manifestation des nationalistes corses en soutien à Yvan #Colonna suite à sa tentative d'assassinat en prison. (Corse Matin /Alta Frequenza /France 3) #Corsepic.twitter.com/BsXoCNld9w
Le procureur antiterroriste Jean-François Ricard, en charge de l’enquête sur l’agression d’Yvan Colonna par un codétenu, survenue mercredi 2 mars 2022 à la prison d’Arles, a tenu une conférence de presse, ce dimanche 6 mars. Il a annoncé qu’une information judiciaire allait être ouverte et que le pronostic vital d’Yvan Colonna était toujours engagé.
Tentative d’assassinat d’Yvan #Colonna: "une fois de plus, le fanatisme islamiste est à l'origine d'un crime terroriste dans notre pays" (Jean-François Ricard, Procureur de la République antiterroriste #PNAT)
Franck Elong Abé s'est engagé en Afghanistan aux côtés de l’armée de talibans entre 2011 et 2012. Interpellé lors d’un passage frontière. Détenu par les forces de la coalition le 17/10/12. Puis, remis aux autorités françaises le 19/5/2014. #Colonna
— Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) March 6, 2022
#Colonna Plusieurs milliers de personnes déjà rassemblées à Corte, arrivée de la délégation composée de l’exécutif de la présidente de l’assemblée de Corse et des élus @Partitu_FemuACpic.twitter.com/iY34q8LQtU