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Permis de construire, Goliath, The Housewife, La Campagne de France, L’Homme de Dieu : voici la sélection cinéma de la semaine.
Dentiste à Paris, Romain vient de perdre son père qu’il n’a pas vu depuis des années. A sa grande surprise, ce dernier lui a laissé un terrain en héritage, ainsi qu’une dernière volonté : y faire construire la maison où il aurait aimé finir ses jours. Seul problème: ce terrain se situe en Corse.
France, professeure de sport le jour, ouvrière la nuit, milite activement contre l’usage des pesticides. Patrick, obscur et solitaire avocat parisien, est spécialiste en droit environnemental. Mathias, lobbyiste brillant et homme pressé, défend les intérêts d’un géant de l’agrochimie.
C’est en recroisant son ancien amant de faculté, que Toko, depuis longtemps femme au foyer, voit soudain renaître en elle le désir de travailler, et de reprendre son métier d’architecte. Mais peut-on jamais réinventer sa vie ?
En Indre-et-Loire, le petit village de Preuilly-Sur Claise va élire son nouveau maire. Ils sont trois sur la ligne de départ : Jean-Paul le vétéran, Patrick l’outsider et le « jeune » Mathieu. Fantasque et intrépide, ce dernier a une pièce maîtresse dans sa liste : Guy, un vieux briscard de la politique
Exilé injustement, condamné sans jugement, calomnié sans motif. La vie, les épreuves et les tribulations d’un homme de Dieu, Saint Nectarios d’Égine, qui supporta jusqu’au bout la haine injuste de ses ennemis tout en prêchant la Parole de Dieu sans relâche.
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Ce mardi 2 mars, une table ronde a eu lieu à l’occasion de la tenue du Salon de l’agriculture, en présence de responsables politiques, scientifiques et professionnels du fromage. À l’ordre du jour, le nutri-score, que pourrait imposer la Commission européenne au cours de l’année 2022. Une mesure qui n’est pas pour plaire aux producteurs de fromage, qui anticipent déjà les conséquences qu’impliquerait une telle obligation.
Le nutri-score est un système de notation apposé sur des produits alimentaires et destiné à aider le consommateur à choisir, en un coup d’œil, l’aliment le plus intéressant sur le plan nutritionnel. La meilleure note est la lettre A, sur fond vert, qui indique que l’apport en glucides, protides et lipides est faible, quand la note E, sur fond rouge, alerte sur un apport calorifique très riche. Vincent Descoeur, député LR du Cantal, fustige l’éventualité d’une telle obligation, dénonçant l’exclusion tout à fait injustifiée de certains fromages : « C’est incompréhensible : une portion de salers ou de roquefort notée D ou E est identifiée par l’acheteur comme non bénéfique pour la santé d’après les critères qui conduisent à cette notation. » Il ajoute que « dans la réalité, ces fromages au lait cru sont plus bénéfiques pour la santé qu’une canette de soda light notée B. Cette lecture pourrait laisser penser que les fromages sont donc dangereux pour la santé. On induit en erreur le consommateur. »
Au-delà d’une publicité mensongère, qui prête à confusion au sujet de la santé, ce sont bien sûr des retombées économiques qui risquent de s’abattre sur les producteurs de fromage. Un Français sur deux reconnaît aujourd’hui être influencé par le nutri-score dans ses choix alimentaires, précise Le Figaro : c’est donc la moitié de la clientèle qui se verrait poussée à modifier ses habitudes, pour se tourner vers des produits – parfois injustement – mieux notés. Éric Février, président du Syndicat interprofessionnel de défense du Mont d’Or, fait part de ses craintes au micro de France Bleu. « Il y a un risque économique, on peut perdre des clients qui pourraient croire que notre produit n’est pas sain pour la santé. » Et d’ajouter : « Et puis on ne pourra plus faire de publicité si nos fromages sont notés D ou E. Toute absence de communication serait catastrophique pour nous. » Ainsi, les fameux fromages comme le roquefort, le mont d’or, le cantal, le morbier, tous ces produits dont chaque nom évoque une région, une saveur, un savoir-faire particuliers, ces produits vers lesquels se sont rués les Français déprimés par le confinement – 2020 apparaissant comme l’année de tous les records pour le marché du fromage en France -, ces produits qui ont mérité à la France le surnom de « pays aux mille fromages », se voient-ils menacés par les décisions arbitraires de bureaucrates qui semblent peu conscients des conséquences que peuvent entraîner leurs lubies hygiénistes ?
Ce nouveau coup porté à l’artisanat culinaire français n’est que l’illustration de cette nouvelle dictature du sanitairement correct, qui entend désormais réguler chaque détail de la vie des citoyens. Au moyen de notations fallacieuses, c’est toute une filière que la Commission européenne s’apprête à mettre en danger, en même temps qu’elle contribue encore et toujours à détruire un patrimoine éminemment français qui fait encore la renommée mondiale de notre pays. Et si la Commission européenne se cantonnait aux sujets qui la concernent ? Il semblerait qu’elle ait de quoi faire, ces derniers temps !
Marie-Camille Leconte, dans BV
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Pour certains commentateurs, la crise ukrainienne présente au moins le mérite de pousser les Européens à se serrer les coudes. C’est une façon de voir les choses, même si l’actuel comportement de l’Allemagne en matière de défense commune tendrait plutôt à relativiser cet optimisme.
Ainsi, le Système de combat aérien du futur (SCAF), ambitieux projet européen, censé mettre en commun les technologies de pointe de Dassault et Airbus, se trouve aujourd’hui en passe d’être tout simplement enterré. En effet, les deux partenaires de la France, Allemagne et Espagne, rechignent encore et toujours à donner le feu vert au dernier volet de cette entreprise : la création d’un avion de combat hors normes.
Et Éric Trappier, PDG de Dassault-Aviation, de taper du poing sur la table, lors de la conférence de presse organisée le 4 mars pour présenter les résultats annuels, à quelques jours du sommet européen, prévu les 10 et 11 mars à Versailles : « Je suis prêt à signer, j’attends la signature d’Airbus. […] Il va falloir statuer, on ne peut pas rester l’arme au pied, à un moment donné, on dit oui ou on dit non ! »
Le premier problème, c’est qu’Airbus, qui doit pourtant beaucoup à la France depuis sa création, représente désormais, et ce, de manière de moins en moins officieuse, les intérêts allemands et espagnols, pays abritant tous deux des bases de l’OTAN. Du coup, Guillaume Faury, son président, tente de gagner du temps, affirmant dès le mois de février dernier que « les discussions prenaient plus de temps que prévu. […] Ce qui n’est pas rare dans ce genre de négociations. » A-t-il été entendu par Éric Trappier ? Rien n’est moins sûr, à en croire cette indiscrétion de BFM selon laquelle « Dassault a d’ores et déjà commencé à réaffecter une partie des ingénieurs des bureaux d’études vers d’autres tâches, voire bientôt la totalité de l’équipe ». Un signe qui ne trompe pas.
Le second problème nous vient directement de Berlin, dont on dit qu’il préférerait, au même titre que Madrid, acheter des avions de combat américains, F-18 ou F-35, plutôt que de continuer à financer le projet SCAF. Le contraire aurait été étonnant, et il n’y a guère qu’Emmanuel Macron pour s’en étonner et faire semblant de croire à une hypothétique défense européenne ou à la solidité d’un couple franco-allemand dans lequel la France a tout d’une femme, non seulement battue en permanence, mais qui, de plus, en redemande.
Plus réaliste, le même Éric Trappier pronostique : « On va voir, avec notre partenaire numéro un affiché qu’est l’Allemagne, si le premier choix qu’ils font est de signer le contrat SCAF ou d’acheter du F-35. […] Mais je suis persuadé qu’ils vont acheter du F-35… »
À croire que si l’OTAN est en « état de mort cérébrale », tel que diagnostiqué par le bon docteur Macron, cette organisation affiche néanmoins une santé de fer dès lors qu’il s’agit de faire appliquer son axiome fondateur voulant que la principale condition à son adhésion consiste à acheter de préférence du matériel militaire américain. Ce que, d’ailleurs, les Allemands ont toujours fait et continueront sans nul doute de faire ; surtout quand on apprend que le chancelier Olaf Scholz annonce vouloir consacrer cent milliards d’euros à la modernisation de l’armée allemande et un investissement de 2 % du PIB d’outre-Rhin, ce qui n’est pas rien. Une volte-face budgétaire qui permet surtout de se faire pardonner par une Maison-Blanche lui reprochant de longue date de faire exclusivement financer sa défense avec l’argent du contribuable américain. On peut comprendre l’arrogance américaine, la pusillanimité allemande ; moins l’aveuglement français.
Nicolas Gauthier, dans Boulevard Voltaire
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Anne-Laure Bonnel était inconnue au bataillon du grand public et elle commence à se faire un nom, même s’il sent le soufre dans les cénacles de la bien-pensance. Être citée en exemple par le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov n’est sans doute pas un bon canal de publicité.
Il faut bien reconnaître que ses images et ses commentaires dérangent. Elles montrent ce que nul ne voulait voir. Des Ukrainiens officiels, revêtus de l’onction du Maïdan et dès lors adulés par l’Europe, et qui se livrent depuis 2014 à une guerre dans le Donbass, avec des exactions contre leur propre population civile. Si ces faits sont avérés, ils violent ainsi les accords de Minsk. Sauf que les médias français auxquels ils étaient destinés n’ont pas jugé pertinent de les diffuser. Comme pour le Yémen, par exemple, il conviendrait de détourner le regard pour laisser les bourreaux massacrer en paix, peut-être avec des armes que nous produisons et vendons. Ou comme pour le silence gêné autour des persécutions des chrétiens d’Orient et des Yézidis, ces simples variables d’ajustement d’enjeux géopolitiques qui les dépassaient : pétrole, rivalités laïcs contre religieux, sunnites contre chiites ou arabe contre persan.
Les vidéos récentes d’Anne-Laure Bonnel, qui couvre en ce moment cette sale guerre, montrent une femme épuisée, qui s’insurge contre les diverses censures dont elle est victime, ainsi que les procès en hérésie des chantres de la doxa officielle, BHL en tête. Si elle a annoncé intenter une action en diffamation contre Mediapart, elle a néanmoins eu accès à BFM TV. La journaliste qui menait l’entretien a bien tenté de l’orienter dans le sens du narratif convenu, mais sans succès. « Qui a envie de voir des gens mourir ? », lui répond-elle, quand il faudrait encenser les délires manichéens d’une propagande de guerre. Elle déplore que rien n’ait été fait ces huit dernières années, et pense que la partition est inéluctable.
Aller au cœur de la guerre pour en rapporter des images, des articles, demande le même courage que d’y aller pour combattre : les bombardements ne font pas le tri entre soldats, civils, soignants ou journalistes. Dans un monde dominé par l’image, l’instrumentalisation de celles qui témoignent de la guerre biaise nos perceptions, mais peut aussi changer le cours de ces guerres. Les photos de cette fillette nue courant après un bombardement au napalm ou de cette femme montrant une fleur à une baïonnette n’ont-elles pas contribué à mettre fin à la guerre du Vietnam ? Parce qu’un journaliste a pour premier devoir de relater des faits, il doit s’élever contre une narration menteuse. Mais cela demande du courage.
Après se pose la question de la responsabilité qu’engendre l’image et sa diffusion. L’excellent roman Le Peintre des batailles, d’Arturo Perez-Reverte, peut éclairer nos réflexions sur ce sujet. Mais surtout, quelle est la responsabilité des rédactions qui, pendant huit ans, se sont désintéressées de crimes de guerre commis à trois heure d’avion d’ici ? Certes, un journal ne devrait pas être le condensé de tous les malheurs du monde, mais quel étrange arbitrage.
Rémy Mahoudeaux, Boulevard Voltaire
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Éric Zemmour est décidément un bon client. Un « habitué des dérapages », dira la presse. Invité de LCI, ce lundi 7 mars, il était interrogé par Ruth Elkrief dans « Face aux Françaises ». Le concept même de l’émission laisse rêveur : une fois par an, la télévision laisse la parole aux Françaises. La Journée des droits des femmes, ex-Journée de la femme, est décidément riche en absurdités : c’est le pendant féministe de la Saint-Valentin. Le 14 février, on invite maman au resto ; une petite babiole, quelques pétales de rose, une formule plat-dessert à 14.99 € et on est sûr de ne pas regretter sa soirée. Mais gare à elle si la soupe est tiède le lendemain : on a coché la case du romantisme commercial, on peut reprendre une vie normale. Le 8 mars, pareil : maman peut l’ouvrir, il n’y a que des femmes sur LCI. Mais attention, le 9 mars, on ferme les robinets, et il ne restera des micros que pour les invitées habituelles et les militantes haineuses. Cette manie de faire des journées pour les couples ou les femmes ne serait-elle pas légèrement misogyne ? Peu importe, on n’est plus à une absurdité près.Bref, Zemmour, donc, était l’invité de « Face aux Françaises ». Il venait de dire qu’un « excès de valeurs féminines [menait] à une faiblesse de la société ». Déjà, c’est sacrément gonflé. Qui dit valeurs féminines dit que les sexes existent, à la différence des genres, qu’ils sont inscrits en nous et ne sont pas une construction sociale. On est déjà à la limite de la correctionnelle. On ne sait pas bien, au juste, ce qu’Éric Zemmour entend par cette expression, mais on devine que la compassion, l’émotion, le compromis font partie du package. On le comprend, bien sûr, même si on se dit qu’il n’a pas dû beaucoup voir de relations hiérarchiques entre femmes.Profitant probablement de l’effet de surprise, il a enchaîné. Ruth Elkrief lui en a fourni une occasion, en parlant d’une « meilleure répartition des tâches » au sein du couple. On ne sait pas, là non plus, ce qu’elle voulait dire. Là encore, toutefois, on imagine qu’elle fait référence à un monde où les hommes participeraient aux tâches ménagères, aux courses et aux repas. Les femmes, elles, seraient plus libérées, puisqu’elles acceptent désormais des bullshit jobs absurdes qui leur permettent tout juste de payer la nounou, afin de se donner l’impression qu’elles sont fortes et indépendantes – et qu’elles peuvent divorcer en trois clics. On croyait pourtant que tirer une fierté puérile d’une « carrière » aux ambitions dérisoires était l’apanage des hommes, grands enfants vaniteux qui ont besoin d’être admirés. C’était oublier l’égalité nouvelle. On extrapole peut-être un peu.
« Joseph Staline Elkrief »#FaceAuxFrançaises pic.twitter.com/2mImMb7XZx
— Andrea Svoboda (@sbovodaa) March 7, 2022
Zemmour ne s’est pas démonté. « Vous appelez ça une meilleure répartition des tâches, mais au nom de quoi ? », a-t-il répliqué, avant d’enchaîner « C’est vous Joseph Staline Elkrief [qui décidez arbitrairement] ? ». La journaliste en a vu d’autres. Sur un ton péremptoire, elle a récité ses lieux communs républicains : « Liberté Égalité Fraternité, ça vous dit quelque chose ? », avant d’enchaîner « Pour moi, c’est Liberté Égalité Sororité aussi. » Ça ne veut rien dire, mais on a atteint le point Godwin de la République, ce qui permet de ne pas réfléchir.Contre toute attente, Éric Zemmour avait fait le pari de s’adresser aux femmes sans misogynie, c’est-à-dire sans démagogie. Il n’a pas choisi la bonne interlocutrice. Notre société tellement libérale enferme les minorités qu’elle prétend défendre dans de petites boîtes sans échappatoire. Si vous êtes « racisé », vous devez détester la France et demander des droits. Si vous êtes homosexuel, vous devez embrasser le drapeau arc-en-ciel et adhérer à la culture LGBTQIXYZ++. Si vous êtes musulman, vous devez être schizophrène, moitié hijab, moitié république. Et, donc, si vous êtes une femme, vous devez travailler, avoir un « compagnon » ou un « partenaire de vie » qui partage équitablement les tâches. Et, surtout, bien faire ce que vous disent les médias. Considéreraient-ils que les femmes ont besoin qu’on leur dise quoi faire ou quoi penser ? Ce serait drôle et loin d’être impossible. Ces gens sont pleins de savoureuses contradictions.
Arnaud Florac, dans Boulevard Voltaire
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Les prix du gaz s’envolent.
Le prix du gaz européen a quadruplé.
— Philippe Murer 🇫🇷 (@PhilippeMurer) March 7, 2022
Le prix du gaz aux USA n’a augmenté que de 20%.
❌La flambée des prix du gaz,´ et de l’électricité détruit l’économie européenne qui devient de moins en moins compétitive. L’UE est une catastrophe https://t.co/hMQvTIILUJ pic.twitter.com/TNxVBVtAUB
Ce n’est que le début.
Le système met désormais en branle sa machine de propagande pour cesser les livraisons de gaz et de pétrole en provenance de la Russie.
L’obèse François Hollande veut que les gens se préparent à vivre sans chauffage.
Si l’on veut arrêter Poutine dans sa guerre en Ukraine, il faut commencer par arrêter de lui acheter du gaz ! Il y aura un prix à payer. Celui du déshonneur serait le plus élevé. Celui de l’impuissance le plus lourd. Via @lemondefr https://t.co/qIizEFMylC
— François Hollande (@fhollande) March 7, 2022
Glucksmann déploie ses “arguments” sur ce même thème.
L’unité européenne est belle et vitale. Mais le débat actuel sur le gaz et le pétrole russes sera le véritable test. Sommes-nous prêts à arrêter de financer la machine de guerre de Poutine avec nos importations? C’est LA grande question posée aux dirigeants européens.
— Raphael Glucksmann (@rglucks1) March 7, 2022
La finance internationale veut contrôler les ressources russes. En attendant de les conquérir par la force, elle veut les retirer du marché occidental.
L’économie européenne va être ravagée par l’augmentation des prix de toutes les matières premières. Tout le monde le sait, on sacrifie l’Europe…..et tout le monde se laisse faire 🙁
Envolée des prix du blé en France
— Jean-Jacques Ohana (@jjohana) March 7, 2022
+56% depuis la guerre en Ukraine et les sanctions contre la Russie pic.twitter.com/8yAAklSFWZ
⛽️🇫🇷 FLASH – Le prix du litre de #gazole a augmenté de 14 centimes en moyenne en une semaine. La facture moyenne du plein d’essence est en hausse pour la 10e semaine consécutive. (Le Parisien) #carburants
— Mediavenir (@Mediavenir) March 7, 2022
Avec cette guerre et cet embargo géant envers la Russie, on nous prépare le “Great Reset”.
CNBC :
La Russie a menacé de fermer un important gazoduc vers l’Allemagne et a mis en garde contre des prix du pétrole de 300 dollars si l’Occident va de l’avant avec une interdiction de ses exportations d’énergie.
« Il est absolument clair qu’un rejet du pétrole russe entraînerait des conséquences catastrophiques pour le marché mondial », a déclaré lundi le vice-premier ministre russe Alexandre Novak dans une allocution à la télévision d’État.
« La flambée des prix serait imprévisible. Elle atteindrait 300 dollars par baril, voire plus. »
Novak a également cité la décision de l’Allemagne, le mois dernier, d’interrompre la certification du très controversé gazoduc Nord Stream 2, en déclarant : « Nous avons tout à fait le droit de prendre une décision correspondante et d’imposer un embargo sur le pompage du gaz par le gazoduc Nord Stream 1. »
« Jusqu’à présent, nous ne prenons pas une telle décision », a déclaré Novak. « Mais les politiciens européens avec leurs déclarations et leurs accusations contre la Russie nous poussent vers cela. »
Ses commentaires interviennent alors que l’assaut de la Russie contre l’Ukraine est entré dans sa deuxième semaine, et que la crise humanitaire déjà terrible devrait s’aggraver à mesure que le Kremlin poursuit son invasion.
Les États-Unis envisagent d’imposer une interdiction des exportations de pétrole et de gaz de la Russie pour punir Moscou.
L’Allemagne, les Pays-Bas et le Royaume-Uni semblent toutefois s’éloigner d’un embargo occidental coordonné sur les exportations énergétiques russes.
Les analystes de l’énergie ont averti qu’une interdiction du pétrole et du gaz russes aurait des répercussions sismiques sur les marchés de l’énergie et l’économie mondiale.
La Russie est le troisième producteur mondial de pétrole, derrière les États-Unis et l’Arabie saoudite, et le premier exportateur mondial de brut sur les marchés internationaux. Elle est également un important producteur et exportateur de gaz naturel.
L’Union européenne reçoit environ 40 % de son gaz par des gazoducs russes, dont plusieurs traversent l’Ukraine.
« Les politiciens européens doivent honnêtement avertir leurs citoyens et leurs consommateurs de ce à quoi ils doivent s’attendre », a déclaré Novak.
« Si vous voulez rejeter les approvisionnements énergétiques en provenance de Russie, allez-y. Nous sommes prêts à le faire. Nous savons vers où nous pourrions rediriger les volumes », a-t-il ajouté, sans donner plus de détails.
*** C’est précisément le problème : toutes les créatures de Klaus Schwab se gardent bien de dire à la population européenne quelles conséquences les attendent si ce projet est mis en application. ***
Finalement c’est l’avenir de notre Europe prospère que l’on cherche à détruire
Les prix du pétrole ont atteint des sommets inégalés depuis 14 ans lundi, les acteurs du marché de l’énergie se concentrant sur la perspective de sanctions complètes contre les exportations énergétiques de la Russie.
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré dimanche à la chaîne NBC que l’administration du président Joe Biden était en « discussions très actives » avec les gouvernements européens au sujet de l’interdiction des importations de brut et de gaz naturel russes.
L’Ukraine a appelé ses alliés occidentaux à imposer un « embargo total » sur le pétrole et le gaz russes, bien que l’on craigne que cela ne fasse exploser les prix mondiaux de l’énergie.
Le chancelier allemand Olaf Scholz s’est opposé lundi aux appels à l’interdiction du pétrole et du gaz russes, affirmant qu’une telle mesure pourrait mettre en péril la sécurité énergétique de l’Europe et que les importations d’énergie en provenance de Russie sont d’une importance capitale pour la vie quotidienne des citoyens.
L’Union Européenne est aux ordres de Washington et s’empresse de pousser dans cette direction.
Demain, la @Commission_UE présentera des propositions sur la manière de se débarrasser rapidement de notre dépendance à l’égard des combustibles fossiles russes.
Cela signifie :
– Diversifier les fournisseurs, passer au GNL et au gazoduc.
– Renouveler l’énergie de l’UE en investissant dans les énergies renouvelables.
– Améliorer l’efficacité énergétique
Tomorrow the @EU_commission will table proposals on how to quickly get rid of our dependency on Russian fossil fuels.
— Ursula von der Leyen (@vonderleyen) March 7, 2022
This means:
• Diversifying suppliers, switching to LNG and pipeline gas
• Repowering the EU by investing in renewables
• Improving energy efficiency pic.twitter.com/dDzZUru005
Le peuple d’en bas va devoir à nouveau faire des efforts….
🔴 EN DIRECT
— BFMTV (@BFMTV) March 7, 2022
Bruno Le Maire appelle tous les Français à "faire un effort" sur leur consommation d'énergiehttps://t.co/EQxtXP10uR pic.twitter.com/t5RbC4qQXe
Merci à D.P.
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Ecoutez DJMusic.fr[#SudRadio] 🎙️@MichelOnfray4 est au micro d'@andrebercoff
— Sud Radio (@SudRadio) March 8, 2022
🗣️"Au premier tour on nous explique que Marine Le Pen est gentille et puis quand elle est au second tour on nous dit que pour éviter la Shoah il ne faut pas voter pour elle."
📺 https://t.co/2kLISMypLK pic.twitter.com/4gX54YYVmp
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On apprend ce matin que le meeting de #Macron n'était qu'une "pièce de théâtre" préparé a l'avance.
— Réalité Actuelle (@Realitactualite) March 8, 2022
Frédéric Descrozaille député #LREM "C'était une mise en scène"
Vivement que cet imposteur dégage pic.twitter.com/uygTMEKVTd
Quand Emmanuel Macron affirmait vouloir être attaqué et répondre aux controverses pic.twitter.com/fmkri4nLMm
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) March 8, 2022
Pour sa toute première sortie de campagne, le président sortant a renoué avec le format “grand débat”, lundi soir à Poissy (Yvelines). Un échange “libre”, avait insisté son équipe. Mais France Inter s’est procuré des documents qui prouvent que la rencontre avait été soigneusement préparée en amont.
“Ça, c’était pas préparé“, sourit le maire et organisateur de la soirée Karl Olive, quand une intervenante demande un selfie au président… Dès l’entrée d’Emmanuel Macron dans la salle, une évidence saute aux yeux et aux oreilles : la salle est loin d’être hostile. En témoignent les applaudissements nourris qui l’accompagnent. […]
Sauf que l’on était loin de la conversation “spontanée” vantée par l’écurie présidentielle. Toute la soirée, Karl Olive avait en main des fiches, que France Inter a récupérées. Elles montrent que les questions étaient prévues, écrites en amont.
[…] Le président-candidat les connaissait-il à l’avance ? Auraient-elles pu être soufflées par son équipe? “Pas du tout ! Parole d’honneur !“, répond le maire. L’élu ex-LR, aujourd’hui très proche du locataire de l’Elysée, assure avoir simplement voulu “thématiser au mieux” les échanges, pour pouvoir aborder les sujets qui intéressent le plus les Français. […]
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Ancien chef du service de renseignement de sécurité de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Alain Chouet vient de publier « Sept pas vers l’enfer », ouvrage dans lequel il dépeint une société française profondément malade du séparatisme et de la violence fondamentaliste. « Quarante années d’aveuglement, d’ignorance, de lâcheté et de “bien-pensance“ ont progressivement conduit la France aux limites de la rupture du pacte républicain », écrit-il.
La France compterait 1514 quartiers de non-droit, interdits d’accès aux forces de sécurité, aux services des secours, aux services médicaux et sociaux. 1514 quartiers établis sur 859 communes, et regroupant 4 millions d’habitants, soit 6% de la population de l’Hexagone.
A la question posée par le site musulman Oumma sur la ghettoïsation, ce spécialiste des problèmes de sécurité et de terrorisme répond que, selon, lui la ghettoïsation aurait été autant choisie que subie. Tous les lecteurs ne seront pas forcément d’accord avec l’ancien espion.
Dans votre livre, vous parlez d’un séparatisme en France. Comment se traduit-il précisément ? Ne faut-il pas plutôt parler d’une ghettoïsation subie, avec une absence totale de mixité sociale, dans des quartiers parfois laissés à l’abandon ? […] La « ghettoïsation », souvent invoquée pour expliquer cette séparation, est d’abord un argument victimaire pour justifier le séparatisme et les violences qu’il engendre. Cette ghettoïsation a été autant choisie que subie. Toutes les vagues migratoires que la France a connues au cours du siècle écoulé se sont d’abord regroupées par affinité et pour des raisons conjoncturelles dans des zones géographiques données, et cela n’a pas donné lieu à des phénomènes de dissidence violente localisés. Elles se sont ensuite diluées sur l’ensemble du territoire, à mesure que l’assimilation des deuxièmes et troisièmes générations se faisait.
Cette dilution ne s’est pas faite pour l’immigration maghrébine, arrivée massivement et brutalement dans les années 70 dans un pays dont le ralentissement économique ne permettait pas de les intégrer par le positionnement social que fournit un travail, ni de leur assurer un niveau de vie minimal sans recours à des transferts sociaux massifs qu’ils ont vite perçus comme une rente qu’il convenait, pour certains d’entre eux, de compléter par des activités délinquantes rémunératrices qu’il fallait protéger par un isolement du reste de la collectivité nationale.
D’où la constitution de ces fameux « ghettos » que les différents pouvoirs ont tenté de réduire par une politique de construction de logements sociaux et par un déversement incontrôlé et massif d’aides et de subventions dans le cadre des « politiques de la ville ». Ces aides ont été perçues comme un complément des rentes de l’assistanat social et n’ont jamais contribué à l’intégration des supposés bénéficiaires. De même, les politiques de construction de logement sociaux se sont traduites en l’apparition de nouveaux ghettos, les résidents d’origine du quartier fuyant l’arrivée des nouveaux bénéficiaires aux comportements et aux pratiques souvent « dissidents ». […]
Vous parlez de la découverte, dans la périphérie d’une grande ville, d’armes de guerre, de fusils d’assaut, de lance-roquettes, et de la décision des autorités de ne rien faire, car une opération risquerait de « mettre le feu » à un quartier sensible et contribuerait à « stigmatiser » ses habitants. Vous ne dites pas de quand date cette information. Pensez-vous qu’aujourd’hui encore les autorités décideraient de ne rien faire?
J’ai daté cette notation de la fin des années 90. Ce n’est pas très précis, mais cela donne une indication. C’était donc il y a un peu plus de vingt ans. Les choses ont évidemment changé depuis et la multiplication des attentats terroristes, à partir de 2001, dans le monde entier et plus particulièrement depuis 2015, en France, a évidemment changé la donne. Aucun responsable administratif ou politique ne pourrait aujourd’hui adopter une attitude réservée ou dilatoire par rapport à de tels faits. […]
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