Macron s’est gentiment couché devant Biden après la liquidation de la présence française dans le Pacifique où le président français essayait de briller face à la Chine en qualité de teckel de ZOG.
Le Président de la République française, M. Emmanuel MACRON, et le Président des États-Unis d’Amérique, M. Joe BIDEN, se sont entretenus le 22 septembre, à la demande de ce dernier, pour examiner les conséquences de l’annonce faite le 15 septembre dernier. Ils sont convenus que des consultations ouvertes entre alliés sur les questions d’intérêt stratégique pour la France et les partenaires européens auraient permis d’éviter cette situation. Le Président BIDEN a fait part de son engagement durable à ce sujet.
Pour rappel, les Américains ont conspiré pendant 6 mois pour en finir avec les ventes d’armes françaises dans le Pacifique.
Maintenant que l’objectif est atteint, Macron se satisfait des consolations du vieillard cacochyme de la Maison Blanche qui jure de ne plus jamais poignarder dans le dos les Français – une semaine après les avoir poignardé dans le dos.
Les deux chefs d’État ont décidé de lancer un processus de consultations approfondies, visant à mettre en place les conditions garantissant la confiance et à proposer des mesures concrètes pour atteindre des objectifs communs. Ils se rencontreront en Europe à la fin du mois d’octobre pour parvenir à des points d’accord et conserver à ce processus tout son dynamisme. Dans ce contexte, le Président MACRON a décidé que l’Ambassadeur de France retournerait à Washington la semaine prochaine. Celui-ci travaillera alors en lien étroit avec des hauts fonctionnaires américains.
[Rutube.fr] => C’est sûr….Macron c’est un dur en affaire….Mais pour qui roule-t-il ? Et les intérets de la France dans tout ça ? Passez à la trappe….en 2022 devinez qui va passer à la trappe….
Je vous propose de faire une pause et d’oublier un instant toutes ces mauvaises nouvelles qui nous attristent et nous angoissent quant à notre avenir. Cette petite mélodie simple de DJ Rostej nous enchante et nous emmène très très loin de toutes ces futilités et de tous ces bavardages qui nous ennuient profondément. Partons ensemble au travers les galaxies en écoutant en boucle “Long Way”.
Déjà un coup d’arrêt : alors que l’entourage d’Anne Hidalgo, tout juste auréolée de l’investiture socialiste à la présidentielle, espérait que son annonce de candidature impulse une nouvelle dynamique à sa campagne, engluée autour des 7 % d’intentions de vote depuis plusieurs mois. Las, la maire de Paris voit son étiage chuter entre 4 et 5 % dans un nouveau sondage Odoxa* pour « l’Obs » publié ce jeudi 23 septembre.
La candidate socialiste n’est pas la seule à subir cette perte de vitesse. Même s’il devance toujours ses concurrents de gauche, le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon n’est plus donné qu’à 7,5 % ou 8 %, et est même distancé par Eric Zemmour qu’il retrouve en débat ce jeudi soir sur BFMTV (entre 10 % et 10,5 %). De son côté, la droite plafonne quel que soit son candidat, même si Xavier Bertrand (14-15 %) devance légèrement Valérie Pécresse (12,5 %-13 %) dans les intentions de vote. […]
L’un des trois malfaiteurs a pu être identifié par les enquêteurs de la police judiciaire, il a reconnu son implication. Les cinq victimes sont quant à elles traumatisées par cette violente attaque à leur domicile.
Trois ans après cette sauvage agression à domicile commise à Colombes (Hauts-de-Seine) deux des trois malfaiteurs sont toujours en fuite et l’enquête semble aujourd’hui piétiner. Un suspect de 29 ans a tout de même été mis en examen, en septembre 2020 à Nanterre avant d’être écroué.
Le soir des faits vers 19h55, trois hommes font irruption au domicile de Séverine, armé d’un pistolet et d’une machette ou peut être d’un grand couteau. Cette femme est dans la maison en compagnie de ses trois enfants, âgés de 5, 8 et 16 ans. Son ex-mari, en visite, est aussi dans la maison. L’un des voleurs braque son arme à feu sur la mère de famille et sa fille, puis exige qu’elles lui remettent tous les téléphones de la maison. L’ex-compagnon résiste et l’un des voleurs tente de lui assener plusieurs coups de machette. Dans la lutte, le bandit perd un bonnet. Finalement, les malfaiteurs prennent la fuite sans rien voler.
L’ex-compagnon souffre de nombreux hématomes, suite aux coups reçus dans la bagarre. Il est examiné par les urgences médico-judiciaires qui lui accordent une incapacité totale de travail (ITT) de cinq jours. Les victimes, la mère et ses filles ont confié au juge d’instruction que cette mésaventure les a traumatisées et les hante encore aujourd’hui.
L’empreinte génétique de Mustapha est retrouvée sur le bonnet, saisi par les enquêteurs de la police judiciaire. Le suspect est formellement identifié par la victime. Il s’agit d’un Marocain, connu de la police et de la justice pour une affaire d’usage de produits stupéfiants, et des délits routiers. Il travaille depuis 2012 comme vendeur dans un bazar. Une entreprise familiale dont il possède aussi des parts.
(…) Interrogé sur l’identité de ses complices, le jeune homme soutient qu’il ne les connaît pas. Il livre tout de même le prénom de l’un d’eux : Hamza, une vague connaissance qui habiterait Asnières. « Je regrette », souffle Mustapha. (…)
Deux réfugiés afghans sont détenus dans une prison du comté de Dane après avoir été accusés de crimes qui auraient été commis à Fort McCoy à Tomah.
Bahrullah Noori, 20 ans, est accusé de trois chefs d’accusation de tentative d’acte sexuel avec un mineur, avec usage de la force dans un cas. Les victimes étaient âgées de moins de 16 ans, selon le ministère américain de la Justice. Mohammad Haroon Imaad, 32 ans, est accusé d’avoir agressé son épouse en l’étranglant et en l’étouffant.
Noori et Imaad doivent comparaître devant un juge fédéral jeudi. Noori risque un minimum de 30 ans de prison et Imaad un maximum de 10 ans de prison.
Ces accusations sont le résultat d’une enquête menée par le Federal Bureau of Investigation et la police de Fort McCoy.
Les deux hommes font partie des plus de 12 000 résidents afghans qui ont été évacués du pays lors du retrait des forces américaines d’Afghanistan en août et envoyés par avion à Fort McCoy, dans le comté de Monroe. […]
La semaine dernière, des fonctionnaires du ministère de la Justice des États-Unis ont déclaré qu’ils enquêtaient sur des plaintes relatives à la protection de l’enfance et sur des rumeurs selon lesquelles des réfugiés adultes de sexe masculin accompagnés d’épouses mineures avaient été amenés aux États-Unis dans le cadre de l’évacuation.
Non seulement ceux qui ont acheté leur liberté s’aperçoivent qu’il y a des choses qu’on n’achète pas sans vendre son âme, mais l’instrument de leur liberté les condamne à la servitude. La liberté d’aller et venir ne consiste pas à présenter un code pour aller et un autre pour venir.
Pendant que nos campagnes saignent des éoliennes implantées partout, défigurant le paysage, les prix de l’électricité eux, flambent. Petit à petit, la France rattrape d’autres pays européens avec des tarifs exorbitants, que ni la hausse du SMIC, ni la baisse de la taxe d’habitation (« compensée » par la hausse de la taxe foncière) ne rattraperont.
Selon un communiqué dévoilé ce mardi par l’association de consommateur, UFC-Que Choisir, la hausse du tarif réglementé de vente d’électricité (TRVE) au début de l’année 2022 « atteindra 11,3 % HT, soit près de 10 % TTC », soit une facture de l’ordre de 1.700 euros par an contre 1.550 euros par an début 2021. Une estimation qui prend en compte « le degré d’exposition du TRVE aux prix sur les marchés de gros, et le niveau de ces prix sur les marchés de gros d’ici à la fin de l’année ».
« L’UFC-Que Choisir alerte sur une hausse des tarifs de l’électricité qui pourrait être de l’ordre de 10 % en début d’année prochaine. L’association de consommateurs et consommatrices en appelle aux autorités pour endiguer l’explosion des factures.
Alors que le pouvoir d’achat promet d’être un des thèmes forts de la prochaine campagne présidentielle française, l’UFC-Que Choisir s’attend à une nouvelle (forte) hausse du prix de l’électricité. Ce lundi, l’association de consommateurs et consommatrices pointe la potentielle explosion des tarifs, en se basant sur la méthodologie officielle de calcul de ces derniers (TRVE). Elle estime que la flambée pourrait atteindre 10 % en janvier 2022. Mais selon elle, cette hausse attendue n’est pas encore entérinée, donc pas nécessairement inéluctable. Elle espère désormais que l’État saura l’endiguer.
Carburants, gaz, fioul… Ces derniers mois, les énergies ont connu une flambée des prix, qui n’épargnent évidemment pas l’électricité, indispensable à la vie des Français et Françaises. Et pour justifier la hausse potentielle jusqu’à 10 % des tarifs, l’UFC-Que Choisir s’est à la fois basée sur le degré d’exposition du tarif réglementé de vente d’électricité (TRVE) aux prix sur les marchés de gros, et le niveau de ces prix sur les marchés de gros d’ici la fin de l’année 2021.
L’UFC-Que Choisir estime que les fournisseurs devront davantage s’approvisionner sur les marchés de gros, dont les prix auront un impact, selon elle, sur environ 60 % du coût de la partie approvisionnement du TRVE, alors même que les prix de gros sont déjà très élevés.
L’association de consommateurs et consommatrices mise ainsi sur une hausse hors taxes de 11,3 % du tarif réglementé de vente d’électricité, soit 10 % TTC. Une véritable flambée des prix qui se matérialisera, toujours selon l’organisation, par une augmentation moyenne de 150 euros par an pour un ménage ».
Preuve de cette flambée à venir, les promoteurs d’offres groupées, comme UFC-Que choisir, n’ont pu décrocher AUCUN contrat intéressant pour le consommateur, c’est ainsi que les enchères inversées « Énergie moins chère » organisées par l’UFC-Que Choisir sur l’électricité sont reportées.
Du côté des autorités, l’Etat nounou (matronne ?) est à nouveau de sortie, uniquement à destination des publics déjà les plus aidés dans tous les domaines : le Premier ministre Jean Castex a annoncé la semaine dernière une rallonge de 100 € à la fin 2021 aux bénéficiaires du chèque énergie. Un coup de pouce qui ne compensera même pas la hausse à venir d’une électricité dont une partie du prix vient notamment de certaines taxes qui s’appliquent sur votre facture (TVA, CSPE, TCFE, CTA… Le tout pesant pour un tiers du prix final).
Il va réellement falloir qu’un jour les décideurs, libérés des pressions de lobbys comme ceux de l’éolien, se penchent sur la question énergétique, avec une réflexion à la fois sur le nucléaire, mais aussi sur d’autres sources d’énergies renouvelables.
Crise diplomatique, réseaux sociaux, « wokisme », cancel culture, mandat Biden… Le conseiller de l’ancien président américain est l’invité de Boulevard Voltaire. Que pense-t-il de Marine Le Pen et d’Éric Zemmour ? Sont-ils des « Trump à la française » ? Réponses avec Jason Miller…
Vous êtes citoyen américain, spécialiste de la communication et des médias. Vous avez été le porte-parole de Donald Trump en 2016 et en 2020 pendant la campagne présidentielle. Vous êtes le fondateur du réseau social GETTR. Merci d’avoir accepté notre invitation.
Le week-end dernier, les supporters de Donald Trump ont organisé une manifestation devant le Capitole. Selon les médias, elle aurait eu moins de succès que les précédentes. Le mouvement est-il en perte de vitesse ?
La plupart des supporters de Donald Trump ne vont plus devant le Capitole car ils savent que c’est une mauvaise idée, après les événements de janvier dernier. C’est donc normal que le mouvement diminue.
Le personnage de Donald Trump fascine autant qu’il révulse. Qu’est-ce qui vous a séduit, chez lui, et vous a poussé à travailler pour lui ?
Donald Trump remettait en cause l’élite et l’establishment. Il représentait vraiment le peuple, contrairement à l’élite politicienne qui se présentait face à lui.
Concernant le deep state, on a une idée de choses très enfouies et cachées. En réalité, les adversaires de Donald Trump se montrent et n’ont pas peur de se montrer au public. Ces oppositions sont visibles.
Donald Trump a été exclu de Twitter, il a affronté les GAFAM. Que cela révèle-t-il de la société américaine ?
Donald Trump a pris le parti de la classe populaire américaine : les travailleurs, les ouvriers, tous ceux qui ont été lésés par les élites politiciennes durant les décennies précédentes. En cela, il s’oppose aux GAFAM qui représentent l’élite des États-Unis.
Vous avez lancé le réseau social GETTR. Comment comptez-vous contourner la censure des plates-formes Android ou Apple ?
Contrairement à Parler, nous avons mis en place, dès le début, une politique de modération très stricte : pas de pornographie, par exemple, ou d’images pouvant inciter au terrorisme. En revanche, nous sommes très attachés à la liberté d’expression sur les thématiques politiques.
Parlons un peu de Joe Biden et du retrait des troupes américaines d’Afghanistan…
La façon dont Joe Biden a retiré les troupes est un désastre. Donald Trump aurait sans doute fait différemment.
Premièrement, faire revenir tous nos compatriotes américains aux États-Unis, deuxièmement, nos alliés et les personnes qui ont travaillé pour nous, troisièmement, l’équipement militaire et, quatrièmement, faire revenir les militaires.
L’Australie a rompu le contrat franco-australien d’armement au profit des Américains. Comment aurait agi l’administration Trump ?
La manière dont l’administration Biden a traité le contrat franco-australien est à revoir. Sur ce sujet, nous devons tous être alliés contre le Parti communiste chinois. Il aurait fallu voir la France comme un allié pour ne pas la heurter et agir plus efficacement.
Pour vous, la France est-elle encore un allié des États-Unis ? La Chine est-elle la nouvelle URSS de la guerre froide ?
Le combat contre la Chine est celui du prochain siècle, et la France, dans ce combat, est vraiment un allié très fort, car nous n’y arriverons pas tout seuls.
Aux États-Unis, le mouvement woke considère Donald Trump comme le mal absolu. Le « wokisme » est-il un danger pour les États-Unis et pour l’Occident ?
Le « wokisme » est très dangereux car il s’attaque à l’identité profonde des personnes : le genre et l’identité. Il est lié à la cancel culture, c’est pourquoi nous avons décidé de créer le réseau social GETTR qui permettra la liberté d’expression politique.
Chez GETTR, nous acceptons tout le monde, même les partisans du mouvement woke.
Pensez-vous que Donald Trump se représentera et pourrait être réélu pour un deuxième mandat à la tête des États-Unis ?
Sans aucun doute le président Trump se représentera en 2024, il a de bonnes chances de gagner. Ce ne sera peut-être pas contre le candidat démocrate Joe Biden car il a des problèmes de santé. Ce sera contre Kamala Harris ou un autre candidat démocrate.
Quel est votre meilleur et votre pire souvenir en tant que proche conseiller de Donald Trump ?
Le président Trump a de très grandes exigences. S’il vous choisit dans son entourage, vous devez lui apporter des réponses de très haut niveau, même si vous n’êtes pas un expert, c’est un défi !
Je retiens qu’il a un très grand sens de l’humour. Lorsqu’on va dans des meetings avec 50.000 personnes, tout le monde est heureux d’être là et nous sommes contents de travailler pour lui.
La correspondante française de CNN a déclaré qu’il y avait des similitudes entre Éric Zemmour et Donald Trump. On a également vu Steve Bannon rendre visite à Marine Le Pen. Peuvent-ils être considérés comme un Trump français ?
Je pense qu’il ne faut pas tomber dans la facilité de dire qu’il y a un Trump français. Ils ont chacun leur charisme. Il faut surtout insister sur leurs particularités pour la France, c’est ce qui compte. On ne doit pas faire du copier-coller.