Violentes bagarres opposants deux groupes ethniques au CRA d’Hendaye (64), des policiers blessés et un migrant en fuite

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

Deux policiers et trois rétentionnaires ont été blessés au centre de rétention administrative d’Hendaye lors de bagarres dans la soirée du vendredi 10 septembre. Un des étrangers a profité de la situation pour s’échapper. Il est toujours en fuite.

Des bagarres opposants deux groupes ethniques“, indique Christophe Labarthe, secrétaire départemental Unité SGP Police FSMI FO 64. « ces violences, de plus en plus présentes dans les CRA de France. Nous souhaitons interpeller les pouvoirs publics afin que des solutions soient trouvées », conclut le représentant syndical.[…]

Une population plus difficile à maîtriser pour les forces de l’ordre poursuit Christophe Labarthe. “Elle se comporte un peu comme elle le fait en maison d’arrêt. Sauf que là, c’est dans un centre de rétention et que, bien évidemment, les policiers ne sont pas rompus aux mêmes exercices que les matons. Ils n’ont pas les mêmes moyens de coercition par rapport à ce genre de problème.”[…]

France Bleu / Sud-Ouest

Statistiques du CRA d’Hendaye pour l’année 2020 :

Rimini (Italie) : un demandeur d’asile somalien poignarde 5 personnes, dont un enfant à la gorge, à la suite d’un contrôle de ticket dans un bus

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

Pendant sa fuite, il a poignardé un garçon de 8 ans à la jugulaire. Peu de temps auparavant, il avait grièvement blessé deux jeunes femmes qui lui avaient demandé un ticket pour le bus qu’il prenait, ainsi qu’une autre femme qu’il avait rencontrée dans la rue par hasard. Cela s’est produit hier sur la ligne 11, qui allait de Riccione à Rimini. L’agresseur, qui a été arrêté dans sa fuite par la police, est un Somalien de 26 ans, demandeur d’asile sans casier judiciaire.

Tout s’est passé hier après-midi, peu après 18 h 30, lorsque les deux policiers se sont approchés de l’homme pour lui demander un ticket. Comme il n’avait pas de billet, les employés de Holacheck, qui assure le service de contrôle des bus pour Start, la société qui gère les transports publics dans toute la Romagne, ont commencé à remplir des formulaires pour lui infliger une amende.

C’est à ce moment-là que l’homme a réagi furieusement, sortant de sa poche un couteau de cuisine et une paire de ciseaux. Les deux filles ont été frappées respectivement à la gorge et à l’épaule.

Voyant l’agitation, le chauffeur a immédiatement arrêté le bus à l’arrêt Talassoterapico, entre les deux villes de Romagna, et a ouvert les portes du bus pour empêcher l’homme de continuer à harceler la police et les autres passagers. Le jeune homme de 26 ans est alors descendu du bus et a tenté d’arrêter une voiture (qui a continué à courir) puis un gros SUV (qui n’a pas réussi à le faire). Il s’est ensuite enfui à pied en direction de Rimini. Pendant la course, l’homme, passant devant l’un des nombreux hôtels de la région, a tranché la gorge d’un garçon de 8 ans qui se tenait sur le trottoir. Le coup a sectionné la veine jugulaire de l’enfant, qui est maintenant hospitalisé dans un état grave.

Le procureur Ercolani cherche maintenant à comprendre ce qui a exactement déclenché la réaction violente de l’agresseur. Les premières investigations indiquent que le Somalien est un demandeur d’asile. Il n’a pas de casier judiciaire et est inconnu de la police. Les enquêteurs cherchent également à savoir depuis combien de temps il était dans le pays, s’il avait des problèmes psychiatriques ou autres dans son passé et s’il était suivi par les services sociaux.

Des efforts sont également déployés pour comprendre sa situation actuelle, afin de comprendre le motif d’un acte apparemment inexpliqué. La seule piste qui est écartée pour le moment est celle du terrorisme. Les témoins qui l’ont vu s’enfuir en brandissant le couteau et les ciseaux ont déclaré qu’il semblait avoir perdu la tête et qu’il criait des phrases décousues.

La Repubblica

Fête de l’Huma : des slogans anti-police pendant un concert de rap soulèvent une vague d’indignation

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

Le syndicat de police Alliance et le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin ont condamné des propos anti-police tenus dans le cadre de la fête de l’Humanité. Cet évènement réunit de nombreuses personnalités politiques et sympathisants de partis de gauche au Bourget (Seine-Saint-Denis), ce week end.

« Nous attendons tous des partis dits de ‘gauche’ participant à la fête de l’humanité une condamnation ferme des propos injurieux contre la police de la République», a écrit Gérald Darmanin sur son compte Twitter ce samedi.

« En plein procès des attentats du 13 novembre quel esprit républicain ! », a condamné un peu plus tôt le syndicat de police Alliance sur le réseau social. ‘Détester la police c’est salir ceux qui luttent contre le terrorisme aussi», a ajouté l’organisation.

 « Tout le monde déteste la police », peut-on notamment entendre crier les spectateurs, pendant le concert du rappeur Soso Maness organisé vendredi soir, dans une vidéo relayée par Eric Ciotti.

« J’attends des organisateurs et des partis de gauche partenaires de cet événement de haine une condamnation sans appel », a averti l’élu des Alpes-maritimes. Avant de conclure : « Le gauchisme méprise la République. C’est un danger à combattre ».

CNEWS

Didier Lemaire, le prof placé sous protection qui avait déclaré Trappes “ville perdue”, sort un livre

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

[…] Le quinquagénaire s’est fait oublier cet hiver, dans une région reculée, proche de la mer. Il y a écrit Lettre d’un hussard de la République. […]

Dans ce livre, Didier Lemaire revient sur la place de la laïcité à l’école. Il raconte sa réalité de terrain à travers ce qu’il a vécu, vu ou entendu de la part d’élèves et de parents d’élèves dans ce lycée public de Trappes. Le livre risque aussi d’égratigner quelques personnalités du département. “Il ne va pas se faire des amis”, rapporte un proche. Le Maire de Trappes Ali Rabeh en premier lieu. L’édile n’avait pas hésité à défendre sa ville en février dernier en qualifiant, notamment dans nos colonnes, les propos du professeur de “mensongers.”

Une rentrée littéraire qui arrive dans un contexte politique local tendu. Les Trappistes vont devoir retourner aux urnes les 10 et 17 octobre pour élire leur maire. Le 18 août, le Conseil d’État a définitivement annulé l’élection municipale de 2020 remportée par Ali Rabeh (Génération.s). Un premier recours avait été déposé au tribunal de Versailles par l’opposant Othman Nasrou, proche de Valérie Pécresse. Le tribunal avait alors dénoncé des “actions de propagande” menées par Ali Rabeh. Il vient donc de perdre en appel devant la plus haute juridiction administrative. […]

Les Echos

Zemmour face à Ruquier et Léa Salamé : « 70% des Français pensent comme moi : Nous ne sommes plus chez nous aujourd’hui. Il ne suffit pas d’être né en France pour être Français »

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

Challans (85) : une prière de rue musulmane a réveillé les riverains au matin du 11 septembre. Les habitants tétanisés, le député dénonce une provocation

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

« En plein centre-ville de Challans, devant le laboratoire d’analyses Chevillon, rue du Maréchal de Lattre de Tassigny, entre 7 heures et 7 heures 30 ce samedi matin, trois individus équipés d’une sono puissante ont déroulé leur tapis de prière et commencé la prière musulmane du Chourouk. »

C’est avec ce constat choc que le député Philippe Latombe, député de la première circonscription de la Vendée, a alerté les médias vendéens d’une prière de rue qui s’est déroulé hier, samedi 11 septembre, dans le coeur de ville de la troisième ville de Vendée.Publicité

L’élu de la République y voit une sévère provocation alors que cette prière musulmane du Chourouk a réveillé les riverains, vingt ans jour pour jour, après les attentats du 11 septembre 2001. […]

Selon la collaboratrice parlementaire du député vendéen, contacté par nos soins, les employés du laboratoire Chevillon se sont déclarés « tétanisés ». […]

Actu.fr / Le Journal des Sables

Éric Zemmour bondit à 19 % dans un sondage : quelles conséquences ?

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

19 %. Allons-y tout droit : mais 19 % de potentiel électoral. C’est le chiffre lâché, vendredi soir, par L’Incorrect, dans un sondage exclusif de l’IFOP réalisé les 7 et 8 septembre sur un échantillon de 995 personnes, « représentatif de la population française âgée de 18 ans ou plus, c’est-à-dire de l’ensemble du corps électoral », selon l’expression consacrée. La question était : « Seriez-vous prêt à voter pour Éric Zemmour s’il était candidat à la prochaine élection présidentielle de 2022 ? »

Le journal souligne les deux raisons qui font de ce sondage un coup de tonnerre dans le ciel si tranquille de cette élection 2022 déjà jouée, avec son second tour déjà acté. D’abord, ce 19 % montre une « progression de quasiment 50 % par rapport à la précédente enquête du même type (IFOP/Valeurs actuelles des 9-10 février 2021), qui ne lui accordait un potentiel électorat “que” de 13 % ». Ensuite, « il rend désormais crédible l’hypothèse d’une qualification d’Éric Zemmour pour le second tour de l’élection présidentielle ».

Si l’on regarde le chiffre de ceux se disant « certains » d’aller voter pour Éric Zemmour, on tombe à 8 %. Mais c’est tout de même deux fois plus que son score de février. Incontestablement, la dynamique est là. Et la décision du CSA de décompter ses interventions sur CNews en temps de parole ne peut que le servir.

Mais – et on l’a souvent écrit ici, même quand la suggestion d’une telle candidature était partout balayée d’un revers de main – les raisons de la percée d’Éric Zemmour dépassent cette simple conjoncture de rentrée très “zemmourisée”. Elles sont profondes et découlent logiquement de l’état des droites en France. Lui, l’homme de droite de conviction qui a passé trente ans de sa vie à observer tout le personnel politique de droite, au pouvoir ou dans l’opposition, est le miroir tendu à toutes leurs trahisons. La ligne de Zemmour, c’est celle du RPR des années 80, du Sarkozy de 2021, de Fillon en 2017. La différence, c’est son désintéressement et sa sincérité. Ce qui fait beaucoup. Pour lui. Et qui sera lourd à porter pour les rejetons LR Bertrand et Pécresse.

Du côté du RN, aux handicaps structurels du parti s’ajoutent les doutes sur la stratégie et les chances de Marine Le Pen après les échecs lors des dernières élections.

Le succès d’Éric Zemmour provient essentiellement de la déception des électorats de droite qui ne se retrouvent ni dans LR ni dans le RN tels qu’ils sont et qui n’ont su proposer depuis quatre ans aucun renouvellement des hommes, des idées et des pratiques. Il y avait une attente qui s’exprimait périodiquement dans toute une série d’initiatives, mais qui ne trouvait pas de débouché ni de leader. Depuis des années, à droite, beaucoup rêvaient à cette troisième voie qui ferait tomber les murs des vieux partis. On – les tenanciers des boutiques ayant pignon sur élections- leur répondait gentiment qu’ils étaient de doux rêveurs. Aujourd’hui, Éric Zemmour est venu incarner ce fantasme.

Désormais, la candidature Zemmour s’impose à tous et affole tous les compteurs, jusque dans le camp Macron, comme le montre la pitoyable tribune d’Alain Minc dans Le Figaro, façon « France rabougrie ».

Ce sondage montre aussi la fragilité de l’un des arguments anti-Zemmour que l’on entendait à droite. Il ne serait qu’un candidat de salon, pour intellos ? Or, sa candidature mobilise les milieux populaires où « il enregistre un potentiel électoral de 22 % (et même de 24 % auprès des seuls employés) ».

Ce niveau atteint par Zemmour aura inévitablement des conséquences sur les candidats LR et RN. Pour Ludovic Vigogne de L’Opinion, “c’est une mauvaise nouvelle” pour LR qui n’a toujours pas trouvé son candidat, mais aussi pour Marine Le Pen obligée à assurer sa présence au second tour. Paradoxalement, cela pourrait permettre au candidat LR de se qualifier.

Une autre conséquence, rarement exprimée, de cet abaissement du seuil de qualification pour le second tour serait que ces trois candidats de droite, s’ils se situaient dans la fourchette 13-18%, soient éliminés, entrainant un second tour Macron-Gauche ou Macron-EELV.

En tout cas, cette candidature réintroduit la figure du troisième homme. Une position certes risquée et qui a rarement conduit au succès par le passé. L’un de ses meilleurs atouts demeure sa figure clivante de candidat hors-système qui va lui attirer de vives inimitiés de partout mais pourrait lui conférer une stature de paria, propre à séduire l’électorat.

Frédéric Sirgant

Thaïs d’Escufon condamnée à 3 mois de prison avec sursis pour avoir « stigmatisé » les afro-musulmans qui envahissent la France

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

On n’a pas le droit de dire du mal des populations qui viennent nous envahir.

D’après Russia Today :

Deux membres de Génération identitaire ont été condamnés ce 9 septembre par la justice à deux mois de prison avec sursis et 3 000 euros d’amende. Thaïs d’Escufon, ancienne porte-parole de ce mouvement d’opposition à l’immigration, et le militant Jérémie Piano ont ainsi été condamnés pour des vidéos diffusées en marge d’une opération anti-migrants menée en janvier 2021. La première l’a été pour «injures publiques» et le second pour «provocation à la haine raciale».

Génération identitaire, depuis dissous par la justice «conformément aux instructions» d’Emmanuel Macron, avait alors organisé dans les Pyrénées une opération baptisée «Defend Europe» avec une trentaine de militants. Son objectif affiché était de tenter de repérer d’éventuels migrants illégaux à la frontière franco-espagnole et de les signaler aux forces de l’ordre.

Lors de l’audience, qui s’était tenue le 16 juin en l’absence des prévenus, le procureur de la République de Saint-Gaudens, Christophe Amunzateguyavait requis quatre mois de prison avec sursis et réclamé 4 000 euros d’amende pour chacun. Il estimait que, dans une vidéo YouTube publiée deux jours après l’opération de Génération identitaire, Thaïs d’Escufon avait «stigmatisé» les migrants,en affirmant qu’il était «scandaleux qu’un migrant puisse traverser la frontière». Selon l’AFP, le procureur reprochait à ces propos de caractériser «ce passage de la frontière comme un danger». Et d’argumenter : «C’est une spéculation sur la notion de danger alors que rien n’est argumenté.»

«La question porte sur la liberté d’expression politique» Jérémie Piano s’était pour sa part vu reprocher par le procureur un «appel à la révolte» et la «construction d’un discours stigmatisant», pour une vidéo dans laquelle le militant identitaire évoquait une «invasion migratoire» de «milliers de clandestins déjà en France [dont] probablement des voleurs, des violeurs et des terroristes en puissance». «C’est une procédure très particulière, la question porte sur la liberté d’expression politique», avait néanmoins reconnu Christophe Amunzateguy.

L’organisation SOS Racisme, partie civile lors du procès, s’est félicitée de la décision de justice dans un message publié sur Twitter ce 9 septembre.

L’histoire secrète de SOS racisme.

Damien Tarel est à nouveau libre et ne regrette pas d’avoir giflé le tyran Macron !

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

La chanson du jour, Happy Face – Ibrahim Maalouf

Articles : Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021

Un petit bijou ce morceau où la trompette est mise à l’honneur. Ca réveille et ça donne envie de bouger. Energie et belle musicalité si on devait résumer !