01:02 Belmondo : Un coup de poing dans la bien-pensance La mort du celèbre et charismatique Jean-Paul Belmondo a provoqué un grand émoi médiatique. Jean-Yves Le Gallou revient sur la mort de l’acteur et l’hypocrisie de certains qui lui rendent hommage …
04:05 Le Procès des attentats du Bataclan : “Il n’y a de Dieu qu’Allah” dit Abdeslam Le procès des terroristes du Bataclan et de leurs complices s’est ouvert cette semaine. Beaucoup attendaient que Salah Abdeslam se confie et fasse preuve d’émotion. Il n’en est pas question pour lui.
34:34 COVID : entre censure et dévoilement Patrick Cohen dit la vérité sur les vaccins dans son édito C à Vous, la chaîne supprime l’émission. Dans ce deuxième sujet, Jean Yves Le Gallou démasque les censeurs qui souhaitent juguler la libre expression quant aux politiques vaccinales.
La passage censurée par France Télévision ci-dessous( Véran – Cohen) :
Il n’y a rien à dire : l’Occident est tombé bas. Même très bas. Après le spectacle de sa débâcle à l’aéroport de Kaboul face à l’islam, le voici qui récidive à nouveau, en montrant sa lâcheté au reste du monde, avec le déroulement du procès des attentats de Paris du 13 novembre 2015, qui ont fait cent-trente morts et des centaines de blessés et revendiqués par l’État islamique (Daesh). Un procès qui va duré neuf mois, mais pour quel résultat? Va-t-il être un procès de l’islam? Sûrement pas.
Ce procès sera une parodie, sans plus, car l’essentiel de ce qu’il doit être dit, ne sera jamais dit. C’est l’omerta. L’islam fait peur et c’est cela le fond du problème. Il sera un procès spectacle et toute autre explication n’est que littérature. Sans aucun intérêt! Face au principal accusé vivant, le sieur Salah Abdeslam qui se présente comme un soldat d’Allah qui n’a que mépris pour l’Occident qu’il considère comme décadent, indigne et ennemi éternel de l’islam, l’oligarchie et la bobocracie parisienne sont désarçonnées. Devant leur incapacité à comprendre les motivations de l’accusé, elles donnent une piteuse image de l’Occident.
Pendant que Salah Abdeslam parle de djihad et de la mort sur le sentier d’Allah, la cour discute des formes juridiques du procès. Les droits de l’homme, cette religion de l’Occident déchristianisé, sont en train de le détruire de l’intérieur. L’enfermement des élites françaises dans le droit-de-l’hommisme fait craindre le pire pour l’avenir de la France, car on ne combat pas le djihad islamique par la parlotte et des règles désuètes. Salah Abdeslam affirme haut et fort que la vie d’ici-bas ne l’intéresse nullement et n’attend que la mort dans sa cellule avant de rejoindre le Paradis d’Allah et les soixante-douze houris, ses futures épouses éternelles. À part ça, ce procès n’apportera rien de nouveau pour éclairer les Français des dangers auxquels ils devront s’habituer durant des décennies à venir face à l’islam, à condition qu’ils en prennent conscience. pour le moment, ce n’est pas le cas. Le chemin qu’ils ont pris les conduira directement au boulevard du suicide. Et ce n’est pas avec des droits de l’homme obsolètes et des discours usés de bienveillance qu’ils arriveront à bout de la conquête islamique dont ils sont victimes quotidiennement. “Tu n’auras pas ma haine” n’a jamais été une solide riposte au djihad ; bien au contraire, ce slogan creux est inefficace face aux soldats d’Allah.
Salah Abdeslam, une fois de plus, vient de leur prouver qu’ils sont à côté de la plaque, et qu’ils n’ont rien compris au djihad qui est en vérité le sixième dogme de l’islam. Que cela leur plaise ou non. En vérité, le réel les dérange et ils veulent le fuir en le dissimulant sous des tonnes de dossiers. Ce que Salah Abdeslam a dit face au président de la cour est inscrit pour l’éternité dans le Coran car il se considère comme un guerrier d’Allah et veut mourir en martyr. Il suit à la virgule près les recommandations d’Allah. Et ça, la justice française ne peut pas le comprendre, car il s’agit bien du choc de deux civilisations qui s’affrontent mortellement depuis des siècles. Et ce n’est pas un procès qui mettra fin à cette confrontation. « Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le sentier d’Allah qu’ils sont morts. Au contraire, ils sont vivants, mais vous en êtes inconscients » (sourate 2 verset 154). « Qu’ils combattent donc dans le sentier d’Allah, ceux qui troquent la vie présente contre la vie future. Et quiconque combat dans le sentier d’Allah, tué ou vainqueur, Nous lui donnerons bientôt une énorme récompense » (sourate 4 verset 74).
Au moins, Salah Abdeslam est cohérent dans ses paroles et ses gestes mais l’oligarchie politico-médiatique française est irresponsable car elle espère que ce procès sera un exemple pour le futur. Que nenni ! Au contraire, ce procès est une tribune offerte gratuitement à Salah Abdeslam pour encourager le djihad et recruter ainsi de nouveaux combattants prêts et motivés au sacrifice suprême (martyr). Le djihad contre les mécréants a de beaux jours devant lui avec un tel aveuglement. Qu’on se le dise et qu’on le répète matin et soir : l’islam ne recule que devant la force mais pour le moment l’Occident est incapable de lui faire face. Il est l’unique responsable de sa propre défaite. Il s’est désarmé lui-même en décrétant des lois qui l’ont mis à genoux en devenant une proie face à l’islam.
La vulnérabilité de l’Occident provient de son incohérence et de sa lâcheté. L’islam a le temps devant lui parce qu’il a toujours pour objectif de conquérir la vieille Europe depuis le VIIe siècle, mais cette donnée historique, les pleutres Occidentaux l’ont déjà oubliée, en ouvrant leurs portes à l’invasion islamique. Il y a des millions de musulmans comme Salah Abdeslam qui n’attendent que le moment propice pour se lancer à la conquête des pays de Dar-Al-Harb. Mais ça, les élites occidentales semblent l’ignorer. L’Occident est devenu l’objectif numéro un pour l’islam, à cause des lois qu’il a décrétées et qui favorisent sa conquête. Sa soumission à Allah! Par ignorance ou par inconscience, il a armé son ennemi historique.
Tant que le peuple français restera castré, endormi car sa panse est pleine à craquer, et que les politiques gèrent leurs boutiques, passant outre les intérêts de la nation, en lorgnant vers les maroquins au lieu de regarder le futur, l’islam risquera à moyen terme de culbuter la France.
Bravo à vous Pr RAOULT ! Ils sont tellement nombreux ces journalistes à manquer de respect aux invités.. Vous avez raison de ne pas vous abaissez à ces gens là..
(…) Éric Zemmour raconte aussi pour la première fois sa conversation avec Emmanuel Macron. Après son agression verbale filmée et diffusée sur les réseaux sociaux, le président de la République l’a appelé. Pendant plus de quarante-cinq minutes les deux hommes vont échanger sur les « racailles », la République, les banlieues et l’islam. « Je lui dis qu’il y a toujours des individus bons ou méchants, peu importe, mais je crois aux inconscients collectifs qui nous dirigent, et l’inconscient collectif de ces populations musulmanes est de coloniser l’ancien colonisateur, de dominer l’infidèle au nom d’Allah. » À ces mots, selon l’auteur, Emmanuel Macron lui aurait concédé avoir « raison sur ce point », mais que « s’il parle comme moi, on va à la guerre civile ; je lui dis qu’on va de toute façon à la guerre civile si on continue la politique qu’il suit ». Le plus savoureux de cet échange reste le moment où Éric Zemmour lui parle de son projet : « Je lui dis : j’ai un plan si vous voulez, il y a de nombreuses mesures à prendre. » Il me coupe : « Ça m’intéresse. » Et à la fin de la conversation, le chef de l’État le relance : « Au fait, votre plan, faites–moi une note. » Je fais mine de ne pas comprendre : « Quel plan ? » Il enchaîne, amusé de m’avoir bousculé : « Mais voyons, votre plan sur l’immigration, mon secrétariat vous contactera. »
Bien sûr, Éric Zemmour n’en fera rien. Il ne veut pas brûler ses cartouches trop vite. Les garde-t-il pour une candidature à l’élection présidentielle ? Éric Zemmour se refuse à l’évoquer. Trop tôt. Trop d’incertitudes encore aujourd’hui. Ne vaut-il mieux pas attendre l’automne quand les Républicains choisiront leur candidat ? Rien ne sert de se presser et de céder à la pression médiatique. Pour autant, l’organisation se met en place. Des maires reçoivent des demandes de parrainages pour valider sa candidature ; des experts rédigent des notes ; des financiers sont sollicités, quand ce ne sont pas eux qui prennent les devants. De ce point de vue, ceux qui travaillent avec lui racontent leur sidération de voir des expatriés, qui avaient soutenu Emmanuel Macron en 2017, chercher à le joindre pour lui proposer de l’aider financièrement s’il se lance.
Pour oublier tous vos soucis et décompresser rien de tel qu’un morceau de Mike Oldfield pour s’évader. Prenez cette petite parenthèse de 5 minutes….vous verrez ça ira beaucoup mieux après.
L’émission gauchisante Quotidien, de Yann Barthès, a envoyé des journalistes ..à la fête du cochon organisée par le Parti de la France, parti identitaire et patriote, dimanche 5 septembre à côté de Rennes.
La raison invoquée ? Le procès de Cassandre Fristot, une jeune femme ayant brandi, à l’occasion d’une manifestation contre le pass sanitaire, une pancarte jugée antisémite par la presse mainstream militante, quelques ligues de vertus, quelques personnalités politiques ainsi que quelques magistrats bien placés, ce qui aura suffi à amener la jeune femme en garde à vue 48h, et à se voir menacer (c’est ce que l’Etat a réclamé à son procès) de trois mois de prison avec sursis et de trois ans d’inéligibilité, en plus de la véritable exécution sociale, professionnelle, qu’elle a subi suite à son exposition médiatique digne de la chasse aux sorcières.
Verdict judiciaire fin octobre, bien que pour la jeune femme, le procès politique et médiatique ait déjà été lourd de conséquences.
Les journalistes ont donc cru bon de se déplacer, à la fois dans l’Est lors du procès en sorcellerie, mais aussi en Bretagne, à la rencontre de militants et de sympathisants du parti politique auquel appartenait l’accusée. Ob jectif ? Se comporter, encore et toujours, comme de petits soldats du journalisme gauchiste, inquisiteurs. Mais les tentatives des journalistes de diaboliser semblent de moins en moins faire mouche…
Vous voulez voir la différence de traitement de l’information ?
Plusieurs nouvelles technologies apparemment indépendantes vont converger pour déboucher sur un système de contrôle qui modifiera profondément le quotidien des citoyens. Quatre étapes sont attendues. En voici une présentation rapide.
Étape 1 : le passeport sanitaire, dont le QR code téléchargeable sur téléphone est la représentation numérique. Tout individu est ainsi en mesure de prouver son statut vaccinal. Sans cela, il est à craindre que les portes de la vie moderne lui soient closes. Le sujet est suffisamment actuel et connu pour ne pas s’y étendre.
Étape 2 : le dispositif d’identification numérique universel. Des entreprises comme Thalès y travaillent depuis plusieurs années avec les gouvernements. Il fonctionnera avec le passeport sanitaire numérique pour ne faire qu’un. En deux mots, il s’agit de pouvoir prouver son identité de façon dématérialisée (sans carte d’identité). À l’aide de son portable dans un premier temps et grâce à une puce sous-cutanée un peu plus tard (c’est déjà en phase de test dans deux États africains).
Les certificats papier étant facilement falsifiables, toute personne pourra ainsi prouver qu’elle est vaccinée et qu’elle est bien la personne qu’elle prétend être.
Un consortium nommé Alliance ID2020 a été chargé de dérouler rapidement le processus. Il regroupe notamment Accenture, Microsoft, la fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, MIT Safe Paths et GAVI Global Alliance for Vaccines de Bill Gates.
Étape 3 : la nouvelle monnaie numérique sur laquelle les banques centrales ont beaucoup travaillé (le digital wallet). Selon Christine Lagarde, l’euro numérique est déjà à l’étude et son lancement est prévu pour 2026. Fondé sur la technologie blockchain, il permettra de rendre tous les flux monétaires parfaitement traçables et contrôlables. Il sera ainsi possible de désactiver très facilement le compte d’un individu que les autorités suspecteraient d’activités illicites.
Nous le voyons, l’objectif est de créer une identité numérique complète, mixant des données sanitaires (vaccinales), civiles et bancaires infalsifiables.
Étape 4 : le passeport Internet. Ce dispositif constituera la dernière étape du système de contrôle numérique. Si la circulation sur la Toile est, aujourd’hui, libre pour tout le monde, elle ne le sera probablement plus puisqu’il est envisagé de créer une sorte de permis de conduire virtuel qui nous sera accordé sous réserve d’un examen périodique de notre activité en ligne.
D’aucuns pourraient y voir un outil destiné à éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Il est vrai que dans la société hyper-numérisée qui s’en vient, être privé d’Internet signifiera une mise au ban de la société.
Pas d’inquiétude, cependant, puisque ce « Great Reset » qu’on nous prépare avec l’aimable collaboration de Big Pharma, Big Data et Big Tech n’a pas d‘autre vocation à encadrer nos vies afin de les rendre plus sûres, plus commodes, plus vertes, moins inégales et plus inclusives…
Rappelons-nous ce qu’avait écrit le fondateur du Forum de Davos, Klaus Schwab, dans un livre publié début 2016 : « La 4e révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique. »
Grâce à la peur opportunément engendrée, le Covid-19 fut alors l’occasion de précipiter le processus en obtenant des peuples leur consentement.
« La loi c’est la loi. En droit, le #CSA n'a aucun fondement juridique pour sa décision » précise Françoise Laborde, membre du Conseil supérieur de l'audiovisuel de 2009 à 2015, sur le comptage du temps de parole du non-candidat Éric #Zemmour. pic.twitter.com/d2lIsBxDGQ
Le tribunal correctionnel d’Auxerre jugeait hier quatre jeunes hommes pour des faits de violences commis le 26 juillet dernier à Tonnerre.
Ce soir d’été, ils se sont introduit chez un tonnerrois pour lui réclamer une soit disant dette de mille euros. Sauf que l’homme en question n’est au courant de rien. S’en suivent trois heures de violences et maltraitances qui ont traumatisé la victime à tel point qu’elle n’a pas pu se rendre à l’audience ce lundi. Selon son avocate, son client est une personne vulnérable. Le jour de l’agression il explique aux quatre jeunes qui s’introduisent chez lui qu’il est sous curatelle. Pour toute réponse l’un d’eux lui lance : « si tu ne donne pas l’argent , on va te planter. » Le calvaire va durer trois heures, il est frappé, insulté, une partie de son mobilier est cassé. Puis il est emmené dehors pied nus et ils lui lancent des pierres. Ensuite, la victime est emmenée dans un garage et un de ses agresseurs lui verse de l’huile de moteur sur la tête et menace d’y mettre le feu. Les auteurs ne s’arrêtent pas là : ils l’obligent à grimper en haut d’un silo et menace de le pousser pour faire croire à un suicide. « On l’oblige ensuite à se jeter dans le canal , pour qu’il se nettoie » explique un des agresseurs à la barre du tribunal.
Cet acharnement de violences a traumatisé la victime qui aujourd’hui vit cloitré dans son appartement à expliqué son avocate. Selon les services sociaux son état s’est d’ailleurs largement dégradé depuis l’agression.
Les quatre tortionnaires ont été condamnés à des peines comprises entre 18 mois et un an de prison dont six à trois mois ferme. Ils n’iront toutefois pas en prison puisque leur peine a été aménagée. Ils ont été placés sous bracelets électroniques.
Rutube.fr : Mettez vous à la place de la victime après tour ce qu’elle a subi et à la peine légère énoncée (pas de prisons effective). on n’a plus les moyens de mettre les délinquants en prison, on n’a plus les moyens de protéger la population. L’avenir des français est vraiment de plus en plus sombre.
Le procès a eu lieu en vidéoconférence lundi 6 septembre à Rangoun. Il n’a duré que quelques minutes, les charges ont été abandonnées et le moine Ashin Wirathu, 53 ans, a recouvré la liberté le soir même. Aucun autre détail n’a été donné par la junte militaire, qui a annoncé la libération de ce moine bouddhiste ultra-nationaliste ayant diffusé des discours de haine contre les musulmans rohingyas depuis des années. Il était incarcéré dans la prison de Insein depuis novembre dernier après avoir été en cavale pendant des mois.
Le 29 mai 2019, un mandat d’arrêt « pour incitation à la haine » avait été émis contre lui par les autorités birmanes encore sous la direction d’Aung San Suu Kyi. Il aurait alors quitté son monastère de Mandalay pour se rendre à Rangoun et se livrer aux autorités mais il a brutalement disparu de la circulation pour ne réapparaître et se rendre à la police qu’en novembre 2020. Il est resté en prison depuis, même au lendemain du coup d’État mené par les militaires birmans le 1er février 2021, en attendant son procès.
Selon le site d’informations Irrawady toujours très bien informé, le moine aurait diffusé le mois dernier une vidéo dans laquelle il se plaignait de sa détention et accusait la junte de vouloir le briser moralement. « La Ligue nationale pour la démocratie (LND d’Aung San Suu Kyi) a incarcéré et persécuté un moine, a-t-il déclaré dans cette vidéo, et la junte fait la même chose en rendant un moine complètement fou ». Mais ce moine bouddhiste de 53 ans n’en est pas à son premier séjour en prison.
Il avait déjà été condamné en 2003 à 25 ans de prison pour avoir prêché l’extrémisme et distribué des livres interdits. Il avait été libéré en 2012 aux côtés de plusieurs milliers de prisonniers politiques, profitant de l’ouverture politique du pays après la dissolution de la junte un an plus tôt. En 2013 toutefois, bien avant la reprise des exactions de l’armée entre la minorité musulmane Rohingyas, le magazine américain Time l’avait présenté en Une comme le « visage de la terreur bouddhiste ».
Il a ensuite été placé sur la liste noire de Facebook qui en 2018 a fermé son compte jusque-là très suivi en Birmanie. Tout juste un an après les massacres perpétrés par l’armée contre cette minorité. Près de 800 000 Rohingyas ont fui au Bangladesh voisin depuis août 2017, précisément au moment où les plus hautes autorités bouddhistes de Birmanie avaient décidé d’interdire ses prêches pour un an.
Mais à l’issue de cette période il avait à nouveau fréquenté les meetings nationalistes pro-militaires dénonçant la corruption du gouvernement d’Aung San Suu Kyi, jusqu’au coup d’État qui a eu raison d’elle. À 76 ans, elle est aujourd’hui assignée à résidence dans la capitale Naypyidaw et risque, elle, de longues années de prison.
Sans lui, les forces musulmanes auraient déjà transformés la province d’Arakan en émirat djihadiste.
Le reportage suivant est assez représentatif de la diabolisation de toute résistance à l’islam conquérant par les démocraties occidentales :
Peu importe ce qu’ils disent à présent, les musulmans ont été déportés au Bangladesh et la Birmanie est désormais libre de tout risque terroriste. Ceci, grâce à la lutte de Ashin Wirathu qui a su réveiller la conscience des masses birmanes.
Aujourd’hui, seuls les asiatiques ont démontré une volonté de régler le problème causé par l’islamisme . […]