Un reportage incroyable. Honte à tous ces politiques qui ne font rien !
Alors que la colline du crack a récemment été évacuée, rien n’a changé et le problème reste entier à Paris. Ils seraient à minima 1500 à consommer quotidiennement cette drogue du pauvre dans les rues parisiennes. Les toxicomanes se rassemblent et forment régulièrement des camps en plein Paris ou en banlieue. Vincent Lapierre et l’équipe du Média pour Tous sont allés à la rencontre des habitants du 19eme arrondissement, rue Riquet, là où s’entassent 400 crackers.
01:31 Rendre sa gloire à la France Deux étudiants bourguignons ont fait le pari d’escalader l’Arc de Triomphe empaqueté par Christo pour y accrocher une banderole sur laquelle nous pouvions lire “Honneur aux soldats morts pour la patrie”. Un geste courageux, symbolique, et sacrément péchu !
04:28 Fact-checkers : Faux vérificateurs, vrais désinformateurs Les fact-checkers ont encore désinformé le public cette semaine. BFMTV durant le débat Zemmour – Mélenchon, France Inter sur Bardella, une tournée du “Vrai ou Faux” dans les écoles, des bobards sur les taux de natalité … Jean-Yves Le Gallou montre le vrai visage de ces imposteurs.
37:46 La dangereuse influence des médias Le traitement médiatique français des élections allemandes s’est démarqué par sa pauvreté. Jean-Yves Le Gallou revient sur le rôle des médias dans les élections allemandes et leur influence grandissante outre-Rhin.MOINS
Les médias ont censuré Russia Today en Allemagne au motif que les Slaves n’ont pas le droit de dire ce qu’ils veulent.
Si la presse salue cette décision, elle est en revanche scandalisée par l’annonce du gouvernement russe de son intention de faire de même à leur encontre.
C’est une erreur « 404 Not Found » : depuis mardi après-midi, les chaînes YouTube de RT Deutsch et Der Fehlende Part sont inaccessibles à ses quelque 600 000 abonnés. Ce qui a poussé, le Kremlin à réagir, mercredi 29 septembre et à dénoncer une « censure ».
YouTube, le site de vidéos de Google, a bloqué les chaînes de RT Deutsch et Der Fehlende Part parce qu’elles sont accusées d’avoir diffusé de « fausses informations » sur le coronavirus. Et parce que RT DE a voulu, par l’intermédiaire de sa chaîne Der Fehlende Part, contourner l’interdiction de diffuser de nouvelles vidéos pendant une semaine après la mesure restrictive visant RT. De son côté, RT estime que la suspension initiale, qui devait être levée mercredi, visait à handicaper son fonctionnement à l’approche des législatives en Allemagne le 26 septembre.
« YouTube a toujours eu des directives claires pour la communauté, qui décrivent ce qui est autorisé sur la plate-forme », a expliqué YouTube dans un communiqué, cité par Süddeutsche Zeitung, rappelant les entorses commises par RT DE.
Disons plutôt que la (((communauté))) a toujours eu des directives claires pour YouTube.
De son côté, Margarita Simonian, la rédactrice en chef des médias d’Etat russes Rossia Segodnia, RT et Sputnik, a évoqué la « guerre médiatique déclarée par l’Etat allemand à l’Etat russe », rapporte le journal Novaïa Gazeta. Sur Twitter, elle a appelé les autorités de la Fédération de Russie à « fermer les bureaux d’ARD et de ZDF » et à « interdire Deutsche Welle et d’autres médias allemands en Russie ».
En fait, ces médias « allemands » auraient dû être interdits depuis longtemps et pas seulement en Russie.
Dans un document inédit diffusé mercredi soir sur RMC Story, le journaliste d’investigation et spécialiste en crime organisé Jérôme Pierrat plonge dans le trafic de drogue et ses règlements de comptes. Génération Kalash : la face cachée des cités.
Ne pavoisons pas, rien n’est joué. Mais savourons l’instant.
Notre champion talonne Marine, fait jeu égal avec Bertrand, dépasse Pécresse et écrase Barnier. Voir plus bas les divers scénarios.
Depuis juin, l’essayiste qu’on prenait pour un lapin de 6 jours égaré dans le monde féroce de la politique est passé de 3 % à 14 %. Dans le même temps, Marine, qui voyait Zemmour définitivement scotché à 3 %, est passée de 28 à 16 %. Un score presque divisé par deux. C’est plus qu’un effondrement, elle part en vrille et n’en sortira pas jusqu’au crash.
Bardella a beau dire qu’elle est toujours au second tour et qu’il a autre chose à faire que commenter les sondages, Marine il faut l’oublier pour le bien de la France.
Au RN, on croit aux sondages quand ils annoncent Marine à 48 % au deuxième tour, mais on n’y croit pas quand on la donne à 16 % au premier tour, talonnée par Éric Zemmour !
Le peuple sait reconnaître le parler vrai de Zemmour après 30 années de mensonges et de tromperies de l’establishment. D’où l’affolement dans la ruche. La droite panique car elle n’aura pas de candidat avant le 4 décembre, ce qui laisse la voie libre au pourfendeur du mondialisme.
Zemmour bouscule tout et tous ses opposants découvrent soudain que l’immigration est un problème, après avoir mis le sujet sous le tapis depuis des lustres. Le grand bal des faux-culs ne fait que commencer.
L’ouragan Zemmour va-t-il tout dévaster dans un paysage politique figé depuis une éternité ? Les courbes Zemmour-Marine vont bientôt se croiser, autour de 15 %, balayant une fois pour toutes le scénario écrit depuis 2017, avec un deuxième tour Marine/Macron au bénéfice de ce dernier.
Toute la classe politique commence à trembler. Car le programme Zemmour, c’est un monumental coup de balai après 30 années de renoncement des élites à protéger la France et son peuple.
On voit même Sarkozy, qui a trahi l’électorat FN en 2007, se découvrir soudain une fibre patriotique alors qu’il a bradé la France à l’UE et volé au peuple son “non” au référendum sur la Constitution européenne. Il fut pire que Hollande.
Pour la première fois depuis des années, cette élection va enfin avoir un sens, et voter ne sera plus un acte civique inutile, menant à la même politique nuisible aux intérêts français.
Nous devrions voir en 2022 la plus forte participation électorale de tous les temps si Éric Zemmour se retrouve face à Macron au deuxième tour. Le rêve de tout patriote.
Depuis que la France a fait allégeance à Bruxelles, droite et gauche ont rigoureusement conduit la même politique mondialiste dévastatrice, imposant les diktats de l’UE contre l’avis du peuple français et légiférant pour le faire taire.
Mais l’heure est venue de mettre un terme à la dictature de la pensée unique qui tue la nation. C’est au peuple que doit revenir le droit de décider lui-même de son propre avenir, pas aux fossoyeurs de la patrie.
Marine a bien annoncé depuis longtemps que le combat se joue désormais entre les populistes et les mondialistes, entre les patriotes et les forces maléfiques qui rêvent de détruire les nations, mais son patronyme et ses insuffisances lui interdisent à jamais l’accès à l’Élysée.
Elle revient aujourd’hui sur les fondamentaux du FN, qu’elle avait ignorés lors du sinistre débat de 2017. Mais c’est trop tard. Elle peut toujours courir derrière Zemmour, elle est définitivement grillée.
Car aujourd’hui, c’est l’ovni Zemmour qui est en train de tout balayer. Va-t-il enfin annoncer sa candidature ? Oui. Va-t-il l’emporter en 2022 ? Je l’espère comme tous les patriotes de ce pays qui refusent la disparition de notre France millénaire, de notre civilisation, en un mot la disparition de ce que nous sommes.
En tout cas, la logistique se met en place et l’armée de fidèles se met en ordre de bataille.
Éric Zemmour, c’est l’espoir du peuple. Lui seul peut nous sauver du désastre. Et c’est bien pour cela que le dernier sondage Harris Interactive est très encourageant. C’est une lueur d’espoir pour en finir avec la politique mondialiste suicidaire qui nous détruit depuis 30 ans.
Zemmour a fait le bon diagnostic et il a les solutions. Il est notre seule planche de salut, chaque patriote doit en être convaincu. Marine ne sera jamais présidente et elle le sait, au RN tout le monde le sait.
C’est fin de partie pour elle. Elle entretient son fonds de commerce qui ne sert qu’à une poignée d’élus RN qui vivent de la politique, mais elle ne sauvera pas la France du naufrage.
Le 15e sondage Harris Interactive étudie trois scénarios en fonction du candidat LR qui sera choisi.
À ce jour, dans les trois cas de figure, Macron caracole en tête au delà de 23 % et Marine reste scotchée à 16 %, se qualifiant pour le deuxième tour.
C’est donc la qualification pour ce deuxième tour qui se joue derrière Macron. Zemmour est à 13 % ou 14 % selon le scénario choisi. Il dépasse Pécresse et Barnier et menace Bertrand à 14 %.
Il est clair que la dynamique est du côté de Zemmour, dont le discours de vérité et la prise en compte des craintes du peuple font mouche.
Il faut s’attendre à une campagne violente, voire dégueulasse pour parler franc. Mais la diabolisation ne marchera pas.
Accuser Zemmour de harcèlement sexuel, ça ne marche plus quand les femmes ont peur dans les transports et dans la rue. Ce n’est pas à cause des natifs qu’elles ne portent plus de minijupes ou de décolletés.
Traiter Zemmour de raciste multicondamné est un mensonge sans effet. Les électeurs savent très bien que ce n’est pas Zemmour qui les traite de sales Blancs ou de sales Français. Stop au délire bien-pensant !
Le taxer de révisionnisme, de pétainisme ne touche aucunement les jeunes générations qui regardent l’avenir et pas le passé vieux de 80 ans !
Ces misérables accusations ne grandissent pas les mondialistes, de gauche comme de droite, qui ne comprennent rien à ce qui leur arrive. Ils ont tout simplement ignoré le peuple pendant 40 ans et découvrent brutalement un candidat patriote sincère qui veut redonner la parole au peuple. On comprend leur désarroi.
Jamais les Français, depuis que leurs élites les ont trahis au profit des mondialistes, n’ont été aussi près de reprendre leur destin en mains.
Soutenons Éric Zemmour, soyons des millions à porter son message pour sauver la France du naufrage identitaire.
N’écoutez pas les oiseaux de malheur qui accusent ce patriote de diffuser la haine et le chaos, alors que ce sont les fossoyeurs de la nation qui ont semé les germes de la guerre civile.
C’est la politique de Macron qui nous amènera la guerre civile. Gérard Collomb n’a pas dit autre chose en annonçant un face-à-face imminent.
Éric Zemmour est notre seule planche de salut. N’écoutez pas ceux qui nous mentent et nous trahissent depuis 30 ou 40 ans.
Une responsable de magasin, en pleurs, appelant le propriétaire du fonds de commerce pour lui dire qu’elle va remettre sa démission. « Le 23 septembre, vers 16 h, j’ai aperçu une bande s’approcher d’une jeune fille et l’enserrer par la taille, contre son gré. L’un d’eux a vu que je regardais, il m’a donné l’ordre de baisser les yeux. J’ai tenu tête, il s’est rué vers moi. On était front contre front. Il avait les yeux exorbités du camé. J’ai cru que mon heure était venue », raconte-t-elle.
Sa voisine de palier déballe à son tour. « Le harcèlement de rue, c’est quotidien. Un jour, c’est une ado qui se fait arracher son sac, le lendemain, une employée d’un commerce qui se fait cracher au visage ou à qui on fait le geste du coupe-gorge. On part au travail avec la boule au ventre ». (…) « Beaucoup de clients nous disent déjà qu’ils ne viendront plus. Mais on n’a aucune réponse probante des politiques, alors… » (…)
Patron de deux magasins en bas de la rue Jaurès, cet autre commerçant résume la situation. « On vit avec les délinquants à nos côtés. La rue est à eux. Ils errent toute la journée dans notre environnement, et c’est intimidation sur intimidation ». (…)
Interrogé mardi, le maire (NDR : PS) François Cuillandre déclare être parfaitement au courant de la situation. “Ce sont des comportements inadmissibles et assez nouveaux dans notre ville. J’en ai parlé au nouveau sous-préfet. La Police nationale et la Justice doivent faire leur travail.” (…)
Face au refus de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie de reprendre leurs ressortissants en situation irrégulière, la France a tapé du poing sur la table en annonçant mardi la réduction du nombre de visas accordés à ces trois pays. Une décision soutenue par près de 9 Français sur 10, comme le révèle un sondage exclusif de l’institut CSA pour CNEWS publié ce jeudi 30 septembre.
A la question de savoir si «la France a eu raison ou tort de durcir les conditions d’octroi des visas à l’égard du Maroc, de l’Algérie et la Tunisie qui refusent de reprendre leurs ressortissants en situation irrégulière», 87% des sondés ont en effet répondu par l’affirmative.
Concernant le profil des personnes interrogées, toujours selon cette enquête, les sondés âgés de plus de 50 ans, sont les plus favorables à cette mesure du gouvernement avec 93% de soutien. Les personnes de moins de 34 ans sont, elles, moins nombreuses à soutenir cette décision (76%).
Point à relever, la décision du gouvernement fait l’objet d’un certain consensus, rencontrant même une forte adhésion chez les sondés se revendiquant proches de la gauche (78%). De façon moins surprenante, l’adhésion à la mesure est quasiment totale pour les sondés se sentant proches de la droite et du centre (94%).
Étude CSA pour CNEWS réalisée par questionnaire auto-administré en ligne sur panel du 28 au 29 septembre 2021 auprès d’un échantillon national représentatif de 1.000 personnes âgées de 18 ans et plus.
La France va réduire de 50% les visas accordés à l'Algérie et au Maroc, de 30% pour la Tunisie, qui refusent de récupérer leurs ressortissants qui doivent être expulsés https://t.co/vwieczyZ6Xpic.twitter.com/3eTEo4P05g
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) September 28, 2021
🔴🇫🇷 Les expulsions réelles entre janvier à juillet 2021 :
Placement en garde à vue, peine de prison parfois assortie d’une interdiction de retour sur le territoire : tels sont les risques encourus pour les personnes enfermées en rétention qui refuse un test PCR en vue de leur expulsion. Depuis plus d’un an, cette pratique de l’administration avait ouvert un débat juridique. La loi relative à la gestion de crise sanitaire, promulguée le lundi 9 août, y met un terme : elle confirme la pénalisation, avec le feu vert du Conseil constitutionnel.
[…]
Jusqu’à la décision du Conseil constitutionnel du 5 août – qui valide cet article de loi -, les décisions de justice pouvaient varier d’une région à une autre. “Plusieurs tribunaux résistaient aux poursuites, et relaxaient les personnes”, explique Patrick Henriot, secrétaire général du Gisti. C’est le cas de certaines cours d’appel à Douai, Nîmes ou Rennes, comme en témoignent des documents consultés par InfoMigrants. La loi sur la gestion de crise sanitaire vient donc “surmonter ces résistances”, analyse Serge Slama.
Les associations s’insurgent par ailleurs du cycle infernal entre prison et rétention imposé aux étrangers qui refusent un test PCR. En effet, une fois leur peine de prison purgée, les étrangers sont renvoyés au CRA, “puisque la mesure d’éloignement est toujours valide”, précise Patrick Henriot. La durée maximale de 90 jours est alors renouvelée. “On en vient à un ping-pong infernal entre CRA et prison”, résume-t-il.
Les clandestins se passent le mot : pour éviter d’être extradé, il suffit de refuser de passer le test PCR.
Effectivement sans le précieux sésame, il n’est pas question de monter dans un avion. Mais s’opposer à l’obligation de quitter le territoire constitue en délit. Et le sans-papiers se retrouve devant le tribunal. Lequel le condamne à une peine ferme puisqu’il ne peut justifier d’une adresse fixe. À sa sorte de détention, l’homme est remis aux services de la police aux frontières qui le placent en rétention administrative jusqu’à son expulsion. S’il s’y oppose, il est renvoyé devant la justice, ect.
C’est ce qui arrive à Abdoul, un ressortissant guinéen. Après une première incarcération, il refuse le test PCR. Durant son audition, il demande un peu ingénument à l’officier de police judiciaire : “Est-ce que je vais rester en prison jusqu’à ma mort ?”
Sans aller jusque-là, le président du tribunal correctionnel de Perpignan doit bien convenir d’une chose : “Tant que vous refuserez le test, nous serons dans l’impasse”.
“Mais, à Conakry, je dois 3.000 € à quelqu’un qui me les a prêtés pour payer mon voyage. Je ne peux pas rembourser. Je veux rester ici”.
“La France ne peut devenir le paradis des débiteurs“, intervient le procureur de la République en réclamant de 3 à 4 mois de prison.
Le tribunal délibère et donne sa décision : 3 mois ferme, maintien en détention et 3 ans d’interdiction du territoire. “Je vais passer le test , s’écrie Abdoul. La réponse du président est évidente : “Vous le passerez Monsieur… dans 3 mois”
Depuis plusieurs mois, des étrangers sont condamnés à des peines de prison parce qu’ils refusent les tests PCR qui leur évitent d’être expulsés. Pour la justice, c’est un refus d’embarquer donc un délit… Pas si simple. L’un d’eux, un Géorgien a été relaxé en appel.
Yurii ne veut décidément pas retourner en Pologne. Arrêté le 9 avril, il a été placé au centre de rétention administrative (CRA) de Lyon car il fait l’objet d’une mesure de reconduite à la frontière depuis le 13 octobre 2020. À deux reprises, en mai et juin, cet ex-ingénieur quinquagénaire a refusé le test nasal obligatoire pour le mettre dans l’avion. Résultat : il s’est retrouvé les menottes au poignet, conduit en comparution immédiate pour y être jugé. Furibond, il lâche, par la voix de son interprète, que ce geste médical est pour lui « un acte de torture » puis tourne le dos au tribunal, les bras croisés.[…]
Pour la justice, ce refus de se faire dépister est considéré comme « une soustraction à l’exécution d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) », donc un délit.
« Un flou juridique »
Il a obtenu gain de cause en juin dernier et son client a été relaxé et remis en liberté. La cour d’appel a jugé que ce refus de test « ne figure pas parmi les actes d’abstention constitutifs du délit de soustraction à l’exécution d’une OQTF ». De plus elle estime que cet acte médical « nécessite le consentement libre et éclairé de l’intéressé ».
Avant Lyon, d’autres décisions de relaxe ont été prises en France. Lors des audiences, les avocats ripostent en citant le cas de Rennes et de Douai.[…]