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SPECIAL COSSETTE entretien avec Richard BOUTRY de La Une TV
Le banquier-cigale Macron nous a mis en faillite totale
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Le banquier-cigale Macron nous a mis en faillite totale.
À coups de chèques sans provisions et au cri de “quoi qu’il en coûte”, la France se retrouve dans la pire situation économique et financière depuis la guerre. Il est évident que Macron et ses bras cassés de Bercy sont les plus calamiteux gestionnaires de la Ve République. Nous sommes les cancres de l’Europe, surendettés comme jamais.
Croissance : Macron, comme toujours, pavoise et se gargarise avec notre croissance de 6 %, oubliant de rappeler qu’en 2020, c’est la France qui a connu la plus forte chute de PIB au sein de l’UE (- 8,2 %). Nous récupérons en partie l’effondrement du PIB en 2020.
Rappelons qu’un PIB de 2 500 milliards qui chute de 8,2 % pour remonter de 6 %, cela donne 2 500/2 295/2 433 milliards. On est encore loin du PIB 2019.
Chômage : Il pavoise en annonçant un chômage à 8 %. Un chiffre totalement artificiel puisque le chômage partiel est toujours de rigueur, à la charge du contribuable. Tous les salariés sont devenus en partie fonctionnaires !
En Allemagne, le chômage est à 4,5 %, aux Pays-Bas, il est à 3,5 % et en Autriche à 5,6 %. C’est donc encore la France qui détient le bonnet d’âne.
Dépenses publiques : Ce sont les plus fortes d’Europe avec 62 % du PIB (1 430 milliards) contre 54 % pour la zone euro. Du jamais vu.
La France a augmenté ses dépenses publiques de 6,7 points de PIB entre 2019 et 2020. La vertueuse Allemagne limite ses dépenses publiques à 50 % du PIB, tout comme les Pays-Bas.
Impôts et taxes : Ils sont gigantesques. Les prélèvements obligatoires représentent 53 % du PIB contre 47 % en zone euro.
Endettement : La dette publique atteint 117 % du PIB et court vers les 120 %. Une hausse de 18 points entre 2019 et 2020 ! Moyenne de l’endettement de la zone euro = 98 % du PIB. En Allemagne, la dette atteint 70 % du PIB, soit 47 points de moins qu’en France.
Rappelons qu’en 2000, la France et l’Allemagne avaient le même endettement de 60 % !!
Déficit public : Il est de 9,2 % du PIB en France contre 7,2 % pour la zone euro. En Allemagne, il atteint 4,2 % et aux Pays-Bas 4,3 %.
Ce qui n’empêche pas Bercy de claironner sans honte :
“Ce que nous avons fait restera comme un modèle de politique économique”.
On croirait entendre Napoléon au soir de l’éclatante victoire d’Austerlitz !
Plus nous sommes ruinés et plus Bercy pavoise !
Il paraît même que la dette n’est plus un problème puisque les taux sont faibles. C’est oublier que l’inflation repart et que les taux d’emprunt vont remonter, alourdissant dramatiquement la charge de la dette. Car les intérêts qui engloutissent la croissance, il faudra toujours les payer.
La France emprunte 250 à 300 milliards par an.
Mais cette situation apocalyptique laisse Macron de marbre. Après moi le déluge ! Seule compte sa réélection, achetée avec des chèques en bois.
Les milliards vont couler à flots. Investissements d’avenir, dépenses de santé, revenu d’engagement pour les jeunes, aides aux entreprises pénalisées par le passe sanitaire…
Les économies ? Aucune !
C’est un véritable désastre. Macron est bien le pire fossoyeur de la nation, aussi incompétent qu’irresponsable.
Immigration de masse et gestion apocalyptique marqueront à jamais le bilan Macron. Un cataclysme économique, social et identitaire absolu.
La France de Macron, c’est le Zimbabwe de l’Europe.
Jacques Guillemain
La Pologne souhaite proclamer l’État d’urgence pour faire face à l’afflux massif de migrants qui s’agglutinent à leurs frontières
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Pologne/Biélorussie – La crise migratoire à laquelle nous assistons depuis plusieurs semaines aux frontières occidentales de la Biélorussie – le régime de Minsk ayant entrepris de rabattre des migrants (principalement irakiens et afghans) expressément importés vers les frontières lituanienne, lettone et polonaise en réponse aux sanctions européennes – pourrait bien entrer dans une seconde phase.
État d’urgence dans la zone frontalière
En effet, après avoir – comme la Lituanie voisine – pris la décision d’ériger une clôture de protection de la frontière sur le modèle hongrois, le gouvernement polonais vient de demander ce 31 août au président Andrzej Duda de proclamer l’état d’urgence dans la zone frontalière du nord au sud des 418 km de la frontière polono-biélorusse.
Le Premier ministre Mateusz Morawiecki s’en est expliqué sur son compte Facebook : « La situation à la frontière avec la Biélorussie est une crise. Le régime de Loukachenko a décidé de pousser des Irakiens vers la Pologne, la Lituanie et la Lettonie. Compte tenu de la situation tendue à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie,
le conseil des ministres a décidé de demander au président Andrzej Duda d’imposer l’état d’urgence pour une période de 30 jours dans une bande frontalière d’une partie de la voïvodie de Podlachie et de la voïvodie de Lublin.
Les restrictions n’interféreront pas le moins du monde avec la vie professionnelle des résidents locaux, ni avec la possibilité d’exercer librement une activité agricole dans cette zone. La Lituanie et la Lettonie ont déjà introduit des restrictions similaires il y a quelque temps.
Cette décision est dictée par le souci de la sécurité de l’État, de nos citoyens et de notre responsabilité de sécuriser les frontières du pays et de toute l’Union européenne, qui nous soutient dans cette démarche.