La chanson du jour, Hippy Hippy Shake – Big Soul

Le week-end approche, il est temps de se réveiller et de bouger son corps sur les “dance floor”. Oui je sais les gestes barrières sont encore là mais rien n’interdit ne bouger ses pieds et d’éliminer quelques calories au son de Hippy Shake. C’est parti !

Rilleux-la-pape (69) : Guet -apens organisé contre un véhicule de police.

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Avis Rutube.fr : Cette vidéo est vraiment intéressante et à partager largement. On voit à quel point les actes de violence commis dans les cités envers la police sont de véritables stratégies de guerre. Rien n’est laissé au hasard. Comme nous le répétons régulièrement, tous ces actes violents sont bien à rapprocher à une guerre des séparatistes : éloigner toute représentation de l’ordre dans ces territoires perdus (Police, pompiers, médecins…) afin d’y opérer des trafics en tout genre pour gagner en autonomie et propager un nouvel ordre religieux (le religion musulmane) . Tant que l’Etat et les français n’auront pas conscience de cet état de fait, rien ne s’arrangera dans notre pays.

Nous subissons une violence endémique qui est révélatrice d’une guerre de civilisation qu’on nous mène sur notre sol. Ce ne sont plus des faits divers.

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Avis Rutube.fr : Les médias ne donnent pas de perspective aux faits de violence commis au quotidien en France. On parle toujours de cas isolés, d’individus marginalisés, de déséquilibrés etc…. Quand on y regarde de plus près il y a une véritable cohérence associée à tous ces actes. Que ce soit , les musulmans radicalisés, les dealers de drogues, les migrants en perdition dans nos rues. Rien que sur ces trois thèmes, on nous présente uniquement les faits. Les journalistes les interprètent sous un angle de “faits divers” mais se gardent bien de donner un sens à tous ces événements : L’Etat ne tient plus les quartiers sensibles, l’Etat ne tient plus l’économie souterraine (Trafic de drogue, trafic d’armes, travail “au noir”, fraude aux aies sociales) l’Etat ne joue plus son rôle d’éducation dans les écoles et collèges. On assiste à une véritable fuite en avant. Les problèmes de fond ne sont pas traités. Jusqu’où le système pourra-t-il tenir ? C’est là toute la question. C’est tout l’enjeu des prochaines élections en 2022.

Rennes : Les grilles d’une école bâchées pour éviter aux enfants la vue des dealers

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Avis Rutube.fr : C’est à ce type d’information que l’on mesure à quel point la France est tombée très bas et reste impuissante à régler ses problèmes. Aujourd’hui, un point de deal très actif (quasiment au pied d’une école) avec des luttes de pouvoir entre dealers, avec déjà un homicide, n’intéresse plus personne. La police n’inquiète même plus ces dealers…c’est une démission totale de l’Etat ! Afin de ne pas inquiéter les enfants la stratégie adoptée : Accrocher des bâches sur les grilles de l’école…impensable et pourtant ils l’ont fait.

Situé dans le quartier de Cleunay, au sud-ouest de la capitale bretonne, l’endroit est en effet un lieu de deal bien connu. C’est là qu’un jeune Tchétchène de 23 ans a été tué par balles le 17 mars dans un règlement de comptes sur fond de trafic de stupéfiants. Des faits d’une rare violence qui ont conduit les autorités à agir dans ce quartier pris en otage par les dealers. « Ils font ça à la vue tout le monde, témoigne un riverain. Ils installent tranquillement leurs chaises dans la rue et ils attendent les clients à longueur de journée ».

20 minutes

Ce jeudi 3 juin 2021, cette mère venue chercher son enfant en fin d’après-midi, à l’école Champion de Cicé dans le quartier de Cleunay, à Rennes, résume le sentiment général qui anime les parents d’élèves. Peu valident la décision d’avoir posé des bâches noires sur les grilles, il y a environ un mois. (…)

Cette mère d’élève décrit : « C’est un quartier très chaud. Il y a beaucoup de trafic de stupéfiants. Mais je ne vois pas l’intérêt de ces bâches. Nous sommes confinés depuis longtemps, c’est lourd pour les enfants. Il n’y a plus de vie. Ça ne ressemble plus à une école. »

Pour Ayoub, qui attend également son enfant ce jeudi 3 juin, « les enfants sont enfermés. Quand ils sont en récréation, ils ont envie de voir l’extérieur ».

Tous ne sont pas opposés à cette initiative. Une mère d’élève se trouvait à proximité des lieux du drame, le 17 mars dernier. Son enfant lui a un jour demandé, à propos d’un guetteur se trouvant près de l’école : « Pourquoi il est sur sa chaise ? ». La Ville de Rennes indique de son côté que la pose de brises vues a été « accueillie favorablement par les parents d’élèves et les membres de l’équipe éducative ».

Actu Rennes