Napoléon est en nous : « Vive l’Empereur et mort aux cons ! »

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Retrouvez l’équipe du magazine Éléments autour d’Olivier François : Pascal Eysseric, directeur de la rédaction, François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, et Rémi Soulié.

À l’occasion d’un dossier consacré à Napoléon, avec des entretiens d’Éric Zemmour et de Thierry Lentz, la rédaction d’Éléments se penche sur la commémoration réservée à l’Empereur par les fossoyeurs de notre histoire nationale…

Au programme également : l’épidémie transsexuelle, la mort de Pierre-Guillaume de Roux et le dernier livre de Rémi Soulié consacré à Hermès, « Les métamorphoses d’Hermès« . Le rendez-vous musclé et impertinent du magazine des idées. Vous pouvez commander Éléments ici :
https://www.revue-elements.com/produit/vive-lempereur-et-mort-aux-cons/​

Source : Revue Eléments.

Cybersécurité. Quelles menaces pour les réseaux de distribution électrique ?

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Les cyberattaques menacent aussi les réseaux de distribution électrique et les entreprises stratégiques du secteur de l’énergie. Avec de potentielles conséquences à l’échelle du pays.

Cybersécurité : des réseaux électriques dans le viseur des pirates ?

Lorsque l’on évoque les questions de cybersécurité, c’est en premier lieu les attaques contre les ordinateurs et les systèmes informatiques qui viennent à l’esprit. Tandis que l’administration américaine a récemment dévoilé un plan pour améliorer la cybersécurité de son réseau électrique, il est intéressant de dresser un inventaire des malveillances à redouter en la matière.

Concernant la France, Laurent Hausermann, co-fondateur de la société Sentryo (rachetée par Cisco en 2019) spécialisée dans la cyberscurité des réseaux industriels, cité par le site Franchweb, révèle l’ampleur de la tâche qu’est la sécurisation des réseaux électriques : « Il faut se rendre compte de la taille de ce type de réseaux. En France, le réseau de distribution représente de mémoire 700 000 points de présence. Donc imaginez qu’Enedis a 700 000 endroits où il y a des équipements industriels qui gèrent ce réseau électrique et des équipements informatiques qui permettent de communiquer à l’intérieur de ce réseau. Tout n’est pas encore numérisé mais cela donne un ordre de grandeur. On le retrouve dans tous les pays ».

Avec, ces dernières années, une forte hausse des cyberattaques contre les opérateurs de services mais aussi contre les organisations et les entreprises stratégiques, les fournisseurs d’électricité sont eux aussi dans l’obligation de prendre des mesures d’urgence. Une cyberattaque qui parviendrait à déjouer le dispositif de sécurité de l’un d’entre eux pourrait avoir de très lourdes conséquences pour l’ensemble de la population.

Des défis à relever face aux vulnérabilités des réseaux

Dans le contexte géopolitique incertain que nous connaissons actuellement, le réseau de distribution électrique d’un pays fait partie des cibles potentielles privilégiées puisqu’une attaque réussie pourrait paralyser littéralement l’économie et les moyens de communication. Nul doute que le chaos ne tarderait pas à surgir d’une telle situation…

Face à ces menaces, le secteur de l’énergie a été dans l’obligation de se préparer. Tandis que par le passé, les réseaux électriques étaient gérés avec des mécanismes de sûreté de fonctionnement électrique, ils s’en remettent depuis plusieurs années désormais à des programmes de numérisation ou d’informatisation de leurs systèmes de contrôle de commande numérique et sont ainsi pilotés de façon automatisée.

En raison de cette informatisation de la sécurité des réseaux, un nouveau problème s’est alors posé avec un secteur de l’industrie souvent en retard en matière de cybersécurité puisque ne renouvelant pas toujours à temps ses systèmes d’exploitations. Ce qui peut tendre à rendre vulnérable une infrastructure électrique.

Toutefois, en France, le secteur de l’énergie électrique a pris conscience des enjeux pour finalement devenir l’un des plus réglementés en matière de cybersécurité. Ainsi, la Loi de Programmation Militaire et la directive NIS au niveau européen visent à sécuriser respectivement les opérateurs d’importance vitale et les opérateurs de services essentiels. Par ailleurs, l’environnement réglementaire et normatif apparaît comme étant complexe et en pleine évolution. A côté des standards généralistes déjà connus comme l’ISO 27001 émergent des standards spécifiques aux réseaux industriels (CEI 62443), voire même à des métiers spécifiques comme ceux de l’industrie nucléaire (CEI 62645).

Filtrer les accès, segmenter les réseaux

Parmi les pistes à explorer pour améliorer la cybersécurité des réseaux électriques, les acteurs doivent tout d’abord mettre l’accent sur la modernisation des systèmes d’exploitation et des applications utilisés dans les infrastructures.

Autre moyen de renforcer la sécurité, le contrôle des messages échangés dans le réseau opérationnel alors que les sous-systèmes, jadis historiquement indépendants, échangent dorénavant de plus en plus d’informations. Davantage de segmentation afin d’isoler les réseaux des différents systèmes serait donc recommandée.

Autre bénéfice de ce dispositif d’isolation, cela permet de bloquer la propagation d’une attaque en complexifiant la découverte du réseau opérationnel tout en réduisant la surface d’attaque.

Enfin, des mesures de filtrage réseau au niveau de certains équipements pour garantir un accès restreint à un seul groupe de stations de travail peuvent aussi contribuer à sécuriser les systèmes du secteur de l’énergie.

Paru dans Breizh-info

Emmanuel macron ne sait plus où il en est…

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Sans doute parce qu’il ne sait plus où il en est, il ne sait plus ce qu’il dit. Récemment, il s’était fait plaisir en employant un mot rare et précieux dont il aime décorer le vide de ses discours : « palimpseste ». La France serait une nation « palimpseste », une nation qui réviserait son histoire au fur et à mesure qu’elle se déroule. Sans doute n’a-t-il pas mesuré l’idiotie dangereuse du mot caché sous son apparence « intellectuelle » ? Le palimpseste est un parchemin sur lequel le texte écrit en remplace un autre qu’on a effacé. On voudrait justifier le révisionnisme ou le négationnisme qu’on ne prendrait pas meilleure image !

D’ailleurs, si on lit Orwell, c’est exactement ce que fait l’État totalitaire de 1984, qui révise et reconstruit chaque jour le passé en fonction du présent. Allons plus loin : une nation-palimpseste est un pays-terrain vague, un espace sur lequel une population va en remplacer une autre, une civilisation succéder à la précédente. Certes, nous savons que les civilisations sont mortelles et que la « France éternelle » est une figure de style, mais un chef d’État est justement celui qui doit tendre sans faillir à ce que cet idéal, d’une communauté nationale qui perdure à travers les épreuves, soit une réalité la plus résistante possible aux assauts des événements. C’était le message essentiel du général de Gaulle.

Avec un temps de retard, c’est curieusement de Lisbonne qu’il s’est senti obligé de dire qu’il était « aux côtés » de la famille du brigadier de police assassiné à Avignon. Mais là encore, le « en même temps » dérape : le candidat à sa réélection repousse les alertes plus que justifiées sur la montée de l’insécurité et de la violence dans le pays en parlant d’« instrumentalisation nauséabonde ». L’emploi du mot typique de la phraséologie olfactive de la gauche pour disqualifier l’adversaire est le signe d’où il parle, et « en même temps », il reconnaît que c’est une réalité de dire que la violence « enfle » dans notre société. Il ajoute, pour vider son discours de toute cohérence, qu’une réponse pénale pourra améliorer les choses. Compte-t-il donc sur « Acquittator » (Acquitte-à-tort, peut-être), devenu ministre de la Justice et déjà parti faire campagne dans le Nord, pour considérer que l’ennemi, c’est le crime et la délinquance, et non tel ou tel parti qui a le toupet de dénoncer les failles de sa politique ? La lecture du livre de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, Les Damnés de la France, le lynchage des mal-pensants, le soutien massif des Français à l’alerte lancée par les militaires à la retraite, initiée par son auteur, lui révéleraient combien son constat tardif et penaud est indigne d’un chef de l’État. C’est pourtant un homme de gauche, Pierre Mendès France, qui avait dit : « Gouverner, c’est choisir. »

Emmanuel Macron, empêtré dans son « en même temps », ne choisit pas. Pis : il n’assume pas les conséquences de ses choix antérieurs. Le refus des frontières, l’immigrationnisme érigé en dogme, le laxisme judiciaire, l’instrumentalisation politique de la police et de la Justice, l’oubli de la question fondamentale de la loi et de l’ordre au profit d’un économisme, pour le moins peu efficace, conduisent à ce que la violence « enfle ». Il serait absurde de confier la lance d’incendie à l’incendiaire.

Christian Vanneste, dans Boulevard Voltaire

Au bout de 4 ans, Macron découvre l’ensauvagement de la France

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

MACRON A VU LA VIERGE CE WEEK END : il commence à se rendre compte « que la violence dans la société augmente » ! En rendant hommage à ce policier d’Avignon, il a apporté son soutien « sans faille à toutes nos forces de sécurité intérieure » mais bien entendu il a précisé qu’il ne voulait surtout pas « tomber dans une sorte d’instrumentalisation nauséabonde » !

Ce mec est incroyable : l’armée en faisant sa tribune le met en garde pour le cas où il ne se serait pas rendu compte que la France est un vrai coupe-gorge, contrairement à ce qu’affirme le Yéti parti se présenter sur les terrils du Pas-de-Calais, dans le seul but d’essayer de battre le FN sur ses terres. Je lui souhaite bien du courage car aux dernières élections, Steeve Briois est repassé au premier tour avec 74,21 % ; mais bien entendu il a le droit d’essayer…

https://www.place-armes.fr/post/lettre-ouverte-a-nos-gouvernants

Puis ce sont les forces de l’ordre qui le mettent en garde par le biais d’une lettre ouverte

Deux policiers tués en service en l’espace de 12 jours : le …

https://france-police.org › 2021/05/06 › deux-policiers-…

TOUS LES JOURS UNE OU PLUSIEURS VILLES EN FRANCE S’EMBRASENT ET SONT LE THÉÂTRE DE SCÈNES DE GUERRE CIVILE ET LUI « il ne veut pas tomber dans une sorte d’instrumentalisation nauséabonde ». Ce mec est un fou, un dégénéré, le pire président de la République que la France ait connu et pourtant le simplet Hollande avait placé la barre déjà très haute !

Que veulent-ils ? Faire éclater la guerre civile en France ? Une guerre civile où comme à chaque guerre civile, on dénombrera de nombreux morts dont Macron et sa bande de décérébrés inconscients porteront le sang indélébile sur leurs mains.

Alors tant qu’à faire, comme tout le monde est d’accord sur l’imminence de cette guerre civile, Messieurs les militaires, vous que ces pourriticards ont déshonorés et salis et traités de « factieux », prenez le pouvoir, foutez tous ces pourriticards dehors, on les a assez vus, ils nous parlent sans arrêt des bruits de bottes et bien là, au moins, ils les entendront ! Cela fait suffisamment longtemps qu’ils vivent sur notre compte alors qu’ils ne font rien et se gavent sur le dos de la France et des Français. Rétablissez l’ordre dans notre pays, renvoyez chez eux ceux qui n’ont rien à y faire, supprimez toutes les zones de non-droit, rétablissez des frontières pour nous protéger de toutes ces invasions et si pour ce faire vous devez utiliser vos armes, n’hésitez pas, agissez, car ceux qui vous traitent de factieux ne pensent pas à la France et aux Français mais uniquement à renouveler leur mandat ou à en conquérir de nouveaux. La survie de leur pays, de NOTRE  pays, ILS S’EN FOUTENT. Maintenant il faut que cela cesse car il y en a marre !

Hier c’était à Fréjus que des émeutes ont eu lieu ; demain ce sera où ? Fréjus dont le maire est David Rachline que je connais bien, qui administre sa ville de façon exemplaire. Mais cette ville, comme beaucoup d’autres, est en sous-effectifs en termes de force de l’ordre et comme d’habitude, le peu d’effectifs présent n’a pas le droit de tirer avec leurs armes de service ; ils ont juste, comme ce policier d’Avignon, le droit de se faire tuer !

Je me souviens en 1969 lors du départ du général de Gaulle, celui-ci avait déclaré : « après moi la chienlit » s’il savait à quel point ses paroles étaient prémonitoires !

Aujourd’hui, comment voulez-vous qu’un jeune puisse faire des projets d’avenir dans un pays en plein chaos, aux prises avec cette « pandémie » gérée par des CONS qui font erreur sur erreur, qui se dédisent tous les jours quand ce n’est pas plusieurs fois par jour et avec une Europe gérée par Merkel qui ne rêve que d’une chose : réussir à faire avec les pays européens ce qu’Hitler n’a pas réussi à faire, et qu’on traîne comme un boulet.  Pour moi et ma génération le train est hélas déjà passé mais pour nos enfants et petits-enfants, à part des dettes colossales, que va-t-on leur laisser ?

Patrick Jardin, dans Riposte Laïque

Le syndicat France Police adresse une lettre ouverte à Macron : “il faut procéder au bouclage des 600 territoires perdus de la République y compris avec le renfort de l’armée.

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

6 MAI 2021
SYNDICAT FRANCE POLICE – POLICIERS EN COLÈRE

Monsieur Le Président de la République,

A douze jours d’intervalle, une collègue a été égorgée par un terroriste islamiste à Rambouillet tandis qu’hier, un second fonctionnaire a été abattu par balle à Avignon par un membre d’un gang de narcotrafiquants.

Le temps des belles cérémonies d’hommage est révolu. Vous devez passer des bougies à l’action politique. Ce n’est pas avec des larmes qu’on mène une guerre.

Vous dites vous battre pour le droit à la vie paisible mais ce combat ne se gagne pas avec des mots.

Les policiers et les gendarmes ne peuvent pas se défendre en raison d’un texte sur la légitime défense trop flou, laissant le champ libre à toutes les interprétations jurisprudentielles.

Le police bashing permanent orchestré par les médias et les people entrave considérablement notre action.

En bout de chaîne, la faillite de l’appareil judiciaire annihile notre travail d’investigation.

Les Français ne croient plus en leur justice. La manifestation pour réclamer justice pour Sarah Halimi en est la preuve éclatante.

La population n’a plus confiance dans nos services et s’arme pour se défendre elle-même face aux criminels, les évènements de Stalingrad ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres.

Si vous ne voulez pas terminer votre mandat avec le pire bilan en matière de sécurité de l’histoire moderne, notre syndicat de police vous invite à recourir aux dispositions prévues par la loi n° 55-385 du 3 avril 1955.

Dans le cadre de l’état d’urgence, il faut procéder au bouclage des 600 territoires perdus de la République, y compris avec le renfort de l’Armée, en contrôlant et en limitant les entrées et sorties de ces zones par des checkpoints sur le modèle israélien de séparation mis en place avec les territoires palestiniens.

Parallèlement, en recourant au 49-3, il faut adopter en urgence une réforme de la légitime défense pour les policiers et les gendarmes leur permettant d’ouvrir le feu dès lors qu’un fuyard n’obtempère pas ou qu’ils sont l’objet de tirs de mortiers et d’artifices ou de jets de cocktails Molotov.

Notre syndicat de police vous recommande de vous inspirer du modèle brésilien et Philippin en matière de lutte contre le narco-terrorisme.

Les présidents Bolsonaro et Duterte obtiennent d’excellents résultats en ayant donné carte blanche à la police pour reprendre le contrôle des zones de non droit.

L’heure n’est plus au en même temps. Il ne peut y avoir de compromis avec les terroristes et les dealers. Les hésitations, les frilosités politiques et autres tergiversations profitent aux narco-terroristes.

Certain de votre détermination à ne pas abandonner définitivement notre Nation aux mains des trafiquants, recevez, Monsieur Le Chef de l’Etat, l’expression de mon plus profond respect Républicain.

Michel Thooris, secrétaire général du syndicat France Police – Policiers en colère.

France Police

Guerre des séparatistes : des policiers de plusieurs départements de France attaqués samedi soir.

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Une nuit de violences a eu lieu en Essonne de samedi à dimanche quand le commissariat des Ulis a été attaqué par des individus armés, selon Le Figaro. Cette attaque contre des policiers n’est pas un cas isolé, alors que des fonctionnaires de Rillieux-la-Pape, Fréjus et Saint-Raphaël ont aussi fait face à des agressions les visant.

La police municipale des Ulis a été la cible d’une attaque d’une trentaine de personnes armées de mortiers d’artifice, ainsi que de barres de fer dans la nuit de samedi à dimanche, relate Le Figaro. Tandis que les forces de l’ordre ont été prises pour cible, les agresseurs se sont attaqués aux caméras de vidéosurveillance en essayant de les démonter.

En lançant des mortiers d’artifice contre les fonctionnaires, les individus ont également brûlé des poubelles, ce qui a compliqué l’arrivée des renforts sur les lieux. Aucun policier n’a été blessé lors de ces confrontations. En outre, la ville a gardé des marques de cette nuit agitée, notamment avec des traces de dégradations sur la façade du commissariat.

D’autres attaques contre la police la même nuit

Des attaques contre la police la même nuit ont également eu lieu à Rillieux-la-Pape, dans la métropole de Lyon, où un policier a été blessé, ainsi qu’à Fréjus et Saint-Raphaël, où les policiers ont essuyé des jets de projectiles et des tirs de mortiers d’artifice.

À Rillieux-la-Pape, les policiers sont tombés dans un guet-apens en répondant à un faux appel qui s’est terminé par une agression contre les fonctionnaires arrivés sur place. Pour que les policiers ne puissent pas partir tout de suite, un véhicule leur a bloqué le chemin alors qu’ils subissaient des jets de projectiles, précise Le Progrès. Les forces de l’ordre ont pu s’extirper après l’arrivée de renforts mais sans toutefois procéder à des interpellations.

En outre, cela n’a pas été la seule action violente contre les policiers de la ville ce 8 mai. Auparavant, deux autres véhicules de la police ont été attaqués et dégradés, alors que les noms de certains fonctionnaires ont été tagués sur des murs, détaille BFM TV.

Il a par ailleurs été expliqué par le maire que mardi dernier les forces de l’ordre avaient procédé à la saisie d’une importante quantité de stupéfiants et d’argent liquide suite à une opération anti-drogue d’ampleur. Qui plus est, six personnes ont été interpellées en lien avec cette affaire, dont des mineurs.

«Mardi au petit matin, une opération anti-drogue conjointe entre la police municipale et la police nationale a permis le démantèlement d’un important point de deal dans la ville nouvelle. Les forces de l’ordre ont procédé à la saisie de grandes quantités de stupéfiants et d’argent liquide ainsi qu’à l’interpellation de six délinquants, dont certains étaient mineurs», a écrit le maire Alexandre Vincendet sur Facebook.

DES CONDAMNATIONS À DE LA PRISON FERME SUITE À L’OPÉRATION ANTI DROGUE DE MARDI !

Mardi au petit matin, une opération antidrogue conjointe entre la Police Municipale et la Police Nationale a permis le démantèlement d’un important point de deal dans la ville nouvelle. Les forces de l’ordre ont procédé à la saisie de grandes quantités de stupéfiants et d’argent liquide ainsi qu’à l’interpellation de 6 délinquants, dont certains étaient mineurs.

Dès le lendemain, accompagné par …Afficher la suite

Selon BFM TV, la police est aussi intervenue après un signalement pour des nuisances à La Gabelle, entre Fréjus et Saint-Raphaël, dans le département du Var, où des violences urbaines, marquées par des agressions à l’encontre des forces de l’ordre, ont éclaté dans la nuit du 8 au 9 mai. Trois équipages, soit une dizaine de policiers, ont été dépêchés pour anticiper toute difficulté. Trois voitures ont été brûlées, dont une appartenant à la police municipale, deux commerces ont été incendiés et une quinzaine de vitrines brisées.

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/faits_divers/202105091045572547-des-policiers-de-plusieurs-departements-de-france-attaques-dans-la-nuit-de-samedi-a-dimanche/