Encore une nouvelle affaire de squatt à Bondy ! Pourtant, la secrétaire d’Etat au Logement avait promis que désormais, c’était réglé, et que les propriétaires seraient protégés. Du pipeau! Sauf que cette fois, le cave s’est rebiffé, et a fait le ménage lui-même, aidé par quatre gros bras. Et bien sûr, cela lui a coûté 48 heures de garde-à-vue, et une plainte de la squatteuse ! Mais la maison est récupérée, alors que sinon, il y en avait pour des mois, voire davantage. Conclusion : si cela vous arrive, n’attendez rien de l’Etat, et réglez le problème vous-même.
Pour toute la presse française, Trump poursuit une chimère et mène ses électeurs en bateau, puisqu’il n’a aucune chance de voir les procédures de justice lui donner raison.
Autrement dit, tous les juges américains seraient corrompus au point de se faire complices de la plus gigantesque fraude électorale de tous les temps !
Mais ce qu’oublient nos bobos anti-Trump, c’est que celui-ci lance des procédures légales, alors que Biden s’est vautré dans la fraude organisée la plus flagrante.
Vidéos, témoignages multiples et aveu du candidat lui-même prouvent que cette machination a été savamment orchestrée de longue date.
Trump le savait depuis des mois et s’y était préparé.
Que Poutine et Xi Jinping soient les seuls chefs d’État à ne pas féliciter Biden avant l’issue des procédures de justice en dit long sur la conception de la démocratie de tous ces dirigeants occidentaux, qui s’empressent de ripoliner l’escroc Biden et d’en faire un vainqueur à la loyale. De parfaits complices et adeptes des méthodes mafieuses les plus sordides.
C’est aussi ahurissant que scandaleux.
En définitive, ce sont les soi-disant despotes à la tête de la Chine et de la Russie qui nous donnent des leçons d’éthique et de civisme !
Mais toutes ces tentatives de mettre le peuple américain devant le fait accompli et de faire pression sur les juges peuvent très bien se retourner contre le camp démocrate. Rien n’est joué si les juges appliquent la loi sans états d’âme et refusent de faire de l’Amérique un État mafieux bafouant la démocratie.
Si les journalistes se croient permis de désigner le vainqueur de leur choix avant l’heure, rien ne les autorise à rendre le verdict à la place des juges.
Ceux qui pressent Trump d’accepter la défaite et de faire une sortie “honorable”, craignent en fait le verdict des juges.
Toute invalidation des élections dans un État provoquerait un séisme et prouverait officiellement que le camp démocrate a triché.
Même un seul État invalidé suffirait à salir à jamais l’élection de Biden.
Trump se bat et il a raison.
“Le fait est que cette élection est loin d’être finie. Joe Biden n’a été certifié vainqueur dans aucun État, et certainement pas dans les États hautement contestés qui vont faire l’objet de recomptages obligatoires, ou d’autres États où notre campagne a lancé des procédures judiciaires valides et légitimes qui pourraient désigner le vainqueur ultime”.
“Monsieur Biden se pose faussement en vainqueur mais dès la semaine prochaine, nous serons devant les tribunaux”.
Le chef de campagne, Bill Stepien, appelle à des manifestations prochaines pour soutenir le Président Trump.
Avec 71 millions d’électeurs, 7 de plus qu’en 2016, et en conservant le Sénat, Trump est loin d’être fini.
Les mois d’octobre et de novembre pourraient bien être lourds de révélations dévastatrices pour le camp Biden.
C’est bien pour cela que les démocrates et les médias occidentaux pratiquent une fuite en avant, en espérant intimider les juges et rendre la situation irréversible.
Mais c’est la Cour suprême fédérale qui aura le dernier mot.
N’ayons pas peur des mots : depuis samedi soir, c’est la fête. Tout à la fois Pâques, 14 Juillet et Noël. Comme un package festif. Une sorte d’avant-goût de ce que sera la grande teuf mondiale, le jour où le virus sera vaincu. En attendant, c’est Trump, cette espèce de bête du Gévaudan qui mange les enfants et parle mal, qui a été terrassé. Il fallait que ça explose, que ça exulte, que ça… Enfin, vous voyez ce que je veux dire. Ça ne pouvait plus attendre. Il fallait annoncer la victoire de Biden. La nouvelle est arrivée en France comme une sorte de déconfinement à domicile. Une invitation à partager l’enthousiasme de cette scie de Nicole Bacharan, préposée inamovible à la défense du parti démocrate américain sur nos plateaux télé et radio, et de tant d’autres commentateurs.
Et c’est là que le miracle s’est produit. Jusqu’alors, il s’agissait de battre Trump. Peu importait, finalement, l’homme qui portait cet espoir, que dis-je, cette espérance. On avait trouvé Joe Biden. Il ferait bien l’affaire. L’homme, d’apparence plutôt falote, jusqu’alors, semblait passer entre le mur et le papier peint de la Maison-Blanche qu’il avait fréquentée durant huit ans sous Obama. Eh là, subito, on a découvert toutes les vertus de ce charmant monsieur d’un certain âge, comme on dit aujourd’hui. Plus question de dire que s’il va au bout de son mandat, il aura alors 82 ans révolus. L’âge devient même un atout. Son premier mandat de sénateur remonte à 1972 (an 5 av. Macron). Presque quarante années de vie politique, c’est de l’expérience en barre. De la sagesse certifiée sur facture. Tout le contraire de l’autre dingo. En plus, il est catholique. Mais attention, un catholique ouvert : son premier message est à l’adresse des « communautés » diverses et variées. Pas le genre de la juge que Trump a nomméein extremis à la Cour suprême. C’est aussi l’art d’être grand-père qui entre à la Maison-Blanche. On n’avait pas connu ça depuis longtemps. Zappons pudiquement le fiston qui ne serait pas blanc-blanc dans ses affaires pour s’émouvoir de la petite-fille qui se jette dans les bras de son daddy : « Trop mignon », s’exclame, dès potron-minet, sur le plateau de BFM TV, la journaliste de service, si l’on peut dire ainsi. Trop mignon ! Tout un programme politique, finalement. Enfin, on verra bien…
En 2017, chez nous, c’était la jeunesse – celle d’Emmanuel Macron – qui était un atout, un plus, un must, comme celle – relative – d’Obama, en 2008. L’inexpérience, aussi. On ne ferait jamais plus de politique comme avant. Mieux : c’était la fin de la politique, comme d’autres avaient vu, jadis, la fin du tragique et de l’Histoire. Quelques crises plus tard, on a vu, on a vécu. Aujourd’hui, c’est la vieillesse, si l’on peut encore s’exprimer ainsi, qui semble à la mode. La mode, c’est comme la queue du chien : ça va, ça vient. En attendant, youpi, la fête ! En respectant les gestes barrières, of course.
Pourquoi Joe Biden a-t-il choisi Kamala Harris comme colistière dans sa campagne présidentielle? Si l’enthousiasme semble gagner l’opinion médiatique face à la venue de la potentielle première femme de couleur au poste de vice-Présidente, gare aux mauvaises surprises. Harris est une nouvelle dame de fer.
Printemps 2004, début de soirée dans le quartier populaire de Bayview à San Francisco, en Californie. Isaac Espinoza, officier du département de police de San Francisco effectue avec son collègue l’une de leurs dernières rondes avant la fin de leur service. Ceux-ci remarquent alors un homme au comportement suspicieux, et s’en approchent en véhicule. Lorsqu’ils l’appellent pour lui signaler leur présence, ce dernier se retourne et tire sur les officiers avec un fusil d’assaut de type AK-47. L’officier Espinoza, touché par plusieurs balles, meurt de ses blessures quelques minutes plus tard. Son collègue, touché une fois à une jambe, survivra.
La candidate à la vice-présidence était alors fraîchement élue procureur du district de San Francisco. Elle vit tomber sur son bureau un dossier particulièrement épineux qui allait directement la mettre face à ses convictions. Kamala Harris avait fait campagne contre la peine de mort, arguant que l’emprisonnement à vie sans liberté conditionnelle est une sanction plus efficace et plus rentable que la peine capitale. La jeune procureur décida donc de ne pas requérir celle-ci et David Hill fut condamné à deux fois à la perpétuité.
Remise en cause de la peine de mort
Cette décision lui a valu les foudres de la classe politique de l’époque, et ce même au niveau national. Les syndicats de police furent outrés de sa décision. Même la sénatrice démocrate Dianne Feinstein indiqua qu’elle ne lui aurait pas apporté son soutien durant sa campagne pour devenir procureur si elle avait su que Kamala Harris prendrait une telle décision dans un dossier pareil.
Dans les années 1990 et au début des années 2000, la fermeté face à la criminalité était très en vogue outre-Atlantique, à New-York bien sûr, mais aussi en Californie. Cet épisode coûta politiquement cher à Kamala Harris. À cette époque, il était très difficile de concilier le fait d’être «progressiste», une identité politique qu’elle revendiquait, et le poste qu’elle occupait.
Critiquée par une partie de la communauté noire
Par la suite, la jeune procureur a pris des positions bien plus fermes, voire conservatrices, lors de ses mandats au sein du département de Justice. Fille d’une immigrée indienne et d’un immigré jamaïcain, Kamala Harris a été critiquée pendant 15 ans par la communauté noire et le camp progressiste pour sa politique de fermeté en tant que procureur de San Francisco (de 2004 à 2011) d’abord, puis de Californie (de 2011 à 2017) ensuite. Et ce, jusqu’à ce jour. Comme le titrait le Los Angeles Times le 24 octobre 2019: «Le passé de la Californie en matière de lutte contre la criminalité hante Kamala Harris».
Nombreux sont ceux qui lui en veulent encore dans la communauté noire pour des décisions qu’elle a prises, ou pas prises, et qui ont coûté des années d’emprisonnement à un grand nombre de jeunes hommes et femmes noirs, ou non, en Californie. Et ceux-ci, jusqu’à ce jour, le lui rendent bien. En atteste le tweet ci-dessous, qui ironise sur la loi défendue par Kamala Harris visant à mettre derrière les barreaux les parents dont les enfants sont scolarisés, mais manquent leurs cours et commettent régulièrement des crimes.
raduction: Des images exclusives de Kamala Harris saluant les mères noires célibataires qu’elle a mises dans le bus en direction de la prison parce que leurs enfants avaient trop souvent manqué l’école.
En tant que procureur, Kamala Harris a fait campagne pour des programmes d’aide au retour à l’emploi au lieu d’envoyer les condamnés en prison. Elle s’est également battue pour que les gens restent en prison même après avoir été reconnus innocents. Elle a refusé de requérir à la peine de mort contre un homme qui a tué un policier, mais elle a défendu le système californien de peine de mort devant les tribunaux. Un parcours de procureur équivoque donc, loin et proche à la fois de l’aile progressiste de son parti.
Une fois élue au Sénat, en 2017, ses positions se rapprochent toutefois de celles du camp progressiste au sein du parti Démocrate, ce qui fait d’elle une candidate de choix pour être la colistière de Joe Biden. Mais ce revirement politique semble pourtant contradictoire avec son action au sein du département de la Justice où elle n’aurait donc, selon ses détracteurs, peu fait bouger les lignes en faveur des minorités.
Une machine à lever des fonds
Sur la colline du Capitole, comme représentante puis sénatrice de la Californie, Kamala Harris s’est surtout fait remarquer par l’autorité par ses interventions lors des auditions des personnes nommées par Donald Trump, comme par exemple lors de la nomination de Jeff Sessions au poste de procureur général des États-Unis, ou celle de Rod Rosenstein pour le poste de procureur général adjoint, pour ne citer qu’eux.
En 2019, elle se lance dans la primaire démocrate. Elle est alors considérée par nombre d’observateurs comme l’un des favoris. Elle se retirera pourtant assez rapidement de la course, citant un «manque de fonds». Mais le retard qu’elle accusait derrière le duo de tête Biden et Sanders semble la raison la plus probable de son retrait.
En effet, Kamala Harris est extrêmement efficace pour lever des fonds. De Hollywood à Wall Street, la potentielle vice-Présidente ne manque pas d’entregent. Dans les 48 heures qui ont suivi l’annonce de Joe Biden qu’il choisissait Kamala Harris comme colistière au mois d’août, la campagne Biden a levé 48 millions de dollars supplémentaires. À titre de comparaison, la campagne Biden avait levé 140 millions de dollars sur l’ensemble du mois de juillet 2020. Reste à savoir si, dans le cas où Joe Biden et Kamala Harris gagnent définitivement la course à la Maison-Blanche, ces donations ne seront pas liées à des intérêts qui dicteront leur politique.