Alors que les preuves de fraude massive se multiplient, et que Donald Trump a entamé des procédures judiciaires contre les tricheurs, pour ne pas se faire voler l’élection, les principaux journalistes américains ont donc annoncé, sans vergogne, la victoire de Joe Biden, en même temps que l’avocat des Républicains, Maître Giuliani, tenait une conférence de presse. Et, rompant avec toutes les règles protocolaires et diplomatiques, Macron, Merkel, Trudeau, Johnson, Van der Leyen, Conte et d’autres se précipitent pour féliciter l’usurpateur. La classe politique française (excepté le RN, Philippot et Asselineau) fait de même. Pour tous ces manipulateurs, le réveil risque d’être douloureux…
CHRONIQUE LIBRE. Ecrivain, professeur d’université et critique littéraire, Pierre Jourde se pose ici quelques questions.[…]
Au bal des hypocrites, on a vu paraître Mélanie Luce, présidente de l’UNEF, qui, à la manifestation place de la République, y est allée de son petit discours. Elle n’est même pas capable d’orthographier correctement le nom de Samuel Paty (Patty !), ce qui mesure la profondeur de son respect. Elle préside un syndicat obsédé par la race et l’« islamophobie », qui s’associe à une action qui empêche par la force de représenter une pièce d’Eschyle où on réintroduit la négritude (ils comprennent tout à l’envers, les pauvres).[…]
Au bal des hypocrites, on a vu les entrechats de Yassine Belattar, qui a animé le gala du CCIF. Qui a menacé Jean-Michel Blanquer à propos du voile islamique. Qui a considéré que les meurtres du père Hamel, de Ilan Halimi, de Sarah Halimi, c’étaient « des faits isolés ». Continuons la liste : le massacre du Bataclan, des terrasses de café, le massacre de la rédaction de « Charlie », de l’Hyper Casher, le massacre des enfants juifs par Merah, la boucherie du carnaval de Nice, les meurtres au Super U de Trèbes, l’assassinat de Samuel Paty, les meurtres de la basilique de Nice, ce sont, hélas, des faits isolés. « On ne peut pas tout islamiser », déclarait Yassine Belattar à propos des attentats de 2015. C’est vrai, ça. Si les responsables de tous ces massacres s’écrient Allahou Akbar, c’est une coïncidence.[…]
Au bal des hypocrites, on a admiré la valse de Clémentine Autain, grande spécialiste du déni. « Je ne crois pas qu’il y a aujourd’hui en France une menace de terrorisme islamique », déclarait-elle tranquillement dans un débat en 2013. En 2013, un an après que Mohammed Merah a tué sept personnes, dont trois enfants juifs ! En 2013, après trente ans d’attentats islamiques, 29 morts et plus de 630 blessés ! Aujourd’hui, elle verse sans complexe sa larme sur la énième victime du terrorisme islamique, dont nous n’étions pas menacés. Elle verse sa larme après s’être tranquillement affichée à une table ronde avec Marwan Muhammad, du CCIF. Aujourd’hui, Clémentine Autain nous alerte. Nous sommes en danger. Quel est le danger ? La France, d’après elle, est en train de verser dans le fascisme. Des centaines de morts au nom d’Allah, et Clémentine Autain crie au fascisme qui vient ![…]
Dans le secret du confessionnal médiatique, un fidèle citoyen américain, démocrate convaincu, est venu avouer au NewYork Post avoir truqué de nombreuses élections fédérales, relate Le Figaro. Le sacripant se prétend soutien inconditionnel de Bernie Sanders, candidat battu aux primaires par Joe Biden. Et plutôt tout révéler que suivre cet oiseau de malheur.
Ainsi, coronavirus oblige, le bidouillage aurait sévi au sein du vote par correspondance, particulièrement massif en ces temps de contagion. Selon le faussaire repenti, le camp anti-Trump se serait livré à diverses combines que voici que voilà.
La première triche aurait consisté, pour les fraudeurs, à faire la tournée des votants à distance en se faisant passer pour membres d’une association de service public, puis à les convaincre de poster leur enveloppe électorale à leur place. Opération qui serait « beaucoup plus facile qu’on ne le pense », d’après le traître démocrate. Il ne restait plus, à ces gens très serviables, qu’à falsifier la signature et remplacer l’éventuel vote Trump par un bulletin Biden. Et hop ! Pour éviter toute suspicion, les enveloppes trafiquées auraient été disséminées sur l’ensemble des boîtes à lettres des villes concernées. Le souci du détail.
L’autre technique, plus directe, concerne les facteurs anti-Trump qui, travaillant dans un secteur républicain, se seraient contentés de jeter à la poubelle les enveloppes contenant, par définition, 95 % de bulletins en faveur du président en place. Pourquoi faire compliqué ? L’histoire ne dit pas si ces éboueurs électoraux de gauche prenaient soin de sauver la planète en déversant leur butin dans la poubelle papier-carton du pléonasmant « tri sélectif ».
Par ailleurs, les lieux de vie accueillant des personnes fragiles auraient été particulièrement choyés. « Il y a des maisons de retraite où l’infirmière est en fait un opérateur rémunéré. Et elle va pièce par pièce voir ces personnes âgées, qui souhaitent voter pour se sentir utiles », affirme le délateur anonyme. Tour de passe-passe… Signez ici. Merci et bonjour chez vous. Re-hop !
Pour clore son inventaire des trucages utilisés lors de cette l’élection, le vengeur masqué de Bernie Sanders affirme qu’à partir de l’historique de participation consultable à loisir, de vaillants partisans de Joe Biden auraient usurpé l’identité d’abstentionnistes pour glisser les bulletins ad hoc « into the box ». La présentation d’une pièce d’identité n’étant pas demandée dans de nombreux États, ces ersatz d’électeurs s’en seraient donné à cœur joie.
Pro et anti-Trump se déchirent sur la crédibilité du témoignage. Jamais la Maison-Blanche n’avait si mal porté son nom.
Les langues commencent à se délier. Et une fois de plus, je m’interroge sur le sondage Covid-19 qui affirme que 71 % des Français ne sont pas contre passer un Noël confiné.
Je n’arrive pas à comprendre l’intérêt qu’a un gouvernement à enfermer les Français chez eux et à fermer sans doute d’une façon pour nombre d’entre eux, sans doute, définitive les commerçants non alimentaires de nos villes. Il faut donc conclure que le trio Macron-Castex-Véran est soit un trio machiavélique, soit, comme le dit Pascal Praud sur CNews, tellement éloigné des préoccupations des Français qu’il décide selon la température hospitalière, se fondant sur des chiffres sujets à caution, et se moque éperdument de la vie économique et sociale de ses administrés.
Ce n’est pas en offrant une enveloppe de 20 milliards aux commerçants abandonnés derrière leurs rideaux de fer qu’ils vont les sauver. Que représente un chèque de 1.500 euros par mois pour un magasin de vêtements qui vient de dépenser 60.000 euros pour son fonds et qui a bien peu de chance d’écouler ce stock d’hiver l’année prochaine ?
Il est insensé que M. Castex ait personnellement appelé le maire de Salbris la veille de son interview sur TF1-LCI après avoir été alerté par le message Facebook qui mettait en scène la centaine de petits commerçants de sa petite ville. Ce maire, comme de nombreux autres maires, n’avait qu’un but : sauver la vie économique et sociale de ses administrés. Le lendemain, ce maire, Alexandre Avril, a écouté avec stupéfaction les décisions de celui qui, la veille, l’avait assuré qu’il trouverait « une solution équitable ». M. Avril, sur Sud Radio, raconte qu’il ne comprend pas, par exemple, que le petit magasin d’informatique de Salbris ait dû fermer, ce qui va obliger les habitants à faire 100 kilomètres pour se rendre à la FNAC faire réparer ou acheter un ordinateur. Folie pure d’un politique dont les décisions sont totalement dénuées de bon sens. Car tous ces petits commerçants ont mis tout leur cœur à respecter les consignes sanitaires pour accueillir un minimum de clients à la fois. Preuve que M. Castex n’a pas confiance en eux.
Et que dire de ces chiffres de mortalité et de cas avérés sur lesquels se fonde notre Premier ministre… même si, effectivement, les lits de réanimation vont sûrement arriver à saturation avant la fin de l’année, sans que les effets couvre-feu ou confinement s’en fassent ressentir. Olivier Véran aurait-il oublié de lui rappeler que, chaque année à la même époque, les hôpitaux sont surchargés pour cause de grippe et autres pathologies aggravées par l’hiver ? Sans compter que les langues se délient : plusieurs médecins affirment que parmi leurs malades, certains succombent officiellement de la Covid-19 alors que ce virus n’est qu’un des facteurs de leur décès. Dans quel intérêt ?
Le pouvoir avait annoncé que 12.000 lits seraient disponibles en cas de seconde vague. L’hôpital public n’en compte toujours que 5.800, comme au début de la pandémie. Quid des 115.000 lits des cliniques privées, dont plusieurs centaines voire milliers pourraient recevoir les urgences ?
Décidément, M. Castex, qui, le doigt levé, nous menace de la pire période, n’est pas le meilleur Premier ministre dont la France aurait pu rêver. Il aurait peut-être fait un bon préfet…
Décidément, Olivier Véran vit un moment de gloire, ces dernières semaines. Volte-face, machine arrière, empathie en carton, morgue parisienne et colères incontrôlées : cet homme nerveux et pénible, excessif et malfaisant, aux nerfs fragiles et aux costumes trop petits, incarne son époque jusqu’à la nausée.À preuve, cette bien jolie déclaration de notre sémillant ministre, déclaration reprise par CNews, le 1er novembre, et qui est malheureusement passée inaperçue : « Les fêtes de Noël en famille dépendront du comportement des Français. »Une telle candeur dans l’ordre du mépris laisse pantois. Alors, comme ça, si les Français sont de gentils garçons-et-filles, s’ils éternuent dans leur coude et respectent les gestes barrières, on leur laissera peut-être la possibilité, à tous ces ploucs, de glisser une orange dans les sabots de leurs enfants.En revanche, si, dans les prochaines semaines, leur masque ne recouvre pas strictement le nez et la bouche, ou si l’on constate, çà et là, un manque d’enthousiasme du peuple dans l’application des mesures que le gouvernement promulgue pour son bien… couic ! Terminé, les cadeaux ! Pas de fêtes de fin d’année (FFA), ou alors sous la forme d’un « Noël de combat » (dont les modalités pratiques sont encore à définir).Que dire?Bien sûr, pour les petites personnes comme M. Véran et ses amis, la fête des cadeaux n’est que le prélude à la fête des chocolats, que d’aucuns appellent Pâques. On peut l’autoriser ou l’interdire. Raison pour laquelle on peut aussi, au mépris de toutes les lois nationales et internationales, interdire la messe dans la France de 2020. Il y a le « Jour du Seigneur » à la télé. Bon. Est-ce qu’on a interdit la télé ? Non. Eh bah, alors..Les ministres de la Macronie auront peut-être, pour Noël, la peau des grandes surfaces. Des centres commerciaux. Des magasins JouéClub. Mais ils n’interdiront ni les bougies ni les crèches dans l’espace privé, ni les sourires d’enfants, ni surtout la naissance du Christ, qui se fiche bien, à mon humble avis, de l’autorisation de Macron pour faire de cette nuit de Noël un moment particulier.Interdire Jésus ! Ces gens sont impayables ! Interdire « les fêtes de Noël » en famille ! Il va en falloir, des kapos à matraque et des enquêtrices de la DDASS à moustache !Vous n’aurez pas la peau de Noël, bande de cons !