Articles : Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020 – Août 2020
La contestation du vote aux États-Unis ne concerne pas les votes par procuration mais les votes par correspondance. Ce type de votes a d’ailleurs été interdit en France dans les années 70 en raison de fraudes importantes.
Aux États-Unis il a toujours été possible de voter par correspondance en demandant son bulletin. Il s’agit de ce qu’on appelle l’absentee ballot. Cette méthode génère déjà de nombreuses fraudes.
Mais en 2020, les États démocrates ont été beaucoup plus loin en envoyant systématiquement des bulletins à tous les électeurs inscrits. Plusieurs dizaines de millions de bulletins ont été ainsi envoyés, on pense 80 millions. Il ne faut pas être grand clerc pour imaginer toutes les possibilités de fraude qu’une telle procédure a créées. Comme plus de 30 % des bulletins ont été retournés, les fraudeurs démocrates ont une mine quasi inépuisable de bulletins prêts à être utilisés, d’où les caisses retrouvées magiquement dont parle Pierre Cassen dans sa vidéo du jour. Il y a aussi les actions des facteurs qui jettent le courrier des zones où il y a des Républicains.
Par ailleurs la plupart des États – notamment démocrates – ne tiennent pas à jour leurs listes d’électeurs et inscrivent automatiquement les migrants illégaux sur les listes électorales comme en Californie (voir ci-dessous). En plus, dans de nombreux États, il n’est pas nécessaire justifier de son identité au moment du vote.
Lisez cet article qui décrit ce qui se passe dans le Minnesota :
https://alphanewsmn.com/democrat-voter-fraud-in-minnesota/
Il faut dire qu’un État comme la Floride (population 21 millions), géré par les Républicains, a donné ses résultats avant 10 heures le soir de l’élection, la Pennsylvanie (population 12 millions) devrait donner ses résultats plus de 3 jours après l’élection dans le parfum de fraude que l’on connaît. Sur 7 États incapables de donner leur résultats le 4 novembre, 6 sont démocrates.
C’est un sujet complexe sur lequel il y a beaucoup plus à dire. Mais la fraude est massive. Les démocrates ont transformé le pays en République bananière. La démocratie américaine traverse une très grave crise.
Quelques exemples :
En Californie on est inscrit automatiquement sur les listes électorales dès que l’on change une information ou que l’on renouvelle son permis de conduire.
Les migrants illégaux peuvent obtenir un permis de conduire :
https://www.nolo.com/legal-encyclopedia/can-undocumented-person-california-drivers-license.html
Quand leur permis est renouvelé ou qu’il y a une mise à jour, il y a tout lieu de penser que les migrants illégaux seront automatiquement inscrits sur les listes électorales. Idem pour les cartes vertes. L’État de Californie facilite la fraude électorale…
Mise à jour des listes
Dans le County le plus important de Californie, les listes électorales n’avaient pas été mises à jour depuis 20 ans. Ça représentait 15 % des électeurs inscrits… et on s’étonne qu’il y ait de la fraude…
Et surtout, des révélations explosives, les confessions d’un fraudeur.
https://nypost.com/2020/08/29/political-insider-explains-voter-fraud-with-mail-in-ballots/
Quelques extraits :
La première technique consiste à utiliser l’enveloppe d’un votant pour y mettre un bulletin obligatoirement démocrate. Il faut au préalable faire le tour des domiciles et convaincre les citoyens de laisser les fraudeurs poster leur courrier de vote à leur place. Une mission « beaucoup plus facile qu’on ne le pense », d’après le fraudeur cité par le journaliste Jonathan Levine, en se faisant passer pour une association de service public. Ensuite, l’enveloppe est ouverte à la vapeur, puis on y glisse un nouveau bulletin en falsifiant la signature. Pour éviter toute suspicion, les enveloppes rouvertes sont ensuite disséminées dans toutes les boîtes postales de la ville.
(…)
Les employés des postes peuvent également influer facilement sur l’élection, selon le témoin. « Vous avez un facteur qui est un type anti-Trump enragé et travaille à Bedminster ou dans un bastion républicain… Il peut prendre les bulletins de vote [remplis], et sachant que 95 % sont en faveur d’un républicain, il peut simplement les jeter à la poubelle », explique-t-il. Un écho à l’histoire de certains lots de courriers électoraux retrouvés après le vote, lors d’élections locales à New York en 2017 ?
Autre « mine d’or » de votes à disposition, les lieux de vie accueillant des personnes fragiles. « Il y a des maisons de retraite où l’infirmière est en fait un opérateur rémunéré. Et elle va pièce par pièce voir ces personnes âgées, qui souhaitent voter pour se sentir utiles », déclare ainsi le lanceur d’alerte. Il suffit alors de remplir le bulletin pour eux et de leur faire signer ce que l’on veut…
(…)
Enfin, le témoin précise que, la plupart du temps, l’historique de participation aux élections est une information publique aux États-Unis. Une dernière technique, encore plus sauvage, consiste donc à aller voter, un jour d’élection, à la place d’un citoyen recensé comme abstentionniste, et qui ne risque pas de venir. Certains États ne demandent en effet pas de pièce d’identité. Une information déconcertante vue de France qui légitime la méfiance de certains observateurs pour ce type de scrutin.
Martine Chapouton (Riposte Laïque)