Fraiche et sans prétention cette petite chanson d’Hiras met de bonne humeur et nous fait commencer la journée de bonne humeur. Vraiment “So real” cette journée.
Sonia Mabrouk démasque Alice Coffin : et si, maintenant, on tirait le fil ?
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Boulevard Voltaire
L’extrait a rencontré un vif succès sur les réseaux sociaux. Alice Coffin répond aux question de Sonia Mabrouk sur Europe 1, l’occasion pour elle de se plaindre avec vigueur de son éviction de l’Institut catholique de Paris.
Mais voilà que la très courtoise et cependant implacable Sonia Mabrouk la met brutalement, d’un ton candide, devant ses contradictions : « Vous dénoncez une censure dans une université, c’est très grave ! Mais pourquoi ne pas l’avoir aussi dénoncée quand la philosophe Sylviane Agacinski a été censurée à l’université de Bordeaux pour ses positions – qu’elle est libre d’avoir – contre la PMA ? »
Alice Coffin, décontenancée, respire un grand coup, cherche ses mots, balbutie, bégaie, hésite, se gratte la tête, se raccroche à des anathèmes éculés comme un naufragé à un bois flotté, et à des mises en garde surréalistes « attention aux fausses équivalences »… pas simple de justifier l’injustifiable.
Nul besoin de courir le monde pour mériter le prix Albert-Londres. « Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus que faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie… » Sonia Mabrouk pourrait postuler : assise dans un studio feutré, elle vient de porter un grand coup de micro – autres temps, autres outils de travail – à cette plaie béante du deux poids deux mesures en France.
Mais à présent que l’on a tiré le premier fil, c’est toute la pelote de la camisole de force, tricotée bien serrée autour de la liberté d’expression, qu’il faudrait dérouler.
Si Alice Coffin a été contrée par Sonia Mabrouk, il n’en a pas été de même, deux jours auparavant, lorsqu’elle a été invitée sur la 5 dans l’émission « C politique » : sans aucune difficulté, elle a pu, une fois de plus, accuser « LES hommes » dans leur globalité. « Le discours de généralité, c’est un discours politique », explique-t-elle sans complexe. « Ce n’est pas chaque homme, s’il faut vraiment rassurer ces messieurs », veut-elle bien concéder, ironique et levant les yeux au ciel, mais « tout discours politique, historique, sociologique est à base de généralités » : « Quand vous dites les Français en 1830, vous n’allez pas dire (rires), not all French ! » Et puis, rajoute-t-elle, « ils sont encore trop nombreux à nous traumatiser, et trop peu à nous aider, et donc dans la balance, je me permets de dire les hommes ». Loin d’en être gênée, la chaîne met en avant ces propos via un morceau choisi posté sur les réseaux sociaux. Pas de cris d’orfraie, de saisine de la justice, du CSA ou du comité d’éthique, pas de ministre indigné ni de politique outré. Une lettre à la poste ! Personne, non plus, pour faire l’analogie avec la récente affaire Zemmour. Il y a les généralités légitimes et les généralités condamnables. Encore une de ces « fausses équivalences », sans doute.
Lorsque Alliance VITA intervient dans un lycée catholique, le ministre de l’Éducation ouvre une enquête administrative. Lorsque Assa Traoré vient porter la bonne parole anti-flic dans un lycée public de banlieue, silence radio.
Lorsque des étudiants de L’ICES font tomber une pile de tracts LGBT et crèvent des ballons, ils font l’objet d’une plainte (pour laquelle ils ont été relaxés), d’un lynchage médiatique, et sont virés de leur établissement. Cet établissement est d’ailleurs régulièrement tagué, dégradé – « on est habitués », confie le directeur de la communication à Ouest-France – et menacé : dimanche dernier, lors de la première Marche des fierté de la Roche-sur-Yon, on a pu voir une pancarte « Crève l’ICES »… non loin d’une autre, tout aussi aimable : « État/police/justice/tous homophobes ». Qui pour en parler ?
Lorsque, en revanche, un étudiant en master de sociologie à Nanterre est accusé d’avoir mis le feu à une voiture de police (il sera condamné, pour cela, à cinq ans de prison dont deux avec sursis), il n’est pas exclu de l’université, loin de là : une salle est même mise à disposition de son comité de soutien.
Il y a tant d’Alice Coffin, dans ce pays, et si peu de Sonia Mabrouk pour les confondre.
On assiste au lent effondrement de l’État sur lui-même
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Riposte Laïque
L’État républicain est au plus mal. Jamais, sans doute, dans notre histoire, la République a été autant malmenée qu’elle l’est aujourd’hui. La confiance des citoyens dans les institutions s’est émoussée au fil du temps et du discrédit croissant de la classe politique dans son ensemble. L’édifice est vermoulu. La question n’est plus de savoir s’il va s’effondrer, mais quand ?
L’épidémie de Covid-19 est révélatrice de la crise profonde que traverse notre pays. Elle met à l’épreuve la capacité des pouvoirs publics à surmonter le double défi sanitaire et économique tout en assurant la cohésion d’une société prête à imploser. Pour tenir les deux extrémités de la chaîne il faudrait un pouvoir fort bénéficiant d’un soutien massif de l’opinion publique. Ce qui est loin d’être le cas !
À quoi assiste-t-on, en effet ! À un lent délitement de l’autorité de l’État incapable de faire respecter l’ordre dans le pays où l’on constate une montée de la violence et de la délinquance. Les malfrats n’hésitent plus à défier l’État et la République. On l’a encore vu à Herblay (Val- d’Oise) où deux policiers ont été sauvagement pris à partie par trois racailles qui les ont dépouillés de leurs armes avant de s’en servir contre eux, leur occasionnant de graves blessures. Trois jours plus tard c’est à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) que le commissariat de police a subi une attaque en règle par une quarantaine d’énergumènes armés de mortiers d’artifice et de projectiles divers.
Une incroyable scène de guérilla urbaine qui n’est pourtant pas une première en France. Pour la seule région parisienne, c’est la cinquième fois depuis le début de l’année qu’un commissariat est pris pour cible. Celui de Champigny-sur-Marne avait déjà fait l’objet d’une attaque en avril dernier. On se demande quelle sera la prochaine étape ? Verra-t-on un commissariat pris d’assaut par la racaille et les policiers désarmés sortir les bras en l’air ? La question se pose désormais sérieusement.
La rue impose sa loi
Tétanisés par la perspective d’une « bavure » susceptible d’enflammer les cités comme en 2005, les policiers préfèrent se barricader dans les commissariats plutôt que de riposter. C’est la rue qui désormais impose sa loi ! Et que fait l’exécutif face à ce chaos qui s’installe tranquillement dans le pays ? Il se contente de déclarations d’une désespérante puérilité. « Nous serons intraitables, déclare le Premier ministre Jean Castex. Ils auront à faire à nous. On ne les laissera pas faire ». Quant au ministre de l’Intérieur, il croit résoudre le problème en interdisant la vente des mortiers d’artifice aux non-professionnels.
On se demande si nos gouvernants se rendent vraiment compte de la gravité de la situation ! Les policiers de terrain n’en peuvent plus d’entendre ces discours. « On veut des actes, pas des paroles ! » s’insurgent-ils. Mais pour agir, il faudrait à l’exécutif du courage et de la volonté politique. Les coups de menton ne servent à rien s’ils ne sont pas suivis d’effet !
La même impuissance de l’État se vérifie avec la gestion cahotique du Covid-19 où le pouvoir donne la désagréable impression de ne pas savoir où il va. Et cela depuis le début ! Présentés comme inutiles hier, les masques sont devenus obligatoires aujourd’hui et sans doute pour longtemps encore. Et que dire de la pratique chimérique et ruineuse des tests – qui coûtent chaque semaine 90 millions d’euros à la Sécurité sociale – dont les résultats ne sont disponibles qu’au bout de dix jours.
Ces revirements incessants, ces hésitations, et ces injonctions parfois contradictoires de l’exécutif – un jour « il faut vaincre le virus », le lendemain « il faut vivre avec » – ont fini par ruiner la confiance des Français dans leurs dirigeants. Une méfiance dont fait aussi les frais le milieu médical profondément divisé sur les mesures à prendre pour lutter contre l’épidémie.
S’ils s’étaient montrés dociles au début du confinement en acceptant de renoncer à leurs libertés publiques, il en va tout autrement avec la deuxième vague de la Covid-19. Ils découvrent avec stupéfaction que rien n’a été fait par les pouvoirs publics depuis six mois. On n’a pas ouvert davantage de lits de réanimation alors que les hôpitaux arrivent à saturation tandis que nombre de soignants sont au bord de l’épuisement.
Ils se demandent pourquoi ils devraient payer pour les erreurs de gestion de dirigeants qui leur ont menti pour masquer l’impréparation du pays à affronter cette épidémie. Rien d’étonnant à ce qu’ils traînent les pieds pour appliquer des règles sanitaires contraignantes dont, par ailleurs, ils ne comprennent pas toujours l’utilité. Les cas de rébellion se multiplient notamment chez les petits commerçants et les artisans qui n’acceptent pas de mettre en péril l’activité de leurs entreprises au bord du dépôt de bilan.
Fronde des magistrats
Cette mise en cause de l’autorité de l’État prend toute sa dimension avec l’incroyable bras de fer qui oppose les magistrats à leur ministre Éric Dupond-Moretti. Les juges refusent de rencontrer l’ancien ténor du barreau tant que ne sera pas réglé le « conflit d’intérêts » qu’ils lui reprochent. De quoi s’agit-il ? Entre 2014 et 2019 le parquet national financier (PNF) a diligenté dans le plus grand secret une enquête préliminaire visant à identifier la « taupe » qui renseignait Nicolas Sarkozy, alias Paul Bismuth, et son avocat Thierry Herzog, sur les procédures en cours visant l’ancien président de la République. Lors de leurs investigations, les policiers ont examiné les « fadettes » (factures détaillées) d’un certain nombre d’avocats parmi les plus réputés de France pour obtenir des données permettant de les géolocaliser.
Lorsque Éric Dupond-Moretti découvre qu’il était placé sur écoutes, il laisse éclater sa colère, dénonce des « méthodes de barbouzes » et porte plainte. Nommé à la Chancellerie dix jours plus tard, il doit retirer sa plainte mais décide de rendre public le rapport de l’inspection générale de la justice demandé par Nicole Belloubet et ordonne une enquête administrative visant trois magistrats du PNF. Colère des magistrats. Des centaines de juges se rassemblent devant les tribunaux pour défendre « l’indépendance de la justice » affirmant que « des intérêts privés dominent l’action publique ». Tout ça parce que Dupond-Moretti est l’ami de Thierry Herzog qui doit être jugé cet automne pour « corruption » avec Nicolas Sarkozy.
Macron n’avait vraiment pas besoin de cette épine dans le pied. Nul doute qu’il a commis une erreur de casting en nommant le bouillant « Acquitator » comme garde des Sceaux ! Si son idée était de mettre au pas la justice, il a, pour le moins, manqué de discernement. Il aura à en supporter les conséquences !
Alain MARSAUGUY (RL)
“Adieu ma France” : avec Macron, tout le pays est en train de couler !
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Riposte Laïque
Ainsi parlait le général Bigeard, glorieux soldat le plus décoré de l’armée française.
Depuis 40 ans, les Français ont le grand malheur d’être gouvernés par les “élites” les plus incompétentes et les plus irresponsables du monde occidental.
Et je pèse mes mots, tant l’effondrement du pays, en une seule génération, est effarant.
Ces bons à rien qui ont la prétention d’avoir la science infuse, ont réussi l’exploit de faire de la deuxième puissance mondiale en 1980, un pays ruiné en voie de sous-développement.
La génération Mitterrand et suivantes n’ont pas connu l’âge d’or des Trente Glorieuses et ignorent qu’en 1975, la France était la deuxième puissance économique mondiale, derrière les États-Unis.
La Chine en était encore au Moyen Âge, tout juste capable de fabriquer des cerfs-volants et des lampions.
L’Allemagne, encore coupée en deux, et le Japon, ne s’étaient pas encore relevés totalement de la guerre.
L’Angleterre restait minée par des syndicats corporatistes dévastateurs, jusqu’à leur mise au pas par Margaret Thatcher, la providentielle “Dame de fer”.
La France était à la pointe de toutes les technologies, avec son nucléaire civil et militaire, son TGV, ses paquebots géants, ses sous-marins nucléaires, ses Mirage vainqueurs de la “guerre des Six Jours”, Ariane, la Caravelle…
Avec une croissance de 5 à 6 % pendant trente ans, elle ne connaissait ni chômage, ni insécurité. Jamais la France n’avait connu une telle explosion du niveau de vie.
Son immigration européenne ne demandait qu’à s’intégrer, les Italiens, les Espagnols et les Portugais épousant des Françaises et donnant des prénoms français à leurs enfants.
Les jeunes ne savent pas non plus qu’en 1980, les Français avaient le cinquième niveau de vie au monde, derrière les USA, et trois petits pays privilégiés, la Suisse, le Luxembourg et la Suède.
Bref, la France des Trente Glorieuses était un véritable paradis et le pitoyable épisode de mai 68, éminemment politisé, avait été effacé en quelques mois. La croissance repartait de plus belle, au grand étonnement du monde.
Mais en quelques décennies, tout cela a été balayé, tout l’héritage du général de Gaulle a été dilapidé par des équipes de fossoyeurs de la nation, de droite comme de gauche.
Tous, sans aucune exception, ont participé à cette gigantesque entreprise de démolition, faisant de la France un pays ruiné, désintégré, islamisé et parmi les plus dangereux du monde occidental.
De cette époque bénie il ne reste qu’un champ de ruines. Mondialisation, immigration, gabegie, incompétence, trahisons et lâchetés des uns et des autres, ont tout emporté.
L’école est en plein naufrage.
Celle-ci, qui faisait notre fierté depuis Jules Ferry, n’est plus un sanctuaire de la transmission du savoir, mais un espace de plus en plus islamisé, où règne l’insécurité et où se propage la haine de la France.
En 2004, le rapport Obin tirait la sonnette d’alarme sur la dangereuse islamisation de l’école républicaine. Mais le frileux François Fillon, alors ministre de l’Éducation nationale, s’est empressé de l’enterrer. “Nous avons perdu 20 ans”, dit aujourd’hui l’ex-inspecteur général Jean-Pierre Obin.
Au classement Pisa, nous reculons dramatiquement à chaque nouvelle étude. L’Éducation nationale devient une usine à cancres, où un bachelier ne maîtrise même plus la langue de Molière.
Notre industrie est laminée.
Hautement performante en 1975, elle a perdu 3,5 millions d’emplois, passant d’un effectif de 6,2 millions à 2,7.
Et la part de l’industrie dans le PIB a chuté de 25 % à 10 %. La France détient ainsi le bonnet d’âne de l’UE.
Nous avons tout vendu ou délocalisé, comme l’a prouvé la crise sanitaire.
La mondialisation n’explique pas tout, car nos voisins ont tous fait mieux que nous.
Le secteur agricole est en alerte rouge !
Troisième exportateur mondial en 2005, la France a été rétrogradée au sixième rang, derrière les États-Unis, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Brésil et la Chine !
La part de l’agriculture dans le PIB est passée de 6 % à 3 % depuis 1980.
En 2023, la France risque de devenir importatrice de produits agricoles !!
Les incapables aux commandes ont écrasé nos paysans de charges, de taxes, de règlements, de normes environnementales et sanitaires qui ont tué le monde agricole.
Notre agriculture, mondialement reconnue, n’est plus compétitive.
Et nos paysans vivent avec 350 euros par mois, pendant qu’un seul mineur isolé coûte 50 000 euros par an au contribuable !
Le secteur de la santé est au bord de l’implosion
Plus besoin de faire un dessin pour parler de l’effondrement du modèle sanitaire français, qui faisait notre fierté depuis des décennies.
On a vu où menait la fermeture des hôpitaux, la suppression de lits par dizaines de milliers, la baisse des effectifs.
Nos soignants ont affronté le Covid-19 sans masques, sans blouses, sans gants, sans respirateurs, sans tests, sans médicaments. Beaucoup ont payé de leur vie l’incurie et l’imprévoyance du pouvoir.
Et on apprend aujourd’hui qu’ils devront payer leurs masques !!
Le modèle de santé qui se croyait le meilleur du monde a dû euthanasier ses vieux faute de moyens et faire appel aux voisins étrangers pour soigner les patients. Une médecine de guerre inhumaine.
Le réseau SNCF est en lambeaux
Sans entretien, avec des retards et des pannes multiples, ce service public, ex-fierté nationale, cumule une dette colossale de 47 milliards, dont 35 repris par l’État.
30 % du réseau sont à remettre en état, après des années de “tout TGV”
La défense est en déclin depuis 60 ans
Avec un budget égal à 1,35 % du PIB, nos soldats font la guerre avec des matériels vieux de 40 ans. Derrière la vitrine diplomatique du porte-avions Charles-de-Gaulle, il y a la misère.
En 1960, avec la guerre d’Algérie, les effectifs atteignaient 1 million de soldats avec un budget porté à 5,44 % du PIB.
En 1964, les effectifs chutaient à 675 000 hommes et en 2020 on tombe à 270 000 personnels dans les armées.
La police est à l’abandon
Avec des locaux vétustes, des guimbardes affichant 300 000 km au compteur et en sous-effectif permanent, nos policiers doivent s’équiper à leurs frais.
Abandonnés par le pouvoir et persécutés par la hiérarchie et la justice, ils sont au bord de l’implosion eux aussi.
Insécurité. Là c’est le pompon !
Celle-ci a été multipliée par 5 depuis les années soixante. Cette insécurité, nous en avons importé la majeure partie et l’avons cultivée par le laxisme judiciaire.
La France est le seul pays au monde où les commissariats sont attaqués et où les policiers, toujours présumés coupables, ont peur de tirer pour sauver leur peau !
Et 120 attaques au couteau par jour, la plupart passées sous silence, par une presse aux ordres, indigne d’une démocratie.
Quant à la justice du “mur des cons”, inutile de compter sur elle. Elle privilégie une réinsertion improbable à une sanction certaine. Avec Dupond-Moretti, c’est l’apothéose !
https://fr.actualitix.com/blog/taux-de-criminalite-en-france-depuis-1949-a-2012.html
Dette de 3 000 milliards fin 2020, avec un PIB en chute libre. 120 % à 130 % du PIB d’endettement, un record.
La France, pays de l’OCDE le plus écrasé d’impôts, est aussi le pays le plus endetté, derrière le Japon et l’Italie. Un véritable exploit. Plus on paie, plus les caisses sont vides.
Il est vrai qu’il faut financer le coût de l’immigration, avec des millions d’immigrés dont la contribution au PIB ne compense pas leur coût social.
Le coût réel de l’immigration dépasse allègrement les 120 milliards par an.
À 50 000 euros le mineur isolé, et on en a 60 000 en 2020, qui peut encore nier que l’immigration nous ruine ?
Une immigration dévastatrice.
Alors que le pays s’effondre, surendetté et écrasé de chômage, avec 9 millions de pauvres, Macron ouvre les frontières comme jamais. Ce sont 500 000 immigrés qui entrent chaque année en France, alors que le chômage explose.
Le solde démographique naturel, c’est-à-dire les naissances moins les décès, est de 140 000 nouveaux-nés, dont une bonne partie d’origine immigrée.
L’immigration est donc trois plus importante que les naissances. Qui ose nier que le Grand Remplacement est en marche ? Qui peut démontrer, chiffres en mains, que c’est un fantasme populiste ?
276 576 visas longue durée, + 6,8 %
132 614 demandeurs d’asile, + 7,3 %, dont aucun débouté ne repartira
40 000 mineurs isolés, dont la moitié sont des fraudeurs majeurs
Des dizaines de milliers de migrants clandestins, venus majoritairement d’Afrique et du Maghreb.
Une explosion de l’islamisme qui va tout emporter.
La partition du pays est en marche sans la moindre prise de conscience des autorités. Le plan contre le séparatisme ne risque pas de traumatiser les barbus.
Plus le communautarisme musulman s’impose, plus le nombre de mini-califats explose dans le pays, et plus Macron ouvre les frontières et déroule le tapis rouge aux islamistes pour arabiser le pays. C’est un désastre identitaire hallucinant.
74 % des jeunes musulmans donnent priorité à la religion sur la République. Et des Bisounours osent encore nous dire que l’intégration est réussie.
C’est la libanisation qui attend la France, avec une guerre civile comme au Liban des années 1980.
Ce sont les caïds et les barbus qui font la loi dans les cités, pas les forces de l’ordre, qui ont ordre de raser les murs et de ne pas intervenir.
Jamais depuis la guerre, on a vu une telle démission de l’État face aux ennemis de la République.
Gestion du Covid-19
Cette gestion irresponsable et mensongère, du début à la fin, illustre à elle seule l’état de délabrement de la France, coulée en trois décennies dans les bas-fonds.
Nous courrons au désastre social et humain en sabordant l’économie, parce que rien n’était prêt au plan sanitaire.
Des centaines de milliers de faillite et des millions de chômeurs seront à mettre au passif de Macron et son Conseil scientifique de pieds nickelés.
Tout est à l’abandon, notre pays recule d’année en année dans tous les domaines.
La recherche à court de crédits
Si l’argent coule à flots pour l’accueil des immigrés et des clandestins, mieux traités que les natifs, la recherche est le parent pauvre du pays.
Combien de brevets sont partis aux États-Unis ou ailleurs, parce que nos chercheurs ont été abandonnés ?
Notre dernier prix Nobel de chimie ne fait pas exception. Elle est française, oui, mais le fruit de ses travaux est parti aux États-Unis et en Chine.
Conclusion
Le déclin de notre pays est tel que seul un homme fort et courageux, ou une Thatcher française pourrait le sauver du naufrage définitif.
Mais tout plan de sauvetage passe d’abord par l’arrêt total de l’immigration, puisque notre ruine provient essentiellement de ce fardeau aussi écrasant qu’incontrôlé.
Sans ce préalable vital, il est inutile d’espérer le moindre redressement.
Fermeture totale des frontières, fin du droit du sol et de la double nationalité.
Déchéance de la nationalité française pour tout criminel binational.
Suppression du social aux familles de mineurs délinquants.
Social réservé aux seuls Français. Arrêt des naturalisations de masse.
Traque sévère de la fraude sociale, estimée entre 50 et 70 milliards. etc.
Mais pour cela, il ne faut pas avoir la main qui tremble. Il faut avoir le cuir épais et surtout, il faut que les Français cessent enfin de voter pour les mêmes qui les ont toujours trahis.
Les peuples sont toujours responsables de leur destin, en démocratie plus qu’ailleurs !
Nos élus sont les fossoyeurs de la nation, certes, mais c’est le peuple qui les a portés au pouvoir scrutin après scrutin.
Jacques Guillemain (RL)