“Le ‘pacte pour la migration’ de l’UE repose sur 3 piliers : encourager l’immigration, dissuader les expulsions, installer cette immigration

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Marine Le Pen a présenté vendredi le lancement d’une campagne, en France et en Europe, contre le Pacte européen sur la migration et l’asile, associé à un “plan organisé de submersion” par une “immigration de peuplement qui ne repartira pas” et mènera au “suicide de l’Europe”.

“C’est un plan organisé de submersion de l’Europe et des nations qui la composent”, un “véritable pacte avec le diable” qui mènera au “suicide de l’Europe”, a déclaré la présidente du Rassemblement national lors d’une conférence de presse au siège de son parti à Nanterre.

La Commission européenne a présenté aux Etats membres de l’UE fin septembre un Pacte sur la migration et l’asile qui vise à réformer l”asile sur le continent.

“L’immigration concernée par le pacte est une immigration de peuplement qui ne repartira pas, destructeur” et “va compromettre l’équilibre économique, social et culturel de nos pays”, a dénoncé la dirigeante a dénoncé la dirigeante d’extrême droite.

(…) TV5 Monde

La chanson du jour, For All Time – Jody Wisternoff

La chanson du jour se présente comme une sorte de gâteau à la crème. Cool et onctueux…sans doute indigeste si on abuse mais tellement agréable pour les oreilles…évidemment il faut aimer ce style de musique….mais les goûts et les couleurs…..

Trump est un héros de western qui défend les valeurs de l’Amérique

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Riposte Laïque

“Trump n’est pas favori, mais son intuition peut le mener à la victoire”

Ainsi s’exprime, dans une tribune du Figaro, le politologue américain Walter Russell Mead, qui analyse le phénomène trumpien sans tomber dans cette hystérique diabolisation aussi universelle que stérile.

Si l’ensemble de la classe politique, aux États-Unis comme en Europe, est aussi agressive contre le milliardaire, c’est parce qu’elle est en plein désarroi face à l’irruption d’un Président qui ne respecte aucun code et ne fonctionne qu’à l’instinct, sans s’encombrer de principes raisonnés.

“Ceux qui sous-estiment  Trump ont profondément tort”, déclare Russell Mead.

Car en dépit de la pandémie qui a torpillé son bilan économique, Trump conserve le soutien de sa base électorale. En effet, les 43 % de ses fans répondent “présents”.

Tout d’abord, Trump a parfaitement compris comment fonctionne le monde et cherche toujours le meilleur moyen pour que l’Amérique en tire parti.

Ensuite, il applique ce que veut sa base politique, ce qui est rarissime en politique, où la trahison des électeurs est la norme, dès le lendemain du scrutin.

Et en cas de conflit entre ces deux options, il donne priorité à sa base électorale. Car l’essentiel est de garder le pouvoir pour agir…

Trump est l’incarnation du nationalisme populiste américain et il reste persuadé qu’il comprend l’intérêt national mieux que les autres. Il est donc  le parfait contre-modèle de Macron, qui agit systématiquement contre les intérêts du peuple français.

Quand Trump combat l’immigration, Macron l’augmente de 50 %. Quand Trump protège le peuple américain, Macron ne jure que par la discrimination positive et la préférence étrangère.

Évidemment, dans un univers politique occidental progressiste, mondialiste et multiculturaliste, Trump fait tache.

Il ignore toutes les règles et se moque royalement de l’opinion qu’ont de lui les chefs d’État étrangers. Seule l’opinion de son électorat  l’intéresse.

Persuadé d’avoir raison seul contre tous, rien ne l’arrête. On l’a vu avec la COP 21, on l’a vu avec l’Iran. Aucune pression de la coalition planétaire pro-Iran ne l’a fait reculer.

Le pragmatisme fait sa force et doit faire la force de l’Amérique. Tel est le postulat de base.

Par conséquent, toute diabolisation, si chère aux démocrates et à nos larbins journalistes, n’a aucune chance de porter ses fruits. Au contraire.

Trump n’est pas le raciste que la gauche dépeint. Car si les démocrates jouent cyniquement la carte raciale, en caressant les Noirs et les Latinos dans le sens du poil, Trump n’a jamais joué la carte du suprémacisme blanc, même si son électorat  reste farouchement attaché à son identité.

23 % des Noirs votent Trump, qui a ramené le chômage de ces derniers au niveau de 1950 !

D’ailleurs, toutes les classes populaires, quelle que soit la minorité concernée, ne supportent plus la concurrence avec les migrants.

Si Trump reste l’homme à abattre et si l’ensemble des mondialistes attendent sa défaite, c’est parce qu’il a fait exploser l’idéologie progressiste et ouvert les yeux de centaines de millions de citoyens dans le monde.

Le vote Trump, c’est le rejet du politiquement correct. C’est une claque à l’establishment arrogant qui méprise le peuple. C’est l’affirmation de la nation et de l’identité américaines, avec les valeurs ancestrales de la Conquête de l’Ouest.

Donald Trump reste donc une formidable force politique qu’il serait téméraire de sous-estimer.

“Sleepy Joe” espérait le voir disqualifié après sa contamination au Covid-19. Mauvaise pioche !

Dès ce WE, l’indestructible Donald reprend  les commandes du pays et relance sa campagne, plus remonté que jamais.

Rien n’est joué d’avance avec le système électoral américain, qui réserve bien des surprises.

Depuis plusieurs décennies, cette élection est sans aucun doute la plus imprévisible.

Jacques Guillemain (RL)

Macron s’est fait enfler : il a casqué pour Sophie, on lui a refilé la muzz Mariam !

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Riposte Laïque

Elle est de retour ! Mis à part trois grincheux, tout le monde est content !

Mais sinon, tout le monde paraissait prêt à exulter ! On a eu droit à la totale avec le retour de vieille folle d’otage Sophie Pétronin. La pleurniche, l’émotionnel, Macron là mais tout étant discret. C’était parfait !

Pour la mama ils étaient tous là, son fils hystérique comme sa mère, le mec doit avoir 50 ans et il se comporte comme un ado taré.

Tous masqués comme il faut, par conte niveau gestes barrières c’était pas ça, ce ne furent qu’accolades, embrassades et vas-y que je tripote les mains.

Avec un peu de bol la Sophie va choper le Covid. T’imagines le scénario ? Libérée des geôles jihadistes elle se retrouve à encombrer les réas, et peut-être clamser. Ça pourrait être le feuilleton de l’automne.

Et si tout se passe bien, on aura une deuxième cérémonie avec ses obsèques nationales. Ça serait un remake moderne des malheurs de Sophie.

Enfin Sophie ! Quand je l’ai vue débarquer avec son long foulard blanc, j’ai eu doute subtil… après il flottait alors à la rigueur, ça pouvait se justifier.

Il a été vite levé !

À peine arrivée, la momo revient au galop.

“Pour le Mali, je vais prier et implorer la bénédiction d’Allah, parce que je suis musulmane. Vous dites Sophie, mais c’est Mariam que vous avez devant vous”.

Vous remarquez au passage qu’elle ne pense pas prier pour la France, ni pour son bienfaiteur El Macron, l’initiateur de l’enseignement de l’arabe.

Elle doit pas être encore au coran, c’est devenue une grande nation musulmane désormais, sinon c’est de l’ingratitude. Pour cette dingo de 75 ans, Macron a fait libérer 200 djihadistes plus, en cadeau, quelques millions de $ qui permettront de réarmer ces bons musulmans qui pourront se battre pour le Prophète.

Les soldats français sur place vont être contents de revoir contre eux, sur le terrain, ceux qu’ils se sont évertués à éliminer. Garce à elle, nous aurons droit à des cérémonies aux Invalides pour nos combattants tués par les heureux bénéficiaires de sa libération.

Mariam annonce la couleur : elle veut retourner au Mali ; je me demande pourquoi on ne l’y a pas laissée. Elle a une mission à finir. Retrouver ses prétendus ravisseurs ? Ça y est, je suis complotiste. C’est le loto permanent pour eux, elle repart, se fait enlever et hop on libère encore une fournée de 200 + les biftons.

C’est peut-être pour ça que El Macron est resté discret. D’habitude il aime se mettre en valeur, improviser une conférence de presse, là salut et au revoir.

J’ai comme l’impression qu’ils ont compris qu’ils se sont fait berlurer.

Finalement le Covid, pour Mariam, ça peut être une solution.

Paul Le Poulpe