Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Riposte Laïque
La France jadis chrétienne, « fille aînée de l’Église », était aux mains d’un pouvoir vertical né de son appartenance à la chrétienté. Cette verticalité a été à la fois rabotée et reconduite par la déesse « Raison » de 1792, par la référence à la Nation issue de la Révolution, puis par la Patrie (notamment durant guerre de 14/18), puis par la Ve République à ses commencements gaulliens.
De Gaulle fut le dernier Président de la verticalité. Macron nous en offrit un pâle ersatz lors de sa funèbre marche « jupitérienne » inaugurant son quinquennat au Louvre (un musée !).
Aujourd’hui, la France n’est plus chrétienne, mais largement athée ou agnostique. Quand elle n’est pas musulmane dans ses territoires perdus. Le sens de la Nation s’est éteint au cours du XXe Siècle, tout comme celui de la Patrie, sous les assauts des deux Guerres mondiales et de leurs conséquences.
Le refus des racines, de notre Histoire, de frontières, de préférence nationale font que notre pays est en plein doute. Il n’est plus de droite depuis longtemps.
Est-il pour autant de gauche ?
La référence idéologique au communisme a servi, comme l’a écrit Raymond Aron, d’« opium des intellectuels » depuis le Congrès de Tour en 1920 avec la création du Parti Communiste. Après la Seconde Guerre mondiale, la propagande fit apparaître le communisme soviétique comme seul capable de stopper le retour du nazisme ou du fascisme. Les millions de morts du goulag stalinien furent ainsi justifiés.
Mais l’URSS permettait de contrarier les excès du capitalisme sauvage, puis du libéralisme à l’idéologie dépourvue de tout sens historique, de tout sens collectif et donc de toute âme nationale. L’internationalisme communiste – qui n’était pas un réel internationalisme contrairement au capitalisme – freinait les élans destructeurs de l’État, de la Nation, de la Patrie, du sentiment d’appartenance que portait en lui le libéralisme.
La révolte de mai 68 s’est dite de gauche. Une gauche qui au fil des années a aboli l’idée de la référence prioritaire au collectif, une des ultimes verticalités de la France d’après-guerre. Elle s’est dite de gauche en « interdisant d’interdire » ; en réalité, elle n’a jamais aussi bien servi les intérêts et les objectifs du capitalisme le plus cynique, et c’est comme cela que l’on retrouve les grandes gueules de mai 68 en chantres de l’ultra-libéralisme.
En 2020, le communisme est en coma dépassé et son fac-similé mélenchonien n’est qu’une série de dégueulis haineux, une politique de chien crevé au fil de l’eau, un hymne pour un modèle multiculturel qui nous a mené à la société violente que nous connaissons.
La gauche a revêtu les costumes disparates du féminisme, du lobby LGBT, du « laissez-nous vivre », du « laissez-nous faire », s’est rapprochée du communautarisme musulman. Toute verticalité chrétienne, nationale, patriotique, a disparu. Triomphent de plus en plus les comportements discordants qui ne nous rappellent que l’étape qui vient après l’échec de la démocratie mue par la verticalité est l’anarchie ou la théocratie.
Les combats de rues dans les grandes villes, les assassinats quotidiens pour un regard, une remarque, pour satisfaire un Allah cruel et pédophile nous le rappellent chaque jour.
Une dernière verticalité est en cours de destruction : la famille (la vraie : père + mère + enfants). Cette base traditionnelle des sociétés est la cible de toutes les volontés destructrices. Aucun gouvernement n’ose prôner une politique de la famille favorable aux nationaux français mais aucun n’hésite à promouvoir le féminisme décervelant, la famille monoparentale, l’idéologie LGBT, la PMA, la GPA.
La famille traditionnelle est moquée, qualifiée de désuète, de conservatrice, de rétrograde. Le dernier pilier de notre monde est en train de céder.
En abandonnant une à une toutes ses verticalités, la France a perdu son âme, le terreau qui fit d’elle un grand pays parmi les grands pays. Macron est le produit de tous ces abandons et le gouvernement Castex, le reflet parfait de cette décrépitude.
Le Maire aux Finances, c’est l’assurance que la mondialisation continuera sa marche en avant malgré quelques accents bâtards d’une pseudo-renaissance d’un souverainisme français.
Dupond-Moretti à la Justice, c’est verrouiller tout retour à une verticalité nationale. L’homme, quand il ne joue pas l’ogre avec les enfants de l’affaire d’Outreau, se vante en postillonnant d’être immigrationniste, de protéger les racailles malchanceuses.
Darmanin à l’Intérieur est plus dangereux que le sans envergure Castaner. Mettant en avant son Moussa de grand-père kabyle côté maternel, il nous indique la direction de sa boussole personnelle (un futur Président aux racines partagées entre les deux rives de la Méditerranée ?).
Quant aux personnalités confuses et insignifiantes qui complètent l’équipe, elles ont pour tâche essentielle d’accélérer l’éclatement de la société française. La pro-LGBT Bachelot à la Culture en est un exemple parlant.
La France est-elle définitivement foutue ?
Ou peut-elle espérer un réel retour de la verticalité ?
Mais alors qui pour incarner la volonté de verticalité ?
La diversité a raison d’aimer Macron : il accélère notre disparition
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Riposte Laïque
Si les statistiques ethniques sont en théorie interdites, le gouvernement sait parfaitement ce qu’il en est du Grand Remplacement qui s’accélère et que l’establishment s’acharne à occulter.
Sur le site officiel « France stratégie », que nous indique « Français de souche », on mesure cette inexorable augmentation de la population extra-européenne, terrible perspective que politiques et médias cachent au peuple français.
Ces chiffres officiels prouvent bien qu’il y a une réelle volonté politique de nous imposer une société multiculturelle dévastatrice qui va détruire notre nation millénaire, afin de bâtir le grand village supranational dont rêvent les mondialistes.
https://francestrategie.shinyapps.io/app_seg/
Sur le site « France stratégie », on peut mesurer plusieurs données, dont l’évolution démographique de la France, par région et par tranche d’âge.
Pour la tranche des 0-18 ans, on constate qu’entre 1990 et 2015, la proportion des jeunes d’origine extra-européenne est passée de 13 % à 21 % en une génération. (moyenne des 55 unités urbaines).
Mais il est évident que de 2015 à 2020, la crise migratoire n’a fait qu’amplifier le désastre, Hollande et Macron ayant ouvert les frontières comme jamais.
Cela représente une augmentation de 63 %, alors que sur une génération la population de souche diminue de 20 %, avec un taux de fécondité des natives de 1,6 enfant par femme, voire une baisse de 25 % avec un taux de 1,5 enfant.
Ces chiffres portent sur 55 unités urbaines à travers toute la France, avec de fortes disparités régionales. À Creil, la proportion de jeunes issus de l’immigration est passée de 29,4 % à 52,5 %.
Valérie Pécresse avait reconnu il y a peu qu’en Île-de-France, une naissance sur deux était d’origine immigrée.
Détruire la nation, liquider notre identité et notre patrimoine culturel en cachant la vérité aux Français fait donc bien partie des objectifs des mondialistes, Macron en tête.
Et au vu du naufrage de l’intégration et de l’explosion du racisme anti-Blancs, jamais dénoncé, jamais condamné mais toujours nié, il faut s’attendre dans quelques années à vivre ce que vivent les Blancs d’Afrique du Sud.
On se souvient de ce militant de la LDNA qui avait appelé les Sud-Africains noirs à tuer des « Blancs », des « Chinois » et des « Indiens ».
À ma connaissance, ce fan du « vivre-ensemble » n’a jamais été inquiété.
Cela dit, quand un peuple a davantage de compassion pour les criminels que pour les victimes, comme on l’a vu avec la sinistre farce du « mur des cons » ou avec des familles frappées par la violence qui ne savent que dire « vous n’aurez pas ma haine », on peut se demander si ce peuple n’est pas mûr pour la dimmithude.
Quand un ministre de la Justice fraîchement nommé pleurniche sur les jeunes délinquants « déchirés par la vie », on voit ce que veut Macron.
On aimerait que ce ministre parfaitement impartial nous explique pourquoi les jeunes Asiatiques ne se sentent jamais « déchirés par la vie », caracolent en tête des classements scolaires et se hissent au plus haut sommet de la société par leur travail et le goût de l’effort.
Aucun Asiatique ne se sent « racisé », aucun ne se plaint. On n’a jamais vu une bande de jeunes Asiatiques massacrer un Français parce qu’il est blanc.
Ce qui est certain, c’est que les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent. S’ils veulent encore Macron en 2022, ils l’auront !
Mais il ne faudra pas venir pleurer quand la situation sera devenue incontrôlable, comme annoncé par l’ex-premier flic de France !!
Le « face-à-face », Macron nous y conduit par le chemin le plus court.
Enquête Insee 2018 : une agression gratuite toutes les 44 secondes
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Riposte Laïque
Face à la violence gratuite, qui fait 2 000 victimes par jour et dont Macron et Darmanin se foutent éperdument, les Français abandonnés par l’État et la justice n’ont d’autre choix que de raser les murs ou risquer la mort.
Une étude de l’Insee de 2018 indiquait une violence gratuite toutes les 44 secondes, soit 2 000 agressions quotidiennes.
Frapper par haine et par cruauté, tel un barbare, une violence sauvage qui mène souvent à la mort, que l’État a toujours minimisée et que les médias occultent massivement.
Si l’État est responsable de ces crimes abominables, les médias en sont les complices, en orchestrant une omerta criminelle. Et quand le crime est dévoilé, c’est le nom de l’agresseur qui est caché.
« Pour ne pas compromettre ses chances de rester intact, il faut se soumettre, baisser les yeux, laisser passer devant soi dans une file d’attente, accepter l’humiliation », déclare le psychanalyste Maurice Berger.
Et ce dernier a malheureusement raison. 40 années de lâcheté et de trahisons des élites dirigeantes ont détruit le quotidien des Français, dont plusieurs millions d’entre eux vont travailler la peur au ventre, ou subissent une insupportable promiscuité avec des populations qui les détestent et les humilient.
Qui se soucie du sort des Français des banlieues sinistrées, qui n’ont pas la chance de pouvoir déménager ?
Finies les belles années, quand Italiens, Espagnols, Portugais et Français vivaient en parfaite harmonie et en toute sécurité dans des HLM flambant neuves.
Car la sinistre vérité est que parmi ceux qui nous imposent le « vivre- ensemble », pas un seul d’entre eux n’accepterait de vivre dans les cités pour y subir la loi de racailles.
À force de parler de simples incivilités pour des faits de plus en plus graves commis par des délinquants d’origine immigrée, nos dirigeants ont donné naissance à des monstres capables de tuer pour un regard ou une cigarette refusée.
Si la tolérance zéro asphyxie la délinquance, le laxisme judiciaire mène tôt ou tard au crime de sang. Nous y sommes et des pans entiers du pays subissent la loi des bandes.
Macron promettait 15 000 places de prison, aucune n’a vu le jour et il a au contraire libéré 15 000 détenus, mettant les citoyens en danger. Une trahison de plus.
Le massacre de Philippe Monguillot à Bayonne, la mort de Mélanie Lemée, jeune femme gendarme fauchée par un fuyard, le meurtre de Thomas Carbonnel poignardé par un détenu fraîchement libéré, ont fait la Une de la presse, mais on n’a vu aucun acteur, aucun chanteur, aucune personnalité venu s’associer à la marche blanche, comme le dit à juste titre Laurence de Charette dans le Figaro. Nos élites compatissent, mais de loin. Les familles brisées à jamais, ni le pouvoir, ni les élites s’en soucient.
Ce malheureux chauffeur de bus n’a ému nos dirigeants et nos médias que parce que les syndicats de chauffeurs se sont mis en grève.
Mais ni Philippe Monguillot, ni Mélanie Lemée, ni Thomas Carbonnel ne susciteront la même émotion nationale que celle exprimée en faveur de George Floyd ou Adama Traoré.
Pour nos médias, la mort de Thomas, de Philippe et celle de Mélanie sont des faits divers. Mais la mort d’Adama Traoré résulte des violences policières alors que toutes les expertises prouvent le contraire.
Car dans notre société multiculturelle, un père de famille massacré sans raison par des racailles émeut beaucoup moins nos bobos que deux délinquants issus de la diversité et bien connus des services de police. Nos inconditionnels de la diversité ne réalisent même pas qu’un jour pas si lointain, ils risquent de connaître le sort de Philippe Monguillot.
La barbarie, nous l’avons importée et malgré le tragique échec de l’intégration, nos frontières s’ouvrent toujours davantage.
Il n’existe plus de sanctuaire. Le Pays basque, longtemps épargné par la violence des bandes, est touché depuis quelques années. Les beaux quartiers vont inexorablement devenir aussi dangereux que les quartiers populaires, une évidence que nos élites refusent d’admettre.
Le dernier sanctuaire est la Corse, seule région où les citoyens n’accepteront jamais la loi des caïds, comme on l’a vu avec les événements de Sisco, où une famille d’origine marocaine avait cru pouvoir faire la loi sur la plage. Mais les villageois ne l’ont pas entendu de cette oreille… En Corse, les immigrés ne sont pas chez eux, ils sont tolérés.
À force de faire de nos délinquants d’éternels opprimés, de malheureux racisés, quels que soient leur méfaits, nos bien-pensants en ont fait des tueurs pour certains d’entre eux.
Nos ayatollahs du multiculturalisme ont ôté toute autorité aux enseignants et aux policiers, faisant de nos immigrés des rebelles de la société, avant de devenir des ennemis de la République.
Le résultat est sans appel. Minoritaires dans la société, les citoyens issus de la diversité sont majoritaires dans nos prisons, malgré l’extrême clémence de nos juges qui n’emprisonnent qu’en dernier ressort.
De plus en plus de jeunes rejettent le « vivre-ensemble », considéré comme un acte de soumission à la République.
Et sans réponse pénale sévère dès la première incartade, notamment la suppression des allocations pour les mineurs, la violence ne peut que gagner tout le pays et faire exploser la criminalité.
« Les auteurs de ces crimes sont issus de l’immigration », nous dit Maurice Berger, soulignant « la violence interne de certaines cultures », où l’égalité homme/femme n’est pas reconnue, où les mariages forcés et la polygamie sont la norme.
Telle est la France multiculturelle paradisiaque de 2020. Et au rythme des arrivées, nous n’avons encore rien vu.
On comprend que les pays du groupe Visegrad refusent obstinément de subir le chaos racial qui règne à l’Ouest.
Je laisserai le dernier mot à Brigitte Bardot, la seule personnalité qui a le courage de dire une vérité que tout le monde connaît mais n’ose exprimer :
« Je suis épouvantée, je suis écœurée, je trouve qu’on est gouvernés par des lâches. Des soumis ! Des sans couilles ! On se laisse envahir par des populations qui n’ont rien à voir avec nous et qui sont d’une extrême violence, d’une extrême cruauté, très dangereux, très dangereux ! Vraiment soumis à une partie de la France qui maintenant n’appartient plus à la France. »
Tout est dit.
14 Juillet : Incendies, tirs de mortiers, affrontements avec la police, une maison incendiée…qui a dit qu’il n’y aurait pas de fête cette année ?
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Feux de voitures, incendies de détritus, broussailles parties en fumée… Les sapeurs-pompiers de Roubaix ont été mobilisés toute la nuit pour venir à bout de plusieurs sinistres. Ils ont également essuyé des tirs de projectiles lors d’une intervention à l’Hommelet.
(…) « Depuis plusieurs jours, ils n’arrêtent pas avec ça, ça pète de partout », témoigne un riverain excédé ce mardi matin.
La nuit du 14 juillet 2020 a été particulièrement agitée dans les quartiers de Nétreville, La Madeleine et de Navarre à Évreux. Une maison a même été détruite par un tir de mortier d’artifice et des gendarmes mobiles ont été blessés. (Paris-Normandie)
Des tirs de feux d’artifice en l’air, mais aussi contre des façades d’immeuble ou encore des départs d’incendie dans des rues de Paris : la nuit du lundi 13 au mardi 14 juillet 2020 a été marquée de tensions dans la capitale, jusqu’à des heurts avec la police dans les 18ème et 19ème arrondissements.
(…) Selon des images postées sur Snapchat, des tirs de LBD et de gaz lacrymogènes ont répondu aux tirs de mortiers d’artifice parfois dirigés contre les équipages de police envoyés en renfort dans les secteurs concernés.
De nombreux incidents ont émaillé la nuit du 13 au 14 juillet 2020 à Lyon et dans plusieurs communes de la Métropole dont Villeurbanne.
La nuit du 14 juillet a été très agitée dans le pays de Montbéliard. Des violences urbaines ont éclaté dans plusieurs quartiers. La police a aussi essuyé des tirs de mortiers sans faire de blessé. A Montbéliard, un jeune de 18 ans a été arrêté.
(…) Des poubelles et des voitures ont également été brûlées à Héricourt rue des frères Lumières quartier des Chenevières et rue Renée Char. Au cours de cette même nuit, une dizaine de poubelles a aussi été détruite par le feu dans le quartier des Fougères à Grand-Charmont et Champvallon à Bethoncourt ou un couvre-feu a été instauré pendant deux semaines pour les mineurs de moins de 14 ans entre 22h le soir et 5h le matin. La police de Montbéliard dit craindre de nouveaux incidents pour la nuit à venir du 14 au 15 juillet.
Privés de feux d’artifice pour cause de crise sanitaire, les habitants des Yvelines ont pourtant entendu résonner des pétards et des mortiers dans la nuit de lundi à mardi. Mantes-la-Jolie, Les Mureaux, Trappes, La Celle-Saint-Cloud, Plaisir, La Verrière, Meulan… : des incidents, notamment des tirs de mortiers d’artifice contre les policiers et des incendies de poubelles, ont été recensés dans une quinzaine de communes du département.
La nuit du 13 au 14 juillet a été agitée en Seine-et-Marne. Entre des véhicules brûlés et des feux de poubelles, les policiers ont essuyé des tirs de mortier.
(…) Autre fait marquant de la soirée, plusieurs équipages de police ont été pris pour cible par des tirs de mortier. Des jets de ces dispositifs de feux d’artifice ont été observés dans différentes communes, comme Melun, le Mée, Savigny-le-Temple, Gretz-Armainvilliers, Pontault-Combault, Noisiel ou encore Lognes.
Un 14 juillet ordinaire dans la France de 2020….qu’est-ce que ce sera en 2030 ?
La chanson du jour, Let Me Down Gently – La Roux
Et si je me la pétais avec un commentaire super "serious" ? Allez je me lance: "Lady Gaga et La Roux sont probablement les deux meilleurs artistes du label Interscope, à l'échelle de la créativité. L'un est à mi-chemin des ventes mondiales de Madonna en moins d'une décennie, et l'autre est probablement la personne la plus innovante en danse depuis Eurthymics ..." Il est vraiment temps que j'attérisse....mdr !
Quel est ce nouveau réseau social garanti « libre » que rejoignent actuellement tant de comptes censurés ?
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Après la vague de censure touchant Génération identitaire, Sud Radio et de nombreux autres comptes de « Gaulois réfractaires », certains semblent avoir trouvé une solution alternative et se passent le mot. Un vrai phénomène, une vague de fond susceptible de concurrencer les « géants » ? L’avenir le dira.
Contourner la censure
Parler. C’est le nouveau réseau social libre et garanti sans censure, importé des États-Unis, où il a été créé en 2018 par une partie des conservateurs américains. Fort de plus d’un million d’utilisateurs, cette plate-forme s’appuie sur la liberté d’expression, au contraire des modalités restrictives des GAFA.
En France, l’inscription sur Parler se démocratise dans le milieu visé continuellement par des sanctions de la part des réseaux sociaux mainstream. Ainsi, Clément Martin ou Thaïs d’Escufon, cadres de Génération identitaire, dont le compte Twitter a été, une nouvelle fois, supprimé, vendredi dernier, ont rejoint et incité à rejoindre cette nouvelle plate-forme.
Une application créée par des conservateurs américains
Car sur cette plate-forme, « la liberté d’expression sans violence » est la règle. À l’origine, des Américains pro-Trump qui ont voulu s’insurger contre la politique de censure de la part de la marque à l’oiseau bleu. Depuis, des membres des milieux conservateurs ou se revendiquant patriotes y ont créé leur profil.
Parmi les habitués de la « twittosphère » ayant migré sur cette plate-forme, Julien Rochedy, L’Étudiant libre ou encore Damien Rieu.
Dupond-Moretti met la justice au service des racailles « malchanceuses »
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Riposte Laïque
Un ministre du sang-mêlé et de l’antiracisme, mais surtout pas de la justice. Un vrai militant de l’anti-France.
Soyons très clairs, la déclaration du garde des Sceaux, lors de sa prise de fonction, est venue affirmer que sa politique serait directement inspirée de l’ultra-gauche immigrationniste, indigéniste, racialiste et radicalement hostile aux Blancs. Nous la recevons comme un écho direct au mouvement « Black Lives Matter », comme une déclaration de guerre sans ambiguïté faite à la population blanche « privilégiée » de France.
video-mon-ministere-sera-celui-de-lanti-racisme-dupont-moretti-ministre-de-linjustice-raciale
Toujours dans ce droit fil, les dernières déclarations du ministre sont venues confirmer des positions très orientées et radicalement hostiles aux Blancs. Même si tout n’est pas dit de manière tout à fait explicite, les non-dits et les creux pèsent de tout leur poids.
Les chances-pour-la-France n’ont pas eu de chance. La victimisation érigée en politique de la justice. Notre puissant ministre de la Justice qui n’a d’yeux que pour la racaille et pour les assassins vient de se rendre dans un centre éducatif fermé à la rencontre de jeunes multirécidivistes. Et voici ce qu’il vient d’y déclarer :
« Ces gamins vont revenir un jour ou l’autre dans la société civile et il faut qu’ils reviennent meilleurs, je crois en cela passionnément ».
« Ces gamins-là, pour la plupart d’entre eux, n’ont pas eu de chance. Il faut les aider. »
dupond-moretti-dans-un-centre-educatif-ferme-a-la-rencontre-de-gamins-dechires-par-la-vie-20200713
Voici donc en gros la conception du ministre et le non-dit qu’elle porte : aidons ces gens qui n’ont pas eu de chance car ils sont une chance à la France et pour les Blancs « privilégiés » dont le sang n’a pas encore été mêlé… Ou quand les chances n’ont pas eu de chance. Encore et toujours la victimisation de la délinquance très majoritairement issue de l’immigration. C’est très clair, par ces déclarations Dupond-Moretti érige la victimisation de la racaille en politique de la justice.
Pour notre part, nous pensons que ces gens devraient être déchus de leur nationalité française ou de leur droit à l’acquérir, et renvoyés là d’où ils viennent ; bien entendu avec leur famille au titre du regroupement familial. Pas de double peine. Parfaite symétrie des formes, pour la protection de l’enfance, il faut maintenir l’unité des familles, même et surtout dans la remigration.
La justice au service de l’assassin et du délinquant, la victime condamnée au silence. À peine nommé, le nouveau garde des Sceaux déclarait également ceci :
« La victime prend toute la place dans le procès pénal alors qu’il est d’abord fait pour qu’un accusé soit jugé et puisse se défendre. Le contradictoire qu’apporte la défense d’un accusé est plus important que la défense de la victime. Elle n’a pas à être défendue puisqu’elle n’est accusée de rien ».
« Le cœur des juges bat d’abord pour les victimes et donc il faut que les juges soient à équidistances, c’est d’ailleurs leur serment et c’est loin d’être toujours le cas. Quand l’opinion publique est dressée, on a tendance parfois à satisfaire les victimes ».
« Après un drame, la priorité pour une victime n’est pas de se repaître de ce drame, mais d’essayer d’aller vers la résilience ».
Tout le droit pour l’assassin, pour la racaille. Pas de défense, pas de droit, pas de justice pour la victime. Fin de l’ère victimaire, pas même de considération sociale pour la victime. La victime doit aller vers la résilience, c’est-à-dire se taire.
les-victimes-vues-par-eric-dupond-moretti-le-nouveau-ministre-de-la-justice_4037753.html
Résumons la doctrine du ministre et le non-dit qu’elle porte. Les chances-pour-la-France n’ont pas eu de chance, arrêtons de victimiser les victimes majoritairement blanches et »privilégiées », seul l’assassin, majoritairement issu de la diversité, mérite le droit à la défense et la victimisation.
Cerise sur le gâteau, les détenus pourront invoquer l’indignité de leurs conditions de détention pour demander leur libération. Le garde des Sceaux nouvellement nommé n’y est pour rien, mais cette nouvelle décision de la Cour de cassation va permettre aux magistrats de vider les prisons à très grande allure.
Pour conclure, résumons la politique judiciaire et pénale de la France :
- Les victimes, très majoritairement blanches et donc »privilégiées », fermez vos gueules.
- Seuls les assassins et les délinquants, très majoritairement issus de l’immigration, ont droit à la défense et à la victimisation.
- Délinquants, assassins, djihadistes, très majoritairement issus de la diversité, présentez vos demandes de libération, la société civile est sommée de se serrer pour vous accueillir.
Blancs »privilégiés », plus personne ne vous protège. Au contraire, des signaux très clairs sont envoyés à la racaille pour lui assurer de la plus grande latitude d’agir contre vous à sa guise.
La politique judiciaire de la France accompagne le véritable génocide en cours, pour le moment encore à basse intensité, mais dont tout est fait pour en accélérer le cours.
Blancs »privilégiés », évitez d’être au mauvais endroit au mauvais moment.
Prenez vos dispositions pour assurer vous-même votre propre sécurité.
Organisez-vous, regroupez-vous.
Martin Moisan
NB : eu égard à la très large majorité du contingent de délinquants issus de l’immigration, j’ai globalisé par grandes masses pour simplifier et pour ne pas alourdir le texte. Il est entendu que tous les délinquants ne sont pas issus de la diversité, et que certains ont eu le « privilège » de naître blancs. Pareillement pour les victimes ; quoique très largement majoritaires, toutes le victimes ne sont pas blanches et « privilégiées ».
Harcèlement de rue : « La nuit à Montpellier, la violence est décomplexée (…) On ne rentre jamais seules le soir »
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Sifflements, insultes, menaces…. Nous sommes allées à la rencontre des passantes et des passants de Montpellier pour découvrir, à travers leur témoignage, la réalité du harcèlement de rue.
« Je ne sors le soir qu’en compagnie de mon gros chien. Et il peut m’arriver de faire des détours pour passer par les rues éclairées ». Mathilde, 28 ans, installée en terrasse rue de Verdun avec des amis, évoque volontiers la problématique de la nuit montpelliéraine. « Je ne sors pas après trois heures du matin. En journée, je peux me défendre, demander de l’aide parce qu’il y a du monde ». Si elle ne s’empêche pas de s’habiller comme elle le souhaite, elle précise avoir besoin « d’une petite préparation mentale » pour certaines tenues plus osées.
(…) “On ne rentre jamais seules le soir. Même si on n’a pas le budget, on préfère prendre un Uber“. Elles racontent des “mecs qui (les) insultent quand elles marchent en ville : “Ils nous disent « t’es bonne ». Cela arrive tout le temps, mais la nuit, il y a moins de magasins ouverts.
(…) Attablé avec ses amis rue du Palais des Guilhem, l’homme de 70 ans est scandalisé par l’attitude de certains hommes dans la rue, et se montre radical : « Pour ce genre de personnes, il faudrait mettre en place la castration chimique ». « Autrefois, la drague était moins vulgaire, moins agressive », complète son ami Gilles. (…) « Le soir, j’ai peur de me retrouver dans un parking seule. Avec Gilles, ça va encore. » Son mari, en chemise légère, lunettes sur le nez, acquiesce. (…) Leur fille unique, aujourd’hui maman, « ne s’est jamais sentie à l’aise en ville. Elle n’y vient pas ».
Guerre 2.0: quand les gendarmes deviennent hackers
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Sputnik :
Le démantèlement d’EncroChat, réseau de communication crypté, a mis le crime organisé à mal dans toute l’Europe, mais a aussi changé le dogme pour les gendarmes: place à l’attaque grâce à un malware pour s’infiltrer directement dans les conversations cryptées! Retour en vidéo sur une avancée de taille dans la lutte contre la cybercriminalité.
Ce mois de juillet 2020 commence fort pour les cybergendarmes: le 2 juillet, Europol a annoncé le démantèlement d’EncroChat, un réseau de communication crypté basé aux Pays-Bas. Prisé par le crime organisé, il a été utilisé dans le trafic de drogue ou d’organes, les assassinats, le blanchiment d’argent, les enlèvements… Les caractéristiques d’EncroChat promettaient aux utilisateurs un anonymat et une impunité presque parfaits (désactivation de la caméra ou de la géolocalisation, autodestruction des messages…), du moins au début. Mais c’était sans compter sur une opération d’ampleur, montée en collaboration avec une dizaine d’organisations à travers l’Europe, qui a engendré une vague d’arrestations.
Depuis 2017, l’Institut de Recherche criminelle de la Gendarmerie nationale s’intéresse de près à EncroChat, un système d’exploitation et une application non déclarés en France, mais mise en place sur des serveurs installés sur le territoire. Depuis cette alerte, les gendarmeries françaises et néerlandaises ont su collaborer et les résultats de l’opération sont impressionnants: rien qu’aux Pays-Bas, une centaine de personnes ont été arrêtées, huit tonnes de cocaïne et 1,2 tonne de méthamphétamines en cristaux, une dizaine d’armes à feu, 25 voitures et 25 millions d’euros en liquide ont été saisis.
Le Royaume-Uni a connu la plus grande vague d’arrestations, avec 746 interpellations, 54 millions de livres sterling, 77 armes à feu et deux tonnes de drogue saisis, d’après un communiqué de la National Crime Agency (NCA). D’autres arrestations ont eu lieu en Norvège, en Allemagne, en Espagne et en France.
Un cheval de Troie 2.0
Pour devenir un utilisateur du réseau, il existait plusieurs solutions: soit un téléphone modifié qui passait d’Android au système d’exploitation EncroChat, soit l’achat d’un téléphone dédié exclusivement au réseau, avec des niveaux de sécurisations «plus intéressants», selon Frédéric Ocana, expert en cybersécurité.
Il explique au micro de Sputnik par quel biais les forces de l’ordre ont pu s’infiltrer au plus près des criminels et ainsi récolter toutes les preuves nécessaires. Si la gendarmerie écrit officiellement que l’enquête a abouti grâce «à la mise en place d’un dispositif technique grâce auquel des communications non chiffrées des utilisateurs pouvaient être obtenues», dit plus grossièrement, elle a mis en place un malware, ou «logiciel malveillant»:
«Dans ce cas-là, l’évolution est intéressante, puisque tout a changé après l’achat de malwares pour attaquer les serveurs d’EncroChat, qui a permis ainsi d’avoir une sorte de cheval de Troie. À défaut de simplement procéder à une perquisition comme auparavant, ils ont pu récupérer directement les messages à l’intérieur du système.»
Un facteur très important puisque lors d’une saisie, les caractéristiques d’EncroChat permettaient d’effacer les données du téléphone. En s’infiltrant directement dans la messagerie et en prenant les informations à la source, les gendarmes ont pu récolter les preuves suffisantes pour boucler ou faire progresser bon nombre d’enquêtes en cours.
De nombreux rebondissements sont encore à prévoir, puisque les informations récoltées sont encore en cours d’analyse: de quoi donner des sueurs froides à bon nombre de criminels.
Covid-19: ces régions du monde vont faire face à une récession historique
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Sputnik
L’Afrique du Nord et le Moyen-Orient vont particulièrement souffrir de la crise économique liée au coronavirus. Selon le Fonds monétaire international (FMI), ces régions vont subir la plus importante baisse de croissance en 50 ans. En plus du Covid-19, plusieurs pays de la zone voient leur économie tanguer à cause des prix du pétrole.
«Il s’agit d’un recul considérable qui aggravera les défis économiques et humanitaires existants et augmentera les niveaux de pauvreté déjà élevés.»
Le nombre de victimes dues au Covid-19 a été relativement modeste dans la zone, à l’exception de l’Iran, qui annonçait le 13 juillet avoir passé le cap des 13.000 morts. Reste qu’à l’instar de nombreux pays dans le monde, les mesures prises par les différents gouvernements du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord afin de lutter contre la pandémie ont eu des conséquences très négatives pour l’économie.
Des «troubles sociaux» à venir?
D’après sa dernière mise à jour des perspectives économiques régionales, le FMI prévoit dorénavant une contraction du PIB de l’ordre de 5,7% en moyenne pour la région. Dans certains pays touchés par des conflits armés, la récession pourrait atteindre 13%.
Selon les données de la Banque mondiale, il s’agit de la projection la plus basse en 50 ans, alors que l’année dernière, la croissance avait déjà été modeste dans la zone. *
Le FMI craint notamment que des «troubles sociaux» soient «ravivés par la levée des mesures de confinement.»
Pour les économies dépendantes de la vente de pétrole, la situation est encore plus compliquée. Les prix de l’or noir évoluent toujours à des niveaux bas. Le coût du baril a perdu environ deux tiers de sa valeur à cause du ralentissement économique mondial, avant de se rétablir aux alentours de 40 dollars.
Les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) devraient ainsi faire face à une récession de l’ordre de 7,1%. Ce sont 4,4% de plus que la prévision publiée au mois d’avril. Les économies exportatrices de pétrole dans la région devraient perdre environ 270 milliards de dollars de revenus. Pour Jihad Azour, directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI, il s’agit d’«une grosse baisse».
«La région est confrontée à une crise sans précédent. Un double choc qui a affecté le fonctionnement normal de ses économies pendant le confinement», a expliqué l’expert à l’AFP.
D’après lui, l’augmentation du chômage, couplée à une hausse de la pauvreté, pourrait former un cocktail dangereux de nature à déstabiliser les gouvernements de la région.