Goussainville : un fiché S élu maire ?

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Boulevard Voltaire

Abdelaziz Hamida a été élu maire de la commune de Goussainville (Val-d’Oise), dimanche 28 juin. Problème : la tête de liste « citoyenne » serait fichée S pour islamisme, selon un article de L’Express du 25 septembre 2019.

Quelles sont les intentions d’Abdelaziz Hamida ? « Être le maire de tous les Goussainvillois », répond-il, au soir de son élection, dimanche 28 juin. Mais son profil inquiète depuis que des accusations prétendent que cet ancien adhérent Les Républicains serait… fiché S pour « islamisme radical ».

Dans cette commune située près de Sarcelles, Abdelaziz Hamida a remporté la mairie lors du second tour des élections municipales, devançant le candidat divers gauche Alain Louis (38,58 %).

Malgré ces accusations, le nouveau maire de Goussainville nie en bloc et assure qu’un procès « aura lieu en septembre prochain » pour démêler le vrai du faux de cette histoire.

Des maires binationaux élus

Comme Abdelaziz Hamida, ils sont franco-marocains et ont décidé de briguer un mandat local pour au moins six ans. À Saint-Ouen, ancien bastion communiste, c’est le socialiste Karim Bouamrane qui s’impose dans la triangulaire l’opposant aux Républicains et au Front de gauche. À Trappes, Ali Rabeh remporte les clés de la mairie, devant son rival Les Républicains et divers gauche.

Le Point offre une ode à BHL : il a vaincu Zemmour !

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Caroline Artus a dû s’étrangler à la lecture du Point qui titrait, ce week-end, « Quand Bernard-Henri Lévy met Éric Zemmour knock-out ». L’auteur de l’article n’est pas vraiment un journaliste. Disons que c’est un gamin de 22 ans, étudiant à la Sorbonne-Paris 4 et qui prépare, selon Le Point, un mémoire de master 1 en littérature française sur « le rôle des intellectuels français pendant la guerre de Bosnie ». Un thème qui n’a pas grand-chose à voir avec Éric Zemmour, mais qui est familier à BHL

Félix Le Roy, ce jeune étudiant, s’est donc lancé dans un long, bien long papier à la gloire de son idole. Précisons que le jeune homme écrit aussi dans La Règle du jeu, la revue de BHL. Voilà le décor planté.

Le Roy commence son papier en déclarant Zemmour comme son ennemi déclaré. Puis sa plume vole au secours de son BHL. Je cite : « Ce ne sont que des émotions. Je voudrais dire davantage, et mieux. Mais je suis tellement resté sans voix, effaré, que ces quelques mots ont au moins la valeur de leur sincérité et de leur spontanéité. Ce n’est pas une parole d’expert. C’est celle d’un homme qui croit qu’il faut, plus que jamais, brandir haut certaines idées majuscules : humanité, fraternité, universalité. Tout homme qui les défend mérite le respect. Bernard-Henri Lévy, par son esprit généreux, solidaire, face aux énormités dangereuses de son adversaire, a mis Éric Zemmour knock-out. Je vous laisse, et m’en vais relire Levinas, et quelques pages d’Ô vous, frères humains, d’Albert Cohen, pour me laver de cet épisode dégueulasse de fascisme décomplexé. »

Heureusement, de nombreux lecteurs du Point ont « moyennement » apprécié cette ode à BHL : « Blocage », écrit à « fachospère » : « J’ai arrêté la lecture ». Xyjm : « Un article primaire totalement partisan et de mauvaise foi. » « Le Circonspect » : « Est-ce un gag de la part du Point cet article provocateur ? »

Je donne à Jean-Yves Le Gallou le mot de la fin : « #Zemmour battu par BHL selon @LePoint : dont BHL est éditorialiste après avoir vendu l’entreprise familiale la #Becob à Pinault lui même propriétaire du Point. Vous suivez ? Le journalisme ? Des larbins payés par des milliardaires ! »

Jean-Yves Le Gallou se trompe sur un point : le jeune Le Roy n’est pas journaliste mais simplement un étudiant inféodé à Bernard-Henri Lévy. Décidément, les temps sont durs pour notre philosophe : non seulement, il est contraint, pour trouver encore de la lumière, d’aller débattre avec Zemmour, mais il recrute ses admirateurs en circuit court…

A vous de voir qui s’en est lieux sorti.

Bagarre générale sur l’Ocean Viking

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Bagarre générale sur le bateau de SOS Méditerranée, l’Ocean Viking.

Trois groupes se sont affrontés : les Maghrébins, les Africains, les Européens.

Il semble qu’à l’origine les Blancs aient essayé de séparer les Africains noirs, sub-sahariens, des Africains du nord, Marocains, Algériens, Tunisiens, Égyptiens qui agressaient les Noirs, pourtant plus nombreux.

L’équipage, composé de salariés de l’ONG, n’a pas réussi à maîtriser les agresseurs et a appelé au secours.

Un microcosme explosif

Le confinement dans un espace réduit, l’absence de confort, l’incertitude sur l’avenir, tout est réuni pour exacerber les angoisses, les rancœurs, l’agressivité. Surtout que les réponses de Malte ou de l’Italie sur l’accueil se font attendre. Déjà submergés par les colons, ces pays ne sont pas pressés d’accepter de nouvelles arrivées. Il se joue en petit, dans l’espace réduit du bateau, ce qui se prépare en grand dans toute l’Europe : la submersion démographique africaine et musulmane, une explosion de la population africaine et la réduction rapide du nombre des indigènes européens, des Européens toujours aux commandes comme sur le bateau. Chargés de diriger les opérations et de la police à bord, les « Blancs » sont submergés et ne contrôlent plus la situation. Comme dans tous les précédents historiques, les plus violents vont prendre le pouvoir. 

Les plus violents prennent le pouvoir

Les nouveaux chefs seront moins généreux et moins pacifiques que les gentils organisateurs des ONG. Dur moment à passer pour les jeunes militantes, mais surtout pour les Noirs africains. Le temps de l’esclavage arabo-musulman va se rappeler à leur souvenir. Dur dur de quitter la Libye pour fuir la charia et de retrouver les esclavagistes, sur le bateau, puis après le débarquement, en Europe. C’est assez cruel. Mais qui ne comprend pas que c’est exactement ce qui attend les protégés de la LDNA (dont le chef est un descendant du marchand d’esclaves Béhenzin) ? Ce qui se passe sur ce bateau n’est qu’à échelle réduite ce qui se prépare en Europe : la submersion démographique.

Qui peut priver ces colons musulmans de l’espoir d’une Europe musulmane ? L’immigration et la démographie feront de l’Europe, dans 30 ans, une terre musulmane. La démocratie elle-même rendra l’application de la charia obligatoire. Dans ce chemin programmé vers le retour de la dhimmitude et de l’esclavage des Noirs, le drame de l’Ocean Viking n’est qu’une expérimentation in vivo.

Qui aurait jamais imaginé que notre civilisation puisse tomber aussi bas ?

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Riposte Laïque

Je me demande sincèrement si l’Occident a encore un avenir en ce bas monde et surtout si des peuples aussi avachis que les Américains et les Européens ont encore envie de vivre.

Je n’aurais jamais imaginé qu’une civilisation qui a quasiment tout inventé du monde moderne, qui a rayonné sur tous les continents et civilisé des contrées entières soumises à la barbarie, je n’aurais jamais pensé que cette civilisation occidentale puisse tomber un jour aussi bas dans la repentance, la haine de soi et l’autoflagellation permanente.

Ces sanglots sans fin sont tout simplement pitoyables et dépassent l’entendement, alors que la barbarie que nous avions éradiquée partout dans le monde est de retour dans certains pays d’Afrique et  au Moyen-Orient, où  l’État islamique a fait la démonstration de sa suprématie absolue en termes de sauvagerie et d’atrocités en tous genres.

Nous devrions être fiers de ce que nous sommes et de ce que nos anciens ont bâti, alors que nous avons honte de nous-mêmes, de nos ancêtres et de notre Histoire.

Être blanc est devenu au mieux une tare, au pire un crime qu’il faudra expier jusqu’à la fin des temps.

Depuis longtemps, les « Y a bon Banania » du célèbre tirailleur sénégalais ont disparu des rayons. Les gâteaux « tête de nègre » ont quitté les vitrines des pâtissiers.

« Tintin au Congo » n’amuse plus nos multiculturalistes et donneurs de leçons.

On démolit les statues, on réécrit l’Histoire. On ne demande plus aux historiens de rechercher la vérité mais de culpabiliser l’homme blanc. Et gare à ceux qui s’opposent  à cette soif de repentance. Ils jouent avec leur carrière et avec leur avenir.

Mais pour ce qui est de la surenchère dans les marques d’allégeance et de soumission à la dictature du politiquement correct, cela relève presque de l’hôpital psychiatrique !

Jugez plutôt :

C’est  L’Oréal qui supprime toute référence au mot « blanc » dans ses produits, considérant sans doute que cette couleur dépeint le summum de l’infamie !

C’est  le New York Times qui s’engage dorénavant à écrire le mot « Noir » avec une majuscule et le mot « blanc » avec une minuscule. L’usage du mot  « blanc » est apparemment devenu le symbole de la honte.

Mais tout cela n’est rien, tant le délire antiraciste entend frapper toujours plus fort, sombrant dans un ridicule sans limite, qui, s’il tuait, ferait une hécatombe.

Chez toutes les marques commerciales, on fait la chasse aux pubs ou aux logos politiquement incorrects.

On ne verra plus de lessive qui lave « plus blanc que blanc« , cette pub que Coluche avait transformée en un sketch savoureux.

On nous parle de « dentifrice qui rend les dents moins moches », car les dents moins « jaunes », cela peut susciter une polémique.

Une flopée de films présentent des scènes inavouables, véritables abominations racistes. Même L’inspecteur  Harry, ou Forest Gump, ou Indiana Jones ne passent pas l’obstacle.

Les westerns ne font qu’étaler un sordide racisme anti-Amérindiens. Et pas certain que l’appellation « Peaux-rouges » soit permise par les Fouquier-Tinville du tribunal de la pensée.

Comme le suggère le Figmag, « Blanche Neige et les sept nains » pourrait devenir « Privilégiée Neige et les sept personnes de petite taille ».

Tant il est vrai que le fait d’être un Blanc est un insupportable privilège d’un autre âge.

Il faut donc s’attendre au pire.

Il faut débaptiser le « mont Blanc » pour « mont des neiges ».

Et de grâce, ne parlons plus de « blanc d’œuf » ou de « blanc cassé ».

Plus question de commander un « petit blanc » au comptoir  ou de hisser le « drapeau blanc ».

Et que dire de « l’ours blanc » ou du « rhinocéros blanc », les très mal nommés ?

C’est tout simplement hallucinant.

Alors que la France est en train de s’effondrer, que la dislocation de la nation est imminente et que la fracture identitaire va tout emporter, des illuminés s’imaginent qu’on peut combattre le discours indigéniste et anticolonial en changeant quelques pubs et en rayant le mot « blanc » du vocabulaire.

Difficile de faire plus sidérant au nom de la diversité heureuse !

Oui, vraiment, l’Occident est mûr pour l’échafaud.

Sarcelles : colère des parents de Thomas, 23 ans, poignardé à mort par un individu fraichement sorti de prison

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Une quinzaine d’opérations

Thomas est resté trente et un jours à la Pitié-Salpêtrière et a subi une quinzaine d’opérations.

[…]

Les parents de la victime, Philippe et Nathalie, ont exprimé leur colère au Parisien, affirmant que Sarcelles s’est enfoncée dans la violence. « Le précédent maire a acheté la paix sociale, la police n’est jamais là quand on a besoin d’elle. Et la justice a laissé sortir de présion l’homme qui a tué notre fils, nous voulons savoir s’il a bénéficié d’une de ces remises de peine accordées sur fond de crise sanitaire », ont-ils expliqué au quotidien.

Ils ont assuré que des amis de leur fils unique ont reçu « des menaces » après avoir aidé les enquêteurs. Ils attendent désormais qu’un médecin légiste redige un rapport d’autopsie pour pouvoir enterrer leur fils unique.

[…]

L’article dans son intégralité sur BFM


3 juillet 2020

Val-d’Oise : la colère des parents de Thomas, 23 ans, poignardé à mort à Sarcelles

Le jeune homme est mort à l’hôpital à Paris dans la nuit du 11 juin après avoir été agressé à Sarcelles dans la nuit du 10 mai par un homme, sorti depuis peu de prison. Ses parents accablés par la souffrance témoignent de leur désarroi.

C’est un couple brisé par la douleur après le décès de leur fils unique. Thomas est mort dans la nuit du 10 au 11 juin des suites de ses blessures à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (XIII e ). Ce jeune homme de 23 ans avait été poignardé à Sarcelles (Val-d’Oise) dans la nuit du 9 au 10 mai dernier alors qu’il fêtait la fin de son contrat avec des amis, par un quadragénaire, sorti depuis peu de prison. Ses parents, Philippe et Nathalie, ne cachent pas leur colère. Après avoir passé 35 ans dans le quartier du Village à Sarcelles, Philippe estime que la ville dans laquelle leur fils a grandi a changé pour devenir une zone de non-droit.

Ce soir-là, rue Chaussy, Thomas, passionné de musique et de freeride en trottinette, venait de terminer un contrat dans une enseigne de bricolage avant de retrouver un emploi chez un distributeur de boissons.

[…]

Les criminels de SOS Méditerranée menacés de mort par les migrants recueillis !

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Riposte Laïque

Vendredi 3 juillet, par un communiqué pathétique et révélateur de son irresponsabilité, l’ONG criminelle SOS Méditerranée nous informe que son navire négrier, l’Ocean Viking, a été déclaré en état d’urgence suite à une violente mutinerie de sa cargaison humaine.

Ce que nous dit ce communiqué de déclaration d’état d’urgence.

  • Cette étape inédite a été provoquée par la détérioration rapide de l’état psychique d’une quarantaine de migrants sur les 180 à bord,
  • Multiples tentatives de suicide, personnes en crise de démence se jetant par-dessus bord, tentative de suicide par pendaison, 
  • Multiples bagarres,
  • Menaces de mort et agressions de membres de l’équipage,
  • État d’urgence déclaré à bord.

etat-d-urgence-sur-l-ocean-viking-en-proie-a-des-troubles-securitaires-03-07-2020-2382956_24.php

La presse nous en dit plus. Le magasine Le Point  nous révèle ce que ne dit pas SOS Méditerranée ; à savoir, une situation extrêmement tendue, des bagarres entre groupes ethniques ainsi que la peur panique de l’équipage. Il cite notamment la déclaration de l’un des membres de l’équipage qui déclare ne pas se sentir en sécurité ; alors que le responsable des opérations à bord parle de situation très inquiétante et de risque de mort.

etat-d-urgence-sur-l-ocean-viking-en-proie-a-des-troubles-securitaires-03-07-2020-2382956_24.php

Une situation à bord analogue à celle que vivent à terre et à grande échelle les Européens chez qui sont déversées ces cargaisons. Cette ONG irresponsable est en train de vivre à ses dépens et de son seul fait exactement la même situation que celle qu’elle impose auxpopulations européennes non consentantes. Il n’est que de voir la litanie quotidienne, partout en Europe, des coups de folie meurtrière des migrants que nous imposent ces ONG : attaques meurtrières au couteau, meurtres barbares, violences de tous ordres, viols de femmes, d’hommes, d’enfants, attaques d’une barbarie invraisemblable, actes de cruauté inouïs sur des personnes et sur des animaux, vols, trafics, rébellions, incivilités de toutes sortes, vindicte incessante, demandes de droits extravagantes, caprices de toutes natures, exigences indues notamment liées à leur religion, mais aussi à leurs mœurs incompatibles avec les nôtres… Bref, l’équipage irresponsable de l’Ocean Viking est en train de vivre à son bord et à son échelle réduite ce qu’il nous fait vivre à grande échelle depuis des années ; et qu’il s’acharne à reproduire, toujours plus, encore et encore. 

État d’urgence, double standard. À la différence de celui que nous subissons depuis des années contre notre volonté, l’état d’urgence à bord de ce navire ne résulte que des propres turpitudes de cette ONG. Car, bien que la dénonciation en soit brutalement censurée, c’est bien un état d’urgence permanent que vivent les populations européennes qui subissent cet épandage continu de millions d’allogènes dont elles ne veulent pas. À cet égard, il est intéressant de noter que cette ONG en panique devant les conséquences directes de ses actes parle d’état d’urgence quand elle est la victime des migrants qu’elle importe, mais de devoir humanitaire et de chances pour nos pays quand elle nous les impose. Double langage, double standard. Si nous invoquons un état d’urgence sécuritaire face à la submersion migratoire que ces ONG nous imposent, nous sommes traités de racistes, poursuivis et condamnés. Si ces ONG évoquent un état d’urgence face à la barbarie soudaine de leurs protégés, elles nous taxent encore de racisme parce que les ports européens refusent le débarquement de ces cargaisons. Double langage, double standard : état d’urgence justifié pour les ONG en panique, état d’urgence interdit car raciste pour les populations européennes submergées.

La réalité c’est que nos peuples sont objectivement en état d’urgence permanent face à la submersion migratoire et aux violences qu’elle importe dans nos sociétés

Détérioration de l’état psychique. C’est le communiqué même de cette ONG qui en fait état : probablement à juste titre. Car en effet, la promesse irresponsable d’un Eldorado qui n’existe pas et d’une obligation d’accueil que nos sociétés ne peuvent pas et ne veulent pas assumer conduisent obligatoirement à une frustration génératrice de graves troubles psychiques sur des populations déjà fragilisées. En effet, même s’il est consenti, le déracinement, l’éloignement des migrants de leurs familles, l’angoisse du voyage, le prix à payer qui endette lourdement les familles, et surtout la violence et les souffrances d’un voyage qui dure des mois, voire des années, pour arriver sur les côtes de Libye ; tous ces éléments fragilisent les personnes et les rendent vulnérables à la dépression, aux crises d’angoisse, à la démence ; et donc à la violence et à l’expression incontrôlée de leur barbarie. C’est vrai sur le bateau, c’est encore plus vrai une fois à terre.

Oui la migration voulue par les mondialistes est une violence faite aux populations déracinées. 

Oui la migration voulue par les mondialistes est une souffrance pour les populations européennes submergées.

Non, nous ne voulons pas de ces gens dont la culture, les mœurs, la religion et l’état psychique dégradé sont incompatibles avec nos sociétés trop fragilisées par leur sophistication, par leur niveau de civilisation et de complexité.

Il n’y a pas de naufrage, pas de rescapés, que des naufrageurs et des escrocs au droit maritime. Un naufrage est une catastrophe maritime due à un élément aléatoire et accidentel. Or, dans ces faux naufrages, il n’y a rien d’accidentel, tout est provoqué. Il n’y a rien d’aléatoire dans ces mises en scène provoquées par des irresponsables qui poussent ces malheureux à se jeter à l’eau dans des conditions aussi précaires. Non, les ONG naufrageuses ne peuvent pas nous opposer le droit maritime et exiger le débarquement des migrants dans les ports européens. En droit maritime la baraterie ou fait de provoquer un faux naufrage au détriment de toute personne intéressée est une infraction pénale. Ici la baraterie est provoquée par les ONG au détriment des peuples d’Europe auxquels sont imposées des cargaisons humaines en infraction du droit maritime.

SOS Méditerranée coupable de crime contre l’humanité. La définition du crime contre l’humanité est nécessairement évolutive tant le génie des criminels est immense. Cependant, l’article 7 du statut de la CPI en donne une définition ouverte. 

Entre autres, les éléments constitutifs peuvent être les suivants :

  • la réduction en esclavage,
  • la déportation ou le transfert forcé de population,
  • la torture,
  • le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable,
  • la persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste, ou en fonction d’autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corrélation avec tout acte visé dans le présent paragraphe ou tout crime relevant de la compétence de la Cour,
  • la disparition forcée de personnes,
  • d’autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale.

De leur propre et pitoyable aveu, les ONG en mer créent les conditions de souffrances psychiques graves qui se traduisent par des atteintes à l’intégrité mentale et physique.  Par ailleurs, elles assurent la phase finale de la migration en liaison et en coresponsabilité avec les passeurs et avec tous les acteurs en amont de la migration. Au bout du voyage, elles prétendent garantir aux migrants le débarquement dans les ports européens. Elles sont donc à l’initiation de la migration par la promesse de l’Eldorado et à sa conclusion par l’opération finale de transport vers l’Europe. Par conséquent, elles sont solidairement responsables de tout ce qui s’est passé lors de la migration, entre le point de départ et le point d’arrivée. Sans ONG en mer, pas de promesse d’Eldorado, pas de décision de départ, pas de migrations à travers le désert vers la Libye, pas de passeurs, pas de traite négrière, pas d’éléments constitutifs du crime contre l’humanité.

Par ailleurs, l’élément intentionnel pourra être retenu contre les ONG en mer ;  notamment au regard de leur parfaite connaissance en temps réel des disparitions en mer qu’elles ont vues, filmées et médiatisées, et néanmoins persisté à provoquer en créant un faux espoir, une fausse garantie et en incitant ces malheureux à prendre tous les risques pour se jeter à l’eau.

Oui, SOS Méditerranée et toutes les ONG qui provoquent de faux naufrages en mer sont toutes coupables et coresponsables du crime contre l’humanité que constituent globalement l’exploitation et la traite négrière des migrants à travers l’Afrique. Elles sont comptables des morts en mer. Un jour ou l’autre leur responsabilité pénale devra être recherchée devant les tribunaux internationaux.

En attendant, les pouvoirs publics européens doivent mettre immédiatement un terme à leurs activités criminelles en mer.

I-Média n°305 – L’offensive anti-blanc se poursuit

juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

02:50 L’image de la semaine Aux États-Unis, un couple armé a défendu sa propriété après une intrusion violente d’émeutiers Black Lives Matter. Une scène déjà culte qui a été scandaleusement présentée par les médias français.

04:20 L’offensive anti-blanc continue L’Oréal qui veut supprimer le terme « blanc » de ses produits, L’Obs qui évoque la fragilité des Blancs ou encore le JT de France 2 qui compte les Noirs chez les commissaires de police… Cette semaine aura marqué une accélération dans la haine anti-blanc, complaisamment relayée par les médias.

23:04 Revue de presse L’AFP qui publie un bobard énorme… La censure des dissidents sur Youtube… Dans ce numéro d’I-Média, nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine dans notre traditionnelle revue de presse.

29:43 La vague verte Le second tour des élections municipales a eu lieu ce dimanche et les médias se sont focalisés sur la prétendue déferlante écologiste… Mais en réalité, la vraie lame de fond potentielle ne serait-elle pas verte islamiste ?