Le Grand Reset : Dette effacée ? Nouvelle monnaie mondiale ? Quel niveau de liberté ?

Dans cette vidéo, Richard Détente reprend l’annonce de la Directrice Générale du FMI du 3 juin 2020, discours qui relance le thème d’un grand reset de l’économie. Ce grand reset donnerait l’occasion d’instaurer un monde plus juste, plus durable et plus résistant. Le FMI évoque “l’exigence” d’un nouveau contrat social centré sur la dignité humaine et la justice sociale, et dans lequel le développement économique n’empièterait pas sur le progrès de la société. Le moment serait venu de recommencer à zéro, de relancer l’économie vers de plus vert pâturages …. Le Forum économique de Davos reprendra ce même thème lors de sa prochaine édition. On voit bien que “les élites qui nous gouvernent” sont alignées et partagent le même cadre idéologique. Avec cette vidéo de fond, Richard Détente nous explique sa vision du fonctionnement du monde et des sphères du pouvoir. Richard Détente posera les bonnes questions : peut-on souscrire à la théorie du complot ? le fmi a-t-il un plan pour effacer le gros des dettes mondiales ? le fmi s’apprête-t-il à instaurer une nouvelle monnaie mondiale ? le discours de la Directrice Générale du FMI n’est-il pas signal de départ vers un nouveau monde économique inconnu ? Que va-t-il rester de nos libertés ? Puisqu’il paraît clair que nous allons vers une remise à zéro de notre système, il est temps de se préparer aux conséquences inévitables que l’effacement des dettes et la création d’une nouvelle monnaie peuvent avoir sur notre épargne.

Esclavage des Noirs : 1400 ans de traite arabo-musulmane

Riposte Laïque

Les caravanes d’esclaves avant l’arrivée des Belges… L’épouvante donne des forces aux plus faibles !

Les caravanes d’esclaves qui sillonnaient il y a quinze ans le territoire oriental de l’État du Congo étaient entraînées, hommes, femmes et enfants, vers un marché de l’Est lointain. Les esclaves étaient à pied ; aux hommes qui paraissaient les plus forts et dont on pouvait craindre la fuite, on attachait les mains et quelquefois les pieds, de telle sorte que la marche leur devenait un supplice, et sur le cou on leur plaçait des cangues à compartiments qui en reliaient plusieurs entre eux. On marchait toute la journée. Le soir, lorsqu’on s’arrêtait pour prendre le repos, on distribuait aux prisonniers quelques poignées de sorgho cru. C’était toute leur nourriture. Le lendemain, il fallait repartir.

Mais, dès les premiers jours, les fatigues, la douleur, les privations avaient affaibli un grand nombre. Les femmes, les vieillards s’arrêtaient les premiers. « Alors, afin de frapper d’épouvante ce malheureux troupeau humain, ses conducteurs s’approchent de ceux qui paraissent les plus épuisés, armés d’une barre de bois, pour épargner la poudre ; ils en assènent un coup terrible sur la nuque des victimes infortunées, qui poussent un cri et tombent en se tordant dans les convulsions de la mort. Le troupeau terrifié se remet aussitôt en marche. L’épouvante a donné des forces aux plus faibles.

Chaque fois que quelqu’un s’arrête, le même affreux spectacle recommence. « Le soir, en arrivant au lieu de la halte, un spectacle non moins horrible les attend. Ces marchands d’hommes ont acquis l’expérience de ce que peuvent supporter leurs victimes. « Un coup d’œil leur apprend quels sont ceux qui bientôt succomberont à la fatigue. Alors pour épargner d’autant la maigre nourriture qu’ils distribuent, ils passent derrière ces malheureux et d’un coup les abattent. Leurs cadavres restent où ils sont tombés, lorsqu’on ne les suspend pas aux branches des arbres voisins, et c’est auprès d’eux que leurs compagnons sont obligés de manger et de dormir »…

Extrait de « L’État indépendant du Congo » – Documents sur le pays et ses habitants.

Les Belges ont mis fin aux traites interafricaines et arabo-musulmanes au Congo

« Le voyageur au Congo se rend rapidement compte que, dans la contrée, il existe un pouvoir (colonial belge) que le peuple a appris à craindre et sur la protection duquel il commence à compter… »

M. Foa, chargé de mission par le Gouvernement français, constatait au même moment, lui aussi, la disparition complète de la traite dans l’ancien territoire arabe : « Le Manyema a été complètement dépeuplé par la traite : il n’y a guère plus de cinq ou six ans que ce trafic a été enrayé : le sentier du lac Tanganika au Congo, suivi autrefois par les caravanes arabes, est jonché, dans ses abords immédiats, d’ossements humains pendant des kilomètres ! Que de milliers d’esclaves sont tombés sur ce sentier fatal ! J’y ai aperçu plusieurs squelettes et même quelques cadavres « datant » de quelques semaines, mais c’est l’exception ; les ossements blanchis qui jalonnent la route, contemporains de ceux qui couvrent les plages d’Udjiji et Mtowa, sont les derniers vestiges du gigantesque commerce de chair humaine dont cette région a été le théâtre. Il faut au Manyema deux siècles de paix, de tranquillité et de protection pour que sa population redevienne ce qu’elle était avant les incursions arabes. »

M. Pickersgil, consul britannique 1898

Un vieux Noir raconte l’histoire ancienne d’Afrique 

« Il y a longtemps, si longtemps que moi je n’étais pas encore au monde, des hommes venus du Nord ont envahi nos contrées. Ils n’étaient ni comme toi ni comme moi. Leurs figures avaient… attends que je cherche… tiens de la même couleur que le cuivre de la pointe de sagaie que je tiens à la main. Vêtus de longues robes blanches, les cheveux cachés sous de grands capuchons, ils arrivaient au galop de leurs petits chevaux, en frappant l’air de leurs fusils. Comme ils étaient cruels ! Ils razziaient les villages, violaient les femmes, tuaient des hommes, égorgeaient des enfants. Ceux qui restaient vivants étaient ensuite emmenés en esclavage. Enchaînés et se suivant en longues caravanes, ils partaient vers les pays du sable qui n’étaient pas les leurs. Quelques-uns s’échappaient. Ceux qui tombaient en route devaient mourir tout seuls, sans avoir auprès d’eux les pleureuses bienfaisantes pour chasser les mauvais esprits. C’est pour ça que je crois que le crocodile qui nage dans le fleuve est peut-être mon ancêtre et que le léopard qui rôde en forêt est un parent à moi.

Yvonne Duckers-Nélis, Hans à Verviers, 1935

Le génocide voilé : 17 millions d’Africains noirs morts de l’esclavage arabo-musulman, 65 millions morts pendant la capture et le trajet vers les pays arabo-musulmans

Il faut lire Le génocide voilé de Tidiane N’Diaye qui montre que dans la traite négrière les Arabes blancs se sont montrés beaucoup plus racistes que les Européens.

« Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains. »

Principalement à cause des violences, tortures et châtiments cruels, de la castration systématique des hommes noirs et l’élimination à la naissance des bébés nés des esclaves noires, violées par leurs maîtres arabes, afin de protéger la péninsule arabique du métissage.

Jusque dans les années 60, les riches Arabes donnaient leurs esclaves noirs à leurs amis ou parents comme cadeaux d’anniversaire.

Au lieu de nous les briser en France où l’esclavage n’a jamais été pratiqué (sauf dans les îles pendant deux-trois siècles et sans génocide), les Noirs feraient bien de s’occuper des pays arabes et noirs qui ont capturé, vendu, castré et massacré des Noirs pendant des siècles et où l’esclavage continue encore aujourd’hui. Libye, Soudan, Mauritanie…

Libye :

C’est là-bas qu’il faut aller demander des réparations pour l’esclavage et la colonisation.

Pas en France.

Tout d’abord, la France n’a jamais colonisé l’Afrique, seulement l’extrême-nord de l’Algérie, (tout le reste était des protectorats améliorés et les Français, les Européens et les Juifs ont tous été chassés d’Algérie par de Gaulle et les massacres de son allié FLN : « la valise ou le cercueil », les harkis ont été massacrés).

De plus, la France a déjà largement payé les réparations grâce à tous les bienfaits qu’elle a apportés en Afrique avec la « colonisation » (voir les travaux de Jacques Marseille).

Et on continue encore de se saigner aux quatre veines avec les 130 milliards d’euros qu’on dépense chaque année pour financer les coûts directs ou indirects de l’immigration extra-européenne qui finira par nous transformer en énième shithole arabo-africain, plus tous les attentats, pillages, viols, agressions et cambriolages que cette invasion maghrébo-subsaharienne occasionne tous les jours. Une vraie colonisation de peuplement pour le coup.

C’est que contrairement au matraquage médiatique, les Français ne sont pas racistes, ils aiment leurs Noirs et leurs Arabes, ils préfèrent voir leur pays complètement détruit que de rapatrier leurs chers Africains en Afrique, dans leurs pays d’origine.

Peut-on survivre au Covid, au chaos mais aussi à la tyrannie ?

Bistro Libertés avec Piero San Giorgio : Peut-on survivre au Covid, au chaos mais aussi à la tyrannie ?

Ce soir, pour la réouverture de « Bistro Libertés », Martial Bild et les sociétaires reçoivent l’auteur survivaliste Piero San Giorgio. Au programme des débats :

1) Peut-on survivre au Covid, au chaos mais aussi à la tyrannie ?

Le survivalisme veut apporter des réponses adaptées aux événements biologiques ou chimiques. Mais peut-on survivre au chaos mondial et plus encore, à une société « Big brother » où règne la tyrannie décrite dans le roman prophétique de George Orwell « 1984 » ?

2) La lutte des races pour remplacer la lutte des classes ?

La mort de l’américain Georges Floyd a provoqué une indignation mondiale et de nombreuses manifestations ou émeutes. La lutte des races a-t-elle remplacé la lutte des classes ?