Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Toute la caste politique est tombée sur les militants de Génération Identitaire, qui ont déployé une banderole devant la permanence de la députée LREM Sira Sylla, qui réclamait la sortie du confinement, une défiscalisation des transferts d’argent de la diaspora africaine de la France vers l’Afrique. Le Premier ministre, Jean Castex, le ministre de l’Intérieur, Gérald Moussa Darmanin, et l’ineffable Marlène Schiappa ont mené la danse.
Par contre, on ne les a pas entendus contre l’action des islamistes d’Alliance Citoyenne qui, à Lyon, ont, malgré le règlement intérieur, imposé la présence de militantes voilées aux responsables d’une salle de sport. Il est vrai qu’auparavant, à Grenoble, autre municipalité écolo, ils avaient imposé le burqini dans la piscine municipale, avec la complicité de Piolle, le maire. Nous sommes dirigés par des traîtres, et la France est vendue aux islamistes !
Le billet d’humeur de Pierre Cassen sur le sujet.
Suède : une enfant de 9 ans violée par un migrant, pédocriminel recidiviste fraichement sorti de prison, il ne sera pas expulsé
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Le 15 avril, une fillette de 9 ans a été violée sous la menace d’un couteau par Ahmed Dahir Mahamoud, 39 ans
Ce dernier est « enregistré » en Suède depuis 2005, a reçu la nationalité suédoise en 2014, il fut salarié en tant qu’interprète.
En juin 2018, il a été condamné à 1 an et 9 mois de prison pour « abus sexuels aggravé sur enfant » après avoir violé une jeune fille de 12 ans à un arrêt de bus, là encore: sous la menace d’un couteau.
Il a été libéré de prison « sur parole » en septembre
Sa dernière victime a été retrouvée ensanglantée sur le bord d’une route par un automobiliste après avoir été violée dans le sous-bois dans lequel elle avait été trainée
Pour sa défense: il théorise un complot, mais sera condamné à 11 ans de prison.
Ayant obtenu la nationalité suédoise, il ne sera pas expulsé
Source: Samnytt
Calais : des touristes découvrent des migrants dans le coffre de toit de leur voiture, plainte pour le vol de leurs bagages (Màj : vidéo)
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26/07/2020
Un bruit suspect dans le coffre de toit d’un couple d’Anglais qui se rendait sur son lieu de vacances, est à l’origine de sa stupéfiante découverte.
Des touristes anglais ont eu la désagréable surprise de découvrir deux migrants dans leur coffre de toit, alors qu’ils étaient sur la route des vacances, rapporte France Bleu.
Ils ont retrouvé les deux intrus, ce jeudi matin, en circulant sur l’autoroute A29 pour gagner la Vendée. Le couple s’était arrêté la veille à Calais (Pas-de-Calais) et avait passé la nuit dans un hôtel.
(…) Et là, stupeur ! En l’ouvrant, ils ont découvert que leurs bagages avaient disparu et que deux mineurs africains se trouvaient à leur place, recroquevillés sur eux-mêmes.
Aussitôt, les deux adolescents de 16 ans environ, originaires d’Érythrée et de Guinée, ont pris la fuite.
(…) Le couple d’Anglais a déposé plainte pour le vol de leurs effets personnels. Le parquet de Dieppe (Seine-Maritime) a requis le placement des deux mineurs, mais l’Aide sociale à l’enfance (ASE) a refusé de les prendre en charge. Ils ont ainsi retrouvé la liberté.
La chanson du jour, Desperado – Diana Krall
Une jolie chanson simple avec une belle voix et quelques notes de piano. Rien de tel pour commencer la semaine. Bonne journée à tous.
Nantes : les cathos ont filé les clés à un clandestin pyromane, bravo !
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Riposte Laïque
Dans l’affaire de l’incendie de la cathédrale de Nantes, voilà que « le Rwandais » dont on ne connaît pas le nom est mis en examen. Peu courageux, il s’est mis à table et a avoué, n’étant pas avare de ses actions, avoir mis le feu en trois endroits différents.
Beaucoup de questions se bousculent dans nos têtes. La première de toutes : pourquoi nous a-t-on menti pendant une semaine et pourquoi a-t-on essayé de nous mener en bateau ?
Dès le début le procureur affichait sa conviction de ce que l’incendie était d’origine criminelle. Pourquoi ensuite a-t-il soutenu le contraire alors que les preuves données par les sapeurs pompiers experts étaient accablantes ?
Le mensonge était tellement grossier qu’il était insoutenable. Le procureur n’a pas eu d’autre choix que de faire machine arrière.
Pourquoi le Rwandais a-t-il été relâché un temps ? Les enquêteurs se sont rendu compte que trop c’était trop, et qu’on ne pouvait pas se moquer à ce point des Nantais et des Français. C’est vrai, quoi, on nous prend toujours pour des buses, il y a quand même des limites.
Autre question : pourquoi ne connaît-on pas le nom du Rwandais ? Certainement parce qu’il n’est pas français. Ce serait un bon Français franchouillard qui aurait mis le feu à une mosquée, son nom serait jeté en pâture à tous vents. On donnerait son adresse. on le conspuerait universellement. On sommerait son employeur de le virer. Sa famille serait menacée de tous les maux.
Il serait temps de donner un nom au Rwandais, au moins pour ne pas faire d’amalgame choquant avec tous les Rwandais…
Un électricien avait même essayé de prouver qu’il pouvait y avoir eu trois courts-circuits à la fois. Vazytakaycroire.
Autre question et non des moindres : que faisait ce clandestin au service de l’évêché ? Selon le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois, qu’on nomme, lui, malgré sa responsabilité évidente, mais c’est un Français, vous comprenez, le Rwandais était venu se réfugier en France « il y a quelques années ».
« Il y a quelques années »!… On note l’imprécision. Dans n’importe quel pays du monde, on sait avec précision quand un étranger arrive, à quel jour, à quelle heure. On a sa photo, sa couleur de cheveux, sa taille exacte, son nom, sa date de naissance. Mais la France ne fonctionne comme aucun pays au monde. C’est là son moindre défaut.
Le père Hubert Champenois poursuit : « ce bénévole est servant d’autel et je le connais depuis quatre ou cinq ans ». Quatre ou cinq ans, toujours la même précision, faite peut-être pour couvrir les errements du réfugié ? Servant d’autel, à 39 ans, vraiment ? Alors que pour les Français, c’est fini vers 18 ans sauf si on est séminariste ? Une couverture, c’est tout !… Et de continuer : « j’ai confiance en lui comme en tous les collaborateurs. »
Ils sont en bonne voie, au diocèse de Nantes : ils ont confiance en tous les collaborateurs, même les incendiaires.
Au moins, la sécurité est assurée, à Nantes. Si j’étais une paroissienne de cette ville, je n’irais plus du tout à la messe. Avec de tels responsables, il vaut mieux que les églises restent vides. Mieux vaut rester chez soi que brûler vif parce qu’un Rwandais protégé de l’évêché aura mis le feu.
De plus, le Rwandais faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), depuis novembre 2019.
L’évêché avait demandé de la bienveillance au préfet, concernant le dossier et l’avenir du Rwandais. On ne sait pas s’il s’agit de Mgr James, nommé archevêque de Bordeaux depuis janvier dernier. Depuis cette date le siège de l’évêché est vacant. Un administrateur a été désigné, le Père François Renard.
Siège vacant ou pas, la responsabilité du diocèse est pleine et entière, et accablante. Nul n’est au-dessus des lois, et surtout pas l’Église, qui se doit de respecter les lois, toutes les lois, scrupuleusement. Le Christ n’a-t-il pas dit « rendez à César ce qui est à César ? »…
Mais non seulement les cathos se croient souvent au-dessus des lois mais en plus ils trouvent des excuses aux incendiaires. Patrick, un fidèle, déclare au sujet du Rwandais : « Je savais qu’il avait un fort désir de rester en France. C’est incontestablement un geste de désespoir. »
Celui qui aime la France au point de vouloir y rester devrait commencer par ne pas y mettre le feu, semble-t-il. Mais ces gens désireux de rester chez nous sont surtout amoureux de notre train de vie, gratuit pour eux, et n’ont pas la même logique que nous. Raison de plus pour les renvoyer chez eux implacablement.
Une catholique me disait la même chose que ce Patrick, ce matin, elle trouvait au Rwandais des excuses. « Comme il est catho, disait-elle, il n’a pas les motivations islamistes des incendiaires d’églises actuels ». Mais s’il en était solidaire, malgré tout ?
Pauvre homme. Encore un accidenté de la vie. Pour un peu, on pleurerait presque. Cette culture de l’excuse est insupportable.
Car pour moi le Rwandais, auquel il serait temps de trouver un nom, n’a pas d’excuse, et les dix ans qu’il risque sont trop peu, trop doux.
Son avocat, maître Quentin Chabert, qui a l’air gratiné (excusez l’expression), déclare que son client est rongé de remords. C’est facile. Voilà un incendiaire accueilli, nourri, logé, employé par l’évêché, et chargé de fermer la cathédrale le soir. Il semble que cela fasse beaucoup de circonstances aggravantes. Et maître Chabert déclare aussi que son client recherche l’apaisement. On croit rêver. Bientôt il dira qu’il faut lui pardonner. Et lui donner une promotion ?
Mais l’évêché devrait aussi comparaître aux côtés du Rwandais. Car son aveuglement volontaire, son indulgence coupable, son essai de le garder malgré tout en France, en font un complice de cet incendie criminel, sans aucun doute.
Les évêques qui, sous prétexte de charité et de je ne sais quoi encore, laissent faire et protègent des délinquants étrangers, obéissent à François. Ils sont macronistes, franc-maçons. Honte à eux. Ils trahissent leurs brebis. Ils doivent répondre de leurs actes de trahison.
Les catholiques, pour la plupart trop naïfs et angéliques, nourris au lait d’une fausse charité, qui n’est en réalité que faiblesse et démission, iront se faire égorger parmi les chants d’allégresse. Grand bien leur fasse. Si seulement les actes des incendiaires dégénérés atteignaient seulement ces irresponsables catholiques, mais ce n’est pas le cas, malheureusement.
Trop d’églises brûlent pratiquement tous les jours en France, mettant en danger des vies et causant des pertes inchiffrables dans notre patrimoine, dans le silence assourdissant des médias et des autorités mortes de peur devant la religion « d’amour et de paix » ou le statut de migrant des incendiaires.
Bravo la gauche niaise, bravo la droite molle, bravo les immigrationnistes fous, bravo les Nantais qui votent pour des traîtres. Tous responsables et coupables.
Il faut que cela cesse et que la peur change de camp.
Dominique Rizet cite « La France Orange mécanique » de Laurent Obertone : « L’actualité le prouve, ce qui est écrit dans ce livre, c’est la vérité »
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Loire : une centaine de « jeunes » font du rodéo au milieu des voitures et bloque la circulation sur une 4 voies
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Dimanche 26 juillet vers 15h, sur une 4 voies de la Loire près de Montbrison, une centaine de jeunes en motos et en voitures a volontairement ralentit la circulation, pour réaliser un grand rodéo mécanique.
Décidément, la saison est aux rodéos. Et celui-là était grandiose. Dimanche 26 juillet vers 15h, sur une 4 voies de la Loire, pas moins d’une centaine de jeunes en motos et en voitures, ont perturbé la circulation pour s’adonner à des démonstrations.
(…) Les usagers de la route, qui voyaient la circulation entravée, rapportaient également des insultes et incivilités. Ils ont alors contacté les forces de l’ordre.
Les jeunes ont expliqué aux gendarmes s’être rassemblés pour rendre hommage à un ami décédé la semaine dernière (…) Ce nouvel évènement intervient alors que les scènes de rodéos se multiplient dans Lyon et ses alentours depuis plusieurs mois, et sont quotidiennement rapportées sur différents réseaux sociaux ces dernières semaines. Par ailleurs, la veille, samedi 25 juillet, un élu a été percuté par une voiture à Toussieu dans le Rhône, alors qu’il tentait de faire cesser un rodéo.
Calais : des touristes anglais découvrent des migrants dans le coffre de toit de leur voiture, ils déposent plainte pour le vol de leurs bagages, les migrants sont laissés libres
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Un bruit suspect dans le coffre de toit d’un couple d’Anglais qui se rendait sur son lieu de vacances, est à l’origine de sa stupéfiante découverte.
Des touristes anglais ont eu la désagréable surprise de découvrir deux migrants dans leur coffre de toit, alors qu’ils étaient sur la route des vacances, rapporte France Bleu.
Ils ont retrouvé les deux intrus, ce jeudi matin, en circulant sur l’autoroute A29 pour gagner la Vendée. Le couple s’était arrêté la veille à Calais (Pas-de-Calais) et avait passé la nuit dans un hôtel.
(…) Et là, stupeur ! En l’ouvrant, ils ont découvert que leurs bagages avaient disparu et que deux mineurs africains se trouvaient à leur place, recroquevillés sur eux-mêmes.
Aussitôt, les deux adolescents de 16 ans environ, originaires d’Érythrée et de Guinée, ont pris la fuite.
(…) Le couple d’Anglais a déposé plainte pour le vol de leurs effets personnels. Le parquet de Dieppe (Seine-Maritime) a requis le placement des deux mineurs, mais l’Aide sociale à l’enfance (ASE) a refusé de les prendre en charge. Ils ont ainsi retrouvé la liberté.
La France, 4ème économie en 1992, devrait descendre au 10ème rang d’ici quatre ans
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Châteaubriant : une horde de délinquants tentent de brûler vive une famille entière dont des gosses de 11, 7 et 3 ans
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Démocratie Participative
Actu.fr :
Célyne et sa famille pensent encore pouvoir se réveiller d’un mauvais rêve. Mais le cauchemar est bien réel. Vers 3 h 30 du matin, mercredi 22 juillet 2020, leur maison de la rue de la Métallurgie part dans les flammes, à Châteaubriant (Loire-Atlantique).
Exténuée, perdue, après seulement quelques heures d’un sommeil très agité, les premières images lui reviennent.
« J’ai vu de grandes flammes et senti la chaleur monter à l’étage. J’ai tout de suite pensé à sauver mes enfants, à les mettre à l’abri. Le temps que l’on sorte dans le jardin, la maison avait déjà commencé à brûler. »
Par chance, cette nuit-là, la maman de 37 ans gardait un œil ouvert, après une soirée tristement agitée.
« Le soir de l’incendie, plusieurs jeunes sont venus frapper à notre porte pour voir mon fils de 18 ans. On nous avait volé des vélos début juin. Il avait fait comprendre qu’il voulait retrouver les responsables. L’histoire se règle finalement dans la rue. Plusieurs jeunes hommes s’en prennent à lui, avant qu’il ne parvienne à se réfugier dans sa maison. Le père sort alors pour défendre son fils. »
« Ils ont suivi le groupe rue de Paluel. Puis j’ai pris ma voiture car j’avais peur qui leur arrive quelque chose. Ils étaient encerclés par une dizaine de jeunes. J’ai fait marche arrière pour les éloigner et récupérer mon fils et son père. Ils ont alors détruit toutes les vitres de la voiture. Mes enfants étaient à bord. »
Un homme est blessé dans la mêlée et conduit aux urgences. La mère de famille explique ensuite avoir reçu des menaces. « Ils disaient qu’ils allaient revenir. Mon mari leur a dit qu’il allait dormir dans la caravane pour les surveiller. » Son ex-conjoint décide finalement de dormir dans la maison.
« On est restés éveillés. On savait qu’ils allaient revenir, mais on ne pensait pas qu’ils iraient jusque-là. »
Garée devant le garage, la caravane s’embrasse. Le feu gagne ensuite une première voiture, puis une seconde et enfin, la façade de la maison. Une moto et un scooter partent également dans l’incendie.
L’ensemble de la famille, dont deux filles de 7 et 11 ans et un petit garçon de 3 ans, se réfugie dans le jardin.
« On s’est tous retrouvés en petite tenue dehors. Les enfants ont été accueillis par nos voisins et nous sommes restés jusqu’à 7 h du matin, le temps que le feu s’éteigne complètement, pour reprendre quelques affaires dans la maison. »
Tous se rendent ensuite aux urgences. Les enfants sont déclarés en bonne santé. Célyne présente de son côté une intoxication au monoxyde de carbone. Une plainte est déposée dans la matinée à la gendarmerie. Quelques heures après une nuit blanche, la famille se retrouve sans toit.
« La nuit de l’incendie, on nous a dit qu’on allait nous proposer un logement. Mais mercredi après-midi, on n’avait toujours pas de nouvelles. »
Après plusieurs échéances impayées, l’assurance leur annonce qu’elle ne fera rien pour les reloger. « Le confinement a été une période compliquée à gérer financièrement. Mon copain et mon beau-père ont été en chômage partiel », indique Clara, 17 ans, compagne du fils aîné, présente le soir du drame.
Célyne sollicite alors le Centre communal d’action sociale (CCAS) de la ville. « Ils m’ont dit qu’ils pouvaient seulement m’aider à appeler l’assurance. » Après avoir dormi à l’hôtel mercredi soir, la grande famille est temporairement hébergée chez des proches, à Châteaubriant.
« J’ai été contactée par Atlantique Habitations (Bailleur social, NDLR) qui m’a proposé de financer une chambre d’hôtel pour moi et deux de mes enfants pour deux nuits. On m’a dit qu’ils essayaient de trouver un logement pour nous, mais un T5, pour une grande famille, c’est compliqué. »
De son côté, la Ville indique avoir directement pris contact avec le bailleur social, via le CCAS, qui a formulé deux propositions de relogement dans des habitations actuellement disponibles, le jeudi 23 juillet. L’accueil des enfants au centre de loisirs intercommunal a également été facilité.
Insalubre, on leur annonce également que leur maison, dans laquelle ils résident depuis 2017, ne pourra pas être habitée avant un an et demi. Pour les jours à venir, le camping apparaît alors comme la solution la plus envisageable pour Célyne.
« On voulait aller au camping de Châteaubriant, mais comme les auteurs n’ont toujours pas été arrêtés, les gendarmes nous ont conseillé d’aller ailleurs. »
Sans équipement pour s’installer dans un camping, et avec seulement de quoi payer quatre nuits, elle décide de lancer un appel à l’aide sur Facebook.
« On ne pensait pas qu’autant de personnes réagiraient. On nous a proposé des tentes, des matelas, des meubles, de l’électroménager, de la vaisselle, énumère Clara. Emmaüs nous a aussi promis de nous aider pour nous meubler lorsqu’on aura un nouveau logement. »
La solitude laisse alors place à la solidarité. « On se sent tout de suite moins seul. Ils nous ont donné beaucoup de courage. Ce sont pourtant des personnes qu’on ne connaissait pas. »
Leur caravane, qu’ils venaient tout juste d’acheter, devait pour la première fois les emmener sur la côte Atlantique, en août.
« Pour nous, ne pas aller en vacances, ce n’est pas grave, glisse Célyne. Mais les enfants en ont besoin. Ils ont besoin de sortir de cet environnement, de se changer les idées. Depuis mardi, ils demandent si les méchants vont revenir, et s’ils pourront un jour retourner à la maison. »
« On a besoin d’un endroit où dormir. Mais on ne veut pas s’imposer chez des gens, s’immiscer dans leur vie personnelle et qu’ils sacrifient de leur temps personnel pour nous. […] On aimerait simplement pouvoir sortir de toute cette agitation, de ces questionnements et de ce stress. Aujourd’hui, tout le monde dort très mal. Les enfants ont des nuits très agitées. »
Malgré ce tragique épisode, Célyne se souhaite en aucun cas quitter Châteaubriant.
« On ne va pas partir, ce serait leur donner raison. Ils savaient qu’il y avait des enfants dans la maison quand ils ont mis le feu. Ils savaient très bien ce qu’ils faisaient. C’était vraiment pour faire du mal. Je suis partie de Nantes pour éviter tout ça. Pour ne pas que mes enfants grandissent dans un monde de délinquance… »
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour faire la lumière sur l’origine de ce sinistre, qui aurait pu prendre une tournure bien plus dramatique.
Voici la maison de cette famille après l’attaque des envahisseurs
Commentaire de : “Démocratie Participative”:
Cette affaire est traitée par la presse comme « un sinistre » (dixit) qui implique cet objet non-identifié que les journalistes rouges désignent sous le terme générique de « jeunes ». L’objectif de la presse marxiste est bien sûr d’étouffer la dimension raciale de cette attaque dès lors qu’elle implique des victimes blanches. Ils redoutent d’éveiller la suspicion des Blancs vis-à-vis de la « diversité » ethnique censée nous emmener collectivement vers la paix et le bonheur sur terre.
En 2020, en France, un pogrom contre une famille blanche par immolation, au vu et au su de tous, n’entraîne qu’un entrefilet dans la rubrique chiens écrasés du journal local. Dans ce pays supposé être régi par le « racisme systémique », l’anus de Théo Luhaka vaut bien plus qu’une famille blanche entière, gosse de 3 ans compris. Imaginez à présent qu’une famille noire se fasse incendier son domicile par des incendiaires blancs : la synagogue médiatique se déchaînerait pendant des semaines et des mois avec une violence inouïe au point d’entraîner de très probables attaques mortelles contre les Blancs.
C’est tout ce que vous devez retenir de cet événement : si une bande de maghrébins haineux vient chez vous brûler vifs vos enfants dans leur sommeil, vous n’aurez que vos yeux pour pleurer.
Cette famille, quoi qu’elle dise, va devoir fuir. Parce qu’à présent, les auteurs vont être recherchés, interpellés puis présentés à un procureur. Non pas qu’un châtiment exemplaire les attendent mais c’est suffisant pour entraîner une vague de représailles de la part de la « famille élargie » des suspects, à savoir tous les crouilles de la zone. Ils vont se relayer, jour après jour, semaine après semaine, à coups de pierres, de vol de courrier, de vitres brisées, d’insultes, de pneus crevés, de menaces de mort, d’appels anonymes, etc..
Et je ne parle pas du « procès » en lui-même, où toute la vermine maghrébine vociférera dans un français ignoblement déformé des dénégations absurdes tandis que des moukères voilées crieront « man fils il a rian fé ! ».
La flicaille ne fera rien. Aucun képi ne bougera son gros cul de son bureau chauffé pour dresser les rats rendus totalement frénétiques par l’évident laxisme de la « justice » juive. Tôt ou tard, un Maréchal-des-Logis et une vache à cuche armée d’un pétard viendront montrer leurs gueules à la fenêtre des victimes pour leur suggérer de se tirer sans demander leur reste.
Je connais parfaitement – et personnellement – ce schéma d’épuration ethnique lente que couvre cette république vérolée.