Les criminels de SOS Méditerranée menacés de mort par les migrants recueillis !

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Riposte Laïque

Vendredi 3 juillet, par un communiqué pathétique et révélateur de son irresponsabilité, l’ONG criminelle SOS Méditerranée nous informe que son navire négrier, l’Ocean Viking, a été déclaré en état d’urgence suite à une violente mutinerie de sa cargaison humaine.

Ce que nous dit ce communiqué de déclaration d’état d’urgence.

  • Cette étape inédite a été provoquée par la détérioration rapide de l’état psychique d’une quarantaine de migrants sur les 180 à bord,
  • Multiples tentatives de suicide, personnes en crise de démence se jetant par-dessus bord, tentative de suicide par pendaison, 
  • Multiples bagarres,
  • Menaces de mort et agressions de membres de l’équipage,
  • État d’urgence déclaré à bord.

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La presse nous en dit plus. Le magasine Le Point  nous révèle ce que ne dit pas SOS Méditerranée ; à savoir, une situation extrêmement tendue, des bagarres entre groupes ethniques ainsi que la peur panique de l’équipage. Il cite notamment la déclaration de l’un des membres de l’équipage qui déclare ne pas se sentir en sécurité ; alors que le responsable des opérations à bord parle de situation très inquiétante et de risque de mort.

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Une situation à bord analogue à celle que vivent à terre et à grande échelle les Européens chez qui sont déversées ces cargaisons. Cette ONG irresponsable est en train de vivre à ses dépens et de son seul fait exactement la même situation que celle qu’elle impose auxpopulations européennes non consentantes. Il n’est que de voir la litanie quotidienne, partout en Europe, des coups de folie meurtrière des migrants que nous imposent ces ONG : attaques meurtrières au couteau, meurtres barbares, violences de tous ordres, viols de femmes, d’hommes, d’enfants, attaques d’une barbarie invraisemblable, actes de cruauté inouïs sur des personnes et sur des animaux, vols, trafics, rébellions, incivilités de toutes sortes, vindicte incessante, demandes de droits extravagantes, caprices de toutes natures, exigences indues notamment liées à leur religion, mais aussi à leurs mœurs incompatibles avec les nôtres… Bref, l’équipage irresponsable de l’Ocean Viking est en train de vivre à son bord et à son échelle réduite ce qu’il nous fait vivre à grande échelle depuis des années ; et qu’il s’acharne à reproduire, toujours plus, encore et encore. 

État d’urgence, double standard. À la différence de celui que nous subissons depuis des années contre notre volonté, l’état d’urgence à bord de ce navire ne résulte que des propres turpitudes de cette ONG. Car, bien que la dénonciation en soit brutalement censurée, c’est bien un état d’urgence permanent que vivent les populations européennes qui subissent cet épandage continu de millions d’allogènes dont elles ne veulent pas. À cet égard, il est intéressant de noter que cette ONG en panique devant les conséquences directes de ses actes parle d’état d’urgence quand elle est la victime des migrants qu’elle importe, mais de devoir humanitaire et de chances pour nos pays quand elle nous les impose. Double langage, double standard. Si nous invoquons un état d’urgence sécuritaire face à la submersion migratoire que ces ONG nous imposent, nous sommes traités de racistes, poursuivis et condamnés. Si ces ONG évoquent un état d’urgence face à la barbarie soudaine de leurs protégés, elles nous taxent encore de racisme parce que les ports européens refusent le débarquement de ces cargaisons. Double langage, double standard : état d’urgence justifié pour les ONG en panique, état d’urgence interdit car raciste pour les populations européennes submergées.

La réalité c’est que nos peuples sont objectivement en état d’urgence permanent face à la submersion migratoire et aux violences qu’elle importe dans nos sociétés

Détérioration de l’état psychique. C’est le communiqué même de cette ONG qui en fait état : probablement à juste titre. Car en effet, la promesse irresponsable d’un Eldorado qui n’existe pas et d’une obligation d’accueil que nos sociétés ne peuvent pas et ne veulent pas assumer conduisent obligatoirement à une frustration génératrice de graves troubles psychiques sur des populations déjà fragilisées. En effet, même s’il est consenti, le déracinement, l’éloignement des migrants de leurs familles, l’angoisse du voyage, le prix à payer qui endette lourdement les familles, et surtout la violence et les souffrances d’un voyage qui dure des mois, voire des années, pour arriver sur les côtes de Libye ; tous ces éléments fragilisent les personnes et les rendent vulnérables à la dépression, aux crises d’angoisse, à la démence ; et donc à la violence et à l’expression incontrôlée de leur barbarie. C’est vrai sur le bateau, c’est encore plus vrai une fois à terre.

Oui la migration voulue par les mondialistes est une violence faite aux populations déracinées. 

Oui la migration voulue par les mondialistes est une souffrance pour les populations européennes submergées.

Non, nous ne voulons pas de ces gens dont la culture, les mœurs, la religion et l’état psychique dégradé sont incompatibles avec nos sociétés trop fragilisées par leur sophistication, par leur niveau de civilisation et de complexité.

Il n’y a pas de naufrage, pas de rescapés, que des naufrageurs et des escrocs au droit maritime. Un naufrage est une catastrophe maritime due à un élément aléatoire et accidentel. Or, dans ces faux naufrages, il n’y a rien d’accidentel, tout est provoqué. Il n’y a rien d’aléatoire dans ces mises en scène provoquées par des irresponsables qui poussent ces malheureux à se jeter à l’eau dans des conditions aussi précaires. Non, les ONG naufrageuses ne peuvent pas nous opposer le droit maritime et exiger le débarquement des migrants dans les ports européens. En droit maritime la baraterie ou fait de provoquer un faux naufrage au détriment de toute personne intéressée est une infraction pénale. Ici la baraterie est provoquée par les ONG au détriment des peuples d’Europe auxquels sont imposées des cargaisons humaines en infraction du droit maritime.

SOS Méditerranée coupable de crime contre l’humanité. La définition du crime contre l’humanité est nécessairement évolutive tant le génie des criminels est immense. Cependant, l’article 7 du statut de la CPI en donne une définition ouverte. 

Entre autres, les éléments constitutifs peuvent être les suivants :

  • la réduction en esclavage,
  • la déportation ou le transfert forcé de population,
  • la torture,
  • le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable,
  • la persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste, ou en fonction d’autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corrélation avec tout acte visé dans le présent paragraphe ou tout crime relevant de la compétence de la Cour,
  • la disparition forcée de personnes,
  • d’autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale.

De leur propre et pitoyable aveu, les ONG en mer créent les conditions de souffrances psychiques graves qui se traduisent par des atteintes à l’intégrité mentale et physique.  Par ailleurs, elles assurent la phase finale de la migration en liaison et en coresponsabilité avec les passeurs et avec tous les acteurs en amont de la migration. Au bout du voyage, elles prétendent garantir aux migrants le débarquement dans les ports européens. Elles sont donc à l’initiation de la migration par la promesse de l’Eldorado et à sa conclusion par l’opération finale de transport vers l’Europe. Par conséquent, elles sont solidairement responsables de tout ce qui s’est passé lors de la migration, entre le point de départ et le point d’arrivée. Sans ONG en mer, pas de promesse d’Eldorado, pas de décision de départ, pas de migrations à travers le désert vers la Libye, pas de passeurs, pas de traite négrière, pas d’éléments constitutifs du crime contre l’humanité.

Par ailleurs, l’élément intentionnel pourra être retenu contre les ONG en mer ;  notamment au regard de leur parfaite connaissance en temps réel des disparitions en mer qu’elles ont vues, filmées et médiatisées, et néanmoins persisté à provoquer en créant un faux espoir, une fausse garantie et en incitant ces malheureux à prendre tous les risques pour se jeter à l’eau.

Oui, SOS Méditerranée et toutes les ONG qui provoquent de faux naufrages en mer sont toutes coupables et coresponsables du crime contre l’humanité que constituent globalement l’exploitation et la traite négrière des migrants à travers l’Afrique. Elles sont comptables des morts en mer. Un jour ou l’autre leur responsabilité pénale devra être recherchée devant les tribunaux internationaux.

En attendant, les pouvoirs publics européens doivent mettre immédiatement un terme à leurs activités criminelles en mer.

La chanson du jour, Emeli Sande – Heaven

Dans cette chanson il y a un petit coté Massive Attack (unfinished symphony). Nous on adore ! C’est puissant et entraînant…. de quoi vous réveiller en ce dimanche matin.

I-Média n°305 – L’offensive anti-blanc se poursuit

juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

02:50 L’image de la semaine Aux États-Unis, un couple armé a défendu sa propriété après une intrusion violente d’émeutiers Black Lives Matter. Une scène déjà culte qui a été scandaleusement présentée par les médias français.

04:20 L’offensive anti-blanc continue L’Oréal qui veut supprimer le terme « blanc » de ses produits, L’Obs qui évoque la fragilité des Blancs ou encore le JT de France 2 qui compte les Noirs chez les commissaires de police… Cette semaine aura marqué une accélération dans la haine anti-blanc, complaisamment relayée par les médias.

23:04 Revue de presse L’AFP qui publie un bobard énorme… La censure des dissidents sur Youtube… Dans ce numéro d’I-Média, nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine dans notre traditionnelle revue de presse.

29:43 La vague verte Le second tour des élections municipales a eu lieu ce dimanche et les médias se sont focalisés sur la prétendue déferlante écologiste… Mais en réalité, la vraie lame de fond potentielle ne serait-elle pas verte islamiste ?

Le Grand Reset : Dette effacée ? Nouvelle monnaie mondiale ? Quel niveau de liberté ?

Dans cette vidéo, Richard Détente reprend l’annonce de la Directrice Générale du FMI du 3 juin 2020, discours qui relance le thème d’un grand reset de l’économie. Ce grand reset donnerait l’occasion d’instaurer un monde plus juste, plus durable et plus résistant. Le FMI évoque “l’exigence” d’un nouveau contrat social centré sur la dignité humaine et la justice sociale, et dans lequel le développement économique n’empièterait pas sur le progrès de la société. Le moment serait venu de recommencer à zéro, de relancer l’économie vers de plus vert pâturages …. Le Forum économique de Davos reprendra ce même thème lors de sa prochaine édition. On voit bien que “les élites qui nous gouvernent” sont alignées et partagent le même cadre idéologique. Avec cette vidéo de fond, Richard Détente nous explique sa vision du fonctionnement du monde et des sphères du pouvoir. Richard Détente posera les bonnes questions : peut-on souscrire à la théorie du complot ? le fmi a-t-il un plan pour effacer le gros des dettes mondiales ? le fmi s’apprête-t-il à instaurer une nouvelle monnaie mondiale ? le discours de la Directrice Générale du FMI n’est-il pas signal de départ vers un nouveau monde économique inconnu ? Que va-t-il rester de nos libertés ? Puisqu’il paraît clair que nous allons vers une remise à zéro de notre système, il est temps de se préparer aux conséquences inévitables que l’effacement des dettes et la création d’une nouvelle monnaie peuvent avoir sur notre épargne.

Esclavage des Noirs : 1400 ans de traite arabo-musulmane

Riposte Laïque

Les caravanes d’esclaves avant l’arrivée des Belges… L’épouvante donne des forces aux plus faibles !

Les caravanes d’esclaves qui sillonnaient il y a quinze ans le territoire oriental de l’État du Congo étaient entraînées, hommes, femmes et enfants, vers un marché de l’Est lointain. Les esclaves étaient à pied ; aux hommes qui paraissaient les plus forts et dont on pouvait craindre la fuite, on attachait les mains et quelquefois les pieds, de telle sorte que la marche leur devenait un supplice, et sur le cou on leur plaçait des cangues à compartiments qui en reliaient plusieurs entre eux. On marchait toute la journée. Le soir, lorsqu’on s’arrêtait pour prendre le repos, on distribuait aux prisonniers quelques poignées de sorgho cru. C’était toute leur nourriture. Le lendemain, il fallait repartir.

Mais, dès les premiers jours, les fatigues, la douleur, les privations avaient affaibli un grand nombre. Les femmes, les vieillards s’arrêtaient les premiers. « Alors, afin de frapper d’épouvante ce malheureux troupeau humain, ses conducteurs s’approchent de ceux qui paraissent les plus épuisés, armés d’une barre de bois, pour épargner la poudre ; ils en assènent un coup terrible sur la nuque des victimes infortunées, qui poussent un cri et tombent en se tordant dans les convulsions de la mort. Le troupeau terrifié se remet aussitôt en marche. L’épouvante a donné des forces aux plus faibles.

Chaque fois que quelqu’un s’arrête, le même affreux spectacle recommence. « Le soir, en arrivant au lieu de la halte, un spectacle non moins horrible les attend. Ces marchands d’hommes ont acquis l’expérience de ce que peuvent supporter leurs victimes. « Un coup d’œil leur apprend quels sont ceux qui bientôt succomberont à la fatigue. Alors pour épargner d’autant la maigre nourriture qu’ils distribuent, ils passent derrière ces malheureux et d’un coup les abattent. Leurs cadavres restent où ils sont tombés, lorsqu’on ne les suspend pas aux branches des arbres voisins, et c’est auprès d’eux que leurs compagnons sont obligés de manger et de dormir »…

Extrait de « L’État indépendant du Congo » – Documents sur le pays et ses habitants.

Les Belges ont mis fin aux traites interafricaines et arabo-musulmanes au Congo

« Le voyageur au Congo se rend rapidement compte que, dans la contrée, il existe un pouvoir (colonial belge) que le peuple a appris à craindre et sur la protection duquel il commence à compter… »

M. Foa, chargé de mission par le Gouvernement français, constatait au même moment, lui aussi, la disparition complète de la traite dans l’ancien territoire arabe : « Le Manyema a été complètement dépeuplé par la traite : il n’y a guère plus de cinq ou six ans que ce trafic a été enrayé : le sentier du lac Tanganika au Congo, suivi autrefois par les caravanes arabes, est jonché, dans ses abords immédiats, d’ossements humains pendant des kilomètres ! Que de milliers d’esclaves sont tombés sur ce sentier fatal ! J’y ai aperçu plusieurs squelettes et même quelques cadavres « datant » de quelques semaines, mais c’est l’exception ; les ossements blanchis qui jalonnent la route, contemporains de ceux qui couvrent les plages d’Udjiji et Mtowa, sont les derniers vestiges du gigantesque commerce de chair humaine dont cette région a été le théâtre. Il faut au Manyema deux siècles de paix, de tranquillité et de protection pour que sa population redevienne ce qu’elle était avant les incursions arabes. »

M. Pickersgil, consul britannique 1898

Un vieux Noir raconte l’histoire ancienne d’Afrique 

« Il y a longtemps, si longtemps que moi je n’étais pas encore au monde, des hommes venus du Nord ont envahi nos contrées. Ils n’étaient ni comme toi ni comme moi. Leurs figures avaient… attends que je cherche… tiens de la même couleur que le cuivre de la pointe de sagaie que je tiens à la main. Vêtus de longues robes blanches, les cheveux cachés sous de grands capuchons, ils arrivaient au galop de leurs petits chevaux, en frappant l’air de leurs fusils. Comme ils étaient cruels ! Ils razziaient les villages, violaient les femmes, tuaient des hommes, égorgeaient des enfants. Ceux qui restaient vivants étaient ensuite emmenés en esclavage. Enchaînés et se suivant en longues caravanes, ils partaient vers les pays du sable qui n’étaient pas les leurs. Quelques-uns s’échappaient. Ceux qui tombaient en route devaient mourir tout seuls, sans avoir auprès d’eux les pleureuses bienfaisantes pour chasser les mauvais esprits. C’est pour ça que je crois que le crocodile qui nage dans le fleuve est peut-être mon ancêtre et que le léopard qui rôde en forêt est un parent à moi.

Yvonne Duckers-Nélis, Hans à Verviers, 1935

Le génocide voilé : 17 millions d’Africains noirs morts de l’esclavage arabo-musulman, 65 millions morts pendant la capture et le trajet vers les pays arabo-musulmans

Il faut lire Le génocide voilé de Tidiane N’Diaye qui montre que dans la traite négrière les Arabes blancs se sont montrés beaucoup plus racistes que les Européens.

« Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains. »

Principalement à cause des violences, tortures et châtiments cruels, de la castration systématique des hommes noirs et l’élimination à la naissance des bébés nés des esclaves noires, violées par leurs maîtres arabes, afin de protéger la péninsule arabique du métissage.

Jusque dans les années 60, les riches Arabes donnaient leurs esclaves noirs à leurs amis ou parents comme cadeaux d’anniversaire.

Au lieu de nous les briser en France où l’esclavage n’a jamais été pratiqué (sauf dans les îles pendant deux-trois siècles et sans génocide), les Noirs feraient bien de s’occuper des pays arabes et noirs qui ont capturé, vendu, castré et massacré des Noirs pendant des siècles et où l’esclavage continue encore aujourd’hui. Libye, Soudan, Mauritanie…

Libye :

C’est là-bas qu’il faut aller demander des réparations pour l’esclavage et la colonisation.

Pas en France.

Tout d’abord, la France n’a jamais colonisé l’Afrique, seulement l’extrême-nord de l’Algérie, (tout le reste était des protectorats améliorés et les Français, les Européens et les Juifs ont tous été chassés d’Algérie par de Gaulle et les massacres de son allié FLN : « la valise ou le cercueil », les harkis ont été massacrés).

De plus, la France a déjà largement payé les réparations grâce à tous les bienfaits qu’elle a apportés en Afrique avec la « colonisation » (voir les travaux de Jacques Marseille).

Et on continue encore de se saigner aux quatre veines avec les 130 milliards d’euros qu’on dépense chaque année pour financer les coûts directs ou indirects de l’immigration extra-européenne qui finira par nous transformer en énième shithole arabo-africain, plus tous les attentats, pillages, viols, agressions et cambriolages que cette invasion maghrébo-subsaharienne occasionne tous les jours. Une vraie colonisation de peuplement pour le coup.

C’est que contrairement au matraquage médiatique, les Français ne sont pas racistes, ils aiment leurs Noirs et leurs Arabes, ils préfèrent voir leur pays complètement détruit que de rapatrier leurs chers Africains en Afrique, dans leurs pays d’origine.

Peut-on survivre au Covid, au chaos mais aussi à la tyrannie ?

Bistro Libertés avec Piero San Giorgio : Peut-on survivre au Covid, au chaos mais aussi à la tyrannie ?

Ce soir, pour la réouverture de « Bistro Libertés », Martial Bild et les sociétaires reçoivent l’auteur survivaliste Piero San Giorgio. Au programme des débats :

1) Peut-on survivre au Covid, au chaos mais aussi à la tyrannie ?

Le survivalisme veut apporter des réponses adaptées aux événements biologiques ou chimiques. Mais peut-on survivre au chaos mondial et plus encore, à une société « Big brother » où règne la tyrannie décrite dans le roman prophétique de George Orwell « 1984 » ?

2) La lutte des races pour remplacer la lutte des classes ?

La mort de l’américain Georges Floyd a provoqué une indignation mondiale et de nombreuses manifestations ou émeutes. La lutte des races a-t-elle remplacé la lutte des classes ?