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Démocratie Participative
Actu.fr :
Célyne et sa famille pensent encore pouvoir se réveiller d’un mauvais rêve. Mais le cauchemar est bien réel. Vers 3 h 30 du matin, mercredi 22 juillet 2020, leur maison de la rue de la Métallurgie part dans les flammes, à Châteaubriant (Loire-Atlantique).
Exténuée, perdue, après seulement quelques heures d’un sommeil très agité, les premières images lui reviennent.
« J’ai vu de grandes flammes et senti la chaleur monter à l’étage. J’ai tout de suite pensé à sauver mes enfants, à les mettre à l’abri. Le temps que l’on sorte dans le jardin, la maison avait déjà commencé à brûler. »
Par chance, cette nuit-là, la maman de 37 ans gardait un œil ouvert, après une soirée tristement agitée.
« Le soir de l’incendie, plusieurs jeunes sont venus frapper à notre porte pour voir mon fils de 18 ans. On nous avait volé des vélos début juin. Il avait fait comprendre qu’il voulait retrouver les responsables. L’histoire se règle finalement dans la rue. Plusieurs jeunes hommes s’en prennent à lui, avant qu’il ne parvienne à se réfugier dans sa maison. Le père sort alors pour défendre son fils. »
« Ils ont suivi le groupe rue de Paluel. Puis j’ai pris ma voiture car j’avais peur qui leur arrive quelque chose. Ils étaient encerclés par une dizaine de jeunes. J’ai fait marche arrière pour les éloigner et récupérer mon fils et son père. Ils ont alors détruit toutes les vitres de la voiture. Mes enfants étaient à bord. »
Un homme est blessé dans la mêlée et conduit aux urgences. La mère de famille explique ensuite avoir reçu des menaces. « Ils disaient qu’ils allaient revenir. Mon mari leur a dit qu’il allait dormir dans la caravane pour les surveiller. » Son ex-conjoint décide finalement de dormir dans la maison.
« On est restés éveillés. On savait qu’ils allaient revenir, mais on ne pensait pas qu’ils iraient jusque-là. »
Garée devant le garage, la caravane s’embrasse. Le feu gagne ensuite une première voiture, puis une seconde et enfin, la façade de la maison. Une moto et un scooter partent également dans l’incendie.
L’ensemble de la famille, dont deux filles de 7 et 11 ans et un petit garçon de 3 ans, se réfugie dans le jardin.
« On s’est tous retrouvés en petite tenue dehors. Les enfants ont été accueillis par nos voisins et nous sommes restés jusqu’à 7 h du matin, le temps que le feu s’éteigne complètement, pour reprendre quelques affaires dans la maison. »
Tous se rendent ensuite aux urgences. Les enfants sont déclarés en bonne santé. Célyne présente de son côté une intoxication au monoxyde de carbone. Une plainte est déposée dans la matinée à la gendarmerie. Quelques heures après une nuit blanche, la famille se retrouve sans toit.
« La nuit de l’incendie, on nous a dit qu’on allait nous proposer un logement. Mais mercredi après-midi, on n’avait toujours pas de nouvelles. »
Après plusieurs échéances impayées, l’assurance leur annonce qu’elle ne fera rien pour les reloger. « Le confinement a été une période compliquée à gérer financièrement. Mon copain et mon beau-père ont été en chômage partiel », indique Clara, 17 ans, compagne du fils aîné, présente le soir du drame.
Célyne sollicite alors le Centre communal d’action sociale (CCAS) de la ville. « Ils m’ont dit qu’ils pouvaient seulement m’aider à appeler l’assurance. » Après avoir dormi à l’hôtel mercredi soir, la grande famille est temporairement hébergée chez des proches, à Châteaubriant.
« J’ai été contactée par Atlantique Habitations (Bailleur social, NDLR) qui m’a proposé de financer une chambre d’hôtel pour moi et deux de mes enfants pour deux nuits. On m’a dit qu’ils essayaient de trouver un logement pour nous, mais un T5, pour une grande famille, c’est compliqué. »
De son côté, la Ville indique avoir directement pris contact avec le bailleur social, via le CCAS, qui a formulé deux propositions de relogement dans des habitations actuellement disponibles, le jeudi 23 juillet. L’accueil des enfants au centre de loisirs intercommunal a également été facilité.
Insalubre, on leur annonce également que leur maison, dans laquelle ils résident depuis 2017, ne pourra pas être habitée avant un an et demi. Pour les jours à venir, le camping apparaît alors comme la solution la plus envisageable pour Célyne.
« On voulait aller au camping de Châteaubriant, mais comme les auteurs n’ont toujours pas été arrêtés, les gendarmes nous ont conseillé d’aller ailleurs. »
Sans équipement pour s’installer dans un camping, et avec seulement de quoi payer quatre nuits, elle décide de lancer un appel à l’aide sur Facebook.
« On ne pensait pas qu’autant de personnes réagiraient. On nous a proposé des tentes, des matelas, des meubles, de l’électroménager, de la vaisselle, énumère Clara. Emmaüs nous a aussi promis de nous aider pour nous meubler lorsqu’on aura un nouveau logement. »
La solitude laisse alors place à la solidarité. « On se sent tout de suite moins seul. Ils nous ont donné beaucoup de courage. Ce sont pourtant des personnes qu’on ne connaissait pas. »
Leur caravane, qu’ils venaient tout juste d’acheter, devait pour la première fois les emmener sur la côte Atlantique, en août.
« Pour nous, ne pas aller en vacances, ce n’est pas grave, glisse Célyne. Mais les enfants en ont besoin. Ils ont besoin de sortir de cet environnement, de se changer les idées. Depuis mardi, ils demandent si les méchants vont revenir, et s’ils pourront un jour retourner à la maison. »
« On a besoin d’un endroit où dormir. Mais on ne veut pas s’imposer chez des gens, s’immiscer dans leur vie personnelle et qu’ils sacrifient de leur temps personnel pour nous. […] On aimerait simplement pouvoir sortir de toute cette agitation, de ces questionnements et de ce stress. Aujourd’hui, tout le monde dort très mal. Les enfants ont des nuits très agitées. »
Malgré ce tragique épisode, Célyne se souhaite en aucun cas quitter Châteaubriant.
« On ne va pas partir, ce serait leur donner raison. Ils savaient qu’il y avait des enfants dans la maison quand ils ont mis le feu. Ils savaient très bien ce qu’ils faisaient. C’était vraiment pour faire du mal. Je suis partie de Nantes pour éviter tout ça. Pour ne pas que mes enfants grandissent dans un monde de délinquance… »
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour faire la lumière sur l’origine de ce sinistre, qui aurait pu prendre une tournure bien plus dramatique.
Voici la maison de cette famille après l’attaque des envahisseurs
Commentaire de : “Démocratie Participative”:
Cette affaire est traitée par la presse comme « un sinistre » (dixit) qui implique cet objet non-identifié que les journalistes rouges désignent sous le terme générique de « jeunes ». L’objectif de la presse marxiste est bien sûr d’étouffer la dimension raciale de cette attaque dès lors qu’elle implique des victimes blanches. Ils redoutent d’éveiller la suspicion des Blancs vis-à-vis de la « diversité » ethnique censée nous emmener collectivement vers la paix et le bonheur sur terre.
En 2020, en France, un pogrom contre une famille blanche par immolation, au vu et au su de tous, n’entraîne qu’un entrefilet dans la rubrique chiens écrasés du journal local. Dans ce pays supposé être régi par le « racisme systémique », l’anus de Théo Luhaka vaut bien plus qu’une famille blanche entière, gosse de 3 ans compris. Imaginez à présent qu’une famille noire se fasse incendier son domicile par des incendiaires blancs : la synagogue médiatique se déchaînerait pendant des semaines et des mois avec une violence inouïe au point d’entraîner de très probables attaques mortelles contre les Blancs.
C’est tout ce que vous devez retenir de cet événement : si une bande de maghrébins haineux vient chez vous brûler vifs vos enfants dans leur sommeil, vous n’aurez que vos yeux pour pleurer.
Cette famille, quoi qu’elle dise, va devoir fuir. Parce qu’à présent, les auteurs vont être recherchés, interpellés puis présentés à un procureur. Non pas qu’un châtiment exemplaire les attendent mais c’est suffisant pour entraîner une vague de représailles de la part de la « famille élargie » des suspects, à savoir tous les crouilles de la zone. Ils vont se relayer, jour après jour, semaine après semaine, à coups de pierres, de vol de courrier, de vitres brisées, d’insultes, de pneus crevés, de menaces de mort, d’appels anonymes, etc..
Et je ne parle pas du « procès » en lui-même, où toute la vermine maghrébine vociférera dans un français ignoblement déformé des dénégations absurdes tandis que des moukères voilées crieront « man fils il a rian fé ! ».
La flicaille ne fera rien. Aucun képi ne bougera son gros cul de son bureau chauffé pour dresser les rats rendus totalement frénétiques par l’évident laxisme de la « justice » juive. Tôt ou tard, un Maréchal-des-Logis et une vache à cuche armée d’un pétard viendront montrer leurs gueules à la fenêtre des victimes pour leur suggérer de se tirer sans demander leur reste.
Je connais parfaitement – et personnellement – ce schéma d’épuration ethnique lente que couvre cette république vérolée.
Et dire qu’Alice Coffin, la tarée écolo-lesbo, est journaliste
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Riposte Laïque, Josiane Filio.
Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours été fortement exaspérée lorsque je constatais l’emprise de l’homme en général sur toutes choses… dont quelques-unes étaient carrément interdites aux femmes (travailler, voter, avoir un compte en banque…); je pense donc que je suis née « féministe », bien décidée à exiger le même statut que les citoyens hommes !
Mais attention, jamais je ne me suis posée en « ennemie » des hommes, bien au contraire puisque romantique dans l’âme, j’attendais le prince charmant… qui ne pouvait être que viril, et sûrement pas une lopette pleurnicheuse (par exemple après avoir été éliminée d’un concours de chant) comme on en voit bien trop de nos jours sur les ondes polluées des chaines télévisuelles.
J’ai d’ailleurs fait mienne la célèbre phrase de Sacha Guitry en l’adaptant à mon sexe : je suis contre les hommes… tout contre !
Heureusement qu’au fil du temps, des femmes courageuses se sont battues pour obtenir, de longues luttes, le droit à l’égalité entre les hommes et les femmes ; comprendre égalité des droits, devant la loi… et non pas identité, comme l’ont compris des abruties se posant immédiatement en caricatures d’hommes, fumant, buvant, adoptant un langage de charretier… ou encore pire, incapables de considérer les hommes comme autre chose que des adversaires, voire carrément des ennemis !
Alors les agitations grotesques de certaines créatures se prétendant féministes, parce qu’elles n’aiment que les femmes et détestent les hommes, me révoltent au plus haut point.
Ces femmes ne sont pas de vraies femmes qui se respectent, et les hommes qu’elles fustigent à tous propos, parce que forcément tous machos, brutaux… et violeurs, n’existent que dans leur imagination de frustrées, sachant pertinemment au fond d’elles-mêmes qu’elles ne sont pas la normalité, bien qu’elles s’emploient activement à le prétendre, depuis que des dégénérés des pouvoirs successifs ont pris la désagréable habitude de céder aux revendications des minorités agissantes (surtout quand celles-ci ont les mêmes mœurs dissolus), et tant pis si ce faisant cela contrarie la majorité silencieuse qui n’en pense pas moins…
Après tout, celle-ci devrait se manifester un peu plus souvent, quitte à se faire éborgner ou embastiller… il suffirait d’ailleurs d’adopter le look muzz ou extrême gauche pour avoir une chance d’être épargné !
Alors c’est peu dire que la créature, en principe née femme, qui après avoir été un temps islamophobe, selon les souvenirs très précis de Martine Chapouton fin 2017, a soudain viré sa cuti en devenant… islamo-collabo (ça la regarde, mais ce changement à 180° reste à ce jour un mystère) m’horripile, avec son comportement de cheftaine des journalistes LGTB… comme si les préférences sexuelles devaient absolument s’afficher, de nos jours où les saines leçons de pudeur et modestie de nos grand-mères sont bafouées chaque jour par des hordes de dépravées voulant à toutes forces reléguer les hétérosexuels aux oubliettes !
C’est ainsi de nos jours, l’impudeur et l’exhibitionnisme sont aux manettes pour souligner l’appartenance sexuelle des célébrités, tout comme il est devenu normal depuis longtemps d’afficher ses préférences politiques… pour des journalistes dont le métier, normalement, exige de la neutralité avant tout !
Conseillère de Paris dans le 12e depuis juin sur une liste d’union Paris en Commun- Écologie pour Paris, elle ne tarde pas à prendre la tête du mouvement poussant Christophe Girard à la démission de son poste d’adjoint à la Culture, pour cause de complaisance envers l’écrivain pédophile Gabriel Matzneff.
Encore une que la prolifération des pédophiles n’a pas paru choquer ces dernières années… y compris quand certains ont été propulsés à de hauts postes publics, mais qui s’acharne à faire tomber un simple soutien, si cela peut lui rapporter gloriole et notoriété !
Écoutez-la, mais surtout regardez-la narrer l’histoire devant un micro, vous ne serez pas déçus ; c’est quasiment un orgasme en direct qu’elle nous offre, en se trémoussant de plaisir… et n’oubliez pas de consulter les commentaires sous la vidéo qui, normalement, devraient vous faire passer un bon moment, de sa ressemblance avec Ruquier à l’assimilation de son discours à un sketch d’Élie Semoun, c’est fou-rire garanti :
Ne ratez pas non plus son grand numéro d’excitée contre les hommes, semblant croire qu’il n’y a que les « maris », sans doute blancs-blonds dans son esprit, qui violent, tuent et tabassent leurs femmes (et enfants) :
Les commentaires postés sur Twitter en disent long sur le sérieux qu’inspirent de telles sorties, accompagnées de la gestuelle tarée-lesbo-écolo adéquate…
Extrait :
Et tu n’as vraiment aucune idée, bichette, du nombre d’agressions, tabassages, viols et égorgements de femmes par tes nouveaux amis musulmans, ne s’embarrassant pas, eux, de mariage pour démontrer leur prétendue supériorité masculine, qui malheureusement passe toujours par ce qui leur sert de cerveau… celui du haut étant perpétuellement à la ramasse !
Pour ces véritables animaux obsédés, peu importe qu’une femme (jeune ou vieille, aucune importance) soit la leur ou celle d’un autre, le simple fait qu’elle soit femme, considérée comme un sous-être, la met obligatoirement à leur disposition pour les servir !
Alors, excuse-moi cocotte, mais je croirai à ton féminisme le jour où tu réaliseras que tu te trompes de combat, ou plus exactement d’ennemi… et que tu décideras de t’en prendre aux islamistes pour qui la femme n’est qu’un espace de labourage, uniquement selon leur bon plaisir de mâle, et qu’elle doit leur obéir au doigt et à l’œil, sans aucun espoir de progrès… bien au contraire, puisque les fausses féministes de ton acabit ne font rien pour que cela cesse, exactement comme la Schiappa préférait écrire des livres pornos plutôt que s’intéresser au sort des femmes meurtries, avant qu’on lui offre ce poste où elle pourrait tant faire pour la cause des femmes, alors qu’elle préfère patauger lamentablement dans les formules toutes faites du prêt-à-penser gauchiste !
Non mais, croire que ne pas te marier suffirait à te mettre à l’abri de tabassages et de viols… à ton âge ! C’est carrément grotesque !
Va donc faire un tour dans la rue, dans l’un des nombreux territoires perdus pour la République… et tu n’attendras pas longtemps avant d’avoir une démonstration en live, démolissant tes certitudes stupides sur les dangers de tabassages que tu crois l’apanage exclusif des maris… Et si tu les harangues, pauvre inconsciente, tu auras immédiatement droit à un doublé, viol + tabassage, ou l’inverse.
Un conseil, laisse tomber les médias subventionnés, donc officiels, et consulte fissa les nombreux sites lanceurs d’alertes… et tu auras des surprises.
Sinon, occupe-toi de tes fesses, laisse-nous nous occuper des nôtres… et surtout, ferme-la !
I-Média n°308 – Crime de Lyon et cathédrale en feu
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Emission toujours aussi intéressante et de qualité proposée par TV Liberté.
L’information ne se trouve plus sur les chaines nationales aujourd’hui mais les médias alternatifs. N’hésitez pas à partager afin de permettre le débat !
ARTICLES DE FOND : ajouts de la semaine
- NASSIM TALEB, JOUER SA PEAU – 5 raisons de prendre des risques
- ANTIFRAGILE : Quels actifs GAGNENT pendant les crises ? Didier Darcet de Gavekal selon Nassim TALEB.
- Michel Onfray Dans Punch.Line Du 15/07/2020
- Le Pr Perrone explose tout chez big pharma et le gouvernement
- Charles Gave, Fuite devant la monnaie : Quelles Valeurs Refuges ? Ma Nouvelle Stratégie
- L’État de droit a volé en éclat ! – Charles Gave, Hervé Juvin
La chanson du jour, Paris me manque – Manu Katché
Ça c’est le rap qu’on adore, Jazzy Bazz est un des meilleurs rappeurs du moment…..alors on prend la voiture toutes vitres ouvertes et on traverse Paris en pleine nuit en écoutant “Paris me manque”.
Vers l’hyperinflation en 2021 après la déflation fin 2020
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Boulevard Voltaire
Un seul avion commandé à Boeing, en juin. La pire récession économique depuis 300 ans au Royaume-Uni. Un CAC 40 à 4.956 points, ce vendredi. Y aura-t-il une seconde vague de contamination ou pas ? Les défaillances d’entreprises vont se multiplier dans le monde. Euler Hermes prévoit une hausse de 35 %, de 2019 à 2021. Pour la France, la progression des défaillances sera de 25 %, en 2020, et de 21 %, en 2021. Comme l’écrit Le Figaro, « la rentrée ne sera pas difficile, mais apocalyptique. »
La France de Macron va connaître, en 2020, outre un bilan sanitaire peu glorieux, une récession de 12 % du PIB, une hausse du chômage à 12 %, une dette publique supérieure à 120 % du PIB. Si l’on compare le plan français à ce que s’apprête à faire l’Allemagne, il y a un rapport de 1 à 7 quant aux subventions d’avenir pour les entreprises (technologies de l’hydrogène, par exemple). Les dépenses publiques en faveur des entreprises s’élèveront à 360 milliards d’euros, en Allemagne, contre 48 milliards, en France, toutes les autres dépenses étant des dépenses sociales ou des reports de taxes.
Aux États-Unis, le bonus hebdomadaire de 600 dollars accordé aux chômeurs devrait disparaître, fin juillet. Les inscriptions hebdomadaires au chômage s’élèvent à 1,416 million, contre 1,3 million attendus, après un plus haut de 7 millions. Wall Street progresse uniquement sur des espoirs de vaccins, d’argent quasi gratuit de la Fed, de dépenses publiques, de déficits publics. Plus le pays s’enfonce et mieux c’est pour Wall Street.
Quant au plan de relance de l’Union européenne avec le rêve fédéraliste de Macron, c’est une catastrophe pour la France, qui ne se verrait attribuer que 39 milliards de subventions et pourrait, théoriquement, rembourser 80 milliards d’euros si la Commission ne devait pas lever des impôts européens ou des droits de douanes qui seront payés, in fine, par les consommateurs européens. Le seul gagnant est l’Allemagne, faussement généreuse, qui recule en fait l’échéance de l’explosion de la zone euro en accordant deux sucettes à l’Italie et à l’Espagne afin de défendre son marché intérieur européen, tout en profitant de la faiblesse de l’euro par rapport à un nouveau Deutsche Mark. Les eurodéputés en ébullition menacent de bloquer le budget européen.
La BCE est la seule institution qui, en Europe, tout comme la Fed aux États-Unis, empêche le système d’exploser, jusqu’au jour où il y aura une perte de confiance généralisée de la monnaie. Pour le moment, la BCE met les dettes de la France « au frigo » en reversant, sous forme de dividendes à la France, les intérêts de la dette obligataire française. Le mécanisme revient à effacer provisoirement les dettes de la France, mais le processus ne pourra pas durer indéfiniment et la situation de la France est irrémédiablement compromise.
La dette française ne peut être remboursée que dans une perspective de croissance économique réelle. Comme ce ne sera pas possible, seule l’hyperinflation permettra d’effacer les dettes de la France. Le processus de l’expansion monétaire menant à l’hyperinflation ne fait que commencer, nonobstant les bulles boursières et immobilières. L’inflation apparaîtra lorsque, suite à de nouvelles créations monétaires, la confiance dans la stabilité monétaire disparaîtra complètement, entraînant une augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie et la sortie des liquidités de leur trappe. Les débuts de l’hyperinflation devraient donc apparaître en 2021, tant aux États-Unis qu’en Europe.
Une once d’or vaut, désormais, 1.900 dollars, soit 500 dollars de plus que lors du krach de mars 2020 ; elle a valu, pendant la République de Weimar, jusqu’à 88.000 milliards de marks de l’époque. L’or, suite aux nouvelles créations monétaires des banques centrales, devrait atteindre les 2.000 dollars dans les prochains mois et battre son record historique de 1923 (7 dollars), tandis que l’argent, autre métal précieux, s’envole également, dans sa roue, à plus de 23 dollars l’once.
Jusqu’où iront les banques centrales ? C’est la question. 1010: inflation galopante de 89,7 %, une dette publique de 170 % du PIB, l’effondrement des Bourses et la faillite des banques, un État en banqueroute, l’impossibilité de payer les fonctionnaires et les services publics, la misère, la dépression, avec des menaces de guerre civile. La décadence française a, en fait, commencé avec les premières réformes progressistes de Giscard !
France, 719 : la cathédrale de Maguelone convertie en mosquée par les musulmans
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Observatoire de l’Islamisation
Alors que Sainte-Sophie à Constantinople est définitivement reconvertie en mosquée (avec ses mosaïques représentant Marie et l’Ange Gabriel camouflées pour l’occasion) en ce vendredi 24 juillet, jour de prière en islam, n’oublions pas que ces violations de lieux sacrés chrétiens ont eu lieu en Europe aussi.
Les islamistes en France s’activent sur les réseaux sociaux pour tenter de faire croire qu’à Cordoue, les chrétiens auraient fait pareil avec la mosquée, en ne sachant pas que la dite-mosquée fut elle même construite sur la basilique wisigothique Saint-Vincent Martyr (VIème siècle) dont on observe de nombreux restes quand on visite la ‘mosquée-cathédrale’. En 785, les envahisseurs musulmans transformèrent la basilique en mosquée. En 1239, lors de la libération de la ville, le lieu reprit évidemment sa fonction initiale sous la forme de la cathédrale Sainte-Marie de Cordoue. N’en déplaisent aux Frères Musulmans qui veulent reconquérir l’Andalousie selon le voeu de Hassan Al Banna dans sa Lettre aux jeunes de 1936.
Une histoire plus méconnue est la conversion en mosquée d’une cathédrale oubliée en France, celle de Maguelone (photo) dont l’évêché a été supprimé en 1536 et transféré à Montpellier. Ce qui l’en reste est actuellement devenu un espace d’évènement culturel, comme souvent.
Les lecteurs de Jean Raspail (+2020) ont croisé cette cathédrale qui fut un temps acquise aux papes d’Avignon jusqu’à Benoit XIII, Pedro de Luna, dans son roman L’anneau du pêcheur paru en 1995.
Extrait de Wikipédia :
Au viiie siècle, tandis que le pouvoir wisigoth s’affaiblit et que finalement le royaume de Tolède s’effondre, les musulmans du califat des Omeyyades de Damas, nommés Sarrasins, multiplient les raids en terre chrétienne. Après avoir conquis l’Espagne, ils franchissent les Pyrénées en 715. La Septimanie passe sous leur totale domination en 719.
Maguelone, en raison de sa position clef, devient Port Sarrasin, sans doute une place fortifiée. Délaissant les aménagements naturels, des quais sont établis permettant aux navires d’accoster et de décharger leurs marchandises en toute sécurité. Aujourd’hui encore le lieu-dit la Sarrazine correspond au canal (grau) où transitaient ces bâtiments. Dès lors, la cathédrale est transformée en mosquée et les habitants sont contraints de se convertir ou d’endosser le statut de dhimmis. Le chapitre de la cathédrale doit alors fuir à Substantion sur le territoire actuel de Castelnau-le-Lez.
En réaction, les Francs, venus du Nord, entament la reconquête : après Poitiers en 732, Charles Martel poursuit les Sarrasins qui abandonnent peu à peu le sud de la France. C’est après l’échec de sa conquête de la Septimanie qu’il fait détruire la première cathédrale transformée en mosquée, en 737. L’architecture de ce premier édifice nous reste inconnue.
Dès lors le site reste quasiment abandonné durant trois siècles, même si une vie précaire semble avoir perduré malgré la crainte des pirates. L’évêque s’installe à quelques kilomètres sur l’oppidum antique de Substantion, dont le site se trouve aujourd’hui sur la commune de Castelnau-le-Lez.
La chanson du jour, Waiting For – Kolombo
Eh bien, cela m'a propulsé dans l'espace...le temps de cette musique. C'est tout simple mais on plane quand même....Au fait n'oubliez pas de redescendre sur terre, demain faudra aller bosser...lol.
Incendie de la cathédrale de Nantes : le message lamentable de la Ligue de défense noire africaine
Articles : juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020 – avril 2020
Boulevard Voltaire
Dans les réactions faisant suite à l’incendie de la cathédrale de Nantes, l’unanimité dans les hommages a été brisée par le message lamentable publié sur les réseaux sociaux par la Ligue de défense noire africaine (LDNA).
« Oh ! Feu sur la cathédrale de Nantes ? La cathédrale payée par les négriers nantais par l’argent de la traite-esclavage ? Qu’a fait l’église catholique pour empêcher la déshumanisation de nos ancêtres ? Pas un sermon ni une bulle du pape François pour les Nègres ! Même si vos curés en Louisiane achetaient et revendaient nos ancêtres déshumanisés ! Pétris de votre négrophobie patristique, vous avez pas seulement gardé le silence mais vous avez participé à notre déshumanisation ! La seule voie honorable : le christianisme tout entier se dissolve de lui-même… »
Mais quelle horreur que cette juxtaposition de logorrhée infecte et absurde ! Elle nous confirme ce que nous savons depuis longtemps : le vrai combat de LDNA est celui contre l’Occident, contre ceux qui le composent (les Blancs), contre ce qu’il représente (son histoire, sa culture) et contre ses valeurs spirituelles (la religion chrétienne).
En 1434, lorsque la construction de la cathédrale de Nantes démarre, la France est loin de subodorer que ce magnifique édifice religieux serait financé par le commerce triangulaire des esclaves à compter de 1674 ! Du coup, le groupuscule LDNA devrait revoir ses références historiques car aucun lien, à l’évidence, ne serait-ce que de préméditation, n’est établi. Quand on a la prétention d’être objecteur de conscience, le minimum est de ne pas raconter n’importe quoi et de replacer les faits dans leur contexte historique. C’est, du reste, ce qui fait la force de Zemmour.
Concernant le financement de cette église, notons que, durant ce XVe siècle, le pays sortait d’une guerre de succession en Bretagne. Nantes, voulant profiter de la paix, se mettra à l’écart des conflits entre les royaumes de France et d’Angleterre. La situation de la Bretagne lui permettra alors de jouer un rôle central dans les relations commerciales entre les deux royaumes.
C’est ainsi que Nantes deviendra une étape des Hanséates en quête de sel dans la baie de Bourgneuf, ce qui conduira à l’établissement de multiples traités commerciaux avec Bilbao, la Castille et le León, pour l’échange des produits comme le fer, les fruits et la laine, sans oublier les toiles d’Anjou, les draps de Normandie et le vin. Nantes était une ville riche, un important comptoir commercial en Bretagne au XVe siècle, situation qui permettra alors aux habitants d’effectuer des dons importants aux églises. Ce sont ces dons qui financèrent la construction de la cathédrale. On est donc vraiment loin du commerce triangulaire.
Concernant le rapport entre l’esclavage et l’Église catholique, il faut, une fois pour toutes, faire tomber ce mensonge que promeuvent les racialistes. Il est faux de dire que l’Église catholique a encouragé la traite négrière. Rappelons que c’est le pape Paul III qui, dès 1537, va clairement interdire toute forme d’esclavage, ce qui sera une première pour les religions monothéistes. Alors, faire une corrélation entre l’Église catholique et l’esclavage, c’est soit ne pas savoir décrypter l’Histoire, soit faire preuve d’une malhonnêteté incurable.
En revanche, que l’Église catholique se soit investie pour accompagner la colonisation afin d’apporter, dans le cadre des missions d’évangélisation, la parole de Dieu dans les terres éloignées, c’est autre chose et cela n’a rien de comparable avec l’esclavage.
Pour conclure, disons juste à la LDNA que promouvoir la haine de la France, du Blanc et de la religion catholique est une chose. Connaître l’Histoire en est une autre. Et c’est mieux !