Pour un retour à la verticalité nationale du pouvoir

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Riposte Laïque

La France jadis chrétienne, « fille aînée de l’Église », était aux mains d’un pouvoir vertical né de son appartenance à la chrétienté. Cette verticalité a été à la fois rabotée et reconduite par la déesse « Raison » de 1792, par la référence à la Nation issue de la Révolution, puis par la Patrie (notamment durant guerre de 14/18), puis par la Ve République à ses commencements gaulliens.

De Gaulle fut le dernier Président de la verticalité. Macron nous en offrit un pâle ersatz lors de sa funèbre marche « jupitérienne » inaugurant son quinquennat au Louvre (un musée !).

Aujourd’hui, la France n’est plus chrétienne, mais largement athée ou agnostique. Quand elle n’est pas musulmane dans ses territoires perdus. Le sens de la Nation s’est éteint au cours du XXe Siècle, tout comme celui de la Patrie, sous les assauts des deux Guerres mondiales et de leurs conséquences.

Le refus des racines, de notre Histoire, de frontières, de préférence nationale font que notre pays est en plein doute. Il n’est plus de droite depuis longtemps.

Est-il pour autant de gauche ?

La référence idéologique au communisme a servi, comme l’a écrit Raymond Aron, d’« opium des intellectuels » depuis le Congrès de Tour en 1920 avec la création du Parti Communiste. Après la Seconde Guerre mondiale, la propagande fit apparaître le communisme soviétique comme seul capable de stopper le retour du nazisme ou du fascisme. Les millions de morts du goulag stalinien furent ainsi justifiés.

Mais l’URSS permettait de contrarier les excès du capitalisme sauvage, puis du libéralisme à l’idéologie dépourvue de tout sens historique, de tout sens collectif et donc de toute âme nationale. L’internationalisme communiste – qui n’était pas un réel internationalisme contrairement au capitalisme – freinait les élans destructeurs de l’État, de la Nation, de la Patrie, du sentiment d’appartenance que portait en lui le libéralisme.

La révolte de mai 68 s’est dite de gauche. Une gauche qui au fil des années a aboli l’idée de la référence prioritaire au collectif, une des ultimes verticalités de la France d’après-guerre. Elle s’est dite de gauche en « interdisant d’interdire » ; en réalité, elle n’a jamais aussi bien servi les intérêts et les objectifs du capitalisme le plus cynique, et c’est comme cela que l’on retrouve les grandes gueules de mai 68 en chantres de l’ultra-libéralisme.

En 2020, le communisme est en coma dépassé et son fac-similé mélenchonien n’est qu’une série de dégueulis haineux, une politique de chien crevé au fil de l’eau, un hymne pour un modèle multiculturel qui nous a mené à la société violente que nous connaissons.

La gauche a revêtu les costumes disparates du féminisme, du lobby LGBT, du « laissez-nous vivre », du « laissez-nous faire », s’est rapprochée du communautarisme musulman. Toute verticalité chrétienne, nationale, patriotique, a disparu. Triomphent de plus en plus les comportements discordants qui ne nous rappellent que l’étape qui vient après l’échec de la démocratie mue par la verticalité est l’anarchie ou la théocratie.

Les combats de rues dans les grandes villes, les assassinats quotidiens pour un regard, une remarque, pour satisfaire un Allah cruel et pédophile nous le rappellent chaque jour.

Une dernière verticalité est en cours de destruction : la famille (la vraie : père + mère + enfants). Cette base traditionnelle des sociétés est la cible de toutes les volontés destructrices. Aucun gouvernement n’ose prôner une politique de la famille favorable aux nationaux français mais aucun n’hésite à promouvoir le féminisme décervelant, la famille monoparentale, l’idéologie LGBT, la PMA, la GPA.

La famille traditionnelle est moquée, qualifiée de désuète, de conservatrice, de rétrograde. Le dernier pilier de notre monde est en train de céder.

En abandonnant une à une toutes ses verticalités, la France a perdu son âme, le terreau qui fit d’elle un grand pays parmi les grands pays. Macron est le produit de tous ces abandons et le gouvernement Castex, le reflet parfait de cette décrépitude.

Le Maire aux Finances, c’est l’assurance que la mondialisation continuera sa marche en avant malgré quelques accents bâtards d’une pseudo-renaissance d’un souverainisme français.

Dupond-Moretti à la Justice, c’est verrouiller tout retour à une verticalité nationale. L’homme, quand il ne joue pas l’ogre avec les enfants de l’affaire d’Outreau, se vante en postillonnant d’être immigrationniste, de protéger les racailles malchanceuses.

Darmanin à l’Intérieur est plus dangereux que le sans envergure Castaner. Mettant en avant son Moussa de grand-père kabyle côté maternel, il nous indique la direction de sa boussole personnelle (un futur Président aux racines partagées entre les deux rives de la Méditerranée ?).

Quant aux personnalités confuses et insignifiantes qui complètent l’équipe, elles ont pour tâche essentielle d’accélérer l’éclatement de la société française. La pro-LGBT Bachelot à la Culture en est un exemple parlant.

La France est-elle définitivement foutue ?

Ou peut-elle espérer un réel retour de la verticalité ?

Mais alors qui pour incarner la volonté de verticalité ?

La diversité a raison d’aimer Macron : il accélère notre disparition

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Riposte Laïque

Si les statistiques ethniques sont  en théorie interdites, le gouvernement sait parfaitement ce qu’il en est du Grand Remplacement qui s’accélère et que l’establishment s’acharne à occulter.

Sur le site officiel « France stratégie », que nous indique « Français de souche », on mesure cette inexorable augmentation de la population extra-européenne, terrible perspective que politiques et médias cachent au peuple français.

Ces chiffres officiels prouvent  bien qu’il y a une réelle volonté politique de nous imposer une société multiculturelle dévastatrice qui va détruire notre nation millénaire, afin de bâtir le grand village supranational dont rêvent les mondialistes.

https://francestrategie.shinyapps.io/app_seg/

http://www.fdesouche.com/1399869-evolution-de-la-part-de-population-dorigine-extra-europeenne-chez-les-0-18-ans-dans-les-grandes-villes-francaises-chiffres-officiels

Sur le site « France stratégie », on peut mesurer plusieurs données, dont l’évolution démographique de la France, par région et par tranche d’âge.

Pour la tranche des 0-18 ans, on constate qu’entre 1990 et 2015, la proportion  des jeunes d’origine extra-européenne est passée de 13 % à 21 % en une génération. (moyenne des 55 unités urbaines).

Mais il est évident que de 2015 à 2020, la crise migratoire n’a fait qu’amplifier le désastre, Hollande et Macron ayant ouvert les frontières comme jamais.

Cela représente une augmentation de 63 %, alors que sur une génération la population de souche diminue de 20 %, avec un taux de fécondité des natives de 1,6 enfant par femme, voire une baisse de 25 % avec un taux de 1,5 enfant.

Ces chiffres portent sur 55 unités urbaines à travers toute la France, avec de fortes disparités régionales. À Creil, la proportion de jeunes issus de l’immigration est passée de 29,4 % à 52,5 %.

Valérie Pécresse avait reconnu il y a peu qu’en Île-de-France, une naissance sur deux était d’origine immigrée.

https://ripostelaique.com/1-naissance-francilienne-sur-2-est-immigree-pecresse-reconnait-le-grand-remplacement.html

Détruire la nation, liquider notre identité et notre patrimoine culturel en cachant la vérité aux Français fait donc bien partie des objectifs des mondialistes, Macron en tête.

Et au vu du naufrage de l’intégration et de l’explosion du racisme anti-Blancs, jamais dénoncé, jamais condamné mais toujours nié, il faut s’attendre dans quelques années à vivre ce que vivent les Blancs d’Afrique du Sud.

On se souvient de ce militant de la LDNA qui avait appelé les Sud-Africains noirs à tuer des « Blancs », des « Chinois » et des « Indiens ».

À ma connaissance, ce fan du « vivre-ensemble » n’a jamais été inquiété.

Cela dit, quand un peuple a davantage de compassion pour les criminels que pour les victimes, comme on l’a vu avec la sinistre farce du « mur des cons » ou avec des familles frappées par la violence qui ne savent que dire « vous n’aurez pas ma haine », on peut se demander si ce peuple n’est pas mûr pour la dimmithude.

Quand un ministre de la Justice fraîchement nommé pleurniche sur les jeunes délinquants « déchirés par la vie », on voit ce que veut Macron.

On aimerait que ce ministre parfaitement impartial nous explique pourquoi les jeunes Asiatiques ne se sentent jamais « déchirés par la vie », caracolent en tête des classements scolaires et se hissent au plus haut sommet de la société par leur travail et le goût de l’effort.

Aucun Asiatique ne se sent « racisé », aucun ne se plaint. On n’a jamais vu une bande de jeunes Asiatiques massacrer un Français parce qu’il est blanc.

Ce qui est certain, c’est que les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent. S’ils veulent  encore Macron en 2022, ils l’auront !

Mais il ne faudra pas venir pleurer quand la situation sera devenue incontrôlable, comme annoncé par l’ex-premier flic de France !!

Le « face-à-face », Macron nous y conduit par le chemin le plus court.