Allahu akbar : Marwan Muhammad annonce l’intensification du jihad

Publié le 11 novembre 2019 – par Martin Moisan (RL)

Dans les guerres asymétriques, l’initiative est toujours au plus faible. C’est toujours lui qui décide du pourquoi et du comment, du quoi et du quand. C’est toujours lui qui bat la mesure et décide de l’enchaînement et de l’intensification des phases successives du conflit.

Le jihad, un conflit en constante intensification. Comme chacun le sait, le jihad est planétaire, il touche tous les continents depuis maintenant des décennies. Pour ce qui concerne la France, aux 263 morts et aux centaines de blessés lors des attentats de masse, il faut maintenant ajouter la multitude jamais dénombrée des victimes quotidiennes d’assassinats, de viols, d’égorgements, de défenestrations, de violences de tous ordres, ainsi que de nombre de féminicides. 

Le jihad moléculaire nouvelle phase de la terreur. Le jihad moléculaire, c’est celui qui peut vous surprendre personnellement, où que vous soyez, à n’importe quel moment, venant de n’importe quel fanatique dont vous pourriez croiser le chemin. Chaque non musulman, peut maintenant se faire trucider n’importe où, au hasard. Il n’y a strictement aucun moyen de s’en protéger à titre personnel. Quant à l’État, il ferme les yeux et laisse faire, lançant ainsi un encouragement tacite bien compris par les furieux. Dans ces conditions, nous ne sommes plus en sécurité nulle part et nos vies sont en danger, toujours et partout.
Oui, les non musulmans sont terrorisés. Qui peut dire le contraire ?

Pas d’islamophobie de la part des non musulmans, simplement la terreur. Les islamo-gauchistes ont inventé le concept « d’islamophobie’ » pour vitrifier tout débat sur l’islam et pour culpabiliser les non musulmans. Or, la terreur que nous ressentons à juste titre n’a rien à voir avec une quelconque phobie qui ne serait qu’une frayeur irraisonnée et disproportionnée. Non, il n’y a pas d’islamophobie de la part des non musulmans. Simplement une terreur parfaitement justifiée de l’islam belliqueux, liée aux prescriptions de son texte fondateur et surtout aux conséquences mortifères qu’il répand quotidiennement dans la société. Le déni n’est plus possible. Tous les tueurs sont bel et bien musulmans et nul ne peut occulter le lien entre les tueries et cette religion ou l’interprétation qui en est faite. Peu importe, il n’y a plus à finasser. C’est donc bien là toute la fourberie des fanatiques musulmans et toute la perversité des islamo-gauchistes : Terroriser les populations et les taxer d’islamophobie.

10 novembre 2019, ouverture d’une nouvelle séquence du jihad en France. À quelques jours de la date anniversaire de la tuerie du Bataclan, ils ont osé lancer leur cri de guerre en place publique et le gouvernement les a laissé faire. Lors de la marche du 10 novembre faussement intitulée « marche contre l’islamophobie », Marwan Muhammad, ancien directeur du CCIF, pion de l’organisation terroriste des Frères musulmans et de Tarik Ramadan, a fait scander à la foule présente le cri de guerre du jihad, celui des tueurs fanatiques.

Au-delà de la provocation, il s’agit là du signe nettement affiché de l’entrée dans une nouvelle phase du jihad. Celle du ralliement de la communauté musulmane et des islamo-gauchistes au jihad global conduit par les fanatiques. Celle de la massification du camp du jihad. Clairement, les fanatiques viennent de revendiquer en place publique leur prise en main de la communuauté musulmane de France. De leur côté, les islamo-gauchistes viennent de rendre publique leur soumission. En réalité, il n’y a pas eu de marche « contre l’islamophobie », mais bel et bien une marche pour le jihad et le  coup d’envoi d’une nouvelle phase du jihad.

Scandé en place publique le cri « Allahu akbar » est un appel à la guerre. Dans la très longue séquence des attentats de masse, les tueurs ont toujours lancé ce cri de guerre comme une revendication religieuse justifiant leurs tueries. Ils l’ont toujours lancé en dehors des mosquées, pour marquer le lien entre leurs actes criminels et l’islam. Par conséquent, ce cri est le cri de guerre des fanatiques musulmans, des tueurs et des égorgeurs. C’est celui de l’islam belliqueux en dehors des mosquées. Si scandé à l’intérieur d’une mosquée, le cri « Allahu akbar » est une prière et il n’y a rien à en dire. En revanche, lancé en place publique, et même en l’absence de tuerie immédiate, ce cri est clairement un appel à la guerre et une revendication religieuse de l’acte de guerre.

Interdiction du cri « Allahu akbar » en place publique. Compte tenu de ce qu’il symbolise et de ce qu’il porte d’appel à la guerre de religion et à la violence la plus extrême ; il est urgentissime de faire interdire et de très sévèrement sanctionner ce cri en place publique.

Massification du camp du jihad, césure du reste de la société. Cette manifestation du 10 novembre marque une nette décantation. La société s’est partagée. D’un côté le camp du jihad qui vient de se massifier et en quelque sorte de faire son « coming out » et de l’autre, le reste de la France qui ne s’est pas encore regroupée, mais qui s’est clairement détachée du camp du jihad. La gauche s’est définitivement fracturée. À part les islamo-gauchiste qui ont choisi leur camp, tout le reste de la gauche s’en est enfin dégagé.

Le renoncement à la taqîya annonciateur d’une intensification du jihad. Après le 10 novembre, et après la consécration de la solidarisation de la communauté musulmane derrière les jihadistes, plus personne ne pourra plus dire qu’il y a une séparation entre les musulmans quiétistes et les jihadistes. Plus personne ne pourra arguer d’une discontinuité entre la communauté musulmane et les jihadistes, entre la religion et le jihad. En prenant ainsi le parti de faire tomber d’un seul coup toute cette catégorie d’arguments, les jihadistes sûrs de leur fait et de leur force viennent de renoncer à la taqîya qui jusqu’ici leur permettait d’avancer dans l’ombre. Qu’ils fassent ainsi publiquement tomber les masques avec une telle mise en scène, est le signe parfaitement clair qu’ils se préparent à une phase plus intense et surtout plus globale de leur combat.

Les islamo-gauchistes isolés aux côtés des jihadistes. Ce 10 novembre, à la différence du reste de la classe politique et de la masse du peuple de France, les islamo-gauchistes se sont affichés seuls aux côtés des fanatiques musulmans avec lesquels ils ont crié « Allahu akbar » en place publique.  Après s’être joints à cette revendication religieuse et belliqueuse contre les non musulmans, le traître Mélenchon et ses affidés ne pourront définitivement plus se revendiquer ni de la République ni de la laïcité. Une clarification fondamentale vient de se produire : fanatiques musulmans et islamo-gauchistes d’un côté, tout le reste de la France de l’autre.

Nouvelle phase du conflit. Avec cette mise en scène du 10 novembre, les islamistes viennent d’ouvrir une nouvelle phase de la Guerre de France : celle de la massification du camp du jihad et de la séparation de la France en deux camps. En s’affichant ainsi publiquement et en renonçant ouvertement à la taqîya, ils ont fait état de leur force et de leurs certitudes. Nous pouvons donc nous attendre à de nouvelles manifestation belliqueuses, à de nouvelles tueries, à une nouvelle forme de guérilla, plus intense, plus globale. La manifestation du 10 novembre marque un tournant sans retour et l’ouverture de la « Guerre de France » à l’initiative du camp du jihad.

La France non musulmane doit s’y préparer. Elle doit immédiatement entrer en résistance.

Le concept de « Guerre de France » a été initié par le site du même nom.

Michel Onfray : « La gauche bigote » au « défilé en faveur de la religion musulmane »

Je savais que les vieux libertins faisaient les meilleurs bigots mais j’ignorais que j’en verrais, l’âge venu, une stupéfiante démonstration!

Car le défilé parisien du 10 novembre qui a été présenté comme luttant contre l’islamophobie était en fait un défilé en faveur de la religion musulmane. Pourquoi pas, mais alors, disons-le clairement.

Dès lors, il va falloir que la gauche nous explique  pourquoi ce qu’elle ne tolère pas d’un gramme quand il s’agit du christianisme qui s’effondre, elle en veut des tonnes quand il s’agit d’un islam qui monte en puissance! Cette gauche si prompte à traiter de fasciste ou de compagnon de route de l’extrême droite quiconque est resté fidèle à ses fondamentaux (j’en sais quelque chose…) défile aujourd’hui sous la rubrique du Allahou Akbar porté par mégaphone.

Dont acte.

Rendons hommage au Parti socialiste, ou du moins à ce qu’il en reste, pour avoir finalement compris que la place de ce parti n’était peut-être pas à célébrer l’eau bénite musulmane et l’encens islamique. Ils ont réfléchi, pesé le pour et le contre, il y aura peut-être eu quelque opportunisme à prendre cette décision, les municipales ne sont en effet pas très loin, mais au moins, ce parti l’a prise, il a sauvé l’honneur de la gauche: ce ne fut pas le cas, en revanche, du PCF, de La France insoumise, du NPA, de Génération.s ou  de Lutte ouvrière.

[…]

Parce que l’islam est minoritaire sur le territoire, la dhimmitude n’existe pas en France. Mais dans tous les pays musulmans, la dhimmitude, c’est à dire la discrimination effectuée sur la religion, permet de lever un impôt sur un être considéré comme inférieur et de le soumettre à des vexations, à des interdits, à des obligations. La dhimmitude contredit le principe d’Egalité. Le Coran, les hadiths du Prophète, la vie de Mahomet montrent qu’il n’existe pas non plus d’égalité entre un homme et une femme. Un verset dit explicitement: « Quant à vos enfants, Dieu vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles. » (IV.11) L’égalité n’est donc pas une valeur islamique.

On ne peut imaginer que la Fraternité soit non plus l’idéal professé par l’islam qui lui oppose l’Umma. Leur fraternité peut s’exercer, certes, mais seulement à l’endroit des autres musulmans, pas avec les gens du livres, les mécréants, les impies, les polythéistes, les athées pour lesquels le Coran prescrit très clairement la mise à mort. Car Dieu dit aux musulman, c’est le Coran qui parle: « Vous formez la meilleure Communauté suscitée pour les hommes: vous ordonnez ce qui est convenable, vous interdisez ce qui est blâmable, vous croyez en Dieu. (III.110) » La fraternité n’existe pas non plus avec les homosexuels puisque le texte sacré en fait une figure de « l’abomination » (VII.81). Même remarque avec les non musulmans: « Exterminez les incrédules jusqu’au dernier. (VIII.7) » « Tout juif qui vous tombe sous la main, tuez le »,  lit-on dans la Sîra (II.58-60 ) pendant que le Coran, lui, dit des juifs: « Que Dieu les anéantisse (IX.30)… » « Tuez les polythéistes partout où vous les trouverez (XVII.58) », est-il également enseigné.

[…]

Je comprends qu’un musulman qui n’aime pas la République puisse vivre selon ces prédictions: ce sont celles du Coran et le texte est dicté par Dieu lui-même à l’ange Gabriel. On ne saurait donc retirer ou ajouter quoique ce soit à un texte qui dit la volonté de Dieu lui-même -dont le haut parleur de la manifestation dominicale nous disait qu’il était la Vérité suprême.

« Voici le livre, il ne renferme aucun doute »,  lit-on dans le verset 2 de la Sourate II. Le Coran est donc un texte politique en même temps qu’un texte religieux. Il propose une théocratie, ce qui s’avère le contraire même de la démocratie pour laquelle il y eut la Révolution française. Trouver que la Charia est supérieure aux lois de la république n’est jamais que la logique du croyant de base. C’étaient, me semble-t-il, des croyants de base qui manifestaient en grande majorité.

On pourrait imaginer qu’une gauche qui aurait été républicaine, ou du moins qui le serait resté, ait moins eu envie de bénir cette foule que de l’inviter au débat, au dialogue, à la réflexion dans laquelle la sagesse de Montaigne et l’humour de Voltaire, la rigueur intellectuele d’Helvétius et la sagacité de Renan, d’anciens auteurs aimés par la gauche, aient été convoqués pour rendre la France désirable à ceux qui semblent ne pas l’aimer sous prétexte qu’ils ne seraient pas entretenus dans leur refus de la Liberté, de l’Egalité, de la Fraternité, du Féminisme et de la Laïcité! Parler au croyant de base autrement qu’en le flattant, en utilisant avec lui le langage de la raison occidentale, voilà ce qui jadis animait l’esprit des Lumières.

La manifestation s’avançait sous un slogan qui disait  « L’islamophobie tue »: le simple bon sens et le goût de la vérité la plus élémentaire invitent à demander combien  de personnes en France? Aucun musulman n’a perdu la vie sur le territoire français sous prétexte qu’il était musulman et qu’on l’aurait tué pour cette raison.

En revanche, « L’islam tue »: 317 personnes en France dans les dernières années. Si l’on veut que l’islam qui tue, minoritaire mais actif,  ne soit pas assimilé à l’islam qui ne tue pas, majoritaire mais trop souvent silencieux, il faut cesser de répandre de la poudre en prétextant que ce sont les autres qui la versent. Entretenir cet islam-là n’est pas la meilleure façon de travailler à un islam compatible avec la République.

Jadis la gauche effectuait ce travail critique parce qu’elle était animée par la Raison. Il semble qu’elle ait perdu la raison. Le pire est qu’elle s’en réjouit.

[…]

Texte intégral ici

Islamophobie. Céline Pina : «Le jour où des élus de la République ont défilé contre la République»

Pour Céline Pina, «la marche contre l’islamophobie» du 10 novembre représente une trahison des élus. Une gauche dévoyée s’est faite l’alliée objective des islamistes.

Paris, 10 novembre 2019, des élus de notre République défilent avec des communautaristes pour fustiger les lois de la République qu’ils désignent comme liberticides… […]

Ceux qui, toute honte bue, ont cautionné cette sinistre marche appartiennent à un seul camp: la gauche. Hormis le PS et le PRG, toute la gauche était là. Ils ont tous choisi de répondre à l’appel des islamistes […].

Certes de Staline à Mao en passant par Pol Pot, la gauche a été souvent la meilleure alliée des pires régimes pourvu qu’ils maquillent leur violence intrinsèque en révolte contre l’injustice. […]

Ce qui est vrai c’est que le rejet de l’islam monte en France, mais pour le coup il y a des raisons objectives: Plus de 260 personnes sont mortes dans ce pays et les 4 dernières victimes d’un islamiste ont été abattues au coeur de la préfecture de police de Paris. Or tout a été fait pour qu’elles n’impriment pas nos mémoires, leurs noms, leurs visages ont été vite effacées, comme s’il fallait très vite oublier, passer à autre chose. Le deuil collectif a été refusé puis piétiné: très vite, ce drame a été éclipsé par la victimisation sans tact ni mesure d’une proche des frères musulmans (ce que l’on a su après) qui est allée se promener au sein d’un conseil régional, avec ce que l’on peut porter en France légalement qui se rapproche le plus de l’uniforme des femmes de daesh. […]

Les élus responsables qui dénoncent ce qui se passent sont rares et appartiennent en général à la droite. Ce positionnement est intenable et nous met tous en danger car il est un des artisans de la peur qui monte et que les identitaires de tous poils, verts comme bruns, savent utiliser à leur profit. […] Cependant on a vu notre président être sans état d’âme s’agissant de faire rentrer dans le rang, des pompiers, des praticiens hospitaliers ou les gilets jaunes, on l’a vu tenir des discours enflammés sur le retour d’une peste brune qui peine à se concrétiser, on aimerait la même détermination quand il a en face d’authentiques fascistes qu’ils soient islamistes ou militants de la race.

Le Figaro

La France se disloque et ils regardent ailleurs…

Source Boulevard Voltaire

Emmanuel Macron est l’élu conjoncturel de L’Archipel français, celui d’un pays qui se disloque. Ses électeurs ont d’abord été la rencontre de deux blocs à la dérive, celui des socialistes d’où il venait et celui du centre mou. Ils se sont rencontrés dans la mer des Sargasses de la politique : cultivant leur survie, privilégiant apparemment l’économie, les affaires – et les leurs en particulier -, ignorant les questions identitaires, détestant l’extrémisme de droite, arborant un progressisme ouvert à toutes les minorités par souci d’être dans le vent, comme les feuilles mortes. Ils trouvaient leur champion, qui par ses discours allait cacher leur médiocrité, dire qu’il voulait que la France monte, quand il savaient tous qu’elle descendait pour y avoir mis la main. Si les familles politiques traditionnelles se sont éparpillées, c’est parce que la France se disloquait.

Les gilets jaunes à leur origine ont été un mouvement paradoxal : venus de province, périphériques appauvris, ils ont été la France profonde, son cœur venant protester contre son centre, un centre qui les a regardés du haut de ses balcons. C’était la France qui vivait mal contre celle qui vivait mieux, la France d’une industrie et d’une agriculture en perte de vitesse, et ce n’était pas une image, contre une France diplômée, tertiaire, plus soucieuse d’environnement que du coût des carburants. On les a accusés d’être des extrémistes de droite. Un prétendu expert a cru voir dans les bannières des provinces les fleurs de lys du royalisme. Des Black Blocs infiltrés ont justifié l’accusation d’extrémisme et une répression démesurée. Beaucoup de braves gens ont été découragés par les risques. Et c’est l’extrême gauche qui a de plus en plus coloré les cortèges de moins en moins fournis. Sans doute la déception sociale et le rejet d’un chef d’État tellement peu représentatif pourront-ils relancer le mouvement, mais on sait à l’avance qu’une troisième France lui sera étrangère, ni favorable, ni hostile, et plutôt satisfaite de voir la police réprimer durement des manifestants bien gaulois et manquer d’effectifs ou de temps pour contrôler les quartiers dits « sensibles », les trafics de drogue, le port interdit du voile intégral dans l’espace public ou le développement de l’islamisme au sein même des services régaliens de l’État.

L’embarras et l’impuissance du Président, du gouvernement, de la « majorité » dès qu’il est question de cette France-là sont effarants. Le pays est en train de fondre plus vite que la calotte glaciaire et ils regardent ailleurs : la calotte glaciaire, justement. L’auteur de L’Archipel français vient, chiffres en mains, confirmer le Grand Remplacement. Un nouveau-né sur cinq porte un prénom arabo-musulman : il suffit de se projeter dans l’avenir pour savoir que ces enfants seront des pères auxquels s’ajouteront de nouveaux immigrés et pour prévoir que la France changera d’identité. Dans le passé, en une génération, les immigrés européens abandonnaient le prénom étranger pour un des deux mille prénoms français, Marie, par exemple, passée de 20 % des petites filles, en 1900, à 0,3 %, aujourd’hui. Désormais, le maintien d’un prénom issu d’une autre culture, comme le choix de ceux qui viennent des feuilletons américains, font disparaître un des moyens les plus sûrs de transmettre ou de fonder une identité nationale en tirant le prénom des saints du calendrier qui encadre le temps en France. En Seine-Saint-Denis, là où se situe la basilique de nos rois, et avec ce nom si chargé d’histoire, ce sont 43 % des petits garçons qui reçoivent un prénom musulman. La messe n’est-elle pas dite ? On ne peut contester les chiffres de Jérôme Fourquet, mais si on tolère la placidité froide de son constat, on est atterré par l’irréalité de sa solution. Selon lui, il est encore possible non plus d’être une nation, mais seulement de « faire » nation, en trouvant dans la lutte contre le réchauffement climatique le « ciment » d’un vivre ensemble et d’une pensée commune. Cette idée saugrenue ressemble étrangement à l’obsession présidentielle. Elle est bonne pour les cabinets, séduira peut-être les enfants des grandes villes, ceux d’en haut, mais laissera indifférents ceux de la périphérie comme ceux des banlieues.

Migrants évacués de Paris : Melun devant le fait accompli…

Source Boulevard Voltaire

Louis Vogel, le maire de Melun, membre d’Agir, la droite constructive, est furax : il a découvert que 102 migrants, parmi les 1.611 personnes évacuées, jeudi matin, des campements de la porte de la Chapelle et de Saint-Denis, ont été accueillis dans un bâtiment de l’ancien hôpital de sa ville. Sans qu’on ne lui demande son avis ! Sur réquisition de la préfecture de police de Paris, ils ont été pris en charge par la Croix-Rouge.

Voilà donc la mairie de Paris délivrée de deux camps insalubres. Que Mme Hidago ne s’inquiète pas : dans une conférence de presse improvisée, le préfet de police a assuré qu’ils ne reviendraient pas. Le Parisien rapporte ses propos : « Jusque-là, on avait des opérations de mise à l’abri de 200, 300 personnes, mais on ne vidait jamais les campements et ils revenaient. Avec cette opération, on a un objectif de zéro retour. » Qu’on se le dise !

Vous avez compris : on refile à d’autres le « dossier », la patate chaude, même si cette expression est dévalorisante pour des migrants clandestins dont le seul tort est de profiter du laxisme de l’État et de la perméabilité des frontières européennes. Ils sont donc répartis dans une quinzaine de bâtiments d’Île-de-France, en attendant que leur situation soit étudiée. Certains d’entre eux obtiendront le droit d’asile ou une carte de séjour provisoire. Et les autres ? On sait qu’il y a très peu de reconduites à la frontière.

On comprend la colère du maire de Melun. Cet ancien encarté aux Républicains doit peut-être regretter d’avoir rejoint un parti trop accommodant avec la politique macronienne. « Il est inadmissible que la municipalité n’ait été prévenue par aucun canal officiel et qu’elle se retrouve en première ligne pour gérer les errements de la politique de la ville de Paris en matière d’accueil de migrants », a-t-il déclaré, selon Le Parisien, estimant que « Melun a fait sa part, plus que sa part ». Mais le gouvernement n’a cure de ses plaintes. Il pense avoir réussi son opération de communication en débarrassant Paris d’une partie de ses migrants, fût-ce au détriment d’autres communes.

Il est évident qu’au-delà de leurs arrière-pensées électorales, à l’approche des municipales – n’oublions pas que Benjamin Griveaux est leur candidat à Paris –, puis des présidentielles, MacronÉdouard Philippe, Christophe Castaner et consorts se sont emparés du thème de l’immigration pour faire croire à l’opinion publique qu’ils agissent, alors qu’ils ne déploient que des faux-semblants. Le préfet d’Île-de-France a beau avoir annoncé que « ceux qui n’ont pas le droit au séjour » seront priés de quitter les lieux d’hébergement, on sait ce qu’il en est : 90 % de ces réfugiés clandestins disparaîtront dans la nature.

La mairie de Paris, hypocrite, se félicite de cette opération de « mise à l’abri » – ce n’est pas la première fois qu’Anne Hidalgo pense à ses électeurs avant de penser à ses voisins – mais réclame une politique d’accueil forte, avec la mise en place de centres humanitaires le long des routes migratoires. Pas question de préconiser des mesures pour limiter l’afflux des migrants. Quant au gouvernement, par l’intermédiaire du préfet de police, il affirme avec aplomb que les camps évacués ne se reformeront pas.

Ironie de l’histoire, Le Parisien note qu’à Melun, dès le début de l’après-midi, certains émigrés cherchaient déjà la gare de bus pour rejoindre Paris. Si l’on veut maîtriser les flux migratoires, c’est le gouvernement qu’il convient d’évacuer dans les plus brefs délais !

Islamophobie : une armée d’occupation et de collabos, dans les rues de Paris

Publié le 10 novembre 2019 – par Cyrano (Riposte Laïque)

Nous ignorons si la décision d’Eric Zemmour, nous demandant de renoncer, ce dimanche, au rassemblement de soutien que nous avions organisé, était judicieuse ou pas. Etait-il mieux de laisser cette manifestation de la honte se dérouler, sans rien d’autre, ou aurait-il fallu essayer de sauver l’honneur devant CNews ? Nul ne le sait. Nous avons publié un numéro spécial, ce jour, reprenant ce qu’auraient été les onze interventions que nous avions prévues.

https://ripostelaique.com/numero-special-ce-que-nous-aurions-dit-devant-les-locaux-de-cnews.html

Pendant ce temps-là, dans les rues de Paris, depuis la Gare du Nord, jusqu’à Nation, 13.500 manifestants, selon les chiffres des autorités.

Comment résumer l’imposture en quelques mots ? Les plus radicaux des soldats d’Allah (on compte ce jour 11 millions de musulmans en France, selon le président du CFCM), ont tué, selon les chiffres officiels, depuis 2015, 263 innocents, majoritairement français, aux cris de « Allah akbar », au nom de leur religion. Ce chiffre est largement minoré, si on compte le nombre d’agressions, de viols et de crimes commis quotidiennement par des islamo-racailles. Or, il ne s’est rien passé. Aucun musulman n’a subi de représailles, ce qui est par ailleurs une situation étonnante et exceptionnelle. Au contraire, nous avons eu droit à « Je suis Charlie », où on a, dans une manipulation d’Etat, assisté au déni de la religion des assassins, et à la stigmatisation de l’islamophobie et de la haine d’une prétendue extrême droite. Cela a été la grand vogue des fleurs, des bougies et des chansons, sans oublier le célèbre ‘Vous n’aurez pas ma haine », d’Antoine Leiris.

Il a suffi qu’un élu RN interpelle, judicieusement, une présidente socialiste de Région Bourgogne sur le voile d’une accompagnatrice scolaire, qu’Eric Zemmour fasse un discours remarquable à la convention de la droite, qu’il utilise les mots qu’il faut pour parler de l’immigration et de l’islam, qu’il ait une émission quatre jours par semaine à CNews, et qu’un vieil homme blesse deux musulmans, devant une mosquée, pour que nous ayons droit à une incroyable inversion accusatoire, et que les adeptes de la religion des égorgeurs se victimisent, avec la complicité des collabos de gauche, des féministes d’extrême gauche, des LGBT et d’universitaires islamo-gauchistes.

Peu importe le nombre de manifestants. Peu importe si, sur les 13.500 annoncés, il y avait 5.000 ou 10.000 musulmans, que cette manifestation ait pu avoir lieu est un véritable scandale. On pense à ce qu’a dû ressentir un homme comme Patrick Jardin, et l’ensemble des familles qui ont perdu un proche à cause des tueurs musulmans, devant autant d’indécence.

Cette manifestation ressemblait à une démonstration de force d’une armée d’occupation, soutenue par les miliciens de gauche. Nous y avons entendu Marwan Muhammad et Taha Bouhafs, initiateurs du honteux appel des Cinquante contre l’islamophobie, relayé complaisamment par le collabo Joffrin, de Libération, scander « Allah akbar », le cri des musulmans quand ils égorgent des infidèles. Et ils osaient dire que c’était un mot d’ordre de paix. Nous avons entendu aussi « Zemmour à la mer », et des slogans hostiles contre la formidable Zineb, Laurent Bouvet ou Elisabeth Levy.

Nantes. Face au trafic de drogue, la ville perd le contrôle

En 2019, les fusillades ont fait trois morts. Et vingt-huit blessés. En six mois, Nantes a vu une soixantaine de ces règlements de compte sur fond de trafic de drogues, plus qu’en 2018, année record. Juste derrière Marseille, ou au même niveau. « Sauf que là-bas, c’est stabilisé. Ici, ce n’est pas sous contrôle. Et on redoute les matchs retour, s’alarme un policier. On est au bord du gouffre. On manque de monde à tous les étages. C’est le bordel depuis quatre ou cinq ans et qui réagit ? »

Les vrais chiffres de l’immigration par le prisme de la cartographie

Dommage qu’il n’y ait pas un chapitre sur les clandestins dans cette vidéo. On ne parle que des chiffres officiels. Ce serait intéressant de connaitre le nombre des personnes qui entrent sur le territoire avec un visa étudiant ou touristique et qui ne repartent jamais…et comme on n’expulse quasi personne… Il y a aussi les double-nationaux (en particuliers les algériens), sont-il comptabilisés comme français ?

En résumé Bonne vidéo mais on ne traite pas complètement le sujet qui fait débat : les clandestins !

« A chaque campagne électorale, le sujet de l’immigration est abordé. C’est un thème clivant et qui intéresse les Français. Il est de ce fait rarement traité avec pragmatisme et objectivité. C’est ce que j’essaye de faire ici en donnant des chiffres factuels. Vous ne trouverez pas réellement d’analyse dans cette vidéo, mais quelques éléments nécessaires pour vous forger votre propre avis sur la question. Immigration passée, actuelle, vie des immigrés, titres de séjour, droits d’asile, … Toutes ces questions sont abordées.« 

La haine anti-flics : l’escalade ?

Source TV Liberté.

La haine des policiers : l’escalade ?

Les forces de l’ordre font face à une multiplication des guets-apens, des actes de rébellion, de jets de projectiles et de tirs de mortiers. En moins d’un an, les violences dirigées contre les forces de sécurité ont augmenté de près de 15 %. Un « tout le monde déteste la police » qui trouve un écho jusqu’au sein des vrais Gilets Jaunes parfois victimes de violences ou d’erreurs policières. La haine des policiers : l’escalade ?

Le populisme en Europe : la stagnation ?

La défiance des populations envers les « partis de gouvernement » au profit de mouvements d’un type nouveau, qu’on appelle « populistes », est sans nul doute le fait le plus marquant depuis au moins deux décennies. Pour le philosophe Alain de Benoist, nous vivons le moment populiste ! Cependant, Matteo Salvini n’est plus au pouvoir, Boris Johnson piétine, l’Autrichien Heinz-Christian Strache a été sèchement remercié. Le populisme en Europe : panne et stagnation ?

Papacito est un blogueur, vidéaste, acteur et scénariste de bande dessinée.

Auteur et fondateur du blog FDP, il est connu pour ses prises de position carabinées.

Publié chez Ring, Il n’hésite pas à se mettre en scène dans les clips de son éditeur et sur les couvertures de ses livres.

Dans « Le crépuscule des titans »,  en bon royaliste, il prend la défense du moyen âge et nous invite à libérer les héros de leurs tombeaux.

Les bandes déssinées  « FDP » qu’il signe avec Marsault ont des tirages à faire pâlir les grandes maisons d’édition.

Il cartonne sur YouTube avec des vidéos frôlant le million de vues. Il bouleverse les tabous de notre société édulcorée.

Il choque, horrifie ou terrifie certains. Provocateur barbare pour les uns ou chevalier wisigoth pour les autres ; ce qui est certain,  c’est qu’il est un grand maître de la communication numérique.