Un jour comme un autre dans le métro parisien……et près cela on dira que Paris est magique……
Lien video : http://rutube.free.fr/grand_black_menace_avec_son_couteau.mp4
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Source Boulevard Voltaire
Lundi 25 novembre. 13 militaires français de l’opération Barkhane trouvent la mort au cours d’une mission aux confins du Mali.
Dès le lendemain, une figure emblématique de la communauté malienne de Paris – jeune universitaire très actif dans une ONG de la diversité – interpelle vigoureusement ses concitoyens. En quelques jours, une conscience commune s’est émue, un élan s’est formé et des centaines, puis des milliers de jeunes hommes, âgés de 18 à 35 ans, se sont présentés, soit spontanément, soit poussés par leur famille, à des centres de recensement installés à la va-vite dans le quartier de La Chapelle, répondant au mot d’ordre « Malien de France, avec Barkhane et tes frères, viens combattre pour ta patrie ! » Une noria aérienne est organisée vers Bamako, où ces volontaires sont équipés, formés puis intégrés dans les unités du G5 Sahel…
Fin de la fiction. Voilà ce qui serait juste, normal et digne.
Or, comment ne pas être révolté devant ce scandaleux paradoxe : de jeunes Français combattent et meurent pour le Mali – État failli incapable de restaurer la paix dans ses frontières – tandis que des milliers de jeunes Maliens en âge de combattre errent dans nos banlieues, en mal de reconnaissance, d’identité et d’avenir.
Aurions-nous imaginé, en 1914, qu’une diaspora française, jeune et nombreuse, reste oisive au-delà des mers tandis que le pays était en guerre ?
L’auteur de ces lignes, dont l’un des fils, officier, rentre à peine d’une mission au sein de Barkhane, ne trouve pas tolérable que nous entretenions chez nous une population étrangère dont le pays en guerre est défendu par nos propres soldats.
Personnalité associée du Conseil économique, social et environnemental (Cese, section du travail et de l’emploi), Ibrahima Diawadoh N’Jim plaide pour une refondation de l’islam de France : Depuis trente ans, les politiques et les médias parlent d’une communauté musulmane comprise entre 5 et 6 millions de personnes, occultant les vrais chiffres dans une volonté délibérée de la sous-estimer. Elle est, en fait, de l’ordre de 8 à 10 millions, soit plus de 10 % des Français. Et elle sera encore plus nombreuse en 2050. Pour s’en rendre compte, il n’y a qu’à compulser le registre des naissances dans les mairies. […]
Publié le 24 novembre 2019 – par Franck Buhler (RL)
La semaine dernière, Nicolas Dupont-Aignan et Benjamin Cauchy, ancienne figure patriote des Gilets jaunes du 17 novembre 2018, se sont rendus dans un quartier de la ville de Vigneux (91) dans le cadre des élections municipales. Benjamin Cauchy, qui a eu l’intelligence de comprendre que le mouvement des Gilets jaunes était désormais une officine de la CGT et de la France insoumise, a en effet décidé de continuer son combat dans le cadre de la politique et il se présente ainsi aux élections municipales dans cette commune.
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Suède – « Je crois qu’ils ont tiré sur quelqu’un juste en face de mon balcon », m’a dit mon ami.
Le coup de feu a retenti alors même que nous envoyions un SMS au sujet d’un autre récent acte de violence ici, dans la ville suédoise de Malmö, une voiture piégée qui a explosé dans un quartier résidentiel près de chez moi.
Les actes de violence sont si fréquents à Malmö que la nouvelle de l’un est effacée par la nouvelle d’un autre. Cette année, il y a déjà eu 29 attaques à la bombe dans une ville de seulement 320.000 habitants. Dans l’ensemble, la Suède est en bonne voie d’atteindre un rythme annuel de 150 explosions, soit environ trois par semaine. Il s’agit d’attaques perpétrées par des bandes criminelles qui ciblent habituellement d’autres criminels. Mais les victimes sont parfois des innocents. Dans un cas récent, par exemple, une étudiante a été grièvement blessée au visage lorsqu’elle est passée devant un magasin qui a explosé à Lund, à dix minutes en voiture de Malmö. Les attaques les plus spectaculaires ont laissé des villes entières comme Malmö craintives et traumatisées, comme l’a expliqué une grand-mère dans un récent article sur Facebook à propos d’un attentat à la bombe qui a fait sauter les fenêtres d’un immeuble résidentiel où dormaient ses petits-enfants – « ….deux enfants suédois très effrayés, dont la vie s’est écroulée ».
Le même jour, Fredrico Moreno, journaliste basé à Malmö, a comparé l’épidémie d’attentats à la bombe de sa ville à une vague de terreur : « Les bombes qui nous réveillent la nuit, qui explosent pour que les fenêtres en verre volent dans les chambres à coucher, ont pris en otage des milliers d’habitants de Malmö… Mes amis me disent en passant comment ils ont rénové ou changé leur maison pour que les enfants ne soient pas blessés s’il y a une explosion à proximité. »
Comme l’a dit la semaine dernière le chef de la police nationale suédoise, il n’y a « pas d’équivalent » à cette série d’attaques à la bombe dans aucun autre pays occidental. Et la violence s’étend au-delà des bombardements. Samedi, des hommes armés ont tué un garçon de 15 ans et en ont grièvement blessé un autre dans une pizzeria, quelques minutes après une nouvelle explosion à Malmö. Des témoins ont rapporté le bruit d’un « chargeur entier en train d’être vidé. »
(…) Pendant des années, les médias et l’establishment politique suédois ont fait de leur mieux pour minimiser ce phénomène, rejetant des préoccupations telles que la mienne comme des réactions alarmistes excessives. Malmö a été salué comme un succès multiculturel, malgré les preuves croissantes du contraire. « C’est une situation grave, mais la plupart des gens ne devraient pas s’inquiéter, car ils ne seront pas touchés « , a assuré le chef du renseignement du Département des opérations nationales de la Suède plus tôt cette semaine. On nous fait également comprendre que les auteurs de ces actes sont, comme l’a dit un fonctionnaire de police, « issus de groupes socio-économiquement faibles, de zones socio-économiquement faibles, et beaucoup sont peut-être des immigrés de deuxième ou de troisième génération ». (…)
Mais si un gouvernement ne protège pas sa population, alors les gens ordinaires trouveront un moyen de régler le problème eux-mêmes – parfois en partant tout simplement. En effet, les municipalités suédoises sous-peuplées dont le taux de criminalité est faible accueillent activement des familles aisées de Malmö et provenant d’autres zones dangereuses.
(Polémia)
« L’immigration est une chance pour la France ! »
Telle est depuis une trentaine d’années la devise, si non de la République, du moins d’une classe politique qui a tout renié, jusqu’à laisser mourir l’identité du peuple du Français.
Regroupement familial, effacement des frontières, discrimination positive à l’embauche, assistanat social, droit d’asile, faux mineurs mais vrais clandestins majeurs… vous avez créée toutes les conditions d’une véritable submersion migratoire.
Alors, l’immigration est une chance mais pour qui ?
Assurément pas pour le peuple français. Pour une caste politique elle a permis de sauver quelques élections grâce à ces nouveaux Français. Pour d’autres, elle a permis de recevoir des subventions publiques et d’affréter des bateaux pour ramener des Africains des côtés libyennes jusqu’à l’Europe.
Les chiffres sont éloquents, en 2016 seuls 7 % des étrangers qui se sont installés chez nous étaient munis d’un contrat de travail !
L’immigration n’est plus et depuis longtemps une immigration de travail mais une immigration de peuplement pour assistés sociaux !
Pour nos compatriotes la facture identitaire et sécuritaire est exorbitante.
Je vous le dit solennellement mes chers collègues, je ne crois pas à la théorie du grand remplacement… en revanche, je suis convaincu de sa RÉALITÉ !
Je n’évoquerai pas moi « le bruit et les odeurs » si chers à Jacques Chirac, mais ces zones qui se comptent par centaines à travers le pays qui sont devenues des enclaves étrangères, des zones de non-France où la haine de tout ce qui est Français se répand comme une traînée de poudre.
Nos lois, notre culture, notre identité, notre savoir vivre, notre savoir être, nos libertés, celles des femmes en particulier et comme les libertés sexuelles et religieuses sont rejetées, combattues pour être elles aussi, remplacées.
Le « Vivre ensemble » s’écroule sous le poids de la réalité d’une immigration chaque jour plus arrogante, violente et conquérante.
Seuls ceux qui en ont les moyens en échappent. Et parmi ceux là, vous tous ou presque. Si la classe politique est pour le « vivre ensemble » elle ne s’inflige pas le « vivre avec »
L’immigration c’est comme les éoliennes, ceux qui en défendent l’installation refusent d’en voir à côté de chez eux.
Votre politique d’immigration mes chers collègues, a aussi le coût du sang. Du Bataclan à Nice, de Laura et Mauranne à Thimothy ou à Théo, c’est NOTRE jeunesse que votre politique assassine.
Sur le plan social, la politique d’immigration relève de la provocation.
Alors que chaque jour, de nouveaux sacrifices sont exigés des Français, l’immigration continue d’être un gouffre financier. Le coût de l’AME, qui bénéficie aux seuls clandestins est passé de 400 millions il y a 15 ans à 1 milliard aujourd’hui.
Les Français ne s’y trompent plus ou plutôt, vous n’arrivez plus à les tromper. Ils sont majoritaires à refuser ce suicide national.
Les Français en ont marre, les Français en ont assez !
Quarante ans qu’ils se poussent, qu’ils consentent des sacrifices, qu’ils accueillent « l’autre » et qu’ont-ils obtenus en retour ?
Le développement d’un insupportable racisme anti-français, anti-blanc et anti chrétiens !
Nos compatriotes refusent la submersion et de devenir des étrangers dans leur propre pays ? Alors vous menacez, vous censurez et vous traînez devant les tribunaux ces résistants qui refusent de collaborer.
Comment pouvez-vous avoir les yeux aussi grands fermés devant ce phénomène unique dans l’histoire de l’humanité et des nations : celui de l’explosion démographique mondiale !
Loin d’en prendre conscience, et fidèle à son « en même temps ». Emmanuel Macron parcours l’Europe pour sanctionner les pays qui refusent les quotas de migrants et il s’apprête à faire de Marseille un port d’accueil pour les clandestins de la Méditerranée.
Marseille qui subit déjà une situation migratoire, sociale et sécuritaire explosive ! Une provocation que je continuerai à dénoncer, même si cela doit me coûter, comme c’est le cas depuis quelques heures une mise en examen.
Car dans ce beau pays de France, un Parlementaire qui dénonce un trafic d’êtres humains se retrouve devant les tribunaux !
Face à ce danger mortel qui menace notre Nation et l’Europe de Charlemagne, de Charles Martel et de Charles Quint, personne ne nous fera taire mais nous attendons bien plus que ce faux débat !
Les seules questions qui devraient vous animer sont celles là :
Avons nous, nous Français le droit de vivre en France selon nos traditions et notre identité ? Avons nous le droit de rester ce que nous sommes et de transmettre à nos enfants ce que nous avons reçu de nos parents ?
Nous connaissons la réponse et le sursaut national ne peut donc venir d’aucun d’entre vous.
Aussi, pour toutes les victimes de votre folle politique d’immigration, pour les victimes sociales, économiques, identitaires, pour toutes ces familles dont la vie a été détruite lorsqu’un proche est tombé sous les coups de l’immigration sauvage, je vous demande mes chers collègues, de gauche comme de droite car vous êtes TOUS responsables de ce désastre… je vous demande de vous EXCUSER !
Excusez-vous pour avoir menti, excusez-vous pour avoir trahi, excusez-vous d’avoir détruit le plus beau pays du monde !
Excusez-vous, en instaurant la préférence nationale dans tous les domaines, en rétablissant les frontières, en mettant en place des quotas non pas d’immigration, mais des quotas d’expulsion !
Excusez-vous en inversant le courant de l’immigration : ceux qui ont fait le voyage illégalement dans un sens, peuvent le faire légalement dans l’autre sens !
Si vous refusez, si vous ne renoncez pas à votre idéologie mortifère… bien avant la postérité, c’est la France qui vous maudira !
Publié le 22 novembre 2019 – par Manuel Gomez (RL)
Peut-être que dans ce cas-là, mais uniquement dans ce cas-là, c’est-à-dire le retour des djihadistes ayant combattu dans les rangs de l’ennemi de notre pays, Daesch (l’État Islamique), et que l’on nous oblige à accepter, malgré notre volonté, alors qu’ils auraient dû être jugés, incarcérés et même exécutés dans les pays où ils ont assassiné et massacré, l’Irak, la Syrie, la Libye, un François Mitterrand serait indispensable à la tête de la France.
Oui, un François Mitterrand qui s’était montré inflexible, intransigeant, lors de la guerre d’Algérie, alors que garde des Sceaux, après avoir été ministre de l’Intérieur du gouvernement Mendès-France, il n’avait pas hésité une seule seconde à condamner à la guillotine 45 assassins, membres du FLN, également ennemis de la France, à cette époque (entre le 19 juin 1956 et le 21 mai 1957, chute du gouvernement Guy Mollet).
Mitterrand estimait que leurs crimes étaient suffisamment ignobles pour que leurs exécutions ne suscitent aucun remous dans l’opinion française.
Il avait voulu faire un exemple, même en donnant l’ordre de guillotiner un « Français », Fernand Iveton, le 11 février 1957, membre du Parti communiste et de la CGT.
Sur ces 45 assassins destinés à la guillotine, 39 ont eu la tête tranchée.
Il s’agissait d’une décision prise lors du Conseil des ministres du 15 février 1956, sous les ordres de Guy Mollet, alors président de ce Conseil : « Il s’agissait d’adopter des mesures exceptionnelles en vue de rétablir l’ordre, la sécurité des personnes et des biens et la sauvegarde du territoire. »
François Mitterrand était même l’un des plus ardents partisans de ces mesures radicales : « Pris en flagrant délit de participation à une action contre les personnes ou les biens, quand elles sont commises par des auteurs porteurs d’armes, d’explosifs, de munitions, de matériel de destruction ou d’effets d’équipement ou d’habillement militaire, ils pourront, sans instruction préalable, être traduits devant un tribunal, y compris si les faits qui leur sont reprochés sont susceptibles d’entraîner la peine capitale. »
Ces décrets seront publiés au « Journal Officiel » le 17 mars 1956 et signés par François Mitterrand, Maurice Bourgès-Maunoury, ministre de la Défense, et Robert Lacoste, ministre résident en Algérie, tous des socialistes !
L’ordre, la sécurité des personnes et des biens et la sauvegarde du territoire, n’est-ce pas ce qui nous menace aujourd’hui avec ce retour en France des djihadistes de Daech ?
Pour Mitterrand « L’Algérie c’était la France, et la France ne devait pas reconnaître chez elle d’autre autorité que la sienne. »
C’est bien entendu sous François Mitterrand que l’abolition de la peine de mort fut votée en 1981.
En était-il partisan ? On peut en douter quand il fait nommer son ex-directeur de cabinet et homme de confiance, Pierre Nicolaÿ, qui supervisa les dossiers choisis pour ces exécutions, à la vice-présidence du Conseil d’État (décret signé par Badinter) et, en 1987, l’éleva à la dignité de grand officier dans l’ordre de la Légion d’honneur.
Les temps ont bien changé depuis et qui, à votre avis, pourrait s’adresser à la France dans de tels termes : « L’ordre doit être maintenu certes, mais non pas seulement. Il faut affirmer la force française et marquer notre volonté. Il ne s’agit pas seulement de réprimer, de passer à la contre-offensive afin de reconquérir un territoire qui n’est pas encore perdu. Il s’agit d’affirmer, à l’intention des populations qui pourraient s’inquiéter, qu’à tout moment, à chaque instant, elles seront défendues. »
Ne vous méprenez pas, je ne suis pas devenu subitement socialiste, d’ailleurs ce parti a disparu de la scène politique, mais il est vrai que l’on peut, quelquefois et dans certains cas, regretter certains Présidents qui avaient une autre idée de la France !
VIDEO CI-DESSOUS:
https://www.france.tv/france-3/pieces-a-conviction/1104537-loin-des-villes-generation-oubliee.html
A 19 ans, coincée dans sa petite ville de l’Aube, Tiphaine n’a jamais vu la mer. Dylan, 18 ans, n’a jamais pris le car tout seul. Pendant 6 mois, «Pièces à conviction» est parti à la rencontre de certains de ces 60 % de jeunes qui vivent loin des grandes villes : pas de trains, pas d’accès à internet, des services publics fantômes, des formations peu qualifiantes ou inaccessibles et des emplois précaires. Dans leurs petites villes ou villages, beaucoup ont la sensation d’être piégés et de ne pas bénéficier des mêmes chances que les jeunes des métropoles. Romane, Juliette, Emilie, Maylis, Quentin et Clémence, ont un point commun : ils se battent contre le déterminisme territorial.
Le présentateur Yann Barthès a diffusé sur les réseaux sociaux le contenu intégral de notre nouveau dossier consacré à l’émission de TMC.
Visiblement, Valeurs actuelles a touché là où ça fait mal. Alors même que notre nouveau numéro, intitulé « La tyrannie des bien-pensants », consacré à l’émission Quotidien et illustré en couverture par une photo de son présentateur Yann Barthès n’était pas encore révélé, l’intéressé a décidé d’en pirater la parution en diffusant son contenu intégral sur les réseaux sociaux, ce mercredi, soit la veille de sa publication.
https://twitter.com/Baudouin_wissel/status/1197166311698259968/photo/1
Très bon débat proposé par CNEWS, enfin de vrais échanges de fond…il était temps ! Encore une fois on ne pourra pas dire que l’on ne savait pas où va l’Euro.