Le « Parisien », je le confirme puisqu’il se nomme Bamba E., a été appréhendé mercredi à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Il s’agit de cette racaille qui a tué d’un coup de pistolet le serveur de restaurant, à Saint-Denis, dans le 93, qui n’avait pas été assez rapide pour lui préparer son sandwich, cinq jours plus tôt, le vendredi 16 dans la soirée.
Cela s’est passé en France, près de chez vous, pays où les armes à feu sont interdites à la vente. Mais interdite à la vente pour qui ? Par pour les voyous, les dealers, les délinquants, les islamistes, mais uniquement pour les citoyens honnêtes afin qu’ils n’aient pas le droit de se protéger, de protéger leur vie, celle de leur famille ou leurs biens, où encore de protéger la victime d’une agression, d’un viol.
La cavale de ce « Parisien » n’aura duré que cinq jours mais, dorénavant, et après sa condamnation, ses sandwichs lui seront servis à heure fixe, payés par nous, là où il résidera pour quelques années !
*À Saint-Laurent-d’Aigouze (30), un jeune homme du village a été violemment agressé par une dizaine d’individus, au cours de la soirée du mardi 20 au mercredi 21 août, alors que se déroulait la fête traditionnelle.
Frappé et roué de coups, son état a nécessité une prise en charge par le CHU de Nîmes.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.
*À Grenoble, une des villes vedettes de cette rubrique, avec Marseille, Toulouse, Nantes, Rennes, Montpellier, les départements du Nord et sans omettre la périphérie parisienne, son 93 et son Val-de- Marne, est encore à la « Une » de l’actualité des faits divers quotidiens.
Un homme âgé de 40 ans rejoignait son domicile, en compagnie d’un ami, à la fin d’une soirée, lorsqu’il a été violemment agressé à coups de couteau et se trouve actuellement dans un état désespéré.
*Le gérant du « Café de la Place », en plein centre-ville de Saint-Denis, dans le 93, lui n’est pas dans un état désespéré, il est mort tout simplement.
Il était minuit trente, dans la nuit de mardi à mercredi, lorsque deux individus, en état d’ivresse avancée, pénètrent dans son établissement.
Il refuse de les servir, comme la loi l’y oblige et les raccompagne jusque sur le trottoir.
C’est là que l’un des deux individus lui assène un violent coup de poing.
Le gérant, âgé de 66 ans, tombe sur le sol, se relève et va s’effondrer à l’intérieur du café.
Sa mort a été constatée une demi-heure plus tard.
L’auteur du coup meurtrier a été appréhendé mercredi en début d’après-midi mais hospitalisé. Sa garde à vue a été reportée.
Rappelons que dans ce même département français, le 93, un serveur avait été abattu d’un tir de pistolet quelques jours plus tôt et appréhendé, comme nous le signalons en début d’article.
*À Nantes (Loire-Atlantique), condamné à huit mois de prison ferme pour avoir blessé au visage, à l’aide d’un objet métallique, un commissaire de police dans l’exercice de ses fonctions, lors d’une manifestation, il ressort libre du tribunal, sa peine étant aménageable.
Il s’agit, paraît-il, d’un « Nazairéen » âgé de 44 ans, SDF, qui, justement, manifestait le 3 août dernier lors d’un rassemblement « contre les violences policières ».
Identifié grâce aux images de vidéosurveillance, il est également interdit de manifestation durant les trois prochaines années, à Nantes.
*Avignon (Vaucluse) – une conductrice, qui rentrait chez elle après avoir terminé sa garde de nuit, a été violemment agressée par le conducteur d’une BMW à qui elle avait fait des appels de phare parce qu’il zigzaguait.
Cela s’est passé samedi dernier, route de Montfavet.
Le conducteur de la BM, Zine-Eddine Rouabhia, âgé de 23 ans et déjà bien connu des services de police pour une douzaine d’infractions pour trafic de stupéfiants, conduite sans permis et alcoolisé, comportement violent envers les forces de l’ordre, etc. a expliqué au magistrat qu’il sortait de discothèque, qu’il avait bu de la vodka et fumé du cannabis toute la soirée. Selon lui il s’agissait sans doute de circonstances atténuantes.
Il est sorti de son véhicule, a ouvert la portière de la victime, la traitant de « sale pute ! », avant de la frapper et de lui lancer : « Je vais te violer, je vais te pisser dessus ».
Un automobiliste, qui s’est porté au secours de cette jeune femme qui rentrait à son domicile pour rejoindre ses enfants, après son travail de nuit et qui était complètement traumatisée, a également été frappé devant sa femme enceinte, qui était restée dans la voiture, fort heureusement.
Cette racaille a été condamnée à trente mois de prison ferme et son permis, qui lui avait été rendu trois mois plus tôt, annulé.
Il devra indemniser sa victime par une amende de 2 000 euros, mais qu’elle ne compte pas trop dessus !
Durant ces trente mois, à part sa BMW, il bénéficiera d’un confort total, bien plus « chouchouté » que nombre de nos « anciens » dans des Ehpad hors de prix, condamnés à perpétuité, jusqu’à ce que mort s’ensuive !
Romain Goupil, dont le vrai nom est Romain-Pierre Charpentier, ne sait plus du tout où il en est.
C’est triste quand même, quand on est un copain de Dany le Rouge, celui qui aime bien quand un petit garçon lui défait sa braguette, et de Béhachelle, l’homme que les Guignols de l’info avaient à juste titre baptisé « BHL charia express ». Mais, dira-t-on, avec de tels amis on n’a pas besoin d’ennemis et on se tire tout seul une balle dans le pied.
Triste d’être tout le temps montré sur tous les plateaux télé, ce sont les articles de foire qu’on montre en général, et de ne pas savoir quelle est sa terre, quel est son peuple !… Pourtant avec un nom comme Charpentier il est sûrement « de souche » …
Mais voilà : sur LCI Romain Goupil interpelle Collard : « c’est quoi ta terre, c’est quoi ton peuple » ?…
Pauvre Romain Goupil qui ne sait pas où est sa terre ni ou est son peuple. Un déraciné, un orphelin. On va bientôt sortir les mouchoirs. Et ce n’est pas Dany ou Béhachelle qui vont lui servir de famille… est-ce qu’ils ont une gueule de famille ?… (Pour paraphraser Arletty dans « est-ce que j’ai une gueule d’atmospshère »).
Pas de terre, pas de peuple, vraiment ? On va vous aider un peu, Romain Goupil.
La terre ?… La France est une terre bénie des dieux où tout pousse, aussi bien les tomates que tout le reste. Même si, calibrées par Bruxelles, elles n’ont parfois plus le goût de tomates. D’ailleurs Romain Goupil mériterait qu’on lui en envoie quelques-unes, de tomates déjà pourries, à la figure.
Et la vigne, cette noble plante qui est sur le sol français depuis au moins deux mille ans, et sans laquelle la France ne serait plus vraiment la France. Est-ce que Romain Goupil ne boit jamais de vin ?…
Le peuple ? Mais c’est le peuple gaulois, bien évidemment. Amateur de bon vin et de… bonne gauloiserie. Le Gaulois, contrairement à ce que des gens de l’acabit de Romain Goupil essaient de nous faire croire (sans y arriver) était un être raffiné, civilisé, qui a su résister et dont nous pouvons être fiers de descendre.
Ou alors Romain Goupil ferait partie des « gens du voyage », qui n’ont pas de terre, mais forment quand même un peuple…
Romain Goupil semble heureux de n’avoir ni terre ni peuple puisqu’il s’est permis de dire à Gilbert Collard qu’il représentait l’abjection. « Salvini dit défendre sa terre, c’est comme Collard qui dit qu’il représente son peuple. Mais c’est quoi ton peuple, c’est quoi ta terre ? Mais qu’est-ce que tu représentes ? Tu représentes l’abjection. »
Il a ajouté qu’il venait sur les plateaux de télé pour faire qu’il y ait de moins en moins d’élus RN, nécessairement xénophobes et racistes… Romain Goupil est un vrai démocrate, qui veut expliquer au peuple (qui selon lui n’existe pas), comment bien voter.
Donc avoir une terre et un peuple, c’est être abject, pour Romain Goupil. Il fait donc partie des gens qui bradent leur terre et leur peuple au premier venu pour être bien sûrs que plus personne n’ait de terre ou de peuple. Les Français doivent s’en souvenir.
Si quelqu’un nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire, les collabos et leur triste travail, c’est bien Romain Goupil.
Gilbert Collard a bien remis en place Romain Goupil, il lui a dit : « mais qu’est-ce que vous représentez, vous ?… Vous êtes le salarié d’une chaîne, vous touchez ses prébendes. Vous n’êtes rien du tout. Moi je suis élu, je représente l’indignation d’un peuple qui n’en peut plus. (…) »
Gilbert Collard a ajouté : « vous êtes un traître… »
Romain Goupil, c’est un bourgeois de Calais. Il apporte les clés de la France sur un plateau à nos ennemis.
La xénophobie et le racisme sont des armes que les Romain Goupil et autres idéologues décervelés et défrancisés croient fatales mais cela ne marche pas.
On a le droit de défendre sa terre et son peuple sans être traité de xénophobe, de raciste, ni taxé d’abjection. Essayer de paralyser cette défense comme le fait Romain Goupil, c’est cela la véritable abjection.
Autriche – Gabriele Jandrasits, habitante d’Innsbruck, était dans le pétrin. Elle voulait commander à l’avance un taxi pour se rendre à l’aéroport et emmener son petit chien avec elle. Même en appelant la veille au soir, un standardiste lui a dit qu’il ne pouvait pas garantir le transport pour le lendemain matin. On lui a dit que la plupart des chauffeurs refusaient de transporter des chiens dans leur véhicule pour des motifs religieux.
« S’il y avait des directives claires – par exemple que certaines races de chiens ne peuvent pas être transportées dans l’habitacle, que les chiens doivent être tenus en laisse et muselés ou qu’ils doivent être transportés dans une boîte de transport – je comprendrais cela, » dit le propriétaire du chien, « mais tout cela est simplement arbitraire ». Mme Jandrasits, qui travaille pour l’Association tyrolienne des aveugles et malvoyants, donne un autre exemple : un ancien membre du conseil d’administration de l’association – la dame est complètement aveugle – a également commandé un taxi via le centre de contrôle radio. Elle n’a pas mentionné son chien-guide pour aveugles par téléphone. Le chauffeur de taxi a refusé d’emmener le chien avec lui.
Anton Eberl et Harald Flecker, directeurs du centre de radio-taxi d’Innsbruck, se sont excusés après ces incidents : « Nous ne sommes pas nous-mêmes les propriétaires des taxis, mais seulement des intermédiaires », dit Flecker.
Le fait est qu’environ 80 % des chauffeurs sont issus de l’immigration – et que les musulmans considèrent traditionnellement les chiens comme « impurs ».
« Nous essayons de faire comprendre aux chauffeurs qu’une telle chose n’est pas possible avec nous et que ces trajets doivent être effectués exactement comme tous les autres. Pour l’instant, nous ne sommes malheureusement pas en mesure de résoudre ce problème de manière satisfaisante », déclare M. Flecker.
Sans surprise, le jeune homme de 21 ans, auteur des coups de couteau mortels infligés à Florent Basso dimanche 18 août 2019, lors de la fête votive de Saint-Amans-Soult, dans le Tarn, a été mis en examen pour meurtre et incarcéré à la prison de Seysses, en Haute-Garonne.
Fortement alcoolisé selon des témoins, l’agresseur avait sorti un couteau et violemment poignardé sa victime, âgée de 35 ans. Deux personnes intervenues pour le maîtriser ont été également blessées.
Le drame a bouleversé la commune. La victime, Florent Basso, était une personnalité connue, venue ce soir-là participer à la fête avec sa compagne et sa petite fille.
L’enquête sur le drame qui s’est produit aux fêtes de Saint-Amans-Soult (Tarn) ce week-end, dans la nuit de samedi à dimanche, se poursuit ce lundi 19 août.
Ce matin, l’affaire a été transmise à Toulouse, au pôle de l’instruction criminelle. Le suspect est un jeune homme de 21 ans, originaire d’Haïti. Il vit à Albi et s’est rendu, samedi soir, aux fêtes de Saint Amans à l’invitation d’une de ses connaissances albigeoises.
(…) Le drame s’est produit dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2 heures du matin. Alors que la fête du village battait son plein, un individu âgé de 21 ans, fortement alcoolisé, a sorti son couteau et pour une raison encore inconnue, violemment poignardé Florent Basso, qui est décédé des suites de ses blessures. Grâce au courage de certaines personnes, blessées dans l’altercation, cet homme a pu être maîtrisé jusqu’à l’arrivée des gendarmes qui l’ont interpellé et placé en garde à vue.
Il aurait également agressé deux autres personnes présentes au moment des faits qui se sont déroulés « derrière l’orchestre du bal », précise la radio locale. Le trentenaire est mort sur le coup, les deux autres victimes ne sont que légèrement blessées. (Ouest-France)
La victime était une figure locale, très appréciée de tous. Ancien joueur de football à Saint-Amans, grand amoureux de pétanque le dimanche, Florent Basso, salarié chez Terreal, ne ratait aucune fête de village pour retrouver les vieux copains et emmener sa fille de 6 ans, pour qu’elle profite des manèges.
(…) « Désormais, c’est un cauchemar… », lâche la belle-mère de Céline (compagne de Florent), d’une voix tremblante. « C’est la faute à pas de chance. Ils étaient tranquilles, en train de faire jouer les enfants et il a voulu défendre sa famille… Quelque part, Florent est mort en héros. Il a sûrement sauvé une dizaine de personnes autour de lui parce que le gars, il était déterminé à faire du mal », se désole-t-elle.
(…) Le suspect est un jeune homme originaire d’Haïti. Il vit à Albi et s’est rendu, samedi soir, aux fêtes de Saint-Amans à l’invitation d’une de ses connaissances albigeoises.
Cet après-midi, à l’issue de sa garde à vue, le jeune homme devait être présenté à un juge d’instruction toulousain. Il devait être mis en examen et écroué.
« Le cœur d’un homme d’État doit être dans la tête », disait celui que la Ve République – devenue esclave des émotions cosmopolites et sans vraie tête, justement ! – s’ingénie à effacer de sa mémoire apatride. Ainsi, Napoléon – que je n’aime pas particulièrement mais qui a tout de même imprimé durablement sa marque sur la France et le monde – ne fait plus recette ; lui dont le nom suffisait, jadis, à exciter les enthousiasmes des uns et des autres. Aujourd’hui, on préfère célébrer nos ennemis, comme le démontra Laurent Fabius – alors ministre des Affaires étrangères – en rendant hommage au général Giap, à la mort de ce dernier en octobre 2013. Giap, vainqueur de Diên Biên Phu – une défaite pour la France ! – et… admirateur de Napoléon, au passage.
Aussi, tandis que, le 15 août 2019, on fêtait le 250eanniversaire de la naissance de Napoléon, Emmanuel Macron le Petit a fait preuve, à cet égard, d’un silence infamant. Le service minimum a juste été assuré par le président du Sénat, Gérard Larcher, présent aux commémorations à Ajaccio, lieu de naissance de Napoléon.
Quelle ironie, cependant, quand on se targue d’être un Président lettré, d’étouffer la mémoire d’un homme dont l’ombre plane sur quelques-uns de nos plus grands chefs-d’œuvre littéraires. Citons : La Chartreuse de Parme (Stendhal) ; Les Misérables (Victor Hugo), Le Colonel Chabert (Balzac) ; Mémoires d’outre-tombe (Chateaubriand). Sans parler des écrivains étrangers qui, de Léon Tolstoï à Arturo Pérez-Reverte, ont puisé dans cette intarissable source d’inspiration.
Napoléon, personnalité la plus représentée dans Paris – entre les noms de rues, avenues, boulevards, et les monuments – serait-il donc condamné à disparaître des radars mémoriels parce que, sans doute, pas assez branché diversité et LGBT ?!
RIEN : en 2004 (bicentenaire de son sacre) ; 2005 (bicentenaire d’une bataille citée en exemple dans toutes les académies militaires, à savoir Austerlitz). Par contre, en 2015, on a célébré comme il se doit Waterloo… une autre défaite française. Qui sait, un de ces jours on aura une place de la Wehrmacht à Paris !
Interrogé à l’époque par le site Atlantico, l’écrivain Dimitri Casali – qu’on ne saurait qualifier de « fachosphérique » eu égard à son parcours ! – déplorait ceci : « Le scandale des nouveaux programmes d’histoire montre bien qu’il existe des buts idéologiques : vouloir rayer l’histoire doublement millénaire de la France, ses racines, son héritage, lesquels passent par sa culture et son histoire. C’est peut-être un scoop que je vous livre, mais Napoléon est totalement supprimé des programmes du primaire, il disparaît en CM2. On voit bien qu’il y a une volonté d’éradiquer tous les grands personnages qui ont fait la gloire de notre pays, ces personnages un peu trop conquérants, l’histoire militaire étant totalement oubliée à l’avantage de l’histoire économique et sociale. Tout cela au nom d’une vision uniquement marxisante de l’histoire. Les tenants des nouveaux programmes, à l’instar de Nicolas Offenstadt ou de Laurence Decock, ont une vision marxiste de l’histoire de France, ils font de la politique, et non pas de l’histoire. Cela rejoint les hommes politiques qui ont laissé faire cette déconstruction nationale. »
Et, comme pour signifier aux Français de quel côté doit pencher la mémoire historique, Macron le Minuscule, lors de la cérémonie du 75e anniversaire du débarquement de Provence, nous a balancé ceci : « Je lance aujourd’hui un appel aux maires de France pour qu’ils fassent vivre, par le nom de nos rues et de nos places, par nos monuments et nos cérémonies, la mémoire de ces hommes qui rendent fiers toute l’Afrique et disent de la France ce qu’elle est profondément : un engagement, un attachement à la liberté et à la grandeur, un esprit de résistance qui unit dans le courage. »
Excellente idée ! Débaptisions sur-le-champ – du déshonneur ! – l’avenue de La Grande Armée, le quai d’Austerlitz, les boulevards des Maréchaux, etc., à Paris, et offrons-nous des patronymes bien exotiques. Dans la foulée, je proposerais volontiers de faire à la tombe de l’Empereur – sous le dôme des Invalides – le même sort qu’à celles des rois de France à Saint-Denis, saccagées autrefois par des amoureux de la liberté qui embrochèrent à l’occasion des enfants et des femmes enceintes pendant les guerres de Vendée, une autre histoire qu’on glisse sous le tapis… Le plus risible, dans cette entreprise d’extermination de l’identité française, c’est que le monde vient chez nous non pas pour contempler la diversité artificieuse, mais bel et bien notre culture pluriséculaire. Dans cette culture, Napoléon occupe une place gargantuesque, n’en déplaise à l’incurie idéologique des crétins progressistes ! « La vraie sagesse des nations est l’expérience », disait l’intéressé. Souvenons-nous donc qu’il ne saurait y avoir d’expérience sans mémoire.
Il a maintes fois été prouvé sur ce site (et bien d’autres)que les cons ça ose tout… comme l’avait si bien énoncé Audiard, du temps où l’on pouvait, en France, dire ce que l’on voulait sans se prendre un procès pour « incitation à la haine »… le simple « rappel à la loi » étant exclusivement réservé aux crapules et racailles, toutes catégories…
Eh bien figurez-vous qu’il n’y a pas que les cons qui osent tout, mais également une certaine catégorie de journaleux (et journaleuses) radiophoniques (mais pas que), dont la principale occupation, pendant leur temps d’antenne, est de nous gaver de bobards, tous plus indigestes les uns que les autres… y compris et surtout sur ce qui se prétend « Service public » et pour lequel on vous fait casquer chaque année une « redevance audiovisuelle »… pour mieux se moquer de vous (en plus de tous les navets indigestes et des rediffusions récidivistes) !
Parce que, franchement, je ne vois pas comment cataloguer autrement le véritable « foutage de gueules » que la péroraison faite récemment sur les ondes de France Inter, par deux spécimens d’hypocrites « hors catégories » ; j’ai nommé l’éminente journaliste Lauren Bastide, mondialement connue dans son quartier, et un phénomène encore inconnu de moi ; la féministe-islamique, en la personne de Hanane Karini, brillante sociologue paraît-il.
Bon, c’est vrai, au premier abord l’antinomie de l’appellation, confirmée par le port du foulard, est tellement aveuglante qu’on a du mal à adhérer à l’idée… Et au deuxième « rabord »… c’est exactement la même chose, compte tenu du salmigondis de sophismes déversés par les deux donzelles, que personnellement je verrais bien plus en duo comique, mais ça, c’est sans doute à cause de mes mauvais instincts de « sale française-raciste-fasciste »… comme le prétendent les copains et copines gauchistes de Lauren !
Moi qui me faisais un sang d’encre pour les pauvres femmes musulmanes, maintenues dans un état inférieur par leurs abrutis de mâles, se sentant supérieurs à elles uniquement parce qu’ils sont dotés (sans doute en guise de cerveau) d’un instrument leur permettant de « niquer » tout et n’importe quoi… Me voici légèrement rassurée, dès l’instant que je sais qu’au moins l’une d’entre elles a décidé de se bagarrer pour ses sœurs… même si je ne suis pas sûre du résultat…
Pourtant, c’est sûr, « ça en jette » le parcours de Hanane Karimi, quand on apprend qu’elle enseigne à l’université de Strasbourg, qu’elle est également post-doctorante à l’université de Créteil et chercheuse associée au Laboratoire SAGE (Sociétés, Acteurs et Gouvernement en Europe) à l’université de Strasbourg.
Qu’une femme de ce niveau d’instruction, qui navigue dans les hautes sphères, prétende défendre les femmes musulmanes… en s’affichant systématiquement avec un foulard, marqueur de sa religion d’oppression féminine tellement plus que les autres, me laisse de marbre ; je n’y crois pas !
D’autant plus que derrière les grandes phrases et les beaux discours, on a du mal a appréhender exactement contre quoi elle entend les défendre.
Serait-ce contre les mâles dominants, ceux qui mettent littéralement leurs femelles en esclavage domestique avec surveillance continuelle, tenue-camouflage obligatoire même pour aller chercher le pain au coin de la rue… et surtout se contenter d’être avant tout des « terrains de labour » pour leur seigneur et maître qui a tous les droits sur elles ?
Il semblerait que non, puisque nous apprenons que :
– « le travail de Hanane Karimi porte sur les mobilisations politiques des femmes musulmanes ».Euh… M’dame Karimi, je ne suis pas certaine que celles, nombreuses, que les labours incessants de leur mari transforment en véritables pondeuses, avec deux-trois marmots dans les jupons, plus un quasiment en permanence dans le tiroir… soient prêtes à des « mobilisations politiques ». Quant à celles qui échappent à cette situation et sont effectivement capables de s’impliquer en politique, nous sommes bien placés, chez les Gaulois, pour comprendre que c’est toujours dans le but d’implanter chez nous vos propres us et coutumes, dont votre religion maudite en premier lieu ; jamais pour prétendre à une égalité avec leurs hommes !
– Car la suite le confirme : « il est venu éclairer d’une lumière salutaire tout un pan de l’action politique qui, en France, vise sans relâche à la stigmatiser et à l’exclure de l’espacepublic ». Nous y sommes ! Ce n’est pas du tout les musulmans machos qui oppriment leurs femmes en leur défendant l’accès à la culture et par suite à un quelconque engagement, ce sont encore et toujours les méchants Français qui les stigmatisent et les excluent !
Bah dis donc, qu’est-ce que ce serait si elles n’étaient pas exclues de l’espace public, vu que de nos jours on ne sait plus où porter le regard sans être indisposés par une femme enfoulardée, (oui, je sais… nos grands-mères… mais nos grand-mères c’était uniquement pour la messe, pas pour emmerder les autres !) quand ce n’est pas carrément transformées en sinistres Belphégor !
De deux choses l’une, soit vous avez le courage de Céline Florentino, qui a héroïquement décidé d’affronter l’émission, « par besoin de démontrer les faux-semblants, l’hypocrisie et le danger de ces sophistes »… ce qu’elle fait brillamment dans un article dont elle nous régale dans Marianne, soit vous réécoutez l’intégralité de ce que Céline a résumé par : « … il ne s’agissait pas de débattre, juste d’exposer longuement une théorie à deux, sous le masque de l’intervieweur/interviewée. »
Enseignante spécialisée en primaire dans les Rased (réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté), Céline Florentino me semble plus crédible et digne de foi, en femme qui sait de quoi elle parle, sans pour autant adopter le ton docte et abscons des deux duettistes, genre « vous êtes trop cons pour comprendre » ; son article est un vrai régal que je vous recommande de lire, bien plus que d’écouter les deux mégères.
Surtout lorsqu’elle rapporte : « Mais la journaliste bat tous les records jamais enregistrés jusqu’à présent de complaisance militante. Quand elle évoque Alliance Citoyenne et leur action en faveur du burkini dans les piscines grenobloises, elle dit, et je la cite mot pour mot : « C’est une action politique flamboyante, courageuse, visible. » Les mots sont de la journaliste de France Inter, pas de Karimi. La journaliste de France Inter. »
On devine aisément l’ahurissement de Céline en écrivant ces derniers mots, le même que le nôtre en les lisant…
Décidément, le discours est toujours le même sur cette chaîne pourrie qu’est Rance Inter, dont les porte-voix ne sont finalement que des « porte-mensonges » à l’instar de Sibeth Ndiaye, ne cessant de piétiner nos valeurs, notre culture et notre histoire, pour y substituer celles de leur invention où « tout le monde serait gentils et égaux », mais certains plus que d’autres quand même… devinez qui ?
Ce ramassis de gauchistes moisis, baignant dans leur jus saumâtre de l’égalité à géométrie variable selon l’exemple de leurs célébrités, et tellement imbus d’eux-mêmes, sont incapables, du haut du mépris qu’ils nous réservent, de réaliser que le vent a enfin commencé à tourner et que s’ils persistent à cracher sur cette France qui les fait vivre (aussi largement et indûment que les politicards) ils seront très surpris quand leurs crachats leur reviendront en pleine face !
Le plus risible, dans toute cette écœurante propagande de fausses gauchistes, fausses féministes, fausses humaines… c’est que l’émission se nomme en plus « Les savantes » ! Molière au secours !
Bon, les franchouillards-dormeurs, ça va ? Vous vous sentez de force à continuer encore longtemps à faire honte à nos courageux aïeux en vous laissant « sodomiser » à longueur de temps par une armée d’abruti(e)s, incultes mais convaincus du contraire par un ego ayant manifestement pris le pouvoir ?
Cela ne vous dérange pas que deux écervelées fassent leurs intéressantes sur le Service public, en laissant entendre, par leurs sournoiseries, que les féministes-musulmanes-voilées, ne sont ni plus ni moins que les héroïnes du combat féministe et social ?
Moi si, passé le premier fou-rire devant tant d’idiotie, je repense à la redevance et me demande si la prochaine je ne vais pas leur envoyer l’équivalent en loukoums, histoire de parfumer les couloirs de Rance Inter qui n’a jamais si bien mérité son surnom !
Et puis comme c’est le week-end et que même quand on est retraitée on est fatiguée de sa semaine (apéro, piscine, pétanque, gueuleton entre amis, mais sans homard c’est juré… ça épuise) je vais donc tout bonnement utiliser ici l’excellente conclusion de Céline Florentino, autre pointure que la Bastide, car elle y résume parfaitement la question en quelques mots :
« La propagande est bel et bien engagée. Elle a l’apparence d’une gauche généreuse et intello,mais elle est exactement le contraire. Elle n’est rien d’autre qu’un ennemi de l’intérieur, qui gagne sournoisement aussi bien le monde médiatique qu’universitaire et militant. »
Et toc ! Vraiment, impossible de faire mieux, si l’on veut rester polie… et dans ce contexte je ne peux rien garantir, un dérapage est si vite arrivé en pleine colère contre les traîtres.
Mais rien ne vous empêche de vous fendre d’une petite bafouille à la perfide Lauren Bastide, avec copie à sa direction, et pourquoi pas également au ministère de tutelle, en demandant à tout ce beau monde quel mot ils n’ont pas bien compris dans « service public », pour faire ainsi une méchante propagande contre ceux qui les nourrissent, et grassement encore !
Josiane Filio, au nom de la liberté d’expression
P.S. Un dernier mot pour Lauren Bastide : surtout Cocotte n’oublie pas de rajouter « lèche-babouches de première » sur ton CV, par les temps qui courent (avec ton soutien et ton aide) ça peut être utile… Si, si, c’est mérité ; ne me remercie pas c’est cadeau !
Autant j’ai le plus profond mépris pour tous ces journaleux de pacotille qui, comme bien d’autres, font honte à leur belle profession en la bafouant à longueur d’antenne ; et en particulier pour les prétendues « Grandes Gueules » de RMC, rétropédalant toujours très vite après avoir osé asséner sur les ondes une vérité digne d’un vulgaire électeur RN (dont je suis !), histoire de bien mettre de la distance et qu’on ne puisse les confondre…
Autant j’ai une vive admiration pour l’une d’entre eux, la chroniqueuse Zohra Bitan, qui, le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne pratique pas la langue de bois, ce qui est très réjouissant à l’oreille… et aux yeux, quand sur certaines vidéos il nous est donné de voir l’effet que ses paroles « brutes de décoffrage » produit sur ses collègues, nettement plus frileux…
Écoutez-là dans quelques extraits, où elle bataille courageusement, contre ses contradicteurs, que ce soit quand elle fait savoir son mécontentement contre Macron après son prétendu « Grand débat », face à Bruno Bonnell, député LREM en avril dernier :
Quand en mai, elle interpelle nos gouvernants à propos des éternelles violences faites aux femmes, avec des « arrêtez de twitter, arrêtez de dire des discours avec des slogans, arrêtez de nous emmerder avec du blabla, AGISSEZ ! »
Belle intervention chez Hondelatte en 2015, aux lendemains des attentats du Bataclan :
Un peu moins crédible car plus naïve, quand elle parle aujourd’hui de « cette démocratie qui est une chance »… comme si elle ne s’apercevait pas, malgré ses nombreux et légitimes coups de gueule, que pratiquement tous ceux qui ont un réel ou semblant de pouvoir s’assoient chaque jour un peu plus sur cette démocratie qui n’est plus que « des mots dans la bouche de ceux qui la trahissent »… lors de ces échanges sur les manipulations médiatiques… ce qui semble du plus haut comique quand cela se déroule sur RMC/BFM TV… indéniablement dans le peloton de tête des grands champions manipulateurs !
Mais là où elle emporte l’adhésion des citoyens-patriotes qui en ont ras la frange (pour rester correcte) de l’islamisation galopante du pays, c’est quand on la chauffe au sujet du voile : voici un exemple d’une grosse colère récente :
Il n’a d’ailleurs pas échappé à Christine Tasin que Zohra dit clairement sur un plateau, ce qui lui a valu à elle, d’être condamnée par les juges rouges :
« Elle commence par parler d’un « islam rigoriste »… Et j’hallucine ; cette femme d’origine immigrée, qui a milité au PS et à la Licra, dit clairement ce que j’ai dit et qui m’a valu d’être condamnée en première instance comme en appel… »
Pourtant, quand en juin dernier elle enregistre ce joli témoignage, où elle s’adresse aux escrocs de l’islamisme ; au milieu de sa déclaration d’amour et de reconnaissance envers la France, quand tellement de ses « frères et sœurs en religion » nous conspuent à longueur de temps… on peut y relever quelques traces de naïveté… dues sans doute à sa sincérité quand elle militait pour la gauche qu’elle vomit désormais.
Pareillement à propos des vêtements, pour ce qui est de ce qu’elle nomme évolution, et que nous sommes au contraire nombreux à subir au contraire comme une contrainte rétrograde, imposée par des arriérés !
« … Mais clairement, on voit dans la jeune génération, dans tous les milieux, ruraux comme urbains, que le rapport à la pudeur et au respect de soi évolue… »
Petite nuance Zohra, si le « rapport à la pudeur » évolue, c’est parce qu’il est totalement imposé, et de manière unilatérale, par de véritables connards rétrogrades, n’ayant eux-mêmes aucune pudeur ni respect de soi ; car même si ne n’ai pu retrouver cette courte vidéo d’un musulman en train de faire, avec sa main, une toilette intime devant une fontaine publique, passant alternativement de ses fesses à sa figure (pouah !) je pense que beaucoup de lecteurs l’ont déjà vue sur les réseaux sociaux.
Et si précisément de plus en plus les jeunes filles renoncent aux jupes, c’est pour éviter, quelle que soit leur longueur, de se faire traiter de putes… ce que de toutes manières elles sont, aux yeux de ces hypocrites dégénérés, véritables obsédés sexuels sautant sur tout ce qui bouge (femmes, enfants, vieillardes, chèvres, chamelles… de simples « trous » pour ces grands romantiques ; quoique pour les trous de serrures, je ne sais pas !)…
Pendant qu’ils ont le culot de prétendre qu’emballer leurs femmes dans d’immondes burqas serait pour éviter de « faire envie aux hommes », alors que jusqu’à preuve du contraire les Occidentaux sont en général (même s’il y a toujours des exceptions) bien plus maîtres de leurs pulsions que ces véritables porcs (pardon à l’animal !).
Et comme le prouve cet article de 2013, le voile tant vanté n’a absolument pas soustrait cette innocente du viol par trois véritables ordures, prouvant que pour eux une femme est peu de chose, et qu’ils peuvent « en user » comme bon leur semble.
Fi de religion ou d’honneur, ces agissements n’ont rien d’humain ; ce sont ceux de bêtes féroces qui méritent d’être supprimées… tout comme sont immédiatement piqués les animaux atteints de la rage ; c’est une question de salubrité publique !
« Cette façon de présenter un concept religieux comme une liberté féministe est assez perverse. Continuons plutôt d’éduquer les garçons et de combattre les hommes qui font des remarques aux femmes qui sont en décolleté. Mais ne disons pas aux femmes d’aller se cacher, c’est le pire ». Nous dit encore Zohra.
Alors là je suis entièrement d’accord : il est certain que beaucoup de « mères » encore de nos jours, sont malheureusement grandement responsables de la sale mentalité de leurs « bambins devenus hommes », se comportant en véritables pachas, dont les femelles sont aux ordres ; car qui mieux que la maman peut inculquer aux fils le respect des filles?
Malgré certains acquits (néanmoins toujours en danger),il reste encore du travail à faire pour faire évoluer les mentalités dans le bon sens de l’égalité hommes/femmes (sans la vulgaire Schiappa ce serait bien mieux !).
Et notamment chez les musulmanes inféodées à leurs mâles de maris, qui finissent par se faire une gloire de leur donner des fils qu’elles couvent outrageusement en leur inculquant les mêmes mauvaises manières des pères… et n’hésitent pas à martyriser leurs filles… qui les ont si « dépréciées » aux yeux de leur mari, vu qu’effectivement dans bien des cas, elles ne sont là que pour lui donner du plaisir et des fils… c’est Allah qui l’aurait dit paraît-il !
Pas étonnant alors que cette religion convienne tant à tous les machos, nés musulmans, et stupides convertis.
De fait, chez Zohra, ses légitimes emportements contre l’injustice, le mépris, la manipulation, l’ingratitude, la trahison… dénonçant exactement les mêmes effets que publient les sites de réinformation, ce qui nous la rend indéniablement sympathique… voisinent pourtant avec un certain aveuglement quant à leurs causes, peut-être dû à un reste de candeur de ses premières amours socialistes, et ce, même si depuis, et contrairement à tellement d’autres, elle s’est raisonnablement soignée.
En permanence on sent, au détour d’une phrase, que derrière une saine pensée restent encore quelques débris d’obscurantisme gauchiste, notamment quand sur Causeur elle prétend :
« Je ne suis pas identitaire, je suis une universaliste. Les identitaires, qu’ils soient d’extrême gauche ou d’extrême droite, ont des arguments qui ne vont pas bien loin. ».
Pour elle, c’est valable et logique puisque d’origine maghrébine cela ne l’empêche pas d’aimer et d’honorer la France ; malheureusement trop peu, dans le même cas, offrent la même tournure d’esprit, et même s’ils se comportent en musulmans « sans histoires » opposables aux extrémistes, ils se gardent bien de combattre ouvertement leurs « frères », faisant preuve ainsi d’une grande lâcheté… qui finalement soutient les détracteurs de la nation France !
En résumé, Zohra on t’aime bien, mais n’en fait pas trop quand même, cela pourrait devenir complètement improductif.
Régale-nous de tes interventions musclées pour river leur clou aux menteurs professionnels, continue à « être au plus près de jeunes à qui on n’a pas expliqué comment ils peuvent être en paix avec leur histoire, leurs parents, leurs parcours et leur milieu social »,puisque cela te passionne, car nul doute que tu es quelqu’un de sincère dans tes démarches et de sain dans tes pensées…
C’est plus gratifiant et utile que prendre la défense d’une gamine insultée parce que décolletée, et qui semble d’ailleurs de taille à se défendre elle-même :
Mais prend bien garde à ne pas te laisser happer par « le système », qui a plus d’un tour dans son sac pour enfumer les sensibles et les naïfs, car personne n’est plus fort que lui dans la manipulation des braves gens et l’art d’inverser les idées et les événements… Tu sembles encore tellement convaincue de l’angélisme de certaines pourritures cachant si admirablement leur jeu que tu ne peux pour l’instant concevoir la réelle étendue des problèmes, et partant, des dangers qui nous guettent.
Merci néanmoins pour ta gratitude envers la France ; elle est si rare, du moins dans les manifestations officielles de ceux qui ont droit à la parole, que je la savoure à son juste prix.
Les opérations menées par l’Agence de contrôle de l’immigration à Morton, petite ville d’à peine 3 400 habitants (Mississipi) ont conduit à l’arrestation et au licenciement de 450 personnes, soit plus de 10 % de la population de cette petite ville.
A PH Food, un des producteurs de volailles touchés par l’impressionnante vague d’arrestations de travailleurs sans papiers effectuées mercredi 7 août dans le Mississippi, la stupeur règne dans les rangs des employés qui comptaient retourner travailler. Une semaine après ce raid mené par des fonctionnaires de l’immigration américains, un manageur a annoncé que seule une douzaine d’entre eux étaient autorisés à reprendre le travail. Tous les autres, soit une centaine d’employés, ont été licenciés sur-le-champ, rapporte le magazine en ligne américain Slate.
Ce licenciement de masse s’est déroulé mardi 13 août, une semaine après plusieurs opérations policières simultanées menées par l’ICE (Immigration and Customs Enforcement – l’Agence de contrôle de l’immigration) dans sept usines de transformation de poulet au cœur du Mississippi, à l’occasion desquelles 680 travailleurs sans papiers avaient été arrêtés. Il s’agissait de l’opération policière la plus importante contre l’immigration clandestine depuis au moins une décennie. […]
Les Latinos de Morton, cibles des raids de l’ICE, sont installés depuis longtemps dans la région. Aux yeux d’une partie de la population, ils ont redonné vie à des communautés laissées à l’abandon, rempli les salles de classes et dynamisé l’économie locale. Aussi certains habitants s’inquiètent-ils des conséquences de ces opérations coup de poing. […] Afin de pourvoir les postes perdus, Koch Foods, un des producteurs touchés par les raids, a tenu une foire à l’emploi lundi 12 août, avec une centaine d’offres à la clé.
Le maire de Saint-Rémy-les-Chevreuses, dans le département des Yvelines, Dominique Bavoil, est exaspéré.
Il vient d’adresser un courrier, ce vendredi 9 août, à la garde des Sceaux, Nicole Belloubet, afin qu’elle trouve une solution devant la prolifération des agressions, des vols et du vandalisme commis par des mineurs isolés clandestins.
Sa ville, qui est facilement accessible de Paris par le RER B, est devenue la proie de ces mineurs en situation irrégulière qui commettent de nombreux cambriolages, avec dégradations, et des actes de vandalisme.
Dix commerces ont déjà été les victimes, dont certains plusieurs fois ces derniers mois.
« Cette situation devient très inquiétante, des vitrines de magasins, indifféremment des boulangeries, des restaurants, des pharmacies, ont été fracassées à plusieurs reprises en plein centre-ville. Il faut absolument qu’il y ait une réaction. Les collectivités, et même les gendarmes, sont démunis face à cette situation inédite.
« Les forces de gendarmerie procèdent à des arrestations de ces mineurs migrants, dont nombreux ont déjà fait l’objet de plusieurs arrestations, avant d’être rapidement libérés et en capacité de poursuivre leurs délits sur notre territoire. »
Ce maire, comme de très nombreux maires de nos provinces, n’a pas de solution-miracle à proposer et se trouve totalement démuni et impuissant devant des lois qui ne protègent plus les citoyens de cette menace grandissante !
À Marseille, dans les Bouches-du-Rhône, il y a belle lurette que les forces de l’ordre sont impuissantes devant les exécutions, les crimes, commis par les bandes de trafiquants de stupéfiants.
Les règlements de comptes sont quotidiens et le dernier en date particulièrement horrible.
Mardi après-midi, un jeune adolescent, âgé de 16 ans, et déjà bien connu des services de police pour trafic de drogue, a été déposé nu devant le centre hospitalier européen, par les deux individus qui l’avaient précédemment roué de coups et torturé, le visage tuméfié et le sexe et les bras brûlés jusqu’au troisième degré à l’aide d’un chalumeau.
Cet ado avait été interpellé quelques jours plus tôt par les policiers au cœur même de cette cité des Micocouliers, connue pour le vaste trafic de stupéfiants qui s’y pratique à visage découvert, la violence quotidienne et les règlements de compte à répétition, à rafale pourrait-on dire.
Il avait été laissé libre à l’issue de sa garde à vue.
Il s’agit, bien entendu, d’un avertissement à l’intention des autres bandes rivales de trafiquants de stupéfiants et de « donneurs » qui renseignent les policiers.
Il y aura des suites car, dans ces zones de non-droit, ce sont les hors-la-loi qui maintiennent l’ordre !
À Rouen, un individu a blessé plusieurs personnes à coups de couteau, puis a tenté de s’attaquer à un homme en brisant la vitre de sa voiture.
Il a pu être maîtrisé par plusieurs passants dans des conditions qui ne sont pas encore connues mais l’auteur de cette agression se trouve actuellement aux urgences de l’hôpital et son pronostic vital est engagé.
À Nantes, c’est un mineur, âgé de 17 ans, qui a été appréhendé lundi, vers 22 h, dans le quartier sud de la cité, rue de la Morinière, après avoir agressé sexuellement une femme d’une quarantaine d’années, qui promenait son chien le long de la Sèvre nantaise.
Alerté par les cris de la victime, un riverain s’est précipité et a fait fuir cette racaille.
Retrouvé grâce au signalement donné à la police, ce mineur est soupçonné de trois autres agressions sexuelles dans ce même quartier.
Toutes ces victimes ont reconnu leur agresseur.
Ce n’est pas en France, mais en Australie, à Sydney, mardi après-midi, dans le quartier d’affaires, qu’un individu a poignardé une femme, âgée de 41 ans, au cri « d’Allahu akbar » puis a poursuivi plusieurs personnes, après avoir sauté sur le toit d’une voiture, muni d’un énorme couteau, tout en hurlant « Abattez-moi ! ».
Des témoins se sont lancés à sa poursuite et sont parvenus à l’arrêter.
Plaqué sur le sol et attaché, il a été livré aux policiers dès leur arrivée.
Le corps d’une autre jeune femme, âgée de 24 ans, Michaela Dunn, a été découvert, poignardée à mort, dans un complexe résidentiel non loin de l’endroit où s’est déroulée la précédente agression et les services de police soupçonne cet individu d’être également l’auteur de ce meurtre.
À Londres, c’est un homme d’une soixantaine d’années qui a été poignardé, jeudi en début d’après-midi, juste devant le ministère de l’Intérieur.
Grièvement blessé au visage, ses jours ne sont pas en danger.
Un suspect a été arrêté, âgé de 29 ans, on ignore ses origines, mais cette attaque se produit au moment même où le ministre de l’Intérieur vient de lancer une campagne de sensibilisation pour tenter d’endiguer les attaques au couteau qui deviennent quasi quotidiennes au Royaume-Uni.