Direct à Lille : Grande meeting de la liste Ensemble pour le Frexit de François Asselineau

Née en mars 2007 d’une inébranlable confiance dans l’Histoire de France et dans la résilience du peuple français, l’UPR s’est fixé comme objectif intangible depuis sa création de restaurer la France comme une nation libre, démocratique, juste, solidaire, généreuse et souveraine.

L’UPR veut aussi refaire de notre pays la source d’inspiration et de référence fondamentale pour l’émancipation de tous les peuples du monde, la justice entre les nations, la paix mondiale, le respect de la nature et de la planète.

Née dans le plus grand dénuement – sans aucun soutien politique, médiatique ni financier – et lancée il y a 12 ans comme un cri solitaire de révolte et de désespoir, l’UPR est devenue aujourd’hui le parti politique n° 1 sur Internet, n° 1 sur YouTube, n° 3 en nombre d’adhérents payants.

Malgré la censure implacable de la plupart des grands médias, l’UPR est désormais le mouvement qui connaît la plus forte ascension, qui bouleverse de fond en comble la scène politique française, qui fait de plus en plus peur à tous les oligarques, aux despotes de l’européisme, aux pilleurs de patrimoine public et aux fossoyeurs de la France.

Notre spectaculaire croissance survenue depuis 12 ans résulte de la justesse et du courage de nos analyses et de nos propositions. Mais elle résulte aussi de la mobilisation d’un nombre sans cesse croissant de citoyens anonymes. Des citoyens qui méritent tous que je leur témoigne ici mon immense gratitude.

Un immense merci aux centaines de milliers de Françaises et de Français qui ont voté pour l’UPR aux élections survenues depuis 12 ans.

Un immense merci aux plus de 35 200 adhérents qui m’ont rejoint depuis 12 ans et sans lesquels rien n’aurait été et ne serait possible.

Un immense merci aux milliers de bénévoles et militants qui œuvrent au quotidien, avec une abnégation et un dévouement admirables, pour sauver la France du désastre et pour ne pas décevoir tous ceux qui croient encore en la France.

L’UPR a aujourd’hui 12 ans et commence à peine à recueillir le fruit de tant d’efforts.

Nous devons appliquer plus que jamais le conseil de Charles de Gaulle : « Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n’ont pas cédé ».

Le plus beau de l’histoire de l’UPR reste à venir.

Vive la République, et vive la France !

Entre islam et homosexualité : l’atomisation de la société française

Source Boulevard Voltaire

Il n’est pas forcément besoin d’avoir lu le remarquable essai de Jérôme Fourquet, L’Archipel français, pour savoir que notre pays se morcelle chaque jour davantage. Il parait même que le modèle d’assimilation à la française ne fonctionne plus. Il fonctionne, d’ailleurs, d’autant moins que rien n’a été mis en œuvre depuis des décennies pour le faire fonctionner, ajoutera-t-on. Quoi qu’il en soit, la République « une et indivisible » est désormais multiple et plus divisée que jamais.

Certes, l’Ancien Régime connaissait et reconnaissait ses innombrables communautés ; mais ces dernières se fondaient sur une histoire multiséculaire, s’appuyaient sur des cultures et des langues enracinées dans le terroir. Et, surtout, avaient le roi et la religion catholique pour dénominateur commun. Aujourd’hui, les communautés qu’évoque Jérôme Fourquet n’ayant plus rien de commun entre elles se côtoient sans se mélanger, s’observent de loin, toutes plus méfiantes les unes que les autres vis-à-vis de ce qui ne leur ressemble pas. Même François Hollande, parlant de « partition », s’en est rendu compte ; c’est dire.

Pis, la désintégration de la société française tend maintenant à toucher l’intérieur même des communautés en question. Sur ce site, Floris de Bonneville note ainsi, à propos de ce chauffeur de bus présumé salafiste qui aurait interdit l’entrée de son véhicule à deux jeunes filles, au motif qu’elles n’étaient pas « bien habillées » : « Manque de chance pour cet employé, l’une des deux jeunes filles est la fille de Kamel Bencheikh, poète algérien qui n’a pas hésité à porter plainte, en bonne et due forme. »

C’est-à-dire qu’au sein de la même communauté de culture islamique, maghrébine en l’occurrence, il y a les uns, trop musulmans, qui reprochent aux autres de ne l’être pas assez. Actualité immédiate oblige, on constate la même dérive dans une autre prétendue communauté, celle des homosexuels. Ainsi, Pierre Palmade, invité, ce samedi dernier, à l’émission « On n’est pas couché » est-il maintenant dans le collimateur de ses « camarades » pour avoir osé prétendre : « Il y a les homos et les gays. […] J’ai fait une différence. Les gays, ce sont des gens qui mangent gay, qui rient gay, qui vivent gay, qui parlent gay. » A contrario« les homos, ce sont des gens qui sont homos, mais ce n’est pas marqué sur leur front, on ne le sait pas quand ils parlent, on ne le sait que quand on va dans leur chambre à coucher ».

Et c’est donc en tant qu’homosexuel que l’humoriste est, aujourd’hui, persécuté par certains gays, au premier rang desquels Joël Deumier, président de SOS Homophobie : « Pierre Palmade, on vous rappelle que si vous pouvez vivre et aimer librement en tant que gay aujourd’hui, c’est grâce à celles et ceux qui se sont battus dans l’Histoire pour obtenir ce droit. Et les combats continuent ! Vos propos homophobes n’y contribuent pas. »

Plus grave encore, le même n’hésite pas à stigmatiser Pierre Palmade pour « follophobie » ; soit « ce discours qui vise à perpétuer une norme patriarcale et hétérosexuée selon laquelle un homme doit correspondre à un certain type de masculinité ». Il est vrai que notre trublion aggrave son cas en persistant à ne pas se promener dans la rue avec son slip sur la tête ; une telle frilosité ne peut évidemment qu’être suspecte.

Là où ça se complique encore plus, c’est quand les communautés et leurs intérêts, parfois divergents, en viennent à s’entremêler. D’où ce fait divers pour le moins révélateur, rapporté par Le Figaro de dimanche dernier : « Un kiosquier parisien refuse de vendre le magazine L’Équipe par “homophobie”. » En couverture de ce dernier, l’épineuse question de « l’homophobie dans le sport », assortie de ce titre : « Embrassez qui vous voudrez. » Mais n’achète pas non plus ce journal qui veut, semble-t-il…

L’histoire ne dit pas si le kiosquier « homophobe » était musulman, si l’acheteur était homosexuel, s’il est possible d’être à la fois footballeur et homosexuel ; voir homophobe, tel Pierre Palmade, lequel n’a peut-être rien contre les musulmans gays. Dommage.

5 Milliards d’euros par an pour les clandestins dits « migrants » : le détail des coûts

Extrait d’une tribune du journaliste Yves Mamou (auteur de Le grand abandon, les élites françaises face à l’islamisme), parue dans Valeurs Actuelles fin avril :

« Les dépenses liées au processus migratoire peuvent se décliner ainsi (pour 2018) :

– Hébergement et allocations : l’exercice du droit d’asile représente 1,35 milliard d’euros en autorisations d’engagement et 1,21 milliard d’euros en crédits de paiement dans le projet de loi de finances pour 2019. Soit une hausse par rapport à 2018 de 36 % en autorisations d’engagement et de 18 % en crédits de paiement.

– A ces principaux postes (allocations et hébergement), il faut ajouter les frais de fonctionnement des 3500 agents des administrations chargées de gérer l’asile : OFPRA, CNDE, OFII et guichets de préfecture. 250 à 300 millions d’euros environ.

– Aide médicale d’Etat (AME) : les clandestins ne sont pas seulement rémunérés et hébergés, ils sont également soignés quand ils apportent la preuve qu’ils résident depuis plus de trois mois en France. L’Aide médicale d’Etat (AME), financée sur le budget de l’Etat, avoisine aujourd’hui le milliard d’euros pour une distribution de soins qui touche 300 000 personnes environ

– Prise en charge des mineurs non accompagnés : depuis 2015, des bandes de « gamins » de 12 à 25 ans, venus généralement du Maroc et d’autres pays d’Afrique du Nord, se multiplient sur le territoire national. Ces bandes subsistent de rapines et sèment la terreur au sein des populations locales. Quarante mille d’entre eux sont pris en charge par les collectivités locales au titre de l’Aide sociale à l’enfance contre 25 000 en 2017 et 13 000 en 2016. Sachant que le coût annuel d’une prise en charge, prévue dans le cadre de l’Aide sociale à l’enfance (ASE), atteindrait 50 000 euros par an, la facture devrait frôler les 2 milliards d’euros à la fin de l’année. L’aide de l’Etat aux départements n’est que de 17% de la dépense (340 millions) selon les dernières propositions de Jacqueline Gouraud, ministre des Territoires. A ces 340 millions, s’ajoutent 240 millions d’euros de frais d’ « évaluation » payés par l’Etat avant placement dans les services sociaux des collectivités.

La morale de cette affaire est qu’en 2018, l’Etat a su budgéter environ cinq milliards d’euros pour financer l’immigration, mais cherche désespérément une somme équivalente pour financer les retraites que ces mêmes immigrés sont censés contribuer à payer. Et quand ce même Etat affirme vouloir financer la perte d’autonomie des personnes âgées, c’est encore vers les retraités qu’il se tourne.  Il faudrait que l’Etat comprenne qu’il ne peut mener une couteuse  politique migratoire qui semble n’avoir d’autre but que de faire baisser les salaires des autochtones, tout en exigeant toujours plus de taxes de ces mêmes autochtones et toujours plus de réduction des avantages acquis. La révolte des gilets jaunes est née d’une contradiction similaire. »

Les clandestins mineurs pourront faire venir leur famille selon la Loi Asile et Immigration

Décryptage de la loi « asile-immigration » du gouvernement Philippe par Jean-Paul Gourévitch sur Radio courtoisie en mai 2019. A leur majorité, les « mineurs isolés » clandestins pourront faire jouir du regroupement familial leur famille restée au pays. Un des points méconnus de cette loi.