Les corps de la Danoise Louisa Vesterager Jespersen, 24 ans, et de la Norvégienne Maren Ueland, 28 ans, ont été découverts le 17 décembre dernier près d’Imlil, un village situé à 80 km environ au sud de Marrakech.
(…) Une vingtaine de personnes ont été arrêtées pour leurs liens présumés avec les assassins et pourraient notamment être inculpées de soutien au terrorisme.
Durant une brève audience organisée à Sale, près de Rabat, Abdessamad Ejjoud et Youness Ouziyad ont admis avoir attaqué et décapité les deux jeunes femmes. Un troisième suspect, Rachid Afatti, a dit avoir effectué l’enregistrement des meurtres. «J’en ai décapité une (…), je regrette», a déclaré Abdessamad Ejjoud. «Ouaziyad a tué l’autre» fille, a-t-il ajouté. «Nous aimions l’EI et nous priions Dieu pour lui.»
Le trio a filmé la décapitation d’une des deux victimes et diffusé les images sur les réseaux sociaux. Une autre vidéo publiée dans la foulée montre leur serment d’allégeance à l’EI, aux côtés d’un quatrième prévenu Abderrahim Khayali, 33 ans, qui les avait accompagnés dans le Haut-Atlas mais les avait quittés avant l’agression des deux touristes.
(…) Issus de milieux modestes, avec un niveau d’instruction très bas, les principaux suspects vivaient de petits boulots dans des quartiers déshérités de Marrakech, destination touristique phare du royaume.
A sa sortie de prison M. Ejjoud est devenu vendeur d’oranges pressées, à la sauvette, devant des mosquées de Marrakech (…) Il est ensuite devenu imam. Il avait auparavant suivi un enseignement dans une école coranique à Marrakech, affiliée à une association salafiste connue au Maroc pour son hostilité au jihadisme et son rejet de toute forme de violence.
C’est à cette période qu’il a décidé de rejoindre les territoires occupés par le groupe État islamique en Irak et en Syrie. Il a finalement renoncé, faute de passeport. « J’ai décidé de faire le jihad ici », au Maroc, en ciblant des « étrangers », a-t-il expliqué. « Nous avions essayé de fabriquer une bombe mais ça n’a pas marché. » Il a ensuite expliqué s’être réuni avec des membres de la cellule pour « visionner » des « vidéos de l’EI ». « On s’est dit qu’on allait attaquer des chrétiens, parce qu’ils tuent des musulmans là-bas (en Syrie), détruisent mosquées et hôpitaux », a-t-il ajouté.
Un « appel à la prière » musulmane a été chanté dans la cathédrale Saint-Louis des Invalides le mercredi 22 mai. Il s’agissait d’un concert pour le vingtième anniversaire de la paix au Kosovo. La paix, mais quelle paix ?… Le Kosovo est-il en paix ?… Cela se saurait.
La guerre du Kosovo a débuté en 1999 par une agression par les Albanais (musulmans) contre la Serbie orthodoxe, hors tout cadre légal.
Cette guerre a été financée par les USA qui ont armé l’UCK. Nous avons notre part de responsabilité dans cette boucherie : nous sommes allés donner un morceau du berceau civilisationnel de la Serbie, notre alliée traditionnelle, aux Albanais. Quelle trahison !
Le Kosovo a par la suite proclamé unilatéralement son indépendance le 17 février 2008 face à la Serbie qui s’y opposait totalement. Les racines millénaires de la Serbie sont systématiquement détruites par le Kosovo dans un silence général. Le Kosovo est gangrené par la corruption, l’absence d’un État fonctionnel et autres maux endémiques.
La paix n’est donc pas encore là, quoi qu’on en dise. À l’heure où se tenait ce concert, il y a toujours et plus que jamais, des troubles entre la Serbie et le Kosovo.
La tension est au plus fort en ce moment même dans la partie du Kosovo (1, 800 000 habitants) peuplée majoritairement de Serbes (ils sont 120 000) à la suite d’une énième opération de police kosovare qui aurait mal tourné. Le président serbe a déclaré qu’il était prêt à agir et sur le pied de guerre.
Et pendant ce temps, à Paris, on a pris le parti des Albanais, dans cette cérémonie humiliante pour la Serbie… et donné des gages à l’islam conquérant.
Cet appel à la prière était inscrit dans le cadre d’un concert intitulé « l’homme armé, messe pour la paix » de Jenkins, organisé par l’ambassade du Kosovo à Paris.
Certains disent que l’évêque aux armées n’était pas au courant de ce concert dans la cathédrale de son diocèse. On a du mal à le croire. L’interlocuteur privilégié est le général Le Ray, gouverneur militaire de Paris. C’est de lui que dépend le musée de l’armée qui gère la cathédrale.
Tiens, tiens, le général Le Ray ?… Oui, celui-là même qui s’est opposé à l’engagement des militaires de Sentinelle présents sur place contre les terroristes du Bataclan. La police en avait fait la demande à la préfecture de police de Paris. La réponse avait été rapide : « Négatif. On n’est pas en zone de guerre. » Un général inconscient, le massacre par les terroristes de 130 personnes, avec 413 blessés, dont certains torturés, si ce n’est pas la guerre, qu’est-ce alors ?…
Le général Le Ray prétend n’avoir jamais reçu cette demande d’engagement mais ajoute « il est impensable de mettre des soldats en danger dans l’hypothétique espoir de sauver d’autres personnes. Ils n’ont pas vocation à se jeter dans la gueule du loup ».
C’est une vision abjecte du rôle des militaires. La réactivité, l’improvisation ont été les mots d’ordre de nos militaires dans des conflits où rien ne se passe jamais comme prévu. Et pourquoi alors a-t-on envoyé les deux commandos Hubert se faire tuer tout récemment s’il n’y a pas l’espoir de sauver des vies ?… Et le colonel Beltrame ?…
Grâce à cette forfaiture du général Le Ray, contre laquelle du reste une plainte a été déposée, les terroristes du Bataclan ont eu les mains libres pendant plusieurs heures.
C’est ce même général Le Ray qui, par contre, justifie une éventuelle intervention de l’armée contre les Gilets jaunes…
Avec un tel chef, plus attentif à l’ennemi qu’à ses compatriotes, qu’il est censé défendre, on ne se sent pas trop en sécurité…
(appel à la prière)
Quant à la cathédrale des Invalides, elle n’a pas vocation à entendre résonner dans ses voûtes un chant ennemi. Des siècles d’histoire militaire de France imprègnent ces lieux. Une histoire au cours de laquelle l’islam a été bien souvent notre ennemi…
Car que dit l’appel à la prière islamique ? « Allah est le plus grand ». « il n’y a de dieu qu’Allah ». C’est donc une déclaration de guerre contre notre civilisation qui est formulée dans cette « prière » qui n’en a que le nom et qui est en réalité un appel à la guerre.
Tout ce qui s’est passé au Kosovo risque de se produire demain en France : invasion, occupation, expulsion des habitants non musulmans.
Mais le gouverneur militaire de Paris, le général Le Ray, n’en a cure et laisse chanter à Saint-Louis des Invalides les chants guerriers de nos ennemis, les chants par lesquels depuis « le beau modèle » ils se rassemblent, et se comptent avant de partir vers leurs razzias, leurs pillages, leurs guerres.
Ce comportement dhimmi dans les murs de Saint-Louis des Invalides, c’est pire qu’à la prise de Byzance, où les chrétiens s’occupaient du sexe des anges pendant que l’ennemi prenait les lieux. C’est pire qu’au Kosovo, car au moins la Serbie, elle, ne se résigne toujours pas.
Allons-nous avoir un sursaut ?… Sinon, vae victis, malheur aux vaincus.
Un mineur isolé de 17 ans a interpellé lundi matin, peu après 10 h 30, boulevard Jacques-Portet à Angers. Soupçonné de vol avec violences et de viol, il a été placé en garde à vue. Il doit être déféré mercredi matin. Il devrait être mis en examen et placé en détention provisoire.
« Mineur isolé » : clandestin agressif d’Afrique dans la novlangue cosmopolite.
Les faits reprochés remontent à la nuit du samedi 11 au dimanche 12 mai et se sont déroulés en deux actes. Aux alentours de 3 h 30, une femme de 21 ans quitte la boîte de nuit où elle a passé la soirée, en plein centre-ville d’Angers. Elle se dirige, à pied, vers la place Imbach, où elle a garé son véhicule,
La jeune femme se sent suivie mais continue son chemin, jusqu’à sa voiture dans laquelle elle s’installe. C’est alors qu’elle est abordée. Un garçon lui demande son portable, pour téléphoner. Elle refuse mais l’agresseur parvient à lui arracher des mains et à partir à toutes jambes.
Courageuse, la jeune fille se lance à ses trousses. Elle le rattrape. Il trébuche, fait tomber le téléphone, se relève. Il envoie alors un coup de poing à la jeune femme et parvient enfin à se volatiliser dans la nuit.
L’acte second, criminel, survient moins de deux heures plus tard. Il est maintenant 5 heures du matin. Une autre jeune femme, 26 ans, sort à son tour d’une boîte de nuit de l’hypercentre d’Angers. Elle file chez elle mais est abordée en chemin. Un garçon veut lui parler. Elle poursuit son chemin. Là encore, elle est suivie. Jusqu’à la place François-Mitterrand, puis jusqu’au parc du même nom, situé entre la CNP et la bibliothèque universitaire. Ici, près d’une grande esplanade, l’agresseur passe à l’action. Il coince sa victime, la frappe, la menace d’un couteau. Il la viole et prend à nouveau la fuite.
Le dimanche matin, la seconde victime est prise en charge par médecins et policiers. Les premiers effectuent des prélèvements, en quête d’ADN. Les seconds se lancent dans une rapide et minutieuse enquête. Sur les lieux du crime, les policiers retrouvent les sous-vêtements de la victime. Grâce à son témoignage, ils retrouvent son itinéraire dans les rues d’Angers. La vidéosurveillance de la ville, de Keolis et de la CNP est exploitée. La victime est aperçue sur les images, puis le suspect. Les prélèvements s’avèrent également utiles. L’ADN est connu, le suspect identifié. Son signalement est largement diffusé.
Le dimanche après-midi, la première victime vient à son tour déposer plainte. Si les faits ne sont pas du même ordre, le modus operandi fait tilter les enquêteurs. La photo du suspect identifié permet à la victime de confirmer qu’il s’agit de la même personne. Dans la même nuit, l’agresseur a d’abord volé, puis violé. Identifié, il a ensuite été localisé et interpellé, lundi matin.
Le suspect est un garçon de 17 ans, se disant d’origine malienne et arrivé en France en 2018. Il est depuis pris en charge par l’aide sociale à l’enfance. Si son ADN était connu, c’est qu’il avait déjà – beaucoup – fait parler de lui. Depuis décembre 2018, il a été interpellé à trois reprises pour des faits de violences, de vol, d’usage de stupéfiants et de port d’arme.
Malgré les preuves accumulées contre lui, il nie, en garde à vue, les faits de la nuit du 11 au 12 mai.
Rien n’a changé. Certes, Macron a remplacé Hollande, Philippe Ayrault, le kakou de Manosque, Cazeneuve, mais les journaleux jouent le même air de serinette. Cela signifierait-il que leurs patrons sont les mêmes ? Sans doute. Dès qu’explose une bombe dans la foule ou que deux ou trois mécréants se font égorger à l’arme blanche, ils racontent la même histoire. Que les faits se passent en été ou en hiver, le jour ou la nuit, à Paris ou en province, dans une métropole ou à la campagne, le récit est identique, au kasra près, comme s’il avait été écrit une fois et valait pour toutes les autres fois, quels que soient circonstances, hasards, aléas, lieux, temps. Le criminel n’a pas de prénom ; il n’a surtout pas de patronyme ; il n’a pas de nationalité, bien qu’il ne soit pas apatride. C’est toujours un jeune, même s’il a plus de trente ans ; il est étudiant, même s’il ne fait pas d’études ; etc. C’est toujours un brave garçon, il est modéré en tout, mais pas modérément musulman, il déteste la violence, sauf quand elle frappe les Juifs. Toute la famille et les voisins attestent qu’il est innocent, qu’il ne peut pas avoir commis cela, qu’on lui impute des crimes commis par on ne sait qui, peut-être un Juif. Même les imams qui le connaissent bien sont près de mettre leur main au feu ; etc. Vous connaissez le refrain. Allez-y, poussez la chansonnette ; les médias vous ont donné le la.
Le journal Aujourd’hui en France publie dans son édition du mardi 28 mai 2019, à la page 15, le témoignage d’un dénommé Islaam* (*sic, le nom n’a pas été changé). C’est le « meilleur ami » d’Hichem* (*le prénom a été changé, il se nomme Mohammed, Mohammed Hichem M.). Islaam est resté à Oran, Mohammed Hichem est récemment venu en France (invité par Macron ?), où il est en situation irrégulière* (*mais, chut, cela ne se dit pas).
Cet Islaam déclare : « Quand bien même il aurait des compétences pour fabriquer une bombe, jamais il ne ferait de mal à quelqu’un ». Oui, vous avez bien lu, un journaliste s’est déplacé à Oran (Algérie) pour recueillir ce témoignage, qui a déjà été écrit mille fois après des attentats, et un journal français a accepté de le publier… Les médias ont décidé de ne déplaire en rien au pouvoir.
Islaam continue en ces termes : « Hichem* (*le prénom a été raccourci en Hichem, sans doute pour effacer l’islamité du tueur) n’est pas du tout un extrémiste. Il n’a jamais été violent, tout le monde l’adore ici. Il est musulman, fait la prière et le ramadan, mais il n’est pas du tout extrémiste. Lorsqu’on discute de religion, c’est pour parler du prophète et des versets du Coran, mais pas de l’État islamique ».
Il semble que l’auteur du crime ait été logé rapidement par la police, mais il n’a été interpellé que le lendemain des élections : aurait-il pu l’être dès la veille ? Nul ne le sait et le secret sera bien gardé. Ce que le pouvoir a condescendu à apprendre aux Français, c’est qu’un suspect avait été arrêté le lundi matin à 10 heures et que ce suspect était surveillé depuis quelque temps déjà (un jour ? deux jours ?). Pendant 24 heures, alors que ce suspect avait un prénom, un nom, une nationalité, ce qui a été appris aux Français, c’est qu’il était étudiant en informatique. Lundi soir ou mardi matin, le pouvoir a condescendu à dire qu’il était d’origine algérienne (en réalité, il est algérien et il n’est en France que depuis moins de deux ans et y séjourne illégalement : mais chut…). On a eu aussi l’heur d’apprendre son prénom : Hichem, mais pas son patronyme – il faut protéger sa famille, peut-être complice… Il serait même surveillant dans un établissement scolaire : clandestin, poseur de bombes qu’il fabrique lui-même, il est recruté par des fonctionnaires de l’Éduc-Nat. On a fait un procès à Barbarin pour ne pas avoir dénoncé un pédophile. L’Éduc-Nat fait mieux : elle recrute des tueurs pour surveiller les élèves. Mais les complices des tueurs ne sont pas près de répondre de leurs actes devant un tribunal.
Pour les journalistes (et le pouvoir ?), ce Mohammed Hichem dont le patronyme a été raccourci en M (comme M le Maudit ?) aurait un profil « intrigant » : ils n’arrivent pas à comprendre ce qui a pu le pousser, alors qu’il roulait à bicyclette en zélé écolo urbain, obéissant aux consignes des Verts, à déposer une bombe dans la foule. Et pourtant, Islaam révèle tout : musulman, prière, ramadan, Coran, prophète. Les cinq ingrédients du crime sont cités : il n’en manque aucun. Ce sont ces ingrédients-là qui font tous les crimes de masse, de guerre et contre l’humanité, depuis 30 ans ou plus. Que leur faut-il donc ? Le meilleur ami leur fournit d’Oran toutes les explications et ils refusent de les prendre en compte. Ils en veulent d’autres. Lesquelles ? Agoraphobie peut-être ? Ou bien haine vouée à ceux qui marchent dans les rues, alors qu’ils devraient se balader à vélo, s’ils étaient de bons Verts.
Ben quoi, le Hichem, il est gentil tout plein… C’est un bon musulman, il fait la prière et même le ramadan, c’est dire…
Violent, lui ? mais non, c’est une « pâte »… pas du tout extrémiste… d’ailleurs, avec lui, on parle du « prophète et du Coran »… Tenez, on parle souvent de la sourate 8, et de la 9, et de la 14… vous savez, celles qui disent qu’il faut châtier voire éradiquer les méchants, les infidèles, les non croyants… vous voyez… un musulman ordinaire…(1)
En plus, il sait tout faire… et serviable avec ça : pour vous fabriquer une valise piégée, il est au top !
Ben quoi, son ami, à Hichem, qui nous bassine avec ces salades complaisamment rapportées par un journaliste pestilentiel et lécheur de babouches du « Parisien », il est pas mignon ? Et humain avec ça… Il défend bien son « frère » de religion qui a seulement attenté à la vie de deux douzaines de Lyonnais, les blessant grièvement parfois, tout ça au hasard de sa balade à vélo ? une broutille, quoi…
C’est-y pas beau, tout ça… Un musulman ordinaire, vous dis-je… D’ailleurs les merdias-valetaille du pouvoir, tout comme le danseur de slow langoureux de Beauvau ne se sont même pas aperçus que c’en était un ! C’est dire…
Bon, d’accord, le Hichem, il est un produit frelaté venu d’Algérie, illégalement en France, et nourri sans doute par l’assistanat social qui tue nos finances publiques pour engraisser les canailles africaines, islamiques ou pas…(2)
Il était planqué dans sa famille qui semble avoir été parfaitement complice du bonhomme… On ne sait pas de quoi vit cette famille algérienne implantée en France de manière totalement inutile et inopportune, mais on sait que le petit frère, étranger lui aussi, bénéficiait de l’enseignement laïque et gratuit de notre pays… que, par ailleurs, il voue aux gémonies comme son grand frère, potentiel assassin musulman…
C’est-y pas beau, la France de Giscard, de Mitterrand, de Chirac, de Sarkozy, de Hollande de Macron : une bande de dégénérés venus d’Algérie occupe un logement, s’accroche à l’assistanat social, se fait soigner gracieusement (CMU oblige), profite des structures sociales, éducatives, économiques de notre pays… et le récompense en essayant de tuer des citoyens bons français, honnêtes et travailleurs, qui ne leur demandaient rien après leur avoir donné le fruit de leur travail, de leurs impôts et autres cotisations sociales…
D’accord, ce lundi, grâce à l’action efficace des enquêteurs, « on » l’a arrêté après l’avoir identifié dès samedi, notamment par l’étude d’images de caméras de surveillance que le maire de Lyon, Gérard Collomb, a qualifiées de « claires » (3)… Étonnant, non ?
Et il y a encore des gens pour voter pour le freluquet histrionique de l’Élysée, qui est responsable de tout cela, et de ses complices, les soumis à l’islam de Mélenchon, Hamon, Glucksmann, et les prébendiers écolos, encore plus immigrationnistes et islamophiles que les précédents ?
J’hésitais entre deux sujets ce matin, l’attaque de Marlène au plus profond du lit conjugal me semblait plutôt séduisante, j’aurais tellement aimé vous apprendre que, telle Marylin Monroe, pour dormir, elle ne se pare que de Chanel N° 5, mon stylo me picotait déjà au bout des doigts, mais j’ai déjà assez barbouillé à son sujet et je n’aime pas me répéter.
Dans mon « milieu », on ne dit pas de mal des gentils étrangers, on les aide, on collecte les savons miniatures pour les apporter dans les camps de réfugiés, on organise des réunions de voisinage pour « mieux intégrer nos nouveaux voisins » (courte pause RT&B) (Traduction : rendu tripes et boyaux), et surtout, surtout, on s’en vante ! Très important. Majeur. Capital. Le but ultime. Fondamental. Essentiel. S’il le faut, on poste sur Facebook, afin d’en informer l’humanité toute entière. Photos à l’appui. Inutile de dire que je suis considérée comme une rebelle et que beaucoup de mes amis ne me parlent plus. Ne sont donc plus mes amis. Si on le fait, on me sort invariablement « ne fais pas l’amalgame ». Encore un mot que je ne supporte plus ! Eh bien moi, j’ai du mal à ne pas confondre, vous voyez ? Au contraire, je combine, je rapproche, j’associe, je confonds, je fusionne. J’aime bien cette expression entendue en Allemagne (je sais, on n’aime pas ici, eh bien moi, si !). « Alle in einem Sack, und wenn du darauf haust, triffst du immer den richtigen ». Traduction : « Tu les fourres tous dans un sac, tu donnes un coup et tu es sûr de toujours cingler le bon ! ».
Dans le cas de l’explosion de Lyon, ce qui m’a immédiatement convaincue d‘en faire un papier, c’est la constance avec laquelle les médias évoquent les blessés »légers » ! Léger pour vous peut-être.
De nombreux témoignages décrivent la projection de pièces métalliques lors de l’explosion. « On retrouve des clous un peu partout dans la rue, il y en a même jusque devant chez nous », raconte un autre témoin.11 personnes ont été transportées vers les hôpitaux. Effectivement, recevoir une douche de clous, de crampillons, de chevilles, de vis, d’agrafes, de boulons, de crampons et de punaises dans le portrait, ce n’est vraiment pas grave. Pas la peine de s’affoler. De faire tout un cinéma. Surtout quand une petite fille de huit ans est criblée de pointes et de rivets. Léger ! J’aimerais assez que l’un de ces présentateurs imbuvables – je crois que je vais leur consacrer un article entier tellement ils me débectent (toute information à ce sujet bienvenue) – se retrouve dans la même situation « légère » : On en ferait probablement tout un débat (un « grand », bien sûr !).
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais pendant des jours, la police nationale a diffusé un appel à témoins de piètre qualité alors qu’elle disposait d’images parfaites. On fournit aux cloches de téléspectateurs ignares une photo totalement floutée alors que d’autres, bien plus précises, attendent patiemment dans un tiroir, question que l’événement passe de mode, que plus personne ne s’y intéresse. Ben oui, on attend juste après les élections pour avouer qu’il s’agit de nouveau, encore et toujours, comme d’habitude, d’un des invités bistrés de sa majesté, question de récolter une voix supplémentaire. De faire croire qu’il s’agit peut-être d’un vilain suédois, pire encore d’un danois mal élevé.
(Je profite de l’occasion pour me demander comment il est possible que tant de français aient voté pour LaRem. Aucune colère au ventre ?) Attaque à Lyon : Explosion d’un colis piégé, plusieurs suspects algériens interpellés. Hichem le terroriste expert en « quincaillerie et outillages en tous genres » est venu en France grâce à un visa étudiant. Encore une chance pour tout le pays.
J’entends autour de moi : « mais ils ne sont pas tout comme cela, ils ne sont pas tous des terroristes, certains sont gentils, super ! » Oui, mais si aujourd’hui, on risque à tout moment de s’asseoir sur les bancs de la fac à côté d’un « gentil » muzz modéré, on fait comment, pour désamalgamer ? Un méchant terroriste sous les traits d’un prince charmant ? Un homme de 24 ans. Interpellé lundi matin à la descente d’un bus, dans le 7e arrondissement de Lyon. Le vélo adroitement dissimulé derrière le gourbi. D’après les informations du Figaro, il était sous surveillance depuis dimanche. Il a été placé en garde à vue à Lyon, et sera transféré à Paris à l’issue d’une première audition. Étudiant en informatique, de nationalité algérienne, inconnu des services de police ou de gendarmerie. Je me tais au sujet de Marlène, fort en thème du ministère, mais je ne peux m’empêcher d’évoquer ici les déclarations de deux autres personnages tout aussi déplorables.
CASTATROPHE : Colis piégé à Lyon : « un suspect vient d’être interpellé. Je salue la mobilisation de la SDAT, de la police judiciaire de Lyon et de la DGSI, co-saisies par la section antiterroriste du parquet de Paris. Leur action conjointe est déterminante ». Ajoutant une phrase débile de plus : « les motivations de son acte restaient encore inconnues ». Et c’est pour dire ce genre d’ânerie que vous êtes ministre ? Un simple d’esprit peut vous les citer, ses motivations. La haine, par exemple ?
« L’enquête se poursuit, il ne m’appartient pas de vous en dire plus sur le profil de l’individu », a déclaré le puits de science accouru à Lyon pour faire le point de l’enquête. (Il faisait déjà noir, à son arrivée, quelqu’un peut me dire s’il était encore en état de faire un point, quel qu’il soit ? J’ai entendu dire qu’à cette heure-là, il était déjà pas mal imbibé, d’habitude). « Rien pour l’instant n’est établi. J’appelle chacun à respecter le temps de l’enquête », a-t-il insisté. Appelez toujours, ca m’intéresse.
Second personnage tout aussi navrant, Gérard Collomb sur l’explosion à Lyon: « Ça aurait pu être pire » ! (Courte pause RT&B). Pire que quoi ? Pire que de voir sa petite fille mitraillée de clous de charpente ? De l’entendre hurler de terreur ? Encore affalé dans son supersonique first class, il avait fait dire: « ce genre de chose n’est jamais arrivé à Lyon, c’est incompréhensible !!! « On ne s’attend pas à ce qu’il y ait comme cela une attaque qui puisse se passer au centre-ville de Lyon » (Vous, peut-être, Monsieur Collomb, retour du Japon, moi, en revanche, je m’y attendais, curieux, non ?). Le déplacement à l’occasion du 60e anniversaire du jumelage entre Lyon et Yokohama avait été voté quelques heures avant le décollage de l’avion officiel, le montant estimé à 70 000 euros. Ce que n’a pas manqué de souligner Isabelle Granjon qui a par ailleurs demandé le coût du voyage. L’adjointe déléguée aux relations internationales n’a pas voulu donner le montant expliquant ne l’avoir “qu’en yen”. Excellent, celle-là je ne l’avais jamais entendue. Et pendant ce temps, un petit malin enfourchait sa bécane pour aller faire son marché à la quincaillerie.
Autre élément indispensable et omniprésent après un attentat, l’interview des proches, des voisins, qui tous, affirment la gentillesse, l’innocence et la courtoisie du suspect. Ici, son meilleur ami. Islaam, 23 ans, habitant d’Oran d’où le suspect est originaire. Le Parisien l’a contacté ce lundi soir. « Je suis sous le choc et je ne peux pas croire qu’il soit responsable. Il y a peut-être une erreur. Hichem, c’est comme mon frère. Il n’a jamais été violent, tout le monde l’adore ici. Il est musulman, fait la prière et le ramadan, mais n’est pas du tout extrémiste. (Rama-quoi ? Mais bien sûr, il devait avoir faim, circonstance atténuante, tout à fait à propos!)
Ce matin même Castatrophe affirme « n’avoir pas de doute » que le suspect en garde à vue est « le responsable » de l’attaque au colis piégé qui a fait 13 blessés vendredi à Lyon. Le stratège barbu a parlé !
Macron-le-grand-perdant-qui-va-devoir-faire-un-effort-pour-la fermer-plus-souvent a évoqué « une attaque », mais pas de mort « à ce stade ». Et tourne la page, vraiment pas la peine de se fatiguer. Autre chose à faire. Il y a Notre-Dame à rafistoler, plus que 4 ans et 10 mois ! Alors que l’enquête se poursuit, quatre personnes ont été interpellées aujourd’hui, les auditions sont en cours. (Remarque à l’attention des policiers : vers 21 heures, n’oubliez pas de leur proposer un plateau abondant, il ne faudrait tout de même pas rompre leur noble tradition de ramagrandebouffe). L’explosion du colis a fait 13 blessés « extrêmement légers », j’insiste, dont une petite fille. Le suspect algérien réside à Oullins dans la banlieue de Lyon. Il serait en école d’informatique. Je suppose qu’alors que vous êtes en train de me lire, vous vous rendez aussi compte que c’est vous qui financiez ses études, et tout ce qui va avec. Et qu’à présent, c’est vous aussi qui allez débourser pour son séjour à l’ombre.
Pierre Cassen analyse, dès 20 h 40, les résultats des élections européennes. S’il se réjouit de la défaite de Macron, il refuse de se laisser aller à cette seule satisfaction. Il constate, avec des chiffres effrayants, que plus de la moitié de nos compatriotes votent pour les écolos et leur imposture climatique et pour des lèche-babouches immigrationnistes. D’où son énorme coup de gueule contre 13 millions d’électeurs français.
Certes, Macron est battu, alors qu’il avait mis tout son poids dans cette bataille. C’est, il ne faut pas le cacher, un camouflet pour le Président de la République, qui rêvait de devenir le leader mondial contre ce qu’il appelait la peste populiste.
Je sais que de nombreux compatriotes préféreront ne voir que cela, et je comprends leur joie, due en particulier aux qualités surprenantes du jeune Jordan Bardella, véritable révélation de cette élection. C’est ce qu’exprimeront dans ce numéro Jacques Guillemain et Benoit Rayski, dans deux registres différents.
Pourtant, j’avoue partager en grande partie la frustration exprimée par Pierre Cassen, dans sa vidéo du soir (qui devrait nous parvenir dans quelques minutes) où notre fondateur ne cache pas sa rancoeur, et sa colère, devant le résultat de cette élection.
Qui peut se réjouir, alors que nos compatriotes sont matraqués fiscalement, croulent sous les impôts, quand l’électricité va encore augmenter de 5,9 % au 1er juillet, après 6 mois de Gilet jaunes où Macron a été malmené comme rarement un président l’a été, que ce dernier perde à peine 2 % par rapport à son score du premier tour de l’élection présidentielle ?
Mais surtout, et c’est là la grande colère de Pierre, dans cette vidéo qui fera date, qui peut se réjouir que les écologistes dégénérés puissent atteindre un score de 13 % ? Certes, et c’est une des rares satisfactions de la soirée, Mélenchon et sa potiche Manon Aubry se prennent une belle gamelle, à 6,5 %, bien loin des 19 % de la présidentielle. Bien fait pour lui, pour ses compromissions avec Obono et les islamistes. Il paie la note. Mais Glucksmann à 6,5 % se voit rembourser ses frais de campagne, et aura des députés au Parlement européen, qui vont rapporter chacun 600.000 euros par élu, pendant 5 ans. Et si on ajoute aux 3 % de Hamon (pourvu qu’il ne soit pas remboursé, ce roquet) et les 2,5 % de Brossat (au moins, lui, il ne passera pas à la caisse), on arrive quand même à plus de 30 % de nos compatriotes qui votent pour des partis qui veulent nous imposer la dictature climatique, la submersion migratoire et la soumission à l’islam. Et si on ajoute à cela les 22 % des électeurs de Macron qui, sur ces sujets, sont sur la même ligne, on arrive au résultat épouvantable de 55 %.
6 mois de Gilets jaunes, les attentats islamistes, 450.000 immigrés, soit une ville comme Toulouse, le prix de l’essence qui bat tous les records, les prix qui explosent, Macron qui insulte la France et méprise les Français, les exploits de Sibeth Ndiaye, Castaner, Belloubet… et nos compatriotes continuent à voter comme des ânes pour la majorité d’entre eux ! Nos enfants, nos parents, nos voisins se font insulter, agresser, parfois tuer, et ceux qui nous envoient à l’abattoir, les Macron, Jadot, Mélenchon, Hamon, Glucksmann, Brossat, obtiennent la majorité des voix.
Nos gosses sont de plus en plus minoritaires dans nos écoles, ils vont le devenir encore davantage, avec tout ce que cela va impliquer pour eux, et 55 % de crétins votent pour ceux qui les mettent en danger !
Zemmour a démonté Cohn-Bendit en beauté, Jordan Bardella a ridiculisé Loiseau tout au long de la campagne, et cela ne fait que 2 % d’écart !
Certes, on pourrait se réjouir, ce que n’a pas fait Pierre dans sa vidéo, que le tricheur Macron, qui a monopolisé les ondes pendant le Grand débat, comme son copain BHL, et qui a eu la mesquinerie de compter le temps de parole de Bannon dans celui du RN (via ses copains du CSA), et que cette défaite soit un camouflet pour lui. Je suis sans illusion, et n’ignore pas que dans certains bureaux de vote, trop nombreux, il y a des entourloupes, avec des bulletins manquants pour le RN, pour DLF et parfois même pour la France Insoumise. Mais on ne peut se réfugier dans ces excuses, pour refuser de voir l’essentiel.
Que, dans le contexte actuel, le RN fasse 2 % de moins qu’en 2014 ne peut, au-delà de sa victoire du jour, qu’il faut savoir apprécier, réjouir nos compatriotes qui veulent sauver le pays.
Force est de le constater, même dans les urnes, la majorité des Français se comporte comme des Collabos et des Soumis, alors qu’ils ont tous les moyens de savoir que nos dirigeants sont en train de les vendre et des trahir. 55 % d’abrutis, soit 13 millions d’électeurs !
C’est dire l’ampleur du travail qui demeure à faire…
Merci à Pierre Cassen d’avoir aussi bien décrit ce que c’est de vivre en France. A partager le plus possible.
Un duel sans concession a eu lieu, le 3 octobre 2013, au casino de Montreux (Suisse), entre Pierre Cassen et Hani Ramadan, sur le thème : « Faut-il interdire aussi la burqa en Suisse Romande ? ».
Pierre Cassen est le fondateur de “Riposte Laïque”, une organisation française dédiée à la défense de la laïcité et de la démocratie, donc à la lutte contre l’islam.
Hani Ramadan est un prédicateur musulman installé en Suisse, petit-fils d’Hassan El-Banna, le fondateur des “Frères musulmans”, une organisation totalitaire visant à établir un califat musulman sur l’ensemble de la planète.