Pacte mondial sur les migrations : au mépris de la souveraineté

Source : boulevard Voltaire.

Emannuel Macron s’apprête à signer le pacte mondial sur les migrations, rédigé sous l’égide de l’ONU. Notons, tout de suite, que, des États-Unis à la Chine et au Japon, en passant par l’Arabie saoudite, Israël et leurs voisins – l’Europe très impolie : Autriche, Hongrie, Pologne, Italie, etc. -, nombreux sont les pays refusant de s’y engager. Les Tchèques, les Belges, les Bulgares, la Croatie, l’Australie, le Japon et même les Suisses envisagent aussi de s’en abstraire, refusant de faire de ce texte une loi qui leur soit imposée.

Car il s’agit bien d’en faire loi ! Contrairement à ce que déclare Emmanuel Macron, pour qui « le pacte pour les migrations n’est pas juridiquement contraignant. Structuré en 23 objectifs, il ne créé donc pas d’obligations nouvelles, mais énonce des principes généraux censés permettre “des migrations sûres, ordonnées et régulières”. »

Voyons d’abord ce que dit le CICR (Comité international de la Croix-Rouge) : « Les migrants ont besoin de protection et d’assistance du fait de la dégradation de leurs conditions de vie. » Va comprendre ! Il semble exprimer ici que migrer nuit aux gens qui le font. On nous aurait trompés ? Le CICR s’interroge ensuite quant au moyen visant à améliorer les conditions de vie « dans les pays d’origine ». Songe-t-il au retour de la Françafrique ou de la colonisation ? On se le demande…

Le comble de la position de la Croix-Rouge réside, cependant, en leur compréhension du droit des nations. Car si « le pacte mondial réaffirme le droit souverain des États de définir leurs politiques migratoires nationales et leur droit de gérer les migrations relevant de leur compétence, dans le respect du droit international », le CICR, quant à lui, affirme benoîtement que « ce droit [souverain] n’est pas absolu ». Ainsi les nations « doivent[-elles] toujours respecter les droits des migrants » – comprendre leurs droits au-dessus des droits souverains.

Et « s’il relève de la prérogative souveraine des États de réglementer la présence d’étrangers sur leur territoire et de décider des critères d’admission et d’expulsion des non-ressortissants, y compris de ceux qui ont un statut irrégulier, cette prérogative n’est cependant pas absolue et le droit international prévoit un certain nombre de limites ».

Si cette soumission du « souverain » à « l’international » n’est pas chose nouvelle, Emmanuel Macron sera le premier à s’abriter derrière ces obligations pour nous imposer mille maux et mille morts…

Emmanuel Macron ou LR ! Car si Laurent Wauquiez joue maintenant les matamores sur ce sujet, le groupe du PPE (Parti populaire européen) approuva, au printemps 2017, la résolution « Gérer les flux de réfugiés et de migrants : le rôle de l’action extérieure de l’Union » – les seuls qui s’y opposèrent furent les députés français du groupe ENL (Europe des nations et des libertés) -, laquelle contient approbation du Parlement envers les travaux des Nations unies en vue d’un pacte mondial sur les migrations.





Faut-il croire au réchauffement climatique ?

Cette video très explicite, vulgarise le phénomène et explique très bien comment ça se passe. Au final oui il y a bien un phénomène de réchauffement climatique….On va devoir tous faire un gros effort !

Version inverse ci-dessous :
Il faut en finir avec l’obsession climatique. Arrêter de faire peur aux gens en les rendant responsables de la fonte des glaciers et de la montée des océans quand ce n’est pas du trou dans la couche d’ozone. Des scientifiques de plus en plus nombreux dénoncent une manipulation à l’échelle mondiale.

https://ripostelaique.com/quon-arrete-de-nous-enfumer-avec-le-rechauffement-climatique.html





Pourquoi Ruquier a t-il ciré d’un coeur léger les bottes du général de Villiers?

La faveur unanime avec laquelle les médias les plus inféodés à la Macronie traitent le général de Villiers en dit long sur la disponibilité de ce militaire en cas de basculement du pays à droite, mais surtout sur le cynisme du système industriel et bancaire atlantiste qui entend garder la main. Campagnol 502





Pour le gilet jaune Chalençon, le général de Villiers serait un bon Premier ministre : il a raison !

Source: Boulevard Voltaire (3/12/18)

Sur Europe 1, le 3 décembre, Christophe Chalençon, porte-parole du mouvement des gilets jaunes dans le Vaucluse, a plaidé pour « la démission du gouvernement actuel », proposant un nom pour le remplaçant d’Édouard Philippe. « Moi, je verrais bien un général de Villiers à la tête du gouvernement. Il a servi la France de gauche ou de droite. Aujourd’hui, c’est un homme de poigne qu’il faut à la tête du gouvernement », a déclaré le gilet jaune. Et d’ajouter : « Nous demandons à avoir un véritable commandant, c’est-à-dire une femme ou un homme qui va prendre au sérieux le devenir de la France. »

Plusieurs fois sur ce site, j’ai parlé de l’arrivée au pouvoir d’un militaire. Je pense qu’aujourd’hui, cette option devient indiscutable pour plusieurs raisons.

Tout d’abord, l’armée jouit d’une très bonne image des citoyens : 84 % d’opinions favorables. Elle est perçue comme efficace (79 %), réactive (79 %) rassurante (77 %). Le courage (47 %) et l’engagement (45 %) restent les valeurs qui caractérisent le mieux les militaires français, selon les personnes interrogées. Plus surprenant : pour 84 % des jeunes de moins de 30 ans, être militaire est « valorisant ». Enfin, si la perception de la menace terroriste s’érode, 81 % des Français continuent à faire confiance aux armées pour intervenir sur le territoire national lors d’attaques terroristes.

Ensuite, en mai 2017, Anne Muxel, directrice de recherche au CEVIPOF (CNRS/Sciences Po), reprenant les réponses des jeunes Français à l’enquête européenne « Generation: What? », révélait l’état d’esprit désabusé de la jeunesse française face à leurs représentants politiques. En effet, 99 % des jeunes pensent que les hommes politiques sont corrompus, et 63 % « tous corrompus ». Quant aux Français en général, 70 % déclarent ne pas avoir confiance dans les responsables politiques et les médias.

Or, les militaires, et parmi eux les officiers, se tiennent éloignés, durant leur carrière, de la politique. Ils n’existent que pour servir leur patrie et leurs compatriotes. N’oublions pas qu’ils ont choisi de mettre leur peau au bout de leur engagement, perspective très éloignée des circonvolutions politiciennes.

Par ailleurs, le général de Villiers a été le premier à affronter Macron. Alors qu’il était chef d’état-major des armées, il avait vivement remis en question les 850 millions d’euros d’économies réclamés au ministère des Armées par l’exécutif. Après un recadrage public de « Jupiter », il n’avait pas hésité à démissionner le 19 juillet 2017. Cette décision de ce haut gradé, inédite sous la Ve République, avait constitué la première crise majeure du quinquennat.

Enfin, le mouvement des gilets jaunes se radicalise, on l’a bien compris ce week-end. Aussi, le constat du procureur de Paris, après les arrestations du 1er décembre sur les Champs-Élysées, n’est pas surprenant : « Ce sont surtout des hommes d’une trentaine ou d’une quarantaine d’années, qui viennent en général de province et sont plutôt bien insérés socialement. Ils n’ont pas d’idées politiques extrémistes et ne sont vraiment pas des spécialistes des émeutes. » Des gens normaux qui ne souhaitent qu’une chose : un langage vrai et loyal.

Pour conclure, le général de Villiers bénéficie d’une autre stature qu’Édouard Philippe pour incarner la fonction de Premier ministre de la France. De plus, les gilets jaunes et tous les Français savent qu’il a, dans un passé récent, attesté de son indépendance d’esprit et de son refus de servilité devant les prétentions ou la volonté d’un Emmanuel Macron.





79 % des Français ne veulent plus d’immigration et Macron veut signer Marrakech !

Publié le 3 décembre 2018 – par Jean des Entamures (Riposte Laïque)

Il est des sondages dont on ne se lasserait pas. Oh, certes, ce ne sont que des sondages, et donc une photographie instantanée, voire transitoire…

Mais ce lundi 3 décembre, après les manipulations destructrices téléguidées par la collusion pouvoir-casseurs de l’ultra-gauche et des banlieues et les provocations brutales des gouvernants, en pleine propagande éhontée de la valetaille médiatique aux ordres du CAC 40 comme à ceux de l’Élysée, lire le résultat du sondage « Harris Interactive » pour RTL et M6 que publie « Valeurs Actuelles » fait chaud au cœur (1)…

… et doit nous amener à bien réfléchir à la suite à donner à ce mouvement large et ouvert qui prend en compte les problèmes et les difficultés qui touchent la grande majorité du peuple de France !

72 % des personnes interrogées soutiennent les « Gilets jaunes » mais 85 % désapprouvent toute forme de violence… violence qui est aussi rejetée par 81 % de ceux qui soutiennent les « GJ » !

Et, bien entendu, les mesures gouvernementales annoncées, quelles qu’elles soient, sont toujours tout aussi rejetées que précédemment tant la colère est forte, tant chacun comprend combien ce mouvement porte en lui bien plus de refus que celui de l’augmentation des carburants sous les prétextes fallacieux de la « lutte contre le réchauffement climatique d’origine anthropique », dernière fadaise à la mode pour nous faire absorber la potion létale des impôts et des taxes !

Et s’il porte en lui ce refus de l’écrasement des travailleurs et des salariés en général, des petits commerçants et artisans, des petits agriculteurs et éleveurs, des retraités, par une fiscalité injuste et excessive, il porte aussi en lui l’appel à des rémunérations du travail plus justes, à des économies fortes du fonctionnement de l’État et des collectivités territoriales, à une maîtrise de l’assistanat social gaspillé actuellement en aides à des « masses importées et inutiles », à une reconnaissance politique de la parole de ceux qui font la vie profonde de la France !

Et l’enquête que le « JDD » vient de publier (2), en partenariat avec l’IFOP et la Fondation « Jean Jaurès » qui aboutit au constat que 79 % des Français en ont assez de l’immigration subie depuis 40 ans, apporte un éclairage supplémentaire aux revendications des GJ… car elle fait se rencontrer des questions qui interfèrent totalement et qui expliquent les demandes du peuple de France en action en montrant que « tout se tient » (3)

Aussi convient-il aujourd’hui de réfléchir sereinement à la suite que doit prendre ce mouvement dont la traduction en perspective de rupture politique majoritaire serait décisive et qui doit refuser toute aventure pulsionnelle, violente, imbécile, pouvant le couper de ce qui fait sa force : le soutien du peuple de France dans son essence identitaire et dans ce qu’il représente d’actifs et de retraités, toutes couches sociales confondues en dehors de ceux qui vivent de la mondialisation et de ceux que cette mondialisation a importés.

Aussi, les mots d’ordre qui courent ici ou là, d’aller samedi prochain à l’Élysée ou de bloquer les mouvements du président de la République ne sont-ils qu’aventures stupides qui donneraient prétexte à l’ordre établi d’utiliser toute sa force répressive et militaire, et lui permettrait de détruire le mouvement en le dénaturant et en le coupant de ceux qui le soutiennent aujourd’hui… et donc, en l’écrasant !

Quant à ceux qui crient « rrévolution » ou « insurrection civile », ils relèvent tout simplement de la manipulation des réseaux occultes du pouvoir (les infiltrés et supplétifs du ministère de l’Intérieur, notamment) ou des actions des « psychopathes » de l’ultra-gauche (en particulier) dont le seul objectif et de « casser pour casser » sans s’intéresser le moins du monde aux besoins, aspirations et volontés du peuple « de base » !

Face à ces aventures destructrices pour le mouvement des GJ, et quelle que soit la proportion de ceux qui sont à l’intérieur du mouvement pour leur simple colère ou leur agressivité naturelle, la lettre que viennent de publier, dans « Boulevard Voltaire » les Ménard (4) trace des pistes qui peuvent fournir une base solide à la poursuite et à la « structuration » de l’action entreprise le 17 novembre dernier .

C’est, en tout cas, la voie prise par le groupe des 200 « Gilets jaunes » qui, depuis le 17 novembre dernier, et sans interruption, contrôle et canalise la circulation à l’échangeur de Pas de Trest, sur l’A 52 (dans les Bouches du Rhône) .

1- https://www.valeursactuelles.com/politique/les-gilets-jaunes-toujours-largement-soutenus-par-les-francais-101339

2- https://www.valeursactuelles.com/societe/huit-francais-sur-dix-contre-limmigration-101332
3- https://ripostelaique.com/macron-un-histrion-dangereux-qui-na-plus-aucune-legitimite.html
4 – http://www.bvoltaire.fr/lettre-ouverte-a-nos-amis-gilets-jaunes/





Un Gilet Jaune approuve les économies sur l’immigration proposées par Nadine Morano

Nadine Morano s’insurge qu’Emmanuel Macron ait augmenté le budget immigration-intégration de 200M€ pour le porter à 1,5Mds€. Ruth Elkrief demande à un Gilet Jaune si ça fait partie de ses revendications, il approuve.
– BFM TV, 3 décembre 2018, 19h43





Dissolution ? Démission ? Référendum ? Non, voici ce que va faire Macron

Source : Boulevard Voltaire

Au fur et à mesure que la crise qui a éclaté avec le mouvement des gilets jaunes s’aggrave, les hommes politiques de tous bords – eux-mêmes dépassés – tentent de proposer une issue institutionnelle à une crise devenue politique.

Après un nouveau samedi marqué à la fois par une recrudescence des violences parisiennes, que Christophe Castaner ne sait pas maîtriser, et une mobilisation toujours forte en province, plusieurs responsables ont fait leurs propositions. Laurent Wauquiez a lancé l’idée d’un référendum sur la transition écologique ; Jean-Luc Mélenchon veut « un vote démocratique pour sortir de la crise » ; Marine Le Pen avait déjà plaidé pour la dissolution. Pour les manifestants, c’est « Macron démission » qui fait le plus recette.

Tout ce petit monde s’emballe un petit peu et il est quasiment certain qu’Emmanuel Macron n’aura recours à aucune de ces solutions-là. Tout comme François Hollande, il est tenu par les institutions de la Ve République. Même si elles l’ont laissé, au bout de cinq ans, entièrement lessivé, à 5 %, elles l’ont tenu. Voilà au moins quelque chose de solide et de bien pensé en France : sa Constitution. Merci, grand Charles ! Quant à Emmanuel Macron, il a été élu par 20 millions de Français, quoi qu’on puisse ergoter sur les blancs, les nuls, l’affaire Fillon et l’épouvantail Marine Le Pen. Il a une véritable légitimité démocratique. Idem pour sa majorité parlementaire, quoi qu’on puisse dire, là encore, des conditions de l’élection (une abstention historique de plus de 50 %). On ne voit pas pourquoi le Président renoncerait à ces deux éléments clefs de sa légitimité. Et de stabilité pour le pays. En outre, un référendum est bien trop risqué.

En revanche, les observateurs ont oublié le levier politique le plus classique de la Ve République qui permet à un Président confronté à une crise sociale et politique de reprendre la main : le changement de Premier ministre. Tout le monde reconnaît qu’Édouard Philippe a été à la fois trop terne et trop ferme, voire fermé. C’était peut-être sa feuille de route. Mais voilà, sous la Ve République, le Premier ministre est là pour protéger le Président, encaisser les coups, même quand le Président a la plus grande part de responsabilité. Édouard Philippe va devoir jouer son rôle de fusible.

Certains remarquaient que les courbes de popularité d’Emmanuel Macron et de François Hollande étaient identiques. Pour tenter de se relancer, François Hollande avait dû renvoyer M. Ayrault, moins de deux ans après sa nomination. C’est un sort identique qui attend Édouard Philippe.

Mais, alors, qui pour remplacer Édouard Philippe dans le monde d’Emmanuel Macron ?

Il commettrait une lourde erreur en promouvant l’un de ses lieutenants discrédités par leur attitude durant cette crise : Castaner, Griveaux ou Darmanin. Il ferait encore fausse route en appelant l’un de ces Macron boys tellement aux antipodes de la France des gilets jaunes comme MM. Denormandie ou Guerini. Mais alors, qui ?

Un homme politique centriste, sage, provincial, qui s’est toujours rêvé en grand réconciliateur des France fracturées. Vous avez tous reconnu son panache grisonnant. Tiens, ne vient-il pas d’adresser ce conseil limpide au Président de ne pas « gouverner contre le peuple » ?

Et, comme par hasard, Le Monde publie, samedi, un article au titre et au contenu à peine subliminaux : « Philippe et Bayrou, la mésentente cordiale. » Sous-titre : « Entre le Premier ministre et le maire de Pau, piliers du dispositif macronien, les relations se sont envenimées. » Dans la panique, heureusement que Le Monde est encore là pour écrire le storytelling du quinquennat : Bayrou, le recours.

Le départ d’Édouard Philippe n’est plus, maintenant, qu’une question de temps : avant ou après Noël ?





Les gilets jaunes ont été repoussés par la police sous l’arc de Triomphe laissé sans protection

Nous voyons dans cette vidéo filmée samedi matin la genèse des incidents. Les gazages de la police ciblées sur la chaussée repoussent les manifestants vers l’Arc de Triomphe laissé sans protection.





Résumé en images de la manifestation du 1er décembre

DANS LA GUERRE DES GILETS AUX CHAMPS ÉLYSÉES

Un groupe de manifestants Gilets Jaunes a réussi à défiler dans les Champs Élysées avec une banderole : «Macron, arrête de nous prendre pour des cons !»
– TF1, 20h

Des pillards détruisent un restaurant et une boutique d’optique et se servent. D’autres saccagent une banque LCL et entrent dans les locaux. D’autres tentent d’entrer en force dans l’ancienne Bourse de Paris.
– France 2, 20h08

A Concorde, la boutique de luxe CHANEL a été détruite et pillée en quelques minutes.
– TF1, 20h06

La boutique de l’Arc de Triomphe pillée. Un casseur exhibe des billets.
– TF1, 20h02

Un Gilet Jaune : «La situation d’aujourd’hui, c’est 18 mois de gouvernance de Macron, vous voyez ce que ça donne ? C’était censé être 1 jour, et ça fait 2 semaines. Et ça continuera. (…) Il n’y a pas de moins en moins de manifestants. Essayez de vérifier les informations que les préfectures vous donnent car on voit souvent des bannières “Selon la préfecture 8 000 manifestants”, mais constatez vous-même. (…) Tous les journalistes à qui j’ai parlé ont peur, même vous, je vois à votre visage que vous avez peur. (…) On sera mobilisés jusqu’à ce que le gouvernement lâche, ça veut dire que ça peut durer 6 mois, 2 jours, 1 an, ça dépendra du gouvernement.»
– CNEWS, 18h20

Une Gilet Jaune : «Macron, démissionne, tu es une honte pour notre pays !»
– France 24, 22h09

Un Gilet Jaune : «On lâchera pas, Macron, on ira te chercher, sache-le. N’oublie pas ! On viendra te chercher comme prévu.»
– RT France, 15h50

Un Gilet Jaune : «On en a marre de Macron (…) C’est un bon à rien, il sert à rien, qu’il prenne ses cliques et ses claques, et qu’il se barre (…) On reviendra tous les samedis, et même tous les jours s’il le faut, mais il faut qu’il dégage ! Il partira de lui-même !»
– RT France, 14h40

Un manifestant CGT sur Macron : «C’est un gros con. C’est pas péjoratif, c’est une réalité.»
– RT France, 13h

Un Gilet Jaune : «On en a ras-le-bol des taxes, faut payer, faut payer, ça devient insupportable. La fin de mois devient dure, le gazole augmente, l’EDF va augmenter (…) Macron réagit pas, il s’en fout, il est pas humain ce monsieur-là.»
– RT France, 11h58

Un Gilet Jaune : «C’est la 1ère fois que je vois et que je vis ce genre de chose, c’est inédit de voir un gouvernement censé être progressiste attaquer gratuitement des gens pacifiques. Vous voyez des gens armés autour de vous ? Personne.»
– RT France, 11h48

Roué de coups sous une pluie de projectiles, un CRS exfiltré par un Gilet jaune (VIDEO CHOC).
– RT France

Une Gilet Jaune : «Il a qu’à vivre avec 1 200€/mois l’autre putain de Macron de merde ! Qu’il prenne notre place pendant 6 mois et on va voir ce qu’il va bouffer à la fin du mois ! Parce que c’est facile de refaire la vaisselle à 500 000€ là !»
– RT France, 11h23

Un Gilet Jaune : «On est beaucoup plus nombreux que ce qu’ils disent sur BFM TV, CNEWS, etc. Il faut savoir qu’on est bloqués sur l’Arc de Triomphe et beaucoup sont bloqués dans les grandes artères qui mènent à la place de l’Etoile.»
– RT France, 10h54

Un Gilet Jaune : «Je suis là parce qu’on veut que Macron s’en aille. Vous vous rendez compte qu’à 80%, personne ne l’aime et il a quand même un égo de malade. Un psychologue dirait qu’il est fou !»
– RT France, 10h00