Le « musulman républicain » Zéribi nous enfume, pendant que les imams font le boulot…

Publié le 17 décembre 2018 – par Jean Sobieski (Riposte Laïque)

Un peu moins d’islam, ce jour comme depuis quelque temps. C’est normal : la France profonde, ce mystère généreusement nié, occupe soudain le terrain, arborant le drapeau tricolore aux ronds-points de son terroir. Bien que fatiguée et moins nombreuse dans les rues de nos villes, elle n’en poursuit pas moins sa réflexion, plus ordonnée que ne le matraque la désinformation, sur les raisons de sa misère. Dès le début de 2019, une fois les fêtes passées, elle va sans aucun doute resurgir et cette fois, ce ne sera plus pour défiler gentiment et demander qu’on l’écoute.

Alors, l’islam, me direz vous ? Démonstration est faite qu’il ne participe en rien au débat en cours. Pour un Zéribi, coopté par des zombies médiatiques, qui nous saoule de sa tchatche pour trottoirs algérois, cent imams silencieux, mille voilées discrètes et des piscines sans burkinis. Comme c’est étrange. Les musulmans ne seraient donc pas une composante entière de la communauté nationale française, un organe loyal et besogneux apte au débat sur le fond ? Eh bien non.

Solidaire et soudée, riche de ses réseaux financiers internes quand la France éparpille ses pauvres dans toutes les directions du chômage et de la précarité, l’oumma en alerte attend et fait le gros dos. J’espère que les Gilets jaunes, ici mais aussi en Belgique, en Grèce, en Bulgarie ou ailleurs, auront compris cette chose très simple : l’islam est et sera toujours un corps étranger ailleurs que chez lui. Incompressible et insoluble, résistant à tout, à commencer par la démocratie occidentale. Autiste composé d’un milliard et quelques cellules. Bulldozer que seule la coupure du courant qui le fait avancer depuis quatorze siècles peut stopper.

Et il avance pourtant, le bougre, rampant et murmurant, protégé par des Macron, des Ferrand, des Minc, des Plenel et autres Aphatie. Il est lamentable qu’en ce moment même, sous le regard humide de ferveur de ces parrains-là, une première pierre de mosquée soit posée quelque part au pays de Charles Péguy. Il est pitoyable que s’ouvre, « célébrée » par l’omerta des Grandes Gueules de RMC, une école coranique ici ou là, chaque semaine, dans la patrie de Jeanne d’Arc. Forfaiture et trahison nourrissent ce bétail pour abattoirs halal.

Au fond, les musulmans posent la même question que les politiques et les « journalistes » : « C’est bientôt fini, les Gilets jaunes, qu’on reprenne enfin le cours normal des choses ?

Des hommes et des femmes formés à l’école de la République laïque et indivisible sont complices de tout cela. Ils devront un jour en rendre compte, un jour qui, semble-t-il, se rapproche.