Dans l’objectif de “continuer la lutte pacifiquement”, et de montrer que les mesures prévues par le gouvernement ne suffisent pas, des “gilets jaunes” prévoient de se rassembler pendant le Nouvel An. Sur les champs et Elysées.
Mois : décembre 2018
Que faut-il penser du réchauffement climatique ?
Déjà il ne faut pas confondre “Lutte contre le réchauffement climatique” et “lutte contre la pollution”
La lutte contre la pollution est une nécessité évidente, il suffit de constater l’état de nos océans, de nos villes et de nos rivières. Le développement des activités humaines doit être beaucoup plus encadré pour éviter que nous vivions dans un monde de plus en plus pollué et nocif pour l’être humaine et les animaux.
Concernant le réchauffement climatique, le sujet est plus compliqué.
Le phénomène est complexe à démontrer. Même s’il on constate une certaine corrélation entre les activités humaines et le réchauffement climatique, d’autres phénomènes naturels peuvent aussi jouer sur le réchauffement (comme l’activité du soleil par exemple).
Il n’y a donc aucune volonté dans cet article de nier le réchauffement climatique mais de mettre en perspective les affirmations du GIEC et le contexte politique et économique qui sou-tendent ses rapports.
Cette petite introduction me permet maintenant de vous laisser lire un article de Médiapart (écrit en janvier 2016) sur ce sujet. Bonne lecture.
Le réchauffement climatique anthropique : un mensonge qui arrange !
La COP21 qui s’est tenue à Paris en décembre 2015, pour accoucher d’une broutille, a remis la question du climat sur le devant de la scène politico-médiatique et m’a donné envie de faire le point sur ce sujet controversé. Le dernier « résumé pour les décideurs » de 2014 publié par le GIEC, agence de l’ONU, a servi de base de travail lors de cette grande foire internationale.
L’ONU (Organisation des Nations unies) est une organisation internationale censée apporter la paix dans le monde. Elle comprend de nombreuses agences qui sont malheureusement au service des multinationales et des élites politiques, et pas au service des peuples.
L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) par exemple, suite à un accord de 1959, n’a pas le droit de s’exprimer, ni d’agir en faveur des populations contaminées par la radioactivité sans l’aval de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique)
L’AIEA est un autre exemple de structure de l’ONU peu indépendante, à la fois gendarme (très gentil) et complice de la prolifération nucléaire dans le monde. Fukushima en est une illustration magistrale : depuis le 11 mars 2011, début de ce terrible accident nucléaire, l’AIEA s’emploie à minimiser la gravité de la catastrophe pour ne pas nuire au développement de l’énergie nucléaire dans le monde.
Je pense aussi à la FAO (Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture) qui prend comme alibi la faim dans le monde (qu’elle a peu combattu) pour promouvoir le développement des OGM.
Mais revenons au GIEC, l’agence de l’ONU la plus médiatisée ces dernières années. Il y a en effet un enjeu financier colossal autour des choix énergétiques, et bien sûr un lobbying effroyable.
La création du GIEC
Le GIEC fut créé en 1988 à la demande du G7 (G20 aujourd’hui) sous la pression de Ronald Reagan et Margaret Thatcher.
Dans les années 1970 Thatcher, premier ministre, était en difficulté à cause des mineurs britanniques qui menaient de fortes grèves générant coupures d’électricité. Elle n’avait pas confiance dans les compagnies pétrolières ; sa préférence était l’énergie nucléaire.
En 1979, à Genève, se tient la première Conférence mondiale sur le climat. Alors que la crainte dans ces années là était celle d’un refroidissement planétaire, est déclaré que le dioxyde de carbone(CO2) émis par les activités humaines pourrait réchauffer la planète et avoir de graves conséquences.
Très opportuniste, Margaret Thatcher s’empare de cette pensée nouvelle pour faire la promotion de l’énergie nucléaire. La France déjà très engagée dans le nucléaire, sous la présidence de François Mitterrand, avec Jacques Delors président de la Commission européenne et représentant la France lors des grands sommets internationaux, appuie cette ligne politique.
Et le GIEC (Groupe Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) va naître en novembre 1988 et tout faire pour prouver la véracité de ce réchauffement climatique anthropique. Le lobby nucléaire y est dès le départ très présent.
Il est amusant de constater que le GIEC s’est renommé « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat » dans les traductions suivantes. L’appellation anglophone IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) ne contient pas ce mot. Le GIEC est un « Groupe Intergouvernemental » c’est à dire avant tout une structure soumise aux forces politiques.
Un mensonge qui arrange !
Depuis sa création le GIEC publie tous les six ans environ un épais rapport de plusieurs milliers de pages, ainsi qu’un « résumé pour les décideurs » de 20 à 40 pages servant de base aux négociations climatiques internationales. Le cinquième et dernier rapport date de 2014. Au fil des ans, ces résumés sont devenus de plus en plus illisibles.
Les trois premiers rapports du GIEC restaient prudents. En 1995, le GIEC concluait en disant qu’aucune des études n’avait apporté la preuve que le changement climatique puisse être attribué aux gaz à effet de serre. En 2001, le GIEC soulignait qu’en matière de modélisation du climat, ils étaient face à un « système chaotique couplé et non linéaire » et que les prédictions à long terme s’avéraient impossibles.
Mais dés le 4 ème rapport (AR4), fin 2007, sans aucune donnée nouvelle, le GIEC affirme que la réalité et l’ampleur du réchauffement climatique sont « sans équivoque ». L’effet de serre du CO2 serait la cause d’un réchauffement pouvant atteindre 6,4° en 2100 si rien n’était fait; cela provoquerait aridité, désertification, catastrophes climatiques et montée des océans. Des prédictions avec un écart allant de 0,2° à 6,4°! Une marge d’incertitude invalidant leurs conclusions.
AR4 affirmait entre autres que les glaciers de l’Himalaya pourraient disparaître en 2035 voire avant. Le GIEC dût démentir en 2010 suite aux protestations des scientifiques. Des études ont confirmé qu’il n’y avait aucun recul inquiétant des glaciers en Himalaya et plusieurs scientifiques et ex-experts du GIEC démissionnèrent pour exprimer leurs désaccords quant aux méthodes de travail et ses conclusions.
En tant que vice-président dans l’administration Clinton, Al Gore aida à promouvoir le protocole de Kyoto en 1997, traité international visant à réduire les émissions de CO2.
En 2006, dans son film « une vérité qui dérange », Al Gore se met en scène pour expliquer la future catastrophe planétaire liée aux activités humaines. Ce film quasi hollywoodien très médiatisé, avec ses images d’apocalypse et sa courbe impressionnante « en crosse de hockey » pour illustrer le réchauffement depuis la période industrielle, eut un retentissement international.
Mais cette courbe était fausse ! (et ce n’était pas la seule erreur). Elle avait été sciemment falsifiée. Ce mensonge scandaleux à des fins idéologiques aurait dû entraîner la dissolution du GIEC. Mais non, le GIEC admit son «erreur», la courbe disparut du rapport suivant et le film reçut 5 prix, 2 nominations et le prix Nobel de la paix fut attribué en 2007 au GIEC et à Al Gore !!
Puis il y eut en 2009, peu avant le sommet de Copenhague, la « Climategate », autre affaire très grave. Des hackers avaient diffusé plus de 5000 e-mails de hauts membres du GIEC. Dans ces échanges apparaissaient clairement les manipulations des données scientifiques pour les faire coller à leur théorie réchauffiste, ainsi que des rapports de scientifiques censurés « comme non conforme » à la version officielle du GIEC. On y vit aussi leurs méthodes d’intimidation contre ces scientifiques « dissidents ».
Le président du GIEC, Rajendra Pachauri, faisant l’objet d’une plainte pour harcèlement sexuel, dût démissionner le 24 Février 2015. Ce n’était pas le seul scandale le concernant; il était également visé par des accusations de conflits d’intérêts et d’enrichissement personnel.
Dans le 5ème et dernier rapport (2014), sans nouvelles données scientifiques, le GIEC devient plus affirmatif encore : le réchauffement du système climatique est dû aux activités humaines (probabilité de plus de 95 %) et il faut mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles, principales responsables.
Qu’en est-il de ce soi-disant réchauffement climatique anthropique dû au dioxyde de carbone (CO2) ?
Tout d’abord, il est bon de rappeler que le climat de la Terre n’a jamais été constant et a sans cesse changé. De plus la climatologie est une science récente qui ne s’est développée qu’après la seconde guerre mondiale.
L’atmosphère de la Terre se compose d’une multitude de gaz dont une petite partie sont des gaz à effet de serre. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau (H20). Heureusement qu’elle est là sinon il y aurait sur Terre 30°C de moins, soit une température moyenne de -18°C.
Le C02 est un gaz à effet de serre assez mineur ; c’est le seul qui augmente de façon significative. Depuis 20 ans, son augmentation semble se limiter d’elle-même dans une période pourtant fortement émettrice.
Pourquoi le CO2 a t-il augmenté ? la raison principale semble avoir peu de lien avec les activités humaines, mais venir surtout des cycles solaires ; le soleil ayant connu une période d’activité intense depuis 1950, cause non prise en compte par le GIEC.
La hausse des températures, du niveau des océans et le recul des glaciers seraient liés à la lente récupération de la Terre depuis 1715, fin du dernier « petit âge glaciaire ». Cette alternance entre petits âges glaciaires et périodes plus chaudes a pu être observée dans l’histoire de la Terre grâce à l’analyse des carottes glaciaires sur une période de 600 000 ans.
Le CO2 suit les changements de températures. Il est une conséquence et non une cause. Quand il fait froid, les océans absorbent plus de CO2, et quand il fait chaud, c’est l’inverse, ils en rejettent davantage. Le taux de CO2 d’origine anthropique dans l’atmosphère serait d’environ 5 %.
Les océans représentent la majeure partie de la surface du globe et constituent un immense réservoir de CO2 contenant 60 fois sa quantité dans l’atmosphère.
Depuis 2003, 3000 balises Argo sont installées sur tous les océans du globe et leurs données sont transmises par satellite. Ces capteurs ne constatent aucune évolution significative de la température des océans depuis leur mise en place.
Depuis le début du XXIème siècle, les instituts spécialisés parlent de « pause », le GIEC emploie le mot « hiatus ». Le taux de réchauff
ement durant la période 1970-1998 était d’environ 0,17°C par décennie, alors que durant 1998-2012, ce taux est passé à environ 0,04°C par décennie (chiffres du MET Office, un des 3 plus importants centres de météorologie mondiale, utilisés par le GIEC). Des records de température sont toujours observés, ce qui n’est pas en contradiction avec l’ambiance de fond qui elle est quasi stationnaire.
Il y a aussi le phénomène El Nino qui est à l’origine de phénomènes météo exceptionnels perturbant le climat planétaire. Il est particulièrement puissant en 2015-début 2016. Son influence reste faible en Europe.
Des prédictions peu scientifiques …
Les mesures récentes, en particulier celles provenant des satellites et des balises Argo, sont trop éloignées des projections du GIEC pour valider leur théorie. De plus leurs modélisations ne concordent pas avec les cycles du passé. Comment pourraient-ils faire des prédictions justes pour l’avenir !?
Un rapport très complet datant de 2009, signé par 37 spécialistes internationaux concluaient par : les causes anthropiques du changement climatique restent marginales devant les causes naturelles.
Le soleil sortirait d’un cycle d’environ 60 ans d’activité intense et la tendance pourrait s’inverser et amener alors un refroidissement jusqu’en 2030.
De nombreux facteurs ont une influence sur le climat : les cycles solaires, le rayonnement cosmique (c’est à dire les particules chargées d’énergie qui pénètrent dans l’atmosphère terrestre), la formation des nuages, la dynamique des océans, le volcanisme et d’autres encore.
Les phénomènes météorologiques sont de nature chaotique et d’une prédiction aléatoire. La prévision climatique est complexe. Personne n’est en mesure de savoir vers quoi évoluera le climat d’ici la fin du XXIème siècle.
L’être humain et l’animal ne peuvent vivre sans oxygène comme les plantes ne peuvent se passer de CO2. Le CO2 est couramment utilisé dans les serres pour accroître le rendement des cultures. Aujourd’hui, le pourcentage de CO2 est de 0,04%. Un humain peut vivre dans une atmosphère contenant jusqu’à 5% de CO2. A ne pas confondre avec le monoxyde de carbone (CO), gaz toxique qui résulte de la combustion incomplète du bois, charbon, pétrole, gaz, etc…
Que penser de tout ça ?
Tout d’abord, les différentes affaires, erreurs et mensonges montrent qu’il n’y a aucune rigueur scientifique dans les travaux du GIEC, une structure pourtant censée synthétiser les travaux de qualité de nombreux scientifiques. Nous subissons une effroyable propagande idéologique. Il est d’ailleurs politiquement très incorrect de contester leurs thèses et tout est fait pour discréditer les contradicteurs en les raillant ou en censurant leur travail. D’où les départs de scientifiques du GIEC ( comme Judith Curry, une des climatologues les plus emblématiques )
Et surtout, il apparaît clairement qu’il y a de graves problèmes bien plus urgents à se préoccuper que cet éventuel réchauffement climatique futur.
Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : une inondation inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! Diantre, vivrions nous les débuts de l’apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme.
Face au GIEC, certains « climato-sceptiques » ont des intérêts politiques et financiers aussi peu louables. L’enjeu climatique oppose l’industrie pétrolière et l’industrie nucléaire. S’y ajoute le récent enjeu des énergies renouvelables et les affrontements entre multinationales sont impitoyables. Cette fixation sur le CO2 est aussi un moyen de tenir à distance l’émergence économique des nouvelles puissances.
Le GIEC tente de donner à l’industrie nucléaire une dernière chance. Concernant la France, il est peu probable qu’elle soit économiquement en mesure d’investir les sommes énormes qu’elle a dépensée depuis les années 1970 pour renouveler son parc nucléaire vieillissant. D’autant plus qu’il n’y a rien de nouveau depuis longtemps sur le plan technologique. Les EPR sont très coûteux, d’une technologie ancienne, dangereuse et pas au point.
Quant au projet expérimental ITER à Cadarache sur la fusion nucléaire, il ne verra probablement jamais le jour. C’est un projet pharaonique des années 80, complètement obsolète, au coût faramineux encore inconnu, qu’ils n’arriveront pas même à construire. Une majorité de scientifiques n’y croit pas. (Je reviendrai prochainement sur ITER)
Le nucléaire produit aujourd’hui à peine plus de 10% de l’électricité mondiale et ne représente que 1,8% de la consommation mondiale d’énergie. Malgré l’alibi d’être une « énergie décarbonée » pouvant lutter contre le réchauffement climatique, un nouvel essor de l’énergie nucléaire semble peu probable. La France se trouve donc dans une impasse avec des centrales dangereuses et vieillissantes qui fournissent 77 % de son énergie électrique.
Mais une nouvelle économie repeinte en vert se porte bien et mise sur de juteux profits futurs grâce aux thèses du GIEC. Les cabinets et consultants sur « l’empreinte carbone » prospèrent. La vente des voitures électriques espère décoller.
De nombreuses institutions environnementalistes (WWF, Réseau Action Climat, Greenpeace, Réseau Sortir du nucléaire,…) se sont bien sûr ralliées au discours dominant et à cette croisade, rejoignant ainsi pronucléaires et autres lobbies malpropres, et détournant les militants écologistes des vrais combats à mener. WWF et Greenpeace ont été associés au GIEC dès sa création.
Le matraquage autour de ce réchauffement idéologique a réussi à formater la pensée de nombreux militants qui sont devenus les relais zélés de cette propagande. Les personnes contestant ce dogme, ont vite droit à des insultes et se voient même traiter de révisionnistes !
Le capitalisme industriel fait des ravages sur la planète et de vraies catastrophes sont devant nos yeux.
Le danger de la science comme de la religion est de faire d’une théorie une grille de lecture unique et imposée. Les croyances ne devraient pas avoir leur place dans une étude scientifique.
Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l’ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution de l’air, des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l’appauvrissement de la biodiversité, les déchets nucléaires, …
Impossible de passer sous silence la terrible catastrophe nucléaire en cours à Fukushima. Matsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse, parlait il y a quelques jours, d’un accident encore jamais vécu par l’humanité et toujours pas maîtrisé. Les cœurs fondus des réacteurs restent inaccessibles à cause de leur niveau de radiation, détruisant même les robots envoyés. De grandes quantités de radionucléides mortels sont rejetés sans cesse dans la mer et dans l’atmosphère, et ont atteint l’ouest des États-Unis. Aucune perspective de solution à ce jour. M.Murata souhaite que le Japon se retire de l’accueil des jeux Olympiques de 2020 pour consacrer tous les efforts à la crise de Fukushima.
Fera t-il beau demain ?
La COP21, à Paris en décembre 2015, a coûté plus de 180 millions € et s’est terminée par un accord international, qualifié d’historique, ratifié par 195 États : stabiliser le réchauffement climatique dû aux activités humaines bien en dessous de 2°C d’ici à 2100 (sans aucun engagement chiffré des États).
Quel gaspillage d’argent pub
lic et quel égarement !
L’Homme ne commande quasiment rien du climat de la Terre. Ce sont là des forces naturelles bien plus puissantes qui sont à l’œuvre. Qu’en sera t-il du climat et de la température de la fin du siècle ? Fera t-il plus chaud ou plus froid ? Nous l’ignorons !
Le GIEC devrait être dissous. Rester aussi influent sur la scène internationale après une telle accumulation de mensonges, d’erreurs et de manipulations, montre la puissance des lobbies et forces politiques qui sont derrière cette structure.
Si l’ONU et ses agences se démenaient autant pour le bienfait de l’humanité qu’elles le font pour le monde des affaires, nous pourrions être confiants dans l’avenir.
Les multinationales ont pris le pouvoir et mènent le monde. Les dirigeants ne sont que des marionnettes pour les servir et nous endormir. Ils se plient aux impératifs du monde économique et délaissent les vrais problèmes de notre siècle.
Il est urgent de remettre en cause nos sociétés occidentales, qui tirent le monde vers le pire, et de revoir radicalement leur fonctionnement (production, consommation, distribution)
Parler du temps permet souvent de ne pas aborder les choses essentielles !
Antoine Calandra
janvier 2016
L’Allemagne maltraite ses retraités mais bichonne les migrants
Publié le 29 décembre 2018 – par Anne Schubert – Riposte Laïque
En Allemagne, un nombre croissant de retraités sont dans la pauvreté. Nombre d’entre eux retournent donc travailler, majoritairement en mini-job, les contrats les plus précaires.
Mis en place en 1883, le système de retraites le plus ancien du monde a survécu à deux guerres. Aujourd’hui pourtant, il est l’objet de nombreuses critiques dont celle d’avoir appauvri les retraités. Près de 4 millions de retraités sont menacés de pauvreté outre-Rhin. Il y a un mois, Ursula von der Leyen, ministre des Affaires sociales a évoqué plusieurs exemples de ce qui attendait la jeune génération. En 2030, un travailleur indépendant ayant exercé 35 années et gagné 2500 euros brut par mois ne gagnera pas plus que le minimum, soit 688 euro par mois. Un salarié ayant cotisé 40 années pour un salaire brut de 2200 euros percevra aussi l’équivalent du minimum retraite.
Les retraités retournent travailler
2,5% des retraités, soit 400.000 personnes, touchent ce minimum.
Nombreux retournent donc travailler. «Depuis 2000, le nombre de mini-jobs a progressé de 60% chez les plus de 65 ans, soit 761.000 retraités en mini-job en Allemagne.
On ramassent les bouteilles
Il y a également les retraités que l’on voit au quotidien ramasser les bouteilles dans la rue ou faire les poubelles pour récupérer les consignes, un phénomène à l’ampleur grandissante. Pour la très grande majorité c’est une nécessité financière. L’augmentation récente des bénéficiaires du minimum retraite en atteste.
Depuis l’instauration d’une consigne sur les boissons commercialisées, une nouvelle figure urbaine a fait son apparition : les collecteurs de bouteilles vides.
Les cadavres de bière ont à peine échoué près de la poubelle qu’un homme s’approche pour les glisser dans un grand cabas bleu. D’un coup d’œil, il les compte puis reprend sa route, l’air concentré. À l’heure où s’étirent apéritifs et barbecues à Berlin, nombreux sont les « collecteurs de consignes » qui écument les parcs pour récolter les bouteilles vides.
Le collecteur de consigne : une figure urbaine aux profils multiples
Andréas a 48 ans. Père de famille et employé de la Deutsche Bahn, il gagne 10 euros brut de l’heure. Chaque soir, il consacre entre deux et trois heures au ramassage de ces contenants vides, pour une recette moyenne de 1 à 2,50 euros. A l’extrémité du grand parc berlinois, il désigne un autre homme, flanqué d’un caddie chargé de bouteilles jusqu’à la gueule.
Pour le sociologue lyonnais Sebastian Jan Moser, auteur d’une thèse récente sur les collecteurs de consignes, cette nouvelle forme de cueillette concerne divers profils : sans-abris, retraités, mais aussi employés de l’administration, ouvriers ou encore éboueurs. La fouille des poubelles est interdite dans de nombreuses villes allemandes mais pas à Berlin où elle n’est prohibée que dans le métro.
D’autres préfèrent tendre la main
360.000 euros d’allocation pour un réfugié, ses quatre femmes et 23 enfants ! Tollé en Allemagne
Ghazia A. a fui la Syrie en 2015 avec ses quatre moukères et leurs 23 enfants pour trouver refuge (oui, ils appellent cela trouver refuge, assez curieux pour des gens qui viennent nous plumer quand ce n’est pas pour nous égorger) en Allemagne. Le montant des allocations que leur verse l’Etat est un pur scandale.
L’histoire a suscité de nombreuses réactions outre-Rhin, après un article du journal BILD détaillant les conditions dans lesquelles ce Syrien de 49 ans, après avoir fui la Syrie par la Turquie, a finalement trouvé refuge (voir plus haut, excusez-moi, juste envie de vomir) dans la région de Rhénanie-Palatinat avec ses quatre mousmées et ses 23 rejetons.
Si la polygamie est autorisée dans la tradition musulmane, elle n’est pas reconnue par le droit allemand. A son arrivée, le mâle hyper-productif a donc dû choisir l’une de ses voilées comme esclave officielle, afin de pouvoir percevoir les aides sociales auxquelles-il-a-droit-et-qu’il-revendique-comme-tout-bon-musulman. Ils ont tous des droits et sont très forts pour les revendiquer, si nécessaire au long de plusieurs instances, épuisant tout une armada d’avocats musulmans eux aussi. Et usant des tribunaux à plein temps. A nos frais, s’entend.
Son choix s’est porté sur Twasif, sa régulière : avec leurs cinq enfants, ils forment donc un foyer officiel aux yeux de l’Etat. Les trois autres concubines sont considérées juridiquement comme des mères célibataires (avec allocations majorées) et se partagent la garde des 17 enfants restants. 17 futurs porteurs de couteau en poche.
Si tous vivent dans un rayon de 50 kilomètres, le géniteur prolifique passe cependant la plus grande partie de son temps sur les routes (compte tenu du prix de l’essence, c’est sûr qu’il a besoin des 360.000 Euro) afin de leur rendre visite. Selon notre religion, j’ai le devoir de passer autant de temps avec chaque famille et je ne dois pas favoriser l’une d’entre elles, c’est son argument. Pas le temps de bosser.
Cette affaire a commencé à prendre une ampleur nationale lorsque la question des aides financières étatiques a gagné la Toile, d’autant que l’intéressé, qui était à la tête d’une entreprise de location de voitures en Syrie, a admis ne pas avoir de travail en Allemagne. Je suis pratiquement toujours en route pour être avec ma famille. Pas une minute pour soutenir les finances familiales.
Il n’en a pas fallu davantage pour que certains s’interrogent. «Bien sûr qu’il vit des aides sociales, de quoi d’autre sinon ?», se demande ainsi l’un d’entre eux.
Réagissant au cas de cette famille, un syndicat patronal a publié une estimation du montant total des aides cumulées auxquelles, compte tenu du nombre d’enfants et d’épouses à sa charge, le mâle hyper-fécond aurait droit. Le résultat du calcul s’élève à 360.000 euros par an. Cependant, les réactions d’agacement se multiplient, notamment sur Twitter.
Pour l’instant, les réactions politiques se font plutôt discrètes. Bien entendu. Elles ne se manifestent bruyamment que quand ce sont les citoyens qui se manifestent, causant du désordre.
Un membre de l’administration locale a simplement tenu à faire savoir que ce cas était «exceptionnel». (Certes, ce sont toujours des cas exceptionnels, les attentats, les égorgements, les viols, les carnages, les massacres à répétition)
Les autres sont insatisfaits et ne se gênent pas pour le signaler
Les associations et les migrants sont insatisfaits des conditions d’hébergement dans les hôtels Formule 1 !
Que sommes-nous devenus ? Je me le demande chaque matin lorsque je cherche de la documentation pour mes articles. C’est à en devenir dépressif ou fou, c’est selon. On apprend ce qu’on pensait impossible, irréalisable, totalement insensé. Ce n’est pas la réalité, c’est de la fiction, ça ne peut pas exister, ce n’est tout simplement pas vrai. Pourtant tout est vrai et prouve la déliquescence de la nation.
Comment décrire un pays, un peuple ouvrant les bras à l’invasion, apportant le gîte, le couvert, donnant l’allocation aux indésirables au détriment des siens qui acquiescent lorsque ces « migrants » nous jettent ça au visage car en fait ce n’est pas assez, qu’on ne s’est pas assez couché par terre pour qu’ils nous marchent dessus ?
Cela se passe chez nous, dans nos centres d’accueils, dans nos rues, sur nos paliers, dans nos HLM, dans nos bâtiments publics. C’est généralisé, qu’on le veuille ou non.
Ainsi, vous verrez ces gentils migrants se plaindre de leur condition d’hébergement dans des hôtels Formule 1. Bien qu’ils n’aient rien à foutre en France, car arrivés illégalement, les migrants ont le toupet de réclamer. Peut-être aurait-il fallu les loger dans des palaces ?
Rappelez-vous l’image d’Epinal de notre enfance qu’on nous racontait au coin du feu, de ces voyageurs arrivant du froid, un seul baluchon comme bagage, à qui l’on tendait la main et qui vous remerciaient chaudement de les avoir sauvés. Non aujourd’hui rien de tout ça, le migrant est exigeant. Le migrant sait qu’il a tous les droits, et toutes les aides, si elles n’arrivent pas tout de suite décuplées qu’elles doivent être par le téléphone arabe et bien le migrant vous crache à la gueule dans le meilleur des cas parfois même lève la main, vous insulte et même vous tue. (Pardon, vous égorge, ce qui est différent)
Voici les vérités que les progressistes ne veulent pas voir derrière leurs lunettes roses. Les Français les vivent au quotidien, mais ne disent rien. Aucune révolte à l’horizon, peut-être en effet qu’ils approuvent ces politiques. Si c’est le cas préparez vos valises, les mensurations de vos cercueils sont déjà prêtes.
Personnellement, je suis paniquée, angoissée, et je le proclame.
> Aujourd’hui, les musulmans exigent de meilleurs logements, on les leur accorde.
> Ils refusent les leçons d’histoire de France et les cours de natation pour leurs filles, on les satisfait.
> Ils excluent le saucisse-purée à la cantine scolaire, on obéit.
> Ils réclament des mosquées, on les construit à la chaine.
> Ils nous imposent leur présence malsaine et fétide et on se tait
> Ils tuent, massacrent, égorgent, violent et ont des circonstances atténuante.
> Ils se baladent avec des couteaux et les policiers ont peur.
> Demain, ils vont exiger que les femmes portent toutes le voile, pourquoi leur refuser, puisque progressivement, nous cédons à toutes leurs exigences ?
> Ils vont sommer de retirer toutes les croix et les statues religieuses. Ce sera fait.
> Ils vont nous imposer l’application de la Charia
> Nos enfants et petits-enfants seront musulmans
Il sera trop tard pour pleurer.
Affaire Benalla : l’Élysée doit répondre au Peuple !
Le rebondissement de l’affaire Benalla est révélateur de la décomposition d’un pouvoir qui s’est cru au-dessus des lois et qui ne cesse de brouiller les pistes depuis que l’ex-conseiller présidentiel chargé de la protection du président a été filmé le 1er mai 2018 en train de violenter des manifestants.
Rien n’est clair dans cette affaire.
La commission d’enquête parlementaire a été littéralement sabotée et escamotée pour cacher la vérité. Un chapelet de mensonges et de non-dits.
La commission sénatoriale n’a pas encore rendu ses conclusions mais il est évident que Benalla est loin d’être devenu le paria de l’Élysée, comme voudrait le faire croire l’exécutif.
Qui est Benalla ? L’ex-chef d’orchestre de la sécurité présidentielle, qui agaçait les officiers du GSPR et imposait ses décisions, assimilées à des ordres venus du sommet de l’État ?
Y a-t-il une sorte de cabinet noir à l’Élysée, une police parallèle qui œuvre en coulisses ? Mystère.
Ou bien Benalla n’était-il que le simple porteur de valises responsable de la logistique des déplacements présidentiels, comme il l’a dit devant les commissions d’enquête après avoir prêté serment ?
Mais dans ce cas, comment un simple logisticien a-t-il pu obtenir du président un ensemble de privilèges ahurissants, qu’aucun ministre ne serait en droit de réclamer ? On attend la réponse…
Logement de fonction.
Voiture de fonction avec chauffeur.
Permis de port d’arme.
Badge d’accès à l’Assemblée.
Grade de lieutenant-colonel de réserve dans la gendarmerie à 27 ans !
Salaire de 6 000 euros par mois.
Et, cerise sur le gâteau : deux passeports diplomatiques !
On sait bien que le personnel de l’Élysée n’est pas composé de va-nu-pieds, mais si un porteur de valises gagne 6 000 euros, on se demande quel est le montant de l’enveloppe budgétaire consacrée au salaire des employés du Château !
À une époque où les Gilets jaunes ont le frigo vide le 20 du mois, voilà qui fait désordre.
Ensuite, cette histoire de passeports diplomatiques, où chacun se refile la patate chaude, montre une fois de plus que l’Élysée et Matignon sont devenus le théâtre d’un foutoir absolu.
Personne n’est au courant de rien. Mensonges et contradictions sont de mise.
Benalla s’est rendu au Tchad et a rencontré le président Idriss Deby quelques jours avant le voyage officiel de Macron à N’Djamena le 22 décembre.
Un voyage d’affaires, paraît-il, un voyage privé, mais pourquoi avec des passeports diplomatiques qui devaient être rendus en quittant l’Élysée ?
Benalla a-t-il menti sous serment devant la commission sénatoriale en prétendant que ses passeports étaient dans son bureau de l’Élysée ?
Le parjure est puni de 5 ans de prison et de 75 000 euros d’amende…
Dit-il vrai quand il prétend que l’Élysée lui a rendu ses deux passeports en octobre ? Ce qui laisserait supposer qu’il existe encore un lien entre le Palais et l’ex-conseiller élyséen ?
L’Élysée conteste. Qui ment ?
Le fait que ces deux sésames aient été délivrés le 24 mai, soit après la mise à pied de Benalla suite aux violences du 1er mai, est particulièrement troublant.
En tout cas, Benalla voyage beaucoup, en Afrique et en Israël, selon Le Monde.
Le ministère des Affaires étrangères nous ressort une vielle lettre réclamant à Benalla la restitution des deux passeports en juillet 2018.
Mais face au refus d’obtempérer de Benalla, le Quai d’Orsay ne s’est pas beaucoup remué !
Le Drian se bouge enfin et saisit le procureur de la République. Mieux vaut tard que jamais !!
Que cache toute cette affaire dont on attend les rebondissements ?
Benalla joue les victimes et menace : « Je ne me tairai plus ». Comme s’il se sentait intouchable…
Est-il en possession de lourds secrets pouvant déstabiliser ou compromettre le maître de l’Élysée ?Y a-t-il un risque pour Macron de voir déballer quelque sombre histoire ?
Mediapart, qui a pour habitude de sortir ses informations au compte-gouttes, laisse planer le suspense.
Quant à la commission sénatoriale, elle devra réécouter Benalla afin de démêler le vrai du faux et d’en finir avec bien des contradictions.
Plenel a raison, c’est une affaire d’État. Trop de zones d’ombre, trop de mensonges entourent cette affaire de plus en plus énigmatique.
Pourquoi Benalla a-t-il été autant protégé depuis le début de cette affaire ?
Un passeport diplomatique n’est accordé que pour des fonctions bien précises au service de la France à l’étranger.
Quelles fonctions diplomatiques devait assurer Benalla quand l’Élysée lui a remis ses passeports en mai 2018, alors que ses violences étaient connues et indéfendables ?
Il est temps que l’Élysée réponde au peuple. Qui est le vrai Benalla ? Car tout cela ressemble de plus en plus aux sombres magouilles d’une république bananière.
Jacques Guillemain
A la veille du 1er janvier, une “intreview” cadeau de notre regretté Coluche
Gilets jaunes en direct à Paris.
ET MAINTENANT ? – Après la baisse de la mobilisation observée le samedi 22 décembre, le mouvement se réunit à nouveau à travers la France ce samedi 29 décembre. Le mouvement va-t-il réussir à se relancer ? Les dernières informations en direct.
LIENS vers le DIRECT :
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Le scandale de la fraude à la Sécurité sociale
Source Boulevard Voltaire
Qu’en est-il vraiment de la fraude à la Sécurité sociale ? Boulevard Voltaire a voulu savoir. Pour cela, il a interviewé la sénatrice Nathalie Goulet, qui a récemment interpellé le ministre Agnès Buzyn, ainsi que Charles Prats, magistrat, spécialiste de la lutte contre la fraude. L’enjeu serait de quatorze milliards d’euros d’enjeux potentiel de fraude… À comparer aux dix milliards que devraient coûter les mesures promises par Emmanuel Macron pour apaiser la colère des gilets jaunes.
À voir absolument.
La politique étrangère de Macron tourne au fiasco
Source: Boulevard Voltaire
2019 se fait proche, le paysage politique français, européen et mondial apparaît profondément transformé. On se souvient d’une des bourdes présidentielles françaises qui avait, en mai 2018, rejeté Borloo et son usine à gaz sur les banlieues en disant qu’une politique dans ce domaine ne pouvait être conçue par des « mâles blancs ». C’est ainsi que « Jupiter », pas encore tombé de l’Olympe, se définissait, dans une soumission assumée à la mélasse intellectuelle, communautariste et racialiste qui sert de mode politiquement correcte à la caste qui règne dans notre pays. Il semblait ravi de dire combien il était branché sur les rumeurs du microcosme. Il est, maintenant, tellement débranché qu’il n’ose plus trop parler. Les mâles blancs continuent de dominer le monde et il sait que ses déconvenues intérieures ne lui permettent plus de faire partie du club.
Dans ce club, il y a Trump, jadis toisé par le seigneur de l’Élysée, vilipendé par tous nos médias et qui poursuit sa balade éléphantesque dans le magasin de porcelaine démocrate. Les commentaires se font moins méprisants : il n’a pas perdu les élections de mi-mandat et se livre à un duel avec l’État profond des États-Unis dans un mélange de brutalité et de finesse qui surprend sans cesse. Son dernier coup double a consisté à annoncer le retrait de Syrie des troupes américaines et à rendre visite, pour le réveillon de Noël, aux soldats présents en Irak, en affirmant qu’ils demeuraient assez proches de la Syrie pour intervenir en cas de besoin. Cela place un coin américain dans le triangle d’Astana. Vladimir Poutine s’est réjoui, mais pas trop, pour ne pas provoquer le clan antirusse de Washington. Recep Tayyip Erdoğan en a rayonné au point de mettre la France en garde si elle persistait dans son soutien aux Kurdes. Téhéran, qui est toujours considéré comme l’ennemi principal, sait désormais que l’armée américaine reste sur le chemin qui va jusqu’au Hezbollah libanais. Protéger Israël d’un côté, tirer l’Arabie saoudite des deux fossés où elle s’est embourbée, la guerre au Yémen et l’assassinat de Khashoggi ne sont sans doute pas des motifs étrangers à ces décisions.
Notre jeune « génie » national, dont les retraités sont la cible privilégiée, est paradoxalement condamné à une sorte de retraite à l’Élysée. Les grandes leçons données à la Terre avec, en contrepoint, de l’arrogance et un couplet de repentance nationale, sont autant d’avancées hasardeuses achevées en débâcles ridicules. Sa déclaration de guerre aux « nationalistes », autrement dit à la Hongrie, à la Pologne et à la Ligue de Salvini, et son intention de la mener en généralissime avec Angela Merkel à ses côtés lui reviennent en boomerang. Le ministre de l’Intérieur italien se moque ouvertement de lui. Mme Merkel, très affaiblie, est sur le départ. Les gilets jaunes, cet abcès populiste qu’il n’avait pas prévu, minent son image et sa position aux yeux du monde, et ce symbole de résistance populaire se répand aujourd’hui dans plusieurs pays européens.
La signature du pacte de Marrakech « pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » a été un signal très net de l’échec de la politique internationale de notre pays. La majorité des membres de l’ONU a voté ce texte. Elle est constituée des pays d’origine qui n’y voient que des avantages, des États qui, n’étant guère concernés par l’immigration, et se souciant peu des règles du droit international, continueront à faire ce qu’ils veulent, et de quelques pays « d’accueil » gouvernés par des mondialistes impénitents, comme Macron ou Trudeau. Beaucoup d’autres, et non des moindres, ont vu le danger d’un engagement politiquement non contraignant, mais qui pourrait le devenir par le biais du droit et des juges. La coalition belge a explosé. De nombreux pays européens se sont retirés sous la pression des « nationalistes » qui ont acquis de plus en plus d’importance. Les États-Unis et l’Australie n’ont pas signé. La France l’a fait dans la discrétion, dans cette « humilité vicieuse » qui caractérise les gouvernements qui ont perdu de leur légitimité aux yeux de leur peuple. Lorsqu’on perd à la fois ses alliés et la confiance de sa population, s’obstiner à conduire une politique qui présente un risque pour la souveraineté et l’identité d’une nation ne relève-t-il pas de la trahison ?
Délinquance étrangère : ces chiffres d’Obertone que le pouvoir cache aux Français
Publié le 27 décembre 2018 – par Jacques Guillemain (Riposte Laïque)
Alors que notre président fait face à une fronde sans précédent avec le mouvement des Gilets jaunes, qui ont démasqué le véritable Macron et ne supportent plus son arrogance, ses insultes, son mépris, ses mensonges et ses calculs machiavéliques, sans parler de ses photos dégradantes lors de la Fête de la musique ou aux Antilles, l’exécutif a décidé de fournir à tous ses militants un petit bréviaire pour répandre la bonne parole élyséenne.
Un ensemble de questions-réponses pour valoriser le maigre bilan de Jupiter, qui tente désespérément de reprendre la main face à la rébellion de la France profonde. Une propagande mensongère pour pallier le manque de résultats…
https://enmarche.typeform.com/to/vbvThF
D’entrée de jeu, le gouvernement nous fait le coup de l’héritage, après 40 années de gabegie et d’abandon. On se croirait revenu en 1981 avec Mitterrand aux affaires, qui accablait la droite avant de couler le pays avec l’Union de la gauche.
Macron oublie simplement qu’il est responsable de l’économie depuis 5 ans puisqu’il était ministre sous Hollande. L’héritage, c’est le sien.
Nos 9 millions de pauvres, nos 6,5 millions de chômeurs, nos 140 000 SDF, nos 47 % de prélèvements sociaux, nos 57 % de dépenses publiques (+ 16 % que la moyenne OCDE comme le rappelle Guy Millière), tout cela, Macron en est partiellement responsable.
Les 50 % de Français qui perçoivent moins que le salaire médian de 1 700 euros, les 5 millions de citoyens qui vivent avec moins de 850 euros, Macron n’y est pas étranger.
Les 1 038 milliards de taxes et impôts qui ne cessent d’augmenter, c’est Macron.
La croissance tombée de 2,3 % à 1,5 %, c’est Macron.
La dette qui dépasse les 2 300 milliards et le déficit qui remonte de 2,7 % à 3,2 % , c’est encore lui.
Les 45 milliards d’intérêts qui partent chez nos créanciers étrangers et nous appauvrissent chaque année, c’est Macron qui ne fait rien pour résorber la dette.
En 2017, Macron avait promis le paradis sur terre et maintenant que plus rien ne va, c’est la faute des autres.
« Vous n’imaginez pas combien je ne suis pas aidé », a dit Calimero aux maires des Yvelines ! Il centralise et décide de tout mais fait porter le chapeau aux autres !
Mais c’est en matière d’insécurité et d’immigration que Macron porte la plus lourde responsabilité, tant son obsession du « vivre-ensemble » entraîne le pays par le fond. On ne le dira jamais assez. La France va droit dans le mur.
Dans le bréviaire remis aux militants, il se garde bien de dire qu’il alourdit le fardeau, alors que chaque Français paie déjà 2 000 euros par an pour l’immigration (Gérard Pince, « La France ruinée par l’immigration »).
Il ose faire croire que l’immigration s’est effondrée après 2015 et que sa loi asile-immigration permet d’expulser les clandestins. C’est tout le contraire.
29 596 expulsions en 2015 et 28 000 en 2017 (chiffres ministère de l’Intérieur).
Il a facilité le regroupement familial et le nombre de mineurs isolés explose. Et la France reste la destination préférée des migrants arrivant en masse par l’Espagne, nouvelle terre des migrations africaines.
Il fait l’éloge du pacte de Marrakech et tape sur Salvini et Orban qui refusent l’invasion ! Or, le pacte de Marrakech ne fait aucune différence entre réfugiés et clandestins. C’est l’organisation de l’invasion. Une douzaine de pays lucides ont refusé de signer ce torchon qui vise à anéantir les nations occidentales au nom du mondialisme.
C’est ahurissant !
Macron a délivré 262 000 visas longue durée, soit 14 % d’augmentation.
Les demandes d’asile, qui ont dépassé les 100 000 en 2017, atteignent les 120 000 en 2018.
Et chacun sait que les déboutés ne sont jamais expulsés (Cour des comptes).
Ce que ne dit pas le petit bréviaire des marcheurs, c’est :
Que le milliard d’Africains produisent moins de richesses que le PIB français.
Que la part du social dans le revenu de nos immigrés atteint 24 % alors qu’elle n’est que de 4 % pour un natif.
Que la France est le premier pays polygame d’Europe et que le célèbre polygame malien de Bobigny, avec ses 4 femmes et ses 46 gamins, vit depuis des lustres sur le dos du contribuable sans travailler.
Que tout sans-papiers est soigné à 100 % alors que 5 millions de Français n’ont pas de mutuelle.
Que Macron baisse les retraites, contrairement à ses multiples promesses de campagne, mais accorde 830 euros de retraite aux étrangers de 65 ans n’ayant jamais travaillé ni cotisé en France (1300 euros pour un couple).
Pour financer le coût d’un seul mineur isolé (50 000 euros par an), il a fallu baisser la retraite de 150 retraités. C’est cela la vérité. Et la France a accueilli 40 000 MNA en 2018 ! Sans doute 50 à 60 000 en 2019 !!
Que la fraude à la Sécu oscille entre 14 et 20 milliards par an avec les fausses cartes Vitale obtenues avec des documents falsifiés.
Que chaque année, ce sont 10 milliards de transferts de capitaux qui partent au bled au lieu d’être investis en France.
Que les immigrés extra-européens représentaient 12,4 % de la population en 2011 mais ne produisaient que 7,3 % du PIB.
Que le PIB par tête des immigrés est de 17 900 euros, alors que celui des natifs de 32 300 euros.
On voit donc mal comment ils vont payer nos retraites, d’autant plus que le taux de chômage des immigrés de deuxième génération est de 23 % alors que celui de la première génération était de 20 % (Gérard Pince).
Même le milliard d’Africains ne pourraient pas payer nos retraites puisque le PIB de l’Afrique n’atteint pas le PIB de la France. Assez de fake news officielles.
L’intégration ne se fait pas. Les mensonges des immigrationnistes n’y changent rien. Sans immigration, il n’y aurait jamais eu de révolte des Gilets jaunes.
En 1975, la France avait le 5e niveau de vie au monde, pas de chômage, pas d’insécurité, une croissance forte et très peu de dettes. C’est l’immigration qui est la causse principale de nos 2 300 milliards de dettes.
Et que dire de l’insécurité galopante, qui est aux 3/4 d’origine immigrée ?
250 morts et 1 000 blessés. Tous les terroristes étaient musulmans.
Les chiffes que donne Laurent Obertone dans son dernier livre, « La France Interdite », sont accablants.
Seulement 17 % des Français disent ne pas se sentir en insécurité !
Chaque jour, on dénombre 640 violences sexuelles hors ménage, 1 670 violences physiques, 2 000 cambriolages, 4 000 voitures brûlées ou vandalisées.
« Chaque année, ce sont des centaines de milliers de Français, victimes de l’insécurité ordinaire, qui tombent sous les coups et parfois meurent pour un « vivre-ensemble » qui n’a jamais existé. »
Rappelons qu’il y a 1 000 agressions gratuites par jour.
50 policiers et gendarmes sont blessés chaque jour.
40 000 voitures sont incendiées chaque année.
100 000 peines de prison ferme ne sont pas exécutées faute de places. Et Macron, qui promettait 15 000 places de prison n’en veut plus que 7000, et sans doute beaucoup moins puisque les caisses sont vides.
Ravages de la pensée unique et laxisme judiciaire ont détruit le pays. Il n’y a plus aucun civisme, c’est le retour à la violence gratuite, aux pillages et saccages en tout genre, comme on a pu le voir ces derniers jours avec les casseurs et les racailles des cités, venus transformer les Champs-Élysées en bande de Gaza.
Obertone avait mesuré dans son livre, « La France Orange Mécanique », la corrélation entre le taux de criminalité et le taux d’immigration en France à l’échelle départementale.
Il l’avait chiffrée à 0,714, sachant que le taux zéro signifie qu’il n’y a aucune corrélation et que le taux 1 signifie que la corrélation est de 100 %, donc totale.
Ce chiffre correspond d’ailleurs aux données fournies par la DCSP et la DCPJ, qui montrent que la criminalité est majoritairement d’origine immigrée. Les 2/3 des détenus sont musulmans, nous dit Jack Lang.
Quand les avis de recherche étaient encore disponibles sur les sites de la police et de la gendarmerie, les noms et les photos montraient que 80 % des avis concernaient des immigrés extra-européens et quelques ressortissants de l’Europe de l’Est.
Mais les immigrationnistes ont supprimé ces données pour nier le lien immigration-criminalité. Omerta, omerta, omerta !!!
Ce qui est effrayant, c’est le refus des élites et du pouvoir d’admettre que la France est en train de s’autodétruire et va tout simplement rejoindre le tiers-monde.
Voici ce que dit Obertone :
« Si l’on s’en tient aux projections démographiques les plus raisonnables… et en l’absence de virage brutal de sa politique, la France va évoluer en une vingtaine d’années vers une situation comparable à celle du Brésil, dans une quarantaine d’années vers une situation comparable à celle de l’Afrique du Sud, dans une soixantaine d’années vers une situation comparable à celle de la Bosnie ou du Soudan. »
Dans la nation arc-en-ciel de Mandela, plus de 70 000 Blancs ont été assassinés depuis 1994. Silence radio dans nos médias…
Autant dire que la France paradisiaque des Trente Glorieuses sera devenue un des pays les plus dangereux de la planète, alors que la délinquance avait disparu en 1960. Elle a été multipliée par 5 depuis cette époque.
Tel est l’héritage que Macron veut léguer à nos descendants.
Et Obertone ajoute :
« La France aura achevé sa balkanisation, le facteur ethnique sera au cœur de tous les quotidiens, de tous les événements et de toutes les politiques, la civilisation ne sera plus qu’un souvenir, et il faudra se résigner à vivoter dans la peur, la misère et la corruption, à assister à des conflits, des déplacements et des « purifications » de grande ampleur. »
Comme le disait déjà Michel Poniatowski il y a 30 ans :
« Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. »
Le « vivre-ensemble » est un leurre. Seules les nations homogènes avec une immigration maîtrisée éviteront le chaos et les conflits interethniques et interconfessionnels. C’est le cas du Japon et de la Chine.
C’est en fait le message que nous passait Gérard Collomb en quittant ses fonctions place Beauvau, annonçant un embrasement généralisé des banlieues avant 5 ans.
Macron ne l’a pas écouté, il ferme les yeux sur l’islamisation des cités, sur l’expansion du salafisme, sur le recul de la République et fait le choix du chaos futur, en précipitant les événements par une immigration de masse toujours plus démentielle.
Seuls les musulmans non pratiquants accepteront de s’intégrer. Ceux qui ne jurent que par le Coran préfèreront toujours la charia à la loi républicaine.
Le Coran est la Constitution, le Code pénal et le Code civil des musulmans pratiquants. Plus ils seront nombreux, moins l’intégration sera possible.
Avec les délires mondialistes de Macron, la France court à la catastrophe.
C’est bien pour cela que le fait d’évacuer l’immigration et l’islam du grand débat national est un crime envers la nation et une atteinte gravissime à l’identité française. Macron est un contre-modèle de démocrate et de patriote.
Mais les Gilets jaunes, les illettrés, les alcooliques, les fainéants, ceux qui ne sont rien, ces lépreux populistes qui entendent défendre leur identité et leur patrimoine culturel, ne se laisseront pas déposséder de leur pays sans réagir.
Après la révolte sociale viendra le sursaut identitaire salvateur car la France est en danger de mort.
Il y va de la survie de notre France millénaire.
«Benalla est couvert, protégé, soutenu, aidé. On le voit dans toute sa morgue. Il bénéficie d’une impunité, d’une indulgence qu’a demandé Macron à son égard.»
Edwy Plenel (Mediapart) réagissant à la possession par Alexandre Benalla d’un passeport diplomatique : «Alexandre Benalla qui se comportait comme un nervi en frappant des opposants politiques est couvert, protégé, soutenu, aidé. On le voit dans toute sa morgue actuelle. Il bénéficie d’une impunité, d’une indulgence qu’a demandé le président de la République à son égard.»