Jeudi matin, face à Marine Le Pen, on a vu Jean-Jacques Bourdin prendre, une fois de plus, parti pour ses amis de la gauche bien pensante, s’offusquant dans un premier temps de voir la haine transpirer des propos de Moix, Campion et Zemmour. Ah ! Zemmour qu’il aimerait voir interdit d’antenne à jamais, lui le journaliste à qui-tout-est-permis-sauf. Mais ce n’était pas tout. Pour s’émouvoir du sort des « réfugiés » de l’Aquarius, il a absolument tenu à faire dire à Marine Le Pen combien, elle aussi, compatissait au sort de ces malheureux rescapés des flots. Et de citer le cas de cette pauvre femme ayant fui avec ses cinq enfants âgés de 9 à 22 ans parce que son mari avait été enlevé et qui pensait trouver refuge sur cet accueillant sol européen.
Eh bien non ! Marine Le Pen ne s’est pas mise à pleurer. Elle a rappelé sa position sur ces navires allant à la pêche aux migrants. « Ce sont les complices des passeurs. Ils font de la traite d’êtres humains. Ils vont chercher les migrants à vingt kilomètres des rives de la Libye pour des raisons d’idéologie politique et font appeler les ONG par les passeurs pour qu’ils viennent les prendre à leur bord. »
Jean-Jacques Bourdin insiste. Mais cette femme, Malaka, voulait sauver ses enfants, menacés par les ravisseurs de leur père, rappelle-t-il. Et Marine Le Pen de lui répliquer sans frémir que « l’agence de communication Aquarius a dû sélectionner des personnes qui puissent faire pleurer dans les chaumières ». Avec une conclusion évidente : pourquoi cette famille n’a-t-elle pas sollicité un visa dans un consulat à Tripoli ou Benghazi ? Un visa qui, au vu de ses explications, lui aurait certainement été accordé rapidement et lui aurait évité de mettre en péril sa vie et celle de ses enfants, en payant le prix fort. Enfin, si péril il y avait car les passeurs savaient, bien sûr, que l’Aquarius rôdait dans les parages…
Et c’est bien là le drame de cette migration maritime, qu’encouragent nos dirigeants, et notre « champion de la Terre » en premier. Le jour où passeurs et ONG seront considérés à égalité sans possibilité d’opérer leur sinistre besogne pour les premiers et leur fausse compassion pour les seconds, quel migrant aurait l’audace d’affronter une traversée de la Méditerranée problématique ?
Les consulats sont omniprésents sur le continent africain. Passer outre leur fonction, c’est entrer dans l’illégalité, la clandestinité, parfois et trop souvent, la mort anonyme par noyade ou déshydratation. Alors, oui, Marine Le Pen, entre autres, a raison de souligner qu’encourager ces navires complices de traite humaine, c’est donner l’illusion que l’Europe continuera à accueillir toute la misère du monde. Et à subir une invasion, en majorité musulmane, d’hommes à 95 %, à qui l’Europe ne pourra pas offrir un toit ou un travail sans léser leurs propres citoyens.
“Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents !”
Voilà le clip barbare que le rappeur français Nick Conrad, un triste inconnu qui a besoin de se faire un nom, diffuse chez les jeunes immigrés.
Voilà où nous a menés la politique migratoire démentielle de nos élus.
Voilà où nous ont conduits l’idéologie mondialiste et le multiculturalisme des illuminés qui ont le destin de la France entre leurs mains : au désastre !
Ils ont littéralement détruit l’avenir des générations futures, détruit la France.
Nous lèguerons à nos enfants une société totalement disloquée où la haine des Blancs risque de mener, tôt ou tard, à des conflits inter-ethniques et inter-confessionnels de grande ampleur.
C’est ça, la société multiculturelle paradisiaque que nous ont vantée les ayatollahs du politiquement correct.
C’est ça, la diversité qui fait la richesse de la France.
C’est ça, le droit à la différence et l’acceptation de l’Autre !
Voilà maintenant 40 ans que les politiques, les pseudo-intellectuels, les faiseurs d’opinion de la presse de gauche, bref toutes ces élites auto-proclamées, voilà 40 ans qu’elles mentent au peuple français et imposent leur dictature tiers-mondiste qui détruit la nation.
Car ce genre de clip monstrueux, ce sont nos élites qui en sont responsables.
La haine des Blancs, le racisme anti-Blancs, nous les avons importés, nous les avons encouragés par le laxisme judiciaire, la tolérance à sens unique, la repentance à tout propos.
Quand Macron va dire aux Algériens que la colonisation fut un crime contre l’humanité, il sème la haine dans le cœur de nos jeunes immigrés et brise toute possibilité d’intégration.
Quand il accuse nos soldats d’avoir pratiqué la torture, sans jamais évoquer la barbarie FLN, il sème les germes de la désintégration de la nation.
Au nom de l’antiracisme à géométrie variable, les gardiens de la morale de gauche ont toujours fermé les yeux sur l’intolérable, défendu l’indéfendable, pour ne pas “stigmatiser”, mais surtout pour ne pas marcher sur les plates-bandes du Rassemblement national et apporter de l’eau au moulin des opposants à l’immigration de masse.
Et aujourd’hui, ils sont où, ces modèles de vertu, ces humanistes bon teint, ces nobles chevaliers de l’antiracisme qui ont accablé Zemmour pour avoir dit à Hapsatou Sy que le prénom “Corinne” lui irait très bien ?
Ils sont où, ces journalistes qui ont monopolisé les plateaux TV pendant 8 jours pour cracher sur Zemmour, pour le traiter de raciste, de salaud, de fou, de malade et de semeur de haine ?
On ne les entend plus. Ils sont aux abonnés absents.
L’un de leurs chouchous de la diversité vient de cracher son venin en braillant “pendez les Blancs” et ils sont tétanisés.
Que dire, que faire ?
Certains vont sans doute nous expliquer qu’on n’a rien compris au clip. Qu’il ne faut pas prendre ça au premier degré, que c’est une provocation, certes, mais qui, bien au contraire, dénonce le racisme de tout bord.
Un message artistique de haute volée qui nous aurait échappé, en quelque sorte.
Et pas de frein à la liberté d’expression des « artistes ». Refrain bien connu.
Conrad se fout même de notre gueule, en nous disant que ce n’est pas un appel à la haine, mais qu’il faut aller « chercher en profondeur » !
Il va falloir creuser profond ! Et si le Français moyen n’a rien compris, que dire du jeune public de Nick Conrad qui arrive en 6e sans maîtriser le français ?
D’autres, sociologues en tête, nous expliqueront doctement que c’est la faute de la colonisation, de l’esclavage, de la discrimination, la faute des suprémacistes blancs qui exercent leur domination sur les racisés et les “non-souchiens”.
Éternel discours de victimisation pour bénéficier de l’impunité.
Foutaises que tout cela. Discours hypocrite de la sphère bien-pensante.
La vérité est que l’immigration extra-européenne est une bombe à retardement qui va tout pulvériser dans les années qui viennent si nos décideurs continuent de fermer les yeux sur le naufrage de l’intégration et l’illusion du “vivre ensemble”.
Enquête après enquête, toutes les synthèses des services de renseignement et des acteurs sociaux qui opèrent en banlieue font le même constat :
“Que la violence est de plus en plus enracinée et précoce, que la déculturation de masse fait des ravages et profite tant aux trafiquants qu’aux islamistes qui attisent la haine.” (Figaro)
Rien de bien nouveau. Les services de renseignement tiraient déjà la sonnette d’alarme dans les années 90.
Mais la politique de l’autruche n’a fait qu’aggraver la situation.
On assiste à une explosion des violences antisémites et anti-Blancs, qu’on appelle pudiquement “violences gratuites”, mais qui sont des violences dictées par un pur racisme, just for fun.
Je n’ai pas vu le clip, puisque Gérard Collomb a ordonné, à juste titre, son retrait, mais Stéphane Kovacs, du Figaro, en donne un résumé détaillé.
“Le clip débute par une scène de pendaison d’un homme blanc, la nuit, à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis. L’homme est enlevé, suffoque, la tête recouverte d’un sac-poubelle.”
“Deux hommes noirs lui enfoncent un pistolet dans la bouche et différents actes de torture s’enchaînent”.
“Prouve que t’as de la génétique ! Que t’as un ADN magique ! Est-ce qu’il court vite le Blanc ?” ricanent les deux agresseurs.
“Pendez-les tous ! Pendez les Blancs” !
“Écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tous âges, petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement, que ça pue la mort, que ça pisse le sang” !
Et apparaît sur l’écran une citation de Malcom X, prêcheur musulman afro-américain, assassiné à Harlem en 1965.
“ Le prix pour faire que les autres respectent vos droits humains est la mort”.
De quoi donner bien des idées à la jeunesse immigrée déjà révoltée contre la République.
C’est donc bien davantage que de l’incitation à la haine, c’est un clip pousse-au-crime, passible de 5 ans de prison.
Cette barbarie est le fruit du renoncement permanent et de la lâcheté de nos politiques, qui ont toujours nié l’échec de l’intégration et refusé de stopper une immigration de masse dévastatrice.
La haine de la France se répand dans nos banlieues où des milliers de jeunes en situation d’échec scolaire sont sensibles au discours victimaire qui les exonère totalement de leurs responsabilités.
“Si tu es dans la détresse, c’est uniquement la faute de ces salauds de Blancs”.
D’un côté, les immigrés nous reprochent la colonisation et l’esclavage, de l’autre, les élites blanches se vautrent dans une repentance sans fin qui ne fait que renforcer la haine des minorités.
Une aubaine pour les barbus qui recrutent à tour de bras. 50 % des jeunes musulmans préfèrent la charia à la loi républicaine. Belle intégration !
Quant aux patriotes, sites identitaires et autres lanceurs d’alerte, ils sont entre le marteau et l’enclume, subissant depuis des années les foudres d’une justice bien-pensante qui interdit tout débat serein sur l’immigration au nom du politiquement correct.
En conclusion, nous payons au prix fort les délires mondialistes de nos élus qui ont passé les 30 dernières années à diaboliser le Front national, à traîner ses électeurs dans la boue, systématiquement taxés d’incitation à la haine, alors que c’est dans les banlieues que se répandait une haine viscérale à l’égard de la France et du peuple français de souche.
Ce clip n’est pas l’œuvre d’un illuminé. C’est beaucoup plus grave.
Il traduit la haine que des milliers de jeunes immigrés ressentent, à la troisième génération, et annonce des lendemains tragiques pour la France qui va devenir un enfer pour les générations futures.
Tout cela était écrit depuis longtemps. En 1980, JMLP tirait déjà la sonnette d’alarme. On a préféré le diaboliser.
Et jamais la France n’a accueilli autant d’immigrés qu’aujourd’hui. C’est bien la preuve que la destruction de la nation au profit d’une société multiculturelle est parfaitement orchestrée.
L’heure de la facture est arrivée, elle sera salée !
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Une scène d’une rare violence qui s’est déroulée mardi, aux alentours de 13h au moment de la pause déjeuner.
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