En pleine polémique sur le geste du Président Macron concernant l’affaire Maurice Audin qui ne fait que réveiller les vicissitudes sur la guerre d’Algérie, il est important de rappeler les paroles du rappeur islamiste Médine sur cette sombre page de l’histoire.
Dans sa chanson « Alger Pleure », le rappeur Médine se fait le porte-parole du peuple algérien, notamment des immigrés franco-algériens qui vivent sur notre territoire français et pour qui la guerre d’Algérie n’est toujours pas terminée.
Pour Médine, comme pour de nombreux Franco-algériens, ces événements passés ne sont pas digérés, la rancœur et le ressentiment restent à jamais gravés dans un coin de leur mémoire. Tout le vocabulaire de Médine va dans le sens de la victimisation du peuple algérien avec une soif de vengeance qui s’exprime à travers ses textes de rap.
Plus dangereux encore, c’est le fantôme à la fois du FLN et du FIS algérien qui semble avoir traversé les rives de la Méditerranée pour resurgir en France dans la bouche de Médine avec toute cette logorrhée islamique pleine de haine et de paroles de représailles.
Car tout le drame des Algériens, et des musulmans en général, c’est qu’ils sont incapables de faire la paix et d’aller vers le pardon. Leur religion coranique leur enseigne la fierté, la vengeance et la domination. L’islam enferme les musulmans dans la rumination et la soif de revanche.
Alors que la France a su se réconcilier avec l’Allemagne après deux guerres mondiales sanglantes, dans l’unique objectif d’offrir un avenir de paix aux nouvelles générations européennes, les algériens sont incapables d’aller vers cet avenir paisible et de faire le deuil d’un passé révolu. Le rappeur Médine nous le rappelle dans chacune de ses chansons en exhortant son auditoire à prendre les armes contre le peuple français plutôt que de faire le choix de la paix.
Dans notre France multiculturelle paradisiaque, les policiers ont peur.
Preuve que notre pays est en état de décomposition avancée, puisque ceux qui sont en charge de faire respecter l’ordre républicain et de nous protéger ont été dépossédés de leur autorité dans la lutte contre les malfrats.
“La peur a changé de camp”, tel est le titre du livre témoignage, écrit par le journaliste Frédéric Ploquin, qui recueille les incroyables confessions de ceux qui ont la charge de nous protéger. (source JDD)
Totalement abandonnés par leur hiérarchie et par le pouvoir, ils ruminent leur colère ou se résignent.
Voilà où mène la lâcheté de nos dirigeants qui, en promouvant une immigration anti-française démentielle, ont détruit des pans entiers de la société et rendu certains métiers intenables, comme ceux de policier, de médecin, d’infirmier, d’enseignant, de pompier, systématiquement victimes de violences dans l’indifférence générale.
Est-il normal que nos policiers aient peur en enfilant l’uniforme ?
Est-il normal qu’ils soient présumés coupables au moindre contrôle d’identité un peu musclé ?
Imagine-t-on un flic américain avoir peur de la racaille ?
Imagine-t-on un flic américain préférer se faire tuer plutôt que d’utiliser son arme, par peur des suites judiciaires à son encontre ? Par peur de perdre son job et de mettre sa famille en difficulté ?
C’est pourtant ce qu’on a vu quand une bande de racailles ont tenté de brûler vifs des policiers dans leur voiture. Pas un seul n’a fait feu pour se dégager.
Scène impensable en Amérique, où la force et le droit sont du côté des policiers.
Nos policiers sont armés, mais ils ont peur parce qu’ils n’ont pas le droit d’utiliser leur arme !
“Si je suis contrainte de mettre un coup de gaz lors d’un contrôle, je dois faire un rapport pour me justifier, sinon c’est le blâme… On doit se poser 10 000 questions avant de sortir son arme. La hiérarchie n’est pas derrière nous, on ne se sent pas soutenus”.
Voilà ce que dit une policière découragée, qui se sent désarmée.
Menaces physiques, agressions, guets-apens, cocktails Molotov, peur d’être reconnu par une racaille, hors service, et de se faire lyncher, obligation de déménager après menaces multiples au domicile, etc. Tel est le lot quotidien de nos policiers que l’Etat a totalement abandonnés par lâcheté.
Etat coupable, hiérarchie coupable, mais aussi justice coupable.
“Caillasser un flic, c’est moins puni qu’un excès de vitesse”, dit l’un d’eux.
Certains procureurs passent pour des “bouffeurs de flics”.
La presse également coupable de traquer la “bavure” et de la monter en épingle.
“Pour les journalistes, la police tabasse, met des amendes et emmerde les jeunes des cités”.
L’Etat dépense 50 000 euros pour l’accueil d’un seul mineur isolé mais n’est pas capable de donner un coup de peinture dans un commissariat ou de renouveler le parc automobile à bout de souffle.
Il y a une vraie souffrance chez nos policiers, une souffrance davantage morale que physique car il n’y a pas pire que le sentiment d’abandon qui les gagne.
Ils ont besoin de reconnaissance, mais nombreux sont ceux qui les méprisent.
L’Etat est en train de détruire un métier noble, de briser les vocations des jeunes qui voient bien que les policiers sont les mal-aimés de la société.
Un métier de plus en plus dangereux parce que juges et politiques protègent les délinquants comme jamais, répugnant à infliger des peines dissuasives et refusant d’instaurer la présomption de légitime défense pour les policiers.
En 2017 il y a eu 51 suicides dans la police et 17 dans la gendarmerie.
Sur les 5 premiers mois de 2018, ce sont 33 policiers et gendarmes qui ont mis fin à leurs jours.
Mais pour beaucoup de citoyens, ils sont payés pour ça.
La démission de l’Etat et le poison du politiquement correct inoculé dans les esprits, vont détruire le pays.
La hantise du pouvoir c’est une émeute généralisée de type 2005 à la puissance 10.
La France n’a plus les moyens de résister à une insurrection de plusieurs semaines à travers la France, les effectifs ayant été laminés par Sarkozy.
Un policier tué, cela n’a aucune conséquence pour l’exécutif. Mais un loubard des cités qui meurt, et c’est l’embrasement du quartier qui peut dégénérer et se propager dans tout le pays.
Nos politiques sont paralysés car ils sont devenus otages de l’immigration de masse qu’ils ont eux-mêmes orchestrée.