Pays-Bas : « Les Hollandais doivent s’habituer à devenir une minorité »

Depuis 2017, Maurice Crul, professeur de faculté en sciences sociales à l’Université libre d’Amsterdam, mène des recherches sur la manière dont les Néerlandais s’intègrent dans les grandes villes grâce à une subvention de 2,5 millions d’euros octroyée par l’UE.

Dans les grandes villes, le «Blanc d’origine néerlandaise» vit déjà en tant que minorité aux côtés des groupes de migrants traditionnels tels que les Surinamais, les Antillais, les Turcs et les Marocains et les nouveaux venus des pays occidentaux.

Cela devient également une réalité dans les villes de taille moyenne. Tout comme les personnes issues de l’immigration, les peuples autochtones doivent trouver leur place et s’intégrer dans la nouvelle ville diversifiée », a déclaré Crul au site d’information Trouw le 28 mars 2017.

« A Amsterdam (mais aussi à Rotterdam et à La Haye indique Gérard de Boer), le moment est déjà venu: ce groupe est minoritaire. Seul un jeune de moins de quinze ans sur trois est d’origine hollandaise », explique M. Crul. « Si vous voulez savoir comment se passe l’intégration, vous devez également observer ce groupe. Qui s’adapte à qui s’il n’y a plus de majorité? »

L’intégration fonctionne maintenant dans les deux directions. Les Néerlandais blancs doivent s’habituer à cette idée. Ainsi, un Néerlandais turc peut devenir votre nouveau manager. Ou votre enfant se retrouver en situation de minorité à l’école. Telle est la nouvelle réalité à laquelle l’ancienne «majorité dominante» sera confrontée », selon le professeur.

Trouw.nl




Territoires perdus de la République : retour sur une omerta française


Dans un livre choc, “les Territoires perdus de la République”, un groupe de professeurs racontait à l’automne 2002 l’antisémitisme, le sexisme et l’islamisme qui déferlaient dans les collèges et les lycées de la région parisienne.
Boycotté à l’époque, l’ouvrage est ressorti en 2015.

Quinze ans après, c’est toujours la loi du silence. Comme si les yeux restaient toujours grands fermés sur la réalité malgré le sang qui l’a éclaboussée. Il est d’autant plus urgent de relire la nouvelle édition d’un extraordinaire document rédigé en 2002 par un collectif d’enseignants confrontés à la montée de la haine et de l’obscurantisme. Seul le titre a été largement repris dans la presse et par les politiques, à commencer par Jacques Chirac en 2003. L’expression, simple, juste et terrible, de « territoires perdus de la République » pour désigner les trous noirs dans lesquels sombrent, en France, les valeurs humanistes, a connu un succès inversement proportionnel à la reconnaissance et à la diffusion des informations divulguées. Le livre, plébiscité par les lecteurs malgré le mutisme médiatique (exception faite d’Alain Finkielkraut, de Brice Couturier, de Marianne et d’un ou deux autres journaux) ressort aujourd’hui en édition de poche, avec une postface de Georges Bensoussan. C’est l’historien qui coordonna, sous le pseudonyme d’Emmanuel Brenner, les témoignages des professeurs sur la violence en milieu scolaire, la propagande islamiste et les théories du complot.

Une décennie de dénis

Son additif à la nouvelle édition a été rédigé dans la douleur de notre dernier hiver, au lendemain des attentats de janvier. Il rappelle que, lors de la rédaction des Territoires, « les frères Kouachi et Amedi Coulibaly étaient scolarisés au collège ». De l’atmosphère qui prévalait alors et a conduit tout au long de cette décennie, de déni en déni, à une succession de crimes, nul ne voulait rien savoir. « A la parution avait répondu un long silence médiatique, mais aussi politique, venu d’une partie de la gauche, d’où nous tous étions issus, écrit Bensoussan. Nous nous sommes heurtés à ce refus d’entendre qui plombe la société française. La stigmatisation, venue là encore d’une partie de la gauche, nous priva de parole publique et nous valut d’être qualifiés de “racistes” et d'”islamophobes”. La réalité nouvelle d’un antisémitisme d’origine arabo-musulmane était difficile à voir. Notre logiciel intellectuel était bloqué sur l’extrême droite et le régime de Vichy, un schéma simple qui permettait sans risque de camper dans le camp du bien en rejouant sur le mode moral et fantasmé la Seconde Guerre mondiale…»

Car ils étaient de gauche, tous ces professeurs qui ne parvenaient plus à enseigner « des programmes d’histoire liés à l’histoire des juifs : les Hébreux en sixième, le nazisme, la France des années 30 ou la Shoah en troisième », comme le racontait à l’époque Iannis Roder, professeur d’histoire-géographie dans un collège de Seine-Saint-Denis. Les stéréotypes fusaient, et les vieux mots de l’antisémitisme éternel refleurissaient sur les jeunes lèvres. Relire son témoignage aujourd’hui fait froid dans le dos. Pourtant, dans les colonnes du Monde diplomatique, en mai 2003, Dominique Vidal dénonçait « un livre schizophrénique », et ce, alors même que les agressions se multipliaient et que la situation des jeunes juifs dans les établissements publics de Seine-Saint-Denis devenait problématique. Marianne, déjà, à l’automne 2001, avait consacré (n°230) une enquête à la montée de l’antisémitisme. « Pendant la réalisation du livre, nous avions demandé des chiffres sur les incidents antisémites au ministère de l’Education nationale [à la tête duquel se trouvait Jack Lang], nous n’avons reçu aucune réponse, se souvient Georges Bensoussan. Finalement, c’est la droite qui nous a reçus quelques mois après la publication et [c’est elle qui a] fait en sorte que nous soyons auditionnés plus tard, en novembre 2003, par la commission Stasi, qui réfléchissait alors sur l’autorisation ou non du port du foulard islamique à l’école. » C’est l’époque où l’ouvrage trouve un prolongement dans la création d’une association de professeurs. Elle a pour but de porter assistance à ceux de leurs collègues confrontés aux mêmes difficultés. En clair : à l’impossibilité d’enseigner. Cette manière de « SOS Profs » fonctionne pendant deux ans. Puis l’expérience tourne court.

Menaces contre les profs

Une seconde édition paraît en 2004, toujours chez Mille et Une Nuits (Fayard). Le lectorat est encore au rendez-vous. Ce document reflète des expériences réelles, mais qu’il est interdit d’évoquer sur les plateaux de télévision ou dans les colonnes des journaux corsetés de (petite) vertu. L’équipe rédactionnelle s’élargit pour rendre compte de ce qui se passe au-delà des établissements scolaires de la seule région parisienne. La situation s’aggrave, les menaces contre les profs qui osent parler gagnent de l’ampleur. Dans l’édition de 2002, sur sept contributions, quatre, par prudence, étaient signées de pseudonymes. En 2004, on relève 10 pseudonymes et trois noms à découvert. Barbara Lefebvre, qui intervient sous son nom véritable, en paie le prix. Ostracisée par les collègues de son lycée, elle voit les « grands frères » lui faire le signe de l’égorgement devant l’établissement. Des fiches de présentation des élèves, communiquées par une enseignante d’une filière technique de Marseille, reflètent un antisémitisme totalement décomplexé, cyniquement bien dans sa peau, épanoui dans une ambiance bienveillante. Il est devenu normal de dire sa détestation des juifs et d’accueillir toute réaction professorale comme signe d’allégeance ou d’appartenance au groupe haï. Sur la toile de fond d’une effrayante inculture, grossie des alluvions nauséeuses de la navigation sur le Net, et engraissée par la désinformation sur le conflit israélo-palestinien, des phrases de mort sont prononcées, des gestes de mort rôdent, en latence et en gestation. L’obsession juive s’accouple à la hantise du sexe féminin qu’il faut humilier et dissimuler : mais les filles aussi tissent cette toile empoisonnée, exactement comme dans les pays musulmans, une partie des femmes collabore avec ce qui les opprime.

La lecture, page par page, de ce livre est dure mais nécessaire. Elle ne surprend pas ceux qui dénoncent depuis près de vingt ans la léthargie et les dérobades compassionnelles des institutions, du système scolaire, des médias dominants, des pseudo-experts. L’anthropologue Emmanuel Todd, après tout, avec ses torsions pathétiques de la réalité, ne constitue que le dernier avatar d’une longue série de manipulations effectuées au nom du bien orwellien. « Nous n’avons pas assez de vrais chercheurs et trop d’idéologues, rappelait courageusement l’essayiste Malika Sorel il y a quelques années. Ceux-ci s’arrangent avec la réalité pour la faire coller avec la pensée dominante. » Depuis très longtemps, la circulaire du ministre de l’Education et des Beaux-Arts du Front populaire, Jean Zay, datée de décembre 1936, est ignorée et trahie. «Ceux qui voudraient troubler la sérénité n’ont pas leur place dans les écoles qui doivent rester l’asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas», y affirmait ce résistant assassiné par la Milice et dont la dépouille repose désormais au Panthéon. Au fait, qu’a-t-on dit, dans les collèges et les lycées, à la nouvelle génération des « territoires perdus », de cet hommage à l’esprit de la France libre ?

Le sang coule

Au lendemain des tueries perpétrées en mars 2012 par Mohamed Merah contre des enfants juifs et contre des militaires à Toulouse et à Montauban, la minute de silence instituée en mémoire des victimes est largement perturbée. Sur les cris, les railleries, les ricanements admiratifs pour Merah, le système fera effectivement… silence. Un mois après, des agressions antisémites se produisent à Villeurbanne : Marianne se rend sur le terrain. Voici ce que j’écrivais le 23 juin 2012 dans une enquête réalisée avec Malik Aït-Aoudia : « D’élèves juifs, il n’y en a plus beaucoup dans les collèges et les lycées publics de Villeurbanne. La plupart des parents ont retiré leurs enfants du collège Pierre-Brossolette où se multipliaient les frictions, pour les inscrire dans les établissements du VIe arrondissement lyonnais, plus huppé, ou dans les écoles juives : soit se fondre parmi les autres, soit se replier sur les siens. Dans les deux cas, aucune solution. Car, le 14 juin, une jeune fille du lycée public de ce VIe si chic a été insultée et agressée parce que juive par une de ses camarades et par deux garçons venus en renfort. »

Depuis, le sang a continué à couler, du massacre perpétré par Nemmouche au Musée juif de Belgique, à Bruxelles, aux attentats de janvier 2015. On a pu observer le sursaut populaire puis, très vite, la volonté des pseudo-élites déconnectées du réel de retourner ce réel pour transformer les victimes en coupables. Cette route boueuse a été pavée de dénis et de reniements. D’instrumentalisations aussi. La photo qui orne la couverture de la dernière édition des Territoires est celle des émeutes de juillet 2014, à Sarcelles : elles faillirent se transformer en pogrom avec l’attaque de la synagogue, au prétexte qu’une nouvelle guerre, à Gaza, opposait le Hamas à l’armée israélienne. Comme boulevard de Belleville, dans le XXe arrondissement parisien, et rue des Tournelles, dans le IVe, des manifestants appelaient à la « mort des juifs ». Ils se proclamaient propalestiniens et une partie d’entre eux brandissaient le drapeau du djihad. Mais, pour couvrir le conflit moyen-oriental depuis plus de vingt ans, nous savons que la Palestine, en France, pour certains, a cessé d’être une cause pour devenir un alibi. « Un terreau embrasé par l’ultragauche française », souligne Georges Bensoussan, en rapportant une information du Monde, à la veille des législatives de juin 2012 : à La Courneuve, les organisateurs d’une réunion électorale inscrivaient la question israélo-palestinienne parmi les cinq questions jugées fondamentales pour les quartiers populaires… Une politique ancienne dont les ravages étaient déjà révélés en 2002 par les rédacteurs des Territoires, qui s’étaient pourtant rêvés en éducateurs d’une société fraternelle, rationnelle, émancipée. Cela non plus on ne pouvait le leur pardonner.

Les Territoires perdus de la République, sous la direction d’Emmanuel Brenner, postface de Georges Bensoussan, nouvelle édition actualisée, Fayard-Pluriel, 412 p., 9 €.




Le président de l’Observatoire de l’islamophobie, Abdallah Zekri, reconnait que les coups de fouets sont prévus par la Loi islamique

Abdallah Zekri de la Grande Mosquée de Paris, réputée « modérée », dirigeant de l’Observatoire national de l’islamophobie rattaché au CFCM, était invité face à Majid Oukacha (ex musulman) sur Sud Radio le 9 août 2018. Le militant algérien ne peut qu’admettre que les châtiments corporels sont prévus par le Coran, en l’occurrence les coups de fouets pour les couples non mariés. Collomb gardera évidemment cet homme sur notre territoire.




Italie : des migrants africains agressent un conducteur de bus qui refuse de les laisser voyager sans billet

Ancône (It.) : Il leur demande leurs billets et se fait agresser et menacer

Les faits remontent à lundi soir. D’après Picchio News (…) le chauffeur aurait demandé leurs billets à un petit groupe d’Africains. S’en sont suivies une dispute puis une altercation. Le chauffeur se fait agresser verbalement par un immigré en particulier. Des coups de poing sont donnés, l’un d’eux finissant presque sur le visage d’une fillette assise à côté.

La vidéo [a été] réalisée par un passager avec son téléphone.
(…)

Il Giornale




Pour Mucchielli, ce n’est pas leur faute si les El Habib ont égorgé Adrien Pérez

Publié le 9 août 2018 – par Caroline Artus

Cher Adrien,

Permets-moi de t’appeler par le beau prénom que tes parents t’ont donné et de te tutoyer : tu pourrais être mon fils. Figure-toi que c’est en regardant, ce matin, un avion larguer des parachutistes au dessus de la forêt que le désir de t’écrire, mais aussi d’écrire à ta famille dévastée me prend aux tripes. Même si imaginer leur chagrin reste, j’en ai bien conscience, en deçà de leur réalité. Je suis sûre que c’est ainsi qu’ils me répondraient.

En revanche, la colère que ton papa et ta maman ont exprimée, je la ressens de plein fouet. Et encore davantage après avoir lu l’interview immonde de Laurent Muchielli par francetvinfo. Un sociologue. Et une interview de sociologue chercheur au CNRS après ton assassinat par les frères Younès et Yanis El Habib l’est forcément, immonde.

Non Adrien, n’en déplaise à ce Muchielli qui enfonce chaque jour son derrière dans son confortable siège non éjectable du CNRS, ta mort ne relève pas d’un « fait divers » mais de la haine savamment entretenue à l’égard du peuple autochtone par « toujours les mêmes », a même dit fort courageusement ta mère à une station de radio. Toujours les mêmes, donc des racailles, car ce n’est pas toi, jeune salarié sans histoire, qui te serais jamais trimbalé avec un couteau en poche comme elles semblent en avoir pris la funeste habitude.

Des racailles et non de pauvres choux en « manque d’aides psychosociales » dans une France où rien ne permet de dire qu’il y aurait « une flambée de violence particulière », continue pourtant de pontifier le monsieur « je sais tout ». Selon lequel il y a même moins de violences… qu’au Moyen-Age, comme il l’affirmait, toujours docte, il n’y a pas si longtemps. Mieux : cet histrion a pondu un bouquin intitulé : « L’invention de la violence ». De qui donner des envies de meurtres ainsi que le dit cette expression populaire…!

Une recrudescence des crimes perpétrés dans la région grenobloise ? Accroche-toi, Adrien : môssieur « je sais tout » n’en sait, en fait, « absolument rien ». D’ailleurs, pardon de te l’apprendre maintenant que tu n’es plus là, il paraît que tu vivais dans un des pays « les plus tranquilles du monde ». Et donc dans une région non proverbialement connue pour être gangrenée par les violences en tout genre. Imagine le ressenti de ta famille en écoutant ces mensonges éhontés ! L’art de comparer tout et n’importe quoi : fortiche, le chercheur Muchielli !

Et tu sais quoi ? Ce n’est pas de leur faute, aux frères El Habib s’ils t’ont poignardé. C’est la faute « à un cumul de facteurs de fragilités ». Ce n’est pas toi, le fragilisé sans couteau à portée de main pour aller fêter banalement tes 26 ans en discothèque, ce sont eux. Eh oui !

Parce que leur familles étaient violentes, parce qu’ils n’ont pas bien travaillé à l’école ; parce que, contrairement à toi qui te levais chaque matin pour aller au travail, eux n’avaient pas cette chance. Alors, évidemment, ils n’avaient d’autre choix que « de participer aux économies parallèles comme le trafic ». Bon, ce bon Mucchielli ne parle pas précisément de tes assassins, tu vois comme l’idée est là. C’est toujours la même rengaine, usée jusqu’à la corde, je te l’assure. Les pourfendeurs d’un certain déterminisme (biologique) sont les premiers à le revendiquer quand il s’agit de social. Il faut dire, et tu t’en doutes, que c’est leur gagne-pain toute cette misère dite sociale…

Alors, je voudrais que tu saches que si, face au deuil terrible que vit ta famille, nous ne pouvons qu’être impuissants, dans le combat qu’ils mènent à présent pour que cessent toutes ces marches blanches, nous, les Français que le bon sens n’a pas désertés, à leurs côtés nous nous tenons vent debout. Pour éradiquer du paysage médiatique tous ces sociologues insensibles et hypocrites, tous ces politiques qui ne pensent qu’à leur prochaine (ré) élection, tous ces pédants et ces traîtres à leur pays qui vivent sur notre dos depuis trop longtemps. Et qui se complaisent de façon malsaine dans un relativisme tueur et une culture de l’excuse dévastatrice.

Alors voilà, en observant les paras se déployer et recouvrir une partie de la forêt, je pensais que nous, les honnêtes gens, pauvres ou non, allions redoubler d’efforts pour déployer nos armes à nous pour en finir avec cette idéologie qui t’a tué. Qui a déjà beaucoup tué et qui, comme dit ta maman, tuera encore. A cause de tous ces Mucchielli de France et de Navarre qui ont transformé les bourreaux en victimes.

Mais la fête est bientôt finie, la France humiliée et martyrisée en a assez de voir ses enfants assassinés par des populations venues d’ailleurs, qui lui vouent une haine sans merci et sans fin. Et quand c’est assez, c’est assez.

Comme tes parents à qui nous exprimons toute notre compassion, cher Adrien, nous ne pardonnerons jamais aux El Habib d’hier, d’aujourd’hui et de demain mais nous allons redoubler d’efforts pour que n’existe pas d’après-demain. Nous ne pardonnerons jamais à tous ceux qui excusent sans scrupule la raclure (celle qui est même réconfortée à l’hôpital quand elle s’est prétendument pris une matraque dans l’arrière-train) et sans même daigner le moindre mot à ton égard ni à celui des tiens.

Cher Adrien, repose désormais en paix. Chers Monsieur et Madame Pérez, vous êtes entendus. De tout cœur avec vous.

Caroline Artus (source Riposte Laïque)




Migrants : «Porte de La Chapelle, au carrefour de la détresse»

Dans ce quartier de Paris où se croisent migrants et toxicomanes, la situation se dégrade de jour en jour. « Les migrants sont à bout », estime une bénévole.

[…] Après vingt mois de distribution quotidienne de petits déjeuners, le collectif a décidé d’interrompre son action, fin juillet. Dans l’espoir de faire évoluer la situation et de revenir sur place à la rentrée : «C’était devenu impossible, explique Sarah. On ne faisait pas le poids face aux crackers, on n’avait pas de vigiles. Donc on a demandé à la Mairie de prendre ses responsabilités. » Les crackers ? Des jeunes toxicomanes ravagés par le crack qui ont investi ce quartier entre périphérique et tramway et qui se livrent à toutes sortes de trafics. […]

Ici, la majorité des migrants sont des hommes. Majeurs pour la plupart, ils sont en France depuis peu, ou ont fui au printemps le recensement administratif post-évacuation des campements du canal Saint-Martin et du site du « Millénaire », près de la porte de La Villette. Ils sont originaires d’Erythrée, d’Afghanistan, du Mali ou d’Irak, pour l’essentiel. […]

Depuis le début de l’été, 12 000 gourdes ont été distribuées par la Ville de Paris. Des rampes et des W-C ont été installés dans le quartier. Mais la situation reste difficile. De nombreux migrants souffrent du manque d’eau. Certains n’utilisent que rarement les gourdes mises à leur disposition et plus rarement encore les sanitaires. «C’est plein de maladies, c’est sale», indique Omar, un ­Malien de 29 ans, en passant devant un urinoir rempli de bouteilles vides. […]

Le Monde




Allemagne : les enfants d’islamistes constituent une « menace réelle » pour la société dans les années à venir, déclare le chef des renseignements

Hans-Georg Maassen, le chef du BfV (service de renseignement intérieur allemand), prévient que les enfants qui grandissent dans des familles islamistes en Allemagne constituent un risque pour la société.

[…] Il dit qu’il y a des signes que la radicalisation des mineurs et des jeunes adultes devient plus probable et se produit plus rapidement et plus tôt.

Le document du BfV estime que des centaines d’enfants sont affectés en Allemagne. Les enfants dans ces familles sont « élevés depuis la naissance dans une vision du monde qui légitimise la violence envers les autres et dénigre ceux qui ne font pas partie du groupe », dit le rapport.
Maassen prévient que ce qu’il décrit comme la socialisation djihadiste des enfants en cours était « alarmante » et poserait un défi significatif aux autorités dans les années à venir.

(…)

Le chef du BfV prévient que certains « sont tellement radicalisées et s’identifient si entièrement avec l’idéologie de l’État islamique que, à toutes fin pratiques, on doit les considérer comme des djihadistes. »

DW

Merci à Jean-Baptiste Moquelin




Revue de presse : Chaque jour, des musulmans égorgent des Français, Collomb se tait !

Mort à 30 ans, coup de couteau à la gorge, agression pour avoir refusé de donner une cigarette, tous les modes opératoires classiques. Cela continue, c’est tous les jours. Et le jour de son anniversaire, comme pour le jeune Adrien Perez à Grenoble. Le Cacochyme aux abonnés absents, rien n’est entrepris pour faire cesser ce massacre.

http://www.europe1.fr/faits-divers/meurthe-et-moselle-mort-dun-homme-agresse-au-couteau-3726788

Sur ce sujet largement occulté par les « grands » médias, deux liens qui permettent, comme on dit au Café de Flore, une « mise en abyme ».

https://www.kmkc3.com/self-d%C3%A9fense-actualit%C3%A9/agressions-au-couteau-en-france/

https://www.mudoculture.fr/blog/2017/12/lames-fatales–observations-etudes-et-analyses-sur-les-attaques-au-couteau

La racaille s’approprie les plages. Exaspération maximale. Il va vraiment falloir que ça pète :

https://www.laprovence.com/article/edition-marseille/5097102/des-vigiles-deloges-de-la-barriere-dentree-de-sormiou.html

http://www.bvoltaire.fr/stephane-ravier-calanques-investies-par-les-bandes-des-cites-il-ny-a-pas-que-sormiou-et-les-marseillais-nen-peuvent-plus/

Il y en a qui n’ont pas de chance.

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/montereau-quatre-hommes-juges-pour-le-passage-a-tabac-gratuit-d-un-adolescent-05-08-2018-7844232.php

https://www.linfo.re/france/faits-divers/seine-saint-denis-une-fille-poignarde-a-mort-sa-mere

D’autres en ont. Un peu.

http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/val-d-oise-une-femme-agressee-par-six-jeunes-son-mari-s-interpose-et-est-lynche-07-08-2018-7845867.php#xtor=AD-1481423553

Mais Dieu merci, la prévention existe. Logique implacable, plus de thermomètre, plus de fièvre.Nous sommes gouvernés par des géants.

https://www.midilibre.fr/2018/08/02/perpignan-pour-tenter-de-reduire-les-incivilites-la-gare-ferme-ses-portes-a-22-h,4668206.php

BOOBA-ABDESLAM : LA BOUCLE EST BOUCLÉE.

La question étant : lequel a inspiré l’autre ?

http://http://www.valeursactuelles.com/faits-divers/fleury-merogis-booba-pour-voisin-salah-abdeslam-97924

À l’ombre, comme tout le monde. Et c’est idéal contre la canicule.

http://www.lefigaro.fr/culture/2018/08/06/03004-20180806ARTFIG00300-booba-demande-sa-liberation-en-attendant-le-proces-de-la-bagarre-d-orly.php

Rappel. C’était en Juin. En Août, Médine-Booba, même combat. On se souviendra de cela, Raphaël Enthoven.

LIEN VIDEO : https://www.dailymotion.com/embed/video/x6lusu4

L’ARGENT DE LA « FRATERNITÉ » IRA AUX BONS ENDROITS.

Clandestins, passeurs, ONG complices, Herrou. 300 millions, qu’est-ce que c’est ? Hé, les petits villages, fermez la et subissez.Vous êtes cocus? Pas nous, qui savions de quoi est capable notre Trupije brégançonien et son fac totum blafard. Et ce n’est pas faute de l’avoir annoncé.

https://www.francetvinfo.fr/politique/gouvernement-d-edouard-philippe/l-etat-annule-par-decret-pls-de-300-millions-d-euros-de-dotations-aux-collectivites-locales_2310347.html#xtor=CS2-765-[twitter]-

Il faut bien peupler les squats. Bègles, signalé cloaque, merci Noël Mamère. Au fait, on a de ses nouvelles ?

https://www.sudouest.fr/2018/08/06/begles-la-ville-de-l-agglo-qui-compte-le-plus-de-squats-5287709-2760.php

Paris se fait coquette pour accueillir les touristes. Camping de fatmas et d’Africains encadrés par le DAL, devant le Sénat. P’Tit’mère Brossat est encore au bronzage, quand à la Mère-Maire-tout-court, elle doit lire le dernier opus de son amie Destriches entre deux safaris-rongeurs.

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-les-mal-loges-dorment-face-au-senat-06-08-2018-7845096.php

Et puis, il va falloir récupérer ces pouffiasses emburquinées à Raqqa. Elles ont vu, entendu, senti la bonne odeur de la mort. Elles sont complices. Qu’elles payent sur place, aux frais du très démocratique système juridique syro-irakien.

https://francais.rt.com/international/53206-recruteuses-membres-police-islamique-femmes-tout-quitter-pour-daesh-video

MÉLUCHE SOUFFRE DE LA CANICULE.

On l’a connu meilleur, il paraît émoussé. Il faut dire qu’être entouré par le couple Obono-Coquerel (les bans ! Les bans !) ne prédispose pas à battre le record du monde du 100m nage en eaux troubles. Courage, Jean-Luc, la fraîcheur revient, puis ce sera le tour de Macron. Quel bel été.

LIEN VIDEO : https://youtu.be/mMXFenwALOA

Et Marlène soigne ses futurs lecteurs.

http://www.lavenirdelartois.fr/fait-divers/sallaumines-il-utilise-de-la-pommade-pour-faire-grandir-le-ia700b0n259146

L’HUMOUR ANGLAIS AGONISE.

Il existe encore, mais il ne passe plus dès qu’on touche aux Musulmans. Une forme de Terreur, tout simplement.

https://francais.rt.com/international/53214-pour-boris-johnson-femmes-qui-portent-voile-int%C3%A9gral-ressemblent-boites-aux-lettres

ÇA FLINGUE VELU CHEZ AL CAPONE.

Chicago, guerre des gangs, bientôt le jumelage avec Marseille ?

http://www.fdesouche.com/1054385-etats-unis-flambee-de-violences-a-chicago-au-moins-11-morts-et-70-personnes-blessees-par-balle-en-un-week-end

Immondice islamique.

https://borislelay.com/2018/08/06/usa-des-extremistes-musulmans-lourdement-armes-detenaient-11-enfants-dans-des-conditions-horribles-depuis-des-mois/

CANADA : VERS LA GUERRE ?

L’Arabie chatouille l’érable.

https://www.breitbart.com/london/2018/08/06/blue-tick-saudi-twitter-account-makes-veiled-terror-threat-against-canada/

NIGERIA.

La solution finale du christianisme est bien avancée.

https://www.infocatho.fr/nigeria-16-000-chretiens-tues-en-moins-de-trois-ans/

BONNES VACANCES EN INDONÉSIE.

« Ian Brossat est demandé à l’aéroport de Banda Aceh ». Je répète : « Ian Brossat est demandé…. » D’urgence.

http://www.fdesouche.com/1054485-indonesie-au-nom-de-la-loi-islamique-des-homosexuels-frappes-a-coups-de-baton-en-place-publique-devant-une-foule-enthousiaste

M’est avis qu’on ne le verra pas de sitôt défendant ses compagnons de ribaude en Indonésie. Du même bois que la Schiappa. Tous les deux ne peuvent s’ empêcher de tirer parti de leur exposition politico-médiatique pour s’exhiber, susciter le désir, bref se caresser le narcissisme dans le sens DES poils. Quelle époque de spectres !

Jean Sobieski (Riposte Laïque)




Immigration : La France est à bout de souffle, et se laisse mourir

Publié le 7 août 2018 – par Jacques Guillemain

“Si nous ne changeons pas radicalement de méthode pour mettre un terme au déclin déjà bien amorcé de notre société, l’avenir s’annonce obscur”.

Ainsi s’exprimait déjà en 2005 la commissaire Pellegrini, ancien chef de l’ORCB, dans son livre “Banlieues en flammes”, écrit après les émeutes de la même année.

Un livre courageux, qui énonçait clairement ce que le pouvoir et les médias dissimulent depuis trente ans, à savoir le lien incontestable entre immigration et insécurité, ainsi que les ravages de l’islamisme dans les banlieues.

Treize ans plus tard, non seulement la violence a explosé, rendant des pans entiers du territoire particulièrement dangereux, non seulement le salafisme a tissé sa toile dans tout le pays, mais le discours angélique et les remèdes proposés restent inchangés.

C’est une véritable culture de l’échec. Plus ça s’aggrave et plus on garde le cap.

Politique de la ville avec rénovations de cages d’escaliers et d’ascenseurs, emplois aidés aux “grands frères”, subventions en tout genre, des milliards engloutis à fonds perdus.

A peine rénovés, les locaux sont vandalisés.

“Changer le contenant n’a jamais amélioré la qualité du contenu”, nous dit Pellegrini.

L’intégration est un fiasco. Dans les cités, s’intégrer, c’est se renier, c’est trahir ses origines. Ce ne sont pas les immeubles qu’il faudrait rénover, mais les esprits.

Et tout empire, car c’est un remplacement de population qui s’opère peu à peu.

Avec des taux de fécondité plus du double de celui des natives, les femmes immigrées assurent une bonne part des naissances françaises.

“En 2004, les populations maghrébine, africaine et turque, représentaient 9% de la population mais assuraient 16% des naissances”.

En 2018, avec 10 millions d’immigrés extra-européens, les femmes immigrées fournissent 20% à 25% des naissances. L’avenir s’annonce tragique.

En 2004, on dénombrait déjà 615 quartiers difficiles dont 150 très difficiles. On en compte le double aujourd’hui.

Ceux où les taxis ne s’aventurent jamais, où livreurs et médecins vont à reculons ou refusent tout simplement d’y aller, où les pompiers se font caillasser, et où les forces de police ne peuvent pénétrer qu’en force, avec des légions de robocops.

Dans ces cités de non droit, c’est la loi des caïds et le règne de la peur. Car l’impunité est totale. Les bandes se partagent les trafics et s’affrontent.

Pellegrini cite ce jeune de 16 ans qui avait commis 350 vols avec violence en trois mois !

“5% des jeunes délinquants commettent 50% des petits délits, 80% des délits grave et 95% des trafics.”

Toutes ces cités qui avaient accueilli les immigrés italiens, espagnols et portugais, toutes ces villes qui vivaient tranquilles et en sécurité, sont devenues un enfer pour les Européens, lesquels ont préféré quitter les lieux.

Un regard, une réflexion et c’est l’incident qui dégénère et peut très mal finir.

Les femmes y ont perdu tous leurs droits et leur liberté. L’islam fait des ravages dans les esprits formatés par les barbus, qui distillent savamment chez les jeunes la haine de la France et de tout ce qui représente la République.

Depuis 1960, la criminalité a quintuplé, passant de 734 000 crimes à près de 4 millions aujourd’hui.

Mais les chiffres sont manipulés. Depuis 15 ans, on reste sous la barre des 4 mls.

“Entre la main courante et la saisie statistique de l’infraction, la déperdition est immense.” Une étude de l’IHESI montre que sur 10 plaintes, une seule entre dans les statistiques de la police.

On refuse toujours de faire le lien entre immigration et insécurité.

Mais les synthèses de la Direction centrale de sécurité publique (DCSP) et de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) sont sans appel.

60 à 70% des délinquants sont issus de l’immigration.

Le racisme anti-Blancs se banalise. Agresser les jeunes Blancs est un passe-temps.

“Ils sont jamais en bandes, et ils savent pas se battre, alors on se venge”, dit Tariq.

C’est ça le “vivre ensemble” que nous vendent nos bobos, bien protégés dans leurs beaux quartiers. L’insécurité ce n’est pas le problème du pouvoir.

D’ailleurs, à peine arrivé, Macron a renforcé sa propre sécurité avec 55 policiers de la préfecture de Paris venus épauler les 77 membres du GSPR.

Quant aux barbus, ils formatent les cerveaux pour en faire des ennemis de la France et des futurs combattants d’Allah.

La France et l’Occident sont présentés comme des terres impies, ayant toujours opprimé et torturé les musulmans au cours des différents conflits.

C’est ainsi que des milliers de jeunes musulmans sont allés combattre en Irak sous la bannière d’al-Qaïda et de l’Etat Islamique.

Et tout revenant est un héros, un vétéran qu’on respecte et qu’on écoute. Mourir en martyr, c’est assurer sa place au paradis.

Moyennant quoi, 50% des jeunes musulmans des cités sont favorables à la charia. Voilà le résultat de 40 années d’angélisme, de dictature du politiquement correct et de mensonges des élites dirigeantes.

En 2005 on recensait 15 mosquées salafistes, il y en a plus de 120 en 2018.

Et combien de dizaines de milliers d’adeptes ? 50 000 ? 100 000 ?

Quand on ferme une mosquée salafiste pour 6 mois, il s’en ouvre trois autres.
Le salafisme n’a rien d’illégal, un courant musulman comme un autre…

Ne sont punis que les prêches de haine. Encore faut-il relever un flag !

Le prosélytisme musulman est partout. Dans les prisons et sur internet, mais aussi à l’école, puisque le rapport Obin de 2004 tirait déjà la sonnette d’alarme.

On le voit, le totalitarisme vert et le terrorisme ont de beaux jours devant eux puisque les frontières restent ouvertes et que l’immigration n’a jamais été aussi forte qu’en 2017.

La France est à bout de souffle et se laisse mourir.

Les élites complices ont capitulé depuis longtemps et le peuple, encore inconscient du désastre qui s’annonce, reste passif.

Politiques, médias et intellectuels n’ont cessé de trahir le peuple.

Mais l’heure de vérité approche et la dérobade n’est plus possible.

Soit nous continuons d’accorder des libertés à ceux qui veulent nous détruire, soit nous les combattons en oubliant nos sacro-saints principes humanistes qui nous paralysent. Avec la barbarie islamiste, il n’y aura pas de demi-mesure.

Et plus nous attendrons, plus le réveil n’en sera que plus terrible, au point qu’il sera miraculeux d’éviter une guerre civile.

Jacques Guillemain (dans “Riposte Laïque”)




30 minutes islamiquement très incorrectes…

A écouter dans son intégralité.

Quelques lignes pour situer Riposte Laïque
Riposte laïque est un journal diffusé par le web et par courrier électronique. Créé en septembre 2007, cette publication déclare traiter principalement de la laïcité et de l’islam.

Riposte laïque affirme n’être pas lié à un courant politique particulier : certains membres fondateurs, tels Pierre Cassen sont issus des mouvements trotskistes et se déclarent « de gauche », tandis que d’autres animateurs sont « de droite », anciens militants de Debout la République. Le site laisse également la parole à des rédacteurs se réclamant du Front national6.

Le journal en ligne Riposte laïque est de langue française, cependant depuis le 12 octobre 2012 il est édité par l’association Riposte laïque Suisse en raison des polémiques violentes qu’il suscite. Cette délocalisation ne l’immunise pas de conséquences judiciaires cependant: ainsi il est poursuivi en 2016 pour incitation à la haine.