Trappes : une cité islamisée à raser, des milliers de musulmans à expulser…

Publié le 23 août 2018 – par Paul Le Poulpe (dans Riposte Laïque)

Nous apprenons donc, sans surprise, qu’à Trappes, ce jour, un fiché S connu des services de police et nommé Kamel Sahli a poignardé à mort une personne et en a blessé gravement deux autres, en criant « Allah akbar ». Immédiatement, les autorités nous ont dit que cela n’avait rien à voir avec une attaque terroriste et que l’homme était dépressif et déséquilibré. Puis, nous avons appris que la mère et la sœur de l’assassin, abattu par les forces de l’ordre, figuraient parmi les victimes. Bien sûr, à la télévision, tout le monde témoigne qu’il était très gentil et que le fait qu’il n’ait pas vu ses enfants depuis longtemps pouvait expliquer son geste fou qui, bien évidemment, n’a rien à voir avec l’islam, même s’il a crié « Allah akbar » en tuant sa mère et sa sœur.

Enfin, le cacochyme était dans un grand jour, on sent que quand ils entendent un tel ministre de l’Intérieur parler, les terroristes musulmans tremblent…

VIDEO : http://www.dailymotion.com/embed/video/x6sh92i

Autre information, qui va passionner notre amie Ghislaine Dumesnil, il a été salarié de la RATP jusqu’en 2016, avant de se faire licencier. Bref, un autre Samy Amimour.

Dans la longue série de nos compatriotes égorgés, tout au long de l’été, par des disciples d’Allah, pour une fois la victime ne porte pas un prénom français mais le problème demeure. Cela nous confirme que Trappes n’a plus rien d’une ville française, depuis bien longtemps.

Riposte Laïque l’avait déjà signalé à l’occasion du premier article de Maxime Lépante en 2009.

https://ripostelaique.com/Voyage-dans-la-France-musulmane.html

Cela n’avait pas plu du tout à une militante républicaine de gauche, professeur de philosophie, Marie-Laure Segal qui avait vivement protesté auprès de notre journal et rompu avec nous. Et pourtant, cette femme ne manquait pas de courage !

https://ripostelaique.com/author/Marie-Laure-Segal

Cela n’avait pas du tout plu à son camarade, le maire Guy Malandain, qui avait menacé notre journal d’un dépôt de plainte, avec un gros dossier d’avocat, nous sommant de retirer l’article. C’était la première menace judiciaire que nous recevions, mais pas la dernière.

https://ripostelaique.com/Le-maire-de-Trappes-et-son-avocat.html

Bien évidemment, fidèles à nos traditions, nous avions maintenu l’article, et envoyer balader le maire.

https://ripostelaique.com/Le-maire-de-Trappes-n-a-aucun.html

Le regretté André Dufour, décédé il y a quelques jours, avait réagi et comparé les menaces du maire à l’ouverture de la chasse aux Infidèles.

https://ripostelaique.com/Trappes-ouverture-de-la-chasse-aux.html

Nous avions brossé le portrait de Guy Malandain, maire passé de chez Chevènement au PS. Tout s’explique.

https://ripostelaique.com/Qui-est-Guy-Malandain-le-maire-de.html

Puis, nous avions interrogé l’ancien maire communiste (qui s’est fait engueuler par ses petits camarades pour nous avoir répondu), Bernard Hugo, qui nous avait confirmé que Malandain avait gagné la mairie en achetant le vote musulman avec, en contrepartie, la promesse de la construction d’une grande mosquée.

https://ripostelaique.com/Bernard-Hugo-maire-PCF-de-Trappes.html

Pierre Cassen avait évoqué, par ailleurs, deux anecdotes personnelles vécues à Trappes, dont l’une reste, selon son témoignage, son plus mauvais souvenir de militant, c’est dire…

https://ripostelaique.com/Trappes-mon-plus-mauvais-souvenir.html

Ensuite, bien que les politiques et les médias aient voulu noyer le poisson, la ville de Trappes a continué de s’islamiser, chaque jour un peu plus, avec la complicité des différents gouvernements et de nombre d’élus locaux.

Certes, les bobos nous racontaient, pour expliquer les bienfaits de l’immigration, que trois Chances pour la France venaient de Trappes : Nicolas Anelka, Jamel Debbouze et Omar Sy. Beaux exemples : le premier a mis la vérole dans l’équipe de France de football et n’a jamais cessé de cracher sur notre pays, le deuxième, qui a failli devenir secrétaire d’État chez Macron, nous a expliqué, pour défendre la burqa, que l’islam était en France depuis 3 000 ans, quant au troisième, qui est sorti en lambeaux d’une baston qu’il a voulu provoquer avec Éric Zemmour, il n’a rien trouvé de mieux, après avoir joué dans le navet « Knock », que de défendre ses coreligionnaires Rohingyas.

Mais dans la réalité, Trappes n’est plus une ville française depuis longtemps.

On y militait pour la régularisation des clandestins, mais la mère de la grande donneuse de leçons Sophia Aram se faisait épingler en train de faire casquer ses coreligionnaires pour intervenir en leur faveur. Ah ! la culture du bakchich !

https://ripostelaique.com/la-lutte-dune-elue-de-trappes-pour-la-regularisation-des-clandestins-paie-et-meme-bien.html

On y organisait des défilés de mode islamique dans les rues de la ville…

https://ripostelaique.com/defile-de-mode-islamique-dans-les-rues-de-trappes.html

On y inventait même des fausses agressions de femmes voilées, commises par d’horribles Français racistes…

https://ripostelaique.com/trappes-la-fausse-agressee-rate-son-suicide.html

En revanche, il n’y est pas conseillé aux policiers de contrôler des voilées intégrales (donc des délinquantes), car cela coûte trois jours d’émeutes, comme le rappelait la Blonde de YouTube, au bout d’une minute de cette vidéo…

Et un Noir raciste pouvait humilier, en toute impunité, lors d’un grossier montage, un prétendu raciste blanc, sans être poursuivi par les prétendus antiracistes.

https://ripostelaique.com/trappes-un-musulman-noir-raciste-humilie-un-francais-blanc-video.html

Naturellement, près d’une centaine de « djeunes » sont partis combattre en Syrie, aux côtés de l’État islamique.

https://www.franceinter.fr/emissions/l-enquete/l-enquete-29-avril-2016

Bien sûr, une telle ville ne pouvait qu’éveiller la convoitise des pires islamo-collabos, Benoît Hamon (surnommé avec pertinence Bilal) en tête, qui fut nommé ministre grâce aux musulmans qui, à Trappes et à La Verrière, par leur survote, l’avaient fait élire député, condition nécessaire pour siéger au gouvernement.

https://ripostelaique.com/trappes-benoit-hamon-doit-sa-place-de-ministre-aux-musulmans.html

Cela ne pouvait que faire rêver celui qui fut tout de même vainqueur de la primaire socialiste et donc candidat à l’élection présidentielle de 2017.

https://ripostelaique.com/bilal-hamon-futur-muezzin-de-trappes.html

Surtout qu’on y enseignait l’arabe dès la 5e dans les trois collèges de la commune…

https://ripostelaique.com/trappes-larabe-enseigne-des-la-5e-dans-les-3-colleges-de-la-ville.html

Et qu’on y inscrivait des gamins de 3 ans dans les écoles coraniques, avec l’argent de la municipalité !

https://ripostelaique.com/coraneries-gosses-de-3-ans-a-lecole-coranique-de-trappes-financee-par-le-maire-ps.html

Donc, Trappes, c’était forcément un des Molenbeek français les mieux réussis !

https://ripostelaique.com/trappes-un-des-plus-molenbeek-francais-les-plus-reussis.html

Et donc, cela incarnait la France de demain !

https://ripostelaique.com/trappes-cest-la-france-de-demain.html

Rien d’étonnant, quand on observe les résultats de la présidentielle de 2017, à constater que les pires islamo-collabos arrivent largement en tête : 32 % pour Mélenchon, 24 % pour Hamon, ce qui, au second tour, donne 80 % pour Macron.

Il était donc inévitable que Marlène Schiappa, qui avait montré dans quelques-uns de ses livres son goût pour l’érotisme exotique, vienne s’y encanailler quelques jours, déplaçant juste 80 policiers pour assurer sa sécurité !

https://ripostelaique.com/trappes-marlene-schiappa-na-pas-pu-sencanailler-dans-un-cafe-musulman.html

Voilà donc, après l’attentat de ce matin, la réalité de Trappes, un territoire perdu de la République, comme le disait Georges Bensoussan dès 2002.

Encore un fiché S laissé en liberté, encore des morts qu’on aurait pu éviter. Comment ne pas comprendre la réaction de Christine Tasin, qualifiant Macron d’assassin ?

http://resistancerepublicaine.eu/2018/08/23/trappes-attaque-au-couteau-par-un-fiche-s-1-mort-et-2-blesses-macron-assassin/

Reste une question incontournable : que faire d’une ville comme Trappes, territoire perdu de la République ?

Bien sûr, les collabos continuent de cracher au bassinet (avec nos sous) et ont fait de cette ville islamisée un des trente objectifs de ce qu’ils osent appeler la Reconquête républicaine.

On peut aussi accepter la logique d’États dans l’État, donc la partition qu’envisageait sans sourciller Hollande, c’est-à-dire l’officialisation de la charia dans certaines zones de ce qui ne serait plus la France et préparerait une libanisation du pays. Ce qui ne ferait que différer le problème et constituerait un premier recul ne pouvant qu’encourager les islamistes à accentuer leur pression pour rafler toute la mise…

Ou bien, dans un registre totalement opposé, des solutions plus radicales, seules à même de sauver le pays. Éric Zemmour avait suggéré de bombarder Molenbeek. Dans le même esprit, il faudrait raser toutes les enclaves islamisées de France, interdire toute visibilité de l’islam et renvoyer, à Trappes d’abord, mais aussi partout où cela est nécessaire, ces milliers de musulmans, adeptes de la charia, dans l’un des 57 pays de l’islam. Ces sympathiques personnages n’ont rien à faire en France, ce sont les pires représentants de la cinquième colonne musulmane, des futurs égorgeurs en puissance.

Où est le problème ? Dans le passé, on a fait déjà sauter plein de tours, mais on a laissé les islamistes en France, et on les a installés ailleurs. Donc, on a déplacé le problème. Il faut donc aller au bout de la logique : raser les tours, et virer les disciples de la charia qui y vivaient.

C’est la seule solution pour éviter que la prophétie de Michel Onfray, prévoyant une France musulmane dans 50 ans, ne se réalise.

A ceux qui voudraient me faire le coup de l’incitation à la haine, je répondrai surtout que c’est la seule solution pour permettre aux jeunes hommes et femmes de Trappes qui eux, ne veulent pas subir la loi des barbus et des racailles, de profiter d’une France redevenue ce qu’elle était… Cela s’appelle la Reconquista.

Tout le reste n’est qu’enfumage et perte de temps, qui profitera, par la loi du nombre, aux soldats d’Allah.

Paul Le Poulpe




J’ai bossé à la RATP avec l’assassin de Trappes : il avait hurlé « par Allah, vous allez tous mourir ! »

Kamel Salhi a tué par le couteau sa mère et sa sœur et grièvement blessé une passante, ce jeudi à Trappes, en hurlant « Allah akbar » avant de se retrancher dans la maison et d’être abattu par les forces de l’ordre.

L’attaque a été revendiquée par l’État islamique en ces termes : « L’auteur de l’attaque dans la ville de Trappes […] est l’un des combattants [du groupe] État islamique et a perpétré cette attaque à la faveur des appels à cibler des ressortissants des pays de la coalition ».

Bien évidemment, le sinistre de l’Intérieur, Gérard Collomb, préfère le qualifier de déséquilibré plutôt que de terroriste, évoquant des troubles psychologiques importants. On connaît la chanson…

LIEN VIDEO : http://www.dailymotion.com/embed/video/x6sh92i

Première surprise… condamné et connu des services de police pour apologie du terrorisme depuis 2016, fiché FSPRT pour radicalisation, j’apprends qu’il avait été chauffeur de bus de la RATP. Je me dis : « tiens ? comme Samy Amimour ! celui qui avait été, le 13 novembre 2015, un des assassins de masse du Bataclan. »

Deuxième surprise… j’apprends, à la lecture des différents articles des journaux mainstream, qu’il a été licencié par la RATP en 2016 pour avoir arrêté son bus d’une ligne de Puteaux et proféré en hurlant ces propos à des usagers : « Par Allah, vous allez tous mourir ».

Et tout d’un coup, je réalise.

Il était sur une ligne de Puteaux, ce musulman radicalisé était de mon dépôt ! En fouinant sur le web, j’en ai la confirmation par la photo !

Cet homme je le connais, je l’ai côtoyé, j’ai travaillé avec lui alors même que j’étais menacée pour avoir dénoncé les atteintes à la laïcité.

J’en ai froid dans le dos !

Au motif qu’il faut embaucher des musulmans, la RATP a délibérément choisi de mettre en danger ses voyageurs et ses agents non musulmans.

Depuis 2013 que je dénonce l’islamisation de la RATP, nous savions qu’il y avait déjà le ramadan qui pourrit le service public et qui met en danger la vie d’autrui. Qu’il y avait les marques de salut imposées aux femmes, le refus de travailler avec elles. Qu’il y avait les prières dans les locaux, les ablutions et les rituels divers et variés les plus dégoûtants. Qu’il y avait les salam aleikoum à la cantonade, la disparition de la langue française au profit de l’arabe. Que nous avions perdu des dépôts laïques au profit de la charia… et tant de choses encore qui ont rendu impossible de travailler dans des conditions normales.

Et à présent, depuis 2015, nous savons que, parmi les agents musulmans, il y a des combattants de l’EI, des égorgeurs, des assassins de masse. Pour deux assassins qui sont passés à l’acte et ont été abattus, combien de chauffeurs de bus musulmans, agents dormants, sont-ils prêts à passer à l’action quand ils l’estimeront nécessaire ?

C’est exactement ce que j’ai voulu exprimer en écrivant ce témoignage sur la réalité des quinze années que j’ai passées à la RATP, avant de devoir en partir pour préserver ma famille, dont mes cinq enfants.

Je constate donc que, dans mon pays, un homme de 36 ans, fiché S, qui a arrêté son bus et hurlé que tous les passagers allaient mourir puisque c’est la volonté d’Allah, est en liberté et a seulement été licencié de la RATP ! Et je découvre que le ministre de l’Intérieur conteste le fait que ce meurtre puisse avoir quelque chose à voir avec l’islam. Mais je rêve !

La RATP et nos dirigeants doivent cesser de toute urgence l’embauche de machinistes musulmans par discrimination positive. Ils doivent réellement prendre des mesures, au nom du principe de précaution, contre ceux, y compris des responsables syndicaux, qui prônent la charia. Qu’ils fassent le ménage, et vite !

Ghislaine Dumesnil (source Riposte Laïque)




Grèce : Nikos, un étudiant de 25 ans, meurt en tentant de protéger sa petite-amie d’une bande de migrants venus les agresser

Le 16 août, près de la colline de Filopappou sous l’Acropole d’Athènes, une bande de migrants a attaqué un jeune couple. Un étudiant grec de 25 ans est mort suite à l’agression, tombé d’une falaise.

Nikos Moustakas, un étudiant travaillant en Ecosse, était en vacances dans son pays natal avec sa petite-amie portugaise de 23 ans, ils étaient allés faire une promenade sur la colline.

Le Filopappou est populaire auprès des couples car il offre une vue imprenable sur la ville.

Au moins trois migrants pakistanais ont attaqué le couple et ont dépouillé les deux jeunes gens de leurs biens.

En tentant de protéger sa compagne et en ripostant contre ses agresseurs, le jeune Grec est tombé d’une falaise suite à l’altercation.

Les habitants des quartiers de Koukaki et de Petralona, ​​situés au cœur d’Athènes, ont déclaré aux médias locaux qu’ils se sentaient en danger la nuit en raison des activités criminelles des gangs étrangers.

La police recherche toujours les suspects.

HuffPost.gr / The Sun




Migrants : le chef de Frontex craint la création « dans certains quartiers d’une forme de société parallèle » et veut davantage d’expulsions de clandestins

Les États européens doivent intensifier les expulsions d’étrangers en situation irrégulière sans quoi « on ne résoudra pas le problème des migrants« , a estimé le patron de l’agence européenne des frontières Frontex, Fabrice Leggeri, dans une interview jeudi aux Dernières Nouvelles d’Alsace. « Les États membres doivent prendre davantage de décisions effectives d’éloignement, qui soient mieux mises en œuvre« , a-t-il affirmé.

En effet, même si les entrées irrégulières en Europe sont tombées à « environ 75 000 » cette année contre 1,2 million en 2015, le nombre de migrants se maintenant illégalement sur le sol européen « ne cesse d’augmenter« , avec l’an dernier « 151 000 éloignements pour 204 700 entrées irrégulières », a-t-il assuré.

« Si on continue ainsi, on envoie un message implicite aux migrants potentiels : tenter à tout prix de passer en Europe, car même si on est pris, on a toutes les chances d’y rester« , a-t-il affirmé, avec aussi le risque de voir « des clandestins créer dans certains quartiers une forme de société parallèle, fonctionnant sur une économie noire, comme des ‘bulles’ où la loi ne s’applique pas« , ce qui « est insupportable dans un État de droit » selon lui. […]

Alors que les migrants sont l’objet d’un bras de fer entre Européens, l’Italie ayant refusé de laisser débarquer plusieurs bateaux comme l’Aquarius depuis juin, Fabrice Leggeri a rappelé « le devoir de sauvetage des gens » en mer. Mais « la vraie question est: pour les débarquer où ? Pourquoi systématiquement en Europe?« , a-t-il ajouté. […]

news.yahoo




Immigration clandestine dans le Briançonnais : ça continue, encore et encore !

Publié le 21 août 2018 – par Nicolas Faure (Riposte Laïque)

Opération banderoles “stop immigration” avec le Rassemblement national 05 sur la frontière à Montgenèvre le dimanche 19 août 2018

Cette vague migratoire originaire d’Afrique a démarré il y a trois ans et va toujours crescendo, au grand dam de la population briançonnaise qui, elle, voit la réalité morpho-sociologique de sa ville se modifier peu à peu.
L’itinéraire est bien connu par les passeurs membres des associations et par les candidats au voyage vers la « terre promise » qui se nomme la France.

Halte à Clavière, en Italie, au « Refuge », soutenu par l’extrême gauche italienne et française, avant le grand passage de la frontière française qui s‘effectue plutôt de nuit afin d’optimiser ses chances de réussite. Mais de toute façon, la probabilité de se faire interpeller par les forces de l’ordre est minime. En effet, la faiblesse des unités de police et de gendarmerie a permis, selon le Dauphiné Libéré, de faire transiter “4 600 personnes via le centre d’hébergement de Briançon pour l’année 2017”, chiffres évidemment sous-estimés pour des raisons politiques…

Les deux portes d’entrée sur le territoire français sont les suivantes : le col de Montgenèvre et et le col de l’Échelle.

Les immigrés sont, pour la plupart, de jeunes hommes issus du continent africain dont une petite minorité ont moins de dix-huit ans.
D’après le discours formaté des nomadistes sans frontières, cette immigration ne concernerait que des populations originaires de pays en guerre mais, dans les faits, 95 % des migrants sont des migrants économiques originaires d’Afrique et de la Méditerranée.

Une fois arrivés en France, tous les impétrants, conseillés par des avocats payés par les associations, usent et abusent, plus que de raison, de la procédure de demande de droit d’asile dont ils sont déboutés à 95 %. Notons le cas particulier des mineurs non accompagnés (MNA) qui oblige le Conseil Départemental à prendre en charge l’éducation de ces individus jusqu’à leur majorité. Paradoxe suprême, aucun moyen légal ne permet au département de vérifier leur âge réel, alors même que celui qui est allégué est pris en compte de plein droit par l’administration. Dans les rues de Briançon, la population ne s’y trompe pas. Elle parle régulièrement “des mineurs isolés de 30 ans qui mesurent 1m80”…
« On marche sur la tête », diront certains. Non, nous sommes en France, le pays des droits de l’homme et de l’invasion subventionnée par le citoyen français, ce qui constitue un fait unique dans l’Histoire universelle. En effet, naguère, les populations se défendaient face à une invasion, question de survie simplement biologique.


Le commissariat de Briançon, un jour de semaine ordinaire

Le coût de cette politique délirante pour le département, pour la commune de Briançon, pour l’État et pour la région PACA (et donc pour le contribuable haut-alpin) ? “Secret défense” ou alors « pas de coût », selon les dires grotesques du maire socialiste immigrationniste de Briançon, Monsieur Gérard Fromm. Dans les faits, il est estimé à au moins 6 millions d‘euros pris en charge par le département qui de facto réduit d’autant les budgets vieillesse et d’aide à la jeunesse de nos concitoyens.

Du côté de la population, l’hébétude laisse place, peu à peu, à la colère. Une pétition, qui vise à condamner ce phénomène et surtout l’inertie des pouvoirs publics, a réuni plus de 3 000 signatures il y a quelques mois. Dans le droit fil, le Rassemblement national des Hautes-Alpes (RN05), régulièrement, comme ce fut le cas avant-hier à Montgenèvre, interpelle les pouvoirs publics sur l’absence de contrôle réel aux frontières, le surcoût induit pour les finances locales et surtout le manque de concertation avec les populations locales à qui on ne demande pas leur avis, comme s’il allait de soi qu’elle validait ce processus complètement délirant voulu par une petite minorité.
Pour information, 75 % des migrants accueillis en Allemagne depuis 2013 sont toujours sans emploi et un parallèle en la matière mérite la comparaison avec la situation française.

In fine, parler des solutions constitue un impératif au fur et à mesure que l’on avance dans le débat.
Le Rassemblement national 05 (RN05) propose un rétablissement des frontières avec un contrôle effectif du passage des biens et des personnes, une refonte complète du droit d‘asile et du droit de la nationalité avec, notamment, une expulsion immédiate des candidats déboutés du droit d‘asile. Sur le même registre juridique, une déjudiciarisation des procédures pour les fondre dans le cadre le plus restrictif du droit administratif s’impose.

Le parti suggère également la mise à plat complète du système de coopération avec les pays de la Méditerranée et de l’Afrique qui viserait à contrôler plus précisément l’utilisation des fonds alloués et à mieux évaluer la pertinence des projets de développement proposés.
Les populations, n’en déplaise à l’oligarchie médiatico politico financière, rejettent de plus en plus l’économie et l’expertocratie au profit des questions identitaires et de souveraineté. Traiter la question migratoire serait l’occasion, pour une classe politique largement discréditée, de regagner l’estime de la population mais, pour autant, elle n’en fait rien.

“L’homme de l’avenir est celui qui aura la plus longue mémoire”, comme disait Nietzsche. Espérons que cet homme-là soit français et non arabo-musulman ou africain.

Nicolas Faure




Lacanau, Libourne : les réalités et les chiffres de l’insécurité galopante

Un grand pays possède un territoire avec une population qui peut y vivre en toute quiétude au quotidien. Aujourd’hui, clairement, la France n’est plus une grande nation car sa population et sa police doivent se tenir constamment sur leurs gardes. Les exemples sont légion, surtout en été, un moment où les racailles profitant du beau temps sortent de leurs quartiers pour aller patauger en bord de mer.

Ainsi, ce fait divers balnéaire, relaté par Le Parisien. Sur la plage de Lacanau, station balnéaire de la Côte d’Argent, début juillet, une bande d’une quinzaine de « jeunes », originaires de Talence, une banlieue de l’agglomération bordelaise, jouent au ballon en importunant les plagistes. Un enfant touché par la balle trébuche, la mère demande aux participants de bien vouloir s’amuser plus loin. La seule réponse qu’elle reçoit est une bordée d’insultes. Un nageur sauveteur CRS témoin de la scène intervient et exige qu’ils respectent le « vivre ensemble » mais, loin de calmer les esprits, cette formule déclenche de nouvelles injures et une allusion à la mort du jeune de Nantes tué par un CRS au cours d’une interpellation. Face à cette violence verbale, le policier décide d’un contrôle d’identité mais la bande s’y refuse. Il tente alors d’appréhender l’un des jeunes les plus virulents pour l’amener au poste de police en le saisissant par un bras. Mais, atteint d’un coup de poing à la tempe, il tombe. Cette chute déclenche l’hallali, il est roué de coups de pied sous les yeux d’estivants terrorisés. Il faudra l’arrivée des fonctionnaires du poste de secours pour mettre fin au lynchage. Deux mineurs ont été placés en garde à vue et devront répondre d’outrage et violence en réunion sur une personne dépositaire de l’autorité publique. Le CRS, lui, a bénéficié d’une ITT de huit jours.

« On n’avait jamais vu ça sur une plage ! Sans l’intervention des collègues, cela aurait pu mal finir. Il a fallu ensuite quinze jours pour pacifier la plage et ramener le calme », a expliqué un gradé de la police en poste sur le 33. »

Cet épiphénomène est pourtant symbolique d’un accroissement de l’insécurité en Gironde. Entre janvier et juillet, « 98 policiers ont été agressés, un chiffre équivalent à celui de toute l’année 2017 », toujours selon Le Parisien. Ceci, sans compter les insultes, les crachats, les incivilités auxquels, malheureusement, nous sommes habitués.

Dans ce département, la police n’est pas la seule concernée par la violence. La compagnie de gendarmerie de Libourne, la plus importante de France de par son activité, a vu le nombre d’actes délinquants, crimes ou délits augmenter de 15 % au cours des cinq dernières années, passant de 5.730 faits constatés, en 2013, à 6.617, l’année dernière. Sur les bases du premier trimestre 2018, ils pourraient atteindre les 7.000 en fin d’exercice. Le maire de Castillon-la-Bataille, située dans cette zone de sécurité prioritaire, a vu son centre-ville squatté par des racailles qui terrorisent commerçants et habitants. Pourtant, il attend toujours son renfort de gendarmes mobiles depuis un an. Pour lui, aucun doute, l’État a baissé les bras, le laissant seul en première ligne, face à de jeunes beurs souvent originaires du Maroc. .

On le constate, plus le temps passe et plus la France se gangrène doucement mais sûrement. In fine, notre pays devient chaque jour, sans que nos médias s’en alarment, un peu moins le nôtre.

Source Boulevard Voltaire




Omerta à Clermont-Ferrand : qui peut m’aider ?

Publié le 20 août 2018 – par Camille Defrance (source Riposte Laïque)

J’habite Clermont-Ferrand, sanctuaire gauchiste depuis des décennies et où l’omerta règne en maître s’agissant des décisions arbitraires d’un groupe d’élus activistes, immigrationnistes et pro-palestiniens (des manifestations de soutien sont régulièrement autorisées par eux), élus circonvenus et infiltrés, au sein même des fonctions régaliennes de l’exécutif local, par une démographie arabo-africaine en croissance exponentielle dont, bien sûr, aucun média n’a pu témoigner objectivement à ce jour, car alors immédiatement recadré par un discours local convenu et trompeur.

Ma vie est devenue une souffrance quotidienne, car vécue dans l’indifférence médiatique et sous la chape de plomb de l’omerta. Dans le centre-ville, comme dans nombre d’autres quartiers, une personne sur quatre est musulmane (avec ostentation) ou africaine (et flanquée d’une progéniture innombrable et incontrôlée).

Comme dans toutes les métropoles gérées par la gauche ou LREM, certains quartiers sont devenus des zones « hors statistiques » avec un taux de population immigrée qui frôle probablement les 90 %. Ce qui caractérise ces individus, c’est la défiance et/ou l’indifférence qu’ils manifestent à l’égard de la civilisation occidentale, le mépris – même – avec lequel ils regardent les autochtones, communiquant à tue-tête dans leur dialecte d’origine, ne respectant que rarement les règles communes, sans même parler, bien sûr, de leur impolitesse et des insultes qui fusent si l’on a le malheur de manifester sa désapprobation, fût-ce seulement du regard, devant leurs incivilités permanentes et leur refus de se plier à nos usages citoyens.

Les musulmans, et leur très claire volonté de conquête, ont trouvé dans cette ville un eldorado inespéré, avec le soutien angéliste d’une horde d’activistes gauchistes, et prospèrent en toute quiétude grâce au traditionnel « je-m’en-foutisme nonchalant » des Africains, éternels écervelés assistés, matrices à allocations familiales, totalement indifférents à notre culture et même à l’islamisation galopante de cette ville.

De fait, le peu qu’il reste de nos racines culturelles, largement mises à mal depuis des décennies par ce que les élus de gauche appellent le « polyculturel », n’est plus qu’une image pour livre d’Histoire ; il vous suffit de vous connecter sur les sites de la ville pour constater qu’en ce moment même se déroulent expositions et manifestations promouvant l’immigration. De même, un plan d’urbanisme a été mis en place, uniquement destiné à « l’accueil » et certains quartiers ont été sacrifiés, vidés de toutes leurs références culturelles, et les derniers résistants n’ont eu d’autre choix que l’exil, pour laisser la place aux kebabs, au trafic de drogue, aux mosquées et centres culturels africains ou musulmans (dissimulés habilement par les élus locaux complices) venus remplacer les services et les commerces de proximité.

Tout cela semble se dérouler dans l’indifférence médiatique nationale et se trouve, bien sûr, totalement occulté par la presse locale, elle-même déja récupérée et infiltrée depuis des décennies par des gauchistes péremptoires et aujourd’hui, en outre, par des arabo-africains, mais surtout par des prosélytes musulmans habilement camouflés (comme d’habitude) et toujours à l’affût de la moindre possibilité de s’introduire dans les médias.

e ne peux pas, pour le moment, fuir cet enfer pour une autre ville moins immigrationniste (commme vous le savez, il en subsiste encore, mais probablement plus pour très longtemps) et je me sens bien isolé au sein d’une population clermontoise qui semble tout à fait s’accommoder de la situation. Dans les faits, les arabo-africains proliférent (aucune statistique ethnique n’est, bien sûr, possible) au milieu d’autochtones gauchistes qui, tous, ne cessent de voter en faveur de la pérénité de ce système. Dès lors, les rares personnes qui souffrent de cette dramatique situation se trouvent complètement isolées, ne communiquent pas entre elles et sont ainsi exclues de toute la vie sociale locale qui n’est vouée qu’à perpétuer cet état de fait.

QUI PEUT OU QUI VEUT S’INTÉRESSER À LA SITUATION PARTICULIÈRE DE CLERMONT-FERRAND ? QUI PEUT M’AIDER À ME FÉDÉRER ?

Camille Defrance




Périgueux : un demandeur d’asile afghan de 19 ans poignarde quatre personnes

D’abord, les faits ou, pour faire bonne presse, « ce que l’on sait » sur l’attaque au couteau de Périgueux. D’après la presse locale et les témoignages des habitants, lundi soir, rue Victor-Hugo, un jeune homme de 19 ans, torse nu, importunait des jeunes filles. Deux jeunes ambulanciers qui passaient par là sont intervenus. Le jeune Afghan, demandeur d’asile de 19 ans, les a poignardés ainsi que deux frères d’une soixantaine d’années, ses voisins. L’un d’eux, touché au poumon, est dans un état grave. L’auteur des coups a été interpellé et placé en garde à vue.

Ce dimanche, c’étaient des membres de la communauté des gens du voyage qui, à Vieux-Boucau, dans les Landes, avaient attaqué au couteau des gendarmes qui les avaient surpris en train de voler des vélos. L’un des jeunes gendarmes a été grièvement blessé et hospitalisé à Bordeaux. L’auteur des coups était toujours en fuite et recherché dans les lieux fréquentés par sa communauté.

Faut-il revenir sur les agressions de la région grenobloise et le meurtre d’Adrien Perez ? Nous avons tous en tête les mots bouleversants de sa mère. Et en particulier sa phrase sur les auteurs de ces coups : « Ce sont toujours les mêmes. »

Faudra-t-il, d’ailleurs, un jour, censurer les « faits divers » pour éviter de « stigmatiser » telle ou telle « communauté » ? Car pas besoin d’avoir fait dix ans de sociologie pour se poser des questions face à la réalité qui nous est livrée quotidiennement par la presse régionale. La simple lecture de ces « faits divers » montre, en effet, une forte représentation d’individus issus de ces « communautés ». Faudra-t-il, aussi, un jour, interdire des rapports comme celui très officiel du député Jérôme Larrivé, rédigé en 2014 ? Un rapport qui estimait à environ 60 % la population carcérale « de culture ou de religion musulmane ».

Autres données : la multiplication des attaques au couteau, en France et dans toute l’Europe. Un tel phénomène toucherait une autre arme, un autre objet, et peut-être d’autres catégories de la population – je ne sais pas, des bouchers, ou des buralistes, ou des sexagénaires grisonnants -, je pense que des mesures drastiques de contrôle de ces armes et de ces catégories de la population seraient prises, ainsi que des mesures de sécurité préventive.

Mais là, les couteaux sortent de partout, attaquent, blessent grièvement et tuent. Et on fait quoi ?

Mais « on », au fait, c’est qui ? L’État, bien sûr. En effet, l’État qui se cache – et qui se cache beaucoup trop derrière ce « on » – serait bien inspiré de prendre le problème à bras le corps, et sous tous ses aspects : immigration, asile, sécurité, justice, mesures administratives. Or, les Français savent que leur État, quand il a décidé de les contrôler, sait très bien le faire.

Mais si cet État demeure aux abonnés absents pour endiguer le phénomène, et pour prévenir de nouvelles attaques sanglantes « au couteau », le risque est qu’un jour, une partie de la population, se sentant abandonnée et menacée, se dise : « Alors, nous, on fait quoi ? »




Naturalisation : la Suisse refuse de se coucher devant la culture musulmane

Quand un étranger demande la nationalité de son pays d’accueil, il paraîtrait naturel qu’il adhérât à ses principes et à ses valeurs. Bref, qu’il marquât sa volonté d’intégrer sa nouvelle communauté. C’est d’ailleurs, en théorie, une des conditions pour obtenir la nationalité française. Oh ! Oh ! Vous raisonnez comme un facho ! Cette évidence ne s’impose pas partout en Europe, comme le prouvent les deux exemples suivants.

À Lausanne, la nationalité suisse a été refusée à un couple de musulmans qui refusait de serrer la main de personnes du sexe opposé, voire de répondre à leurs questions. L’un des membres du comité de naturalisation a expliqué, pour justifier cette décision, que « la Constitution et l’égalité entre hommes et femmes l’emportent sur la bigoterie ». Le couple dispose d’un mois pour déposer un recours.

Nul doute que si l’affaire s’était passée en France, il trouverait de nombreux appuis parmi nos dirigeants « progressistes » et les associations antiracistes, plus prompts à défendre les cultures étrangères que la culture française. Horreur ! En avril dernier, le Conseil d’État a validé le rejet de la naturalisation d’une Algérienne qui avait refusé de serrer la main d’un représentant du préfet, lors de sa cérémonie d’accueil dans la nationalité française. Quelle intolérance, n’est-ce pas ? Il va falloir changer la loi ou la Constitution pour que le Conseil d’État ne tombe plus dans de pareils errements.

Dans le même temps, en Suède, un tribunal a condamné une entreprise à verser 3 822 euros de dommages-intérêts à une Algérienne, de confession musulmane : elle n’avait pas voulu serrer la main du responsable de l’entreprise, ce qui avait provoqué l’annulation de son entretien d’embauche. La justice suédoise a estimé que le refus de serrer la main pour des raisons religieuses était protégé par la Convention européenne des droits de l’Homme (CEDH). Exemple à suivre ?

Il est probable que l’Europe va redoubler d’attention pour repérer et réprimer tous les pays qui feraient preuve, à ses yeux, de « discrimination religieuse ». La femme algérienne, à qui le tribunal suédois a donné raison, s’est confiée à la télévision : « Je crois en Dieu, ce qui est très rare en Suède », a-t-elle déclaré, ajoutant que « dans [son] pays, on ne peut pas traiter différemment les hommes et les femmes » : c’est pourquoi « [elle n’a] de contact physique ni avec les hommes ni avec les femmes ». Non contente d’avoir gagné son procès, elle donne une leçon d’égalité aux pays occidentaux. Sans doute se moque-t-elle d’eux, mais ce serait pire si elle était sincère !

Cette anecdote montre, une fois de plus, la fragilité de nos démocraties, face à la montée des revendications religieuses et communautaires, qui ne s’embarrassent guère de scrupules puisqu’elles prétendent être l’expression de la vérité. Sous prétexte de respecter « les droits de l’homme » (je vais me faire accuser de sexisme pour ne pas dire « les droits humains »), on cède devant les manifestations d’une identité étrangère, criant haro sur ceux qui ont le culot de défendre l’identité française. C’est ainsi qu’on se couche devant ceux qui, loin de vouloir intégrer notre société et ses usages, veulent imposer leurs propres conceptions.

Par une sorte de perversion de l’esprit ou, pire, par la volonté délibérée d’effacer ce qu’il reste de notre culture chrétienne, des dirigeants politiques et associatifs prennent plaisir à saper les fondements de notre société. C’est pour l’enrichir, paraît-il !




Burkini à la piscine municipale : euh, c’est un dysfonctionnement, Monsieur !

Naguère, lorsqu’un problème surgissait, on le traitait : plus ou moins bien, mais on lui apportait des solutions. Aujourd’hui, si un problème apparaît, le (ou la) responsable du moment a une phrase magique, chaque fois la même, qui fait disparaître le mal, sans le traiter. La thérapie est radicale et se résume à : « Il y a eu un dysfonctionnement. »

Pas plus tard qu’il y a quelques heures, ce samedi, me baignant dans une piscine municipale voisine, dans la région toulousaine, près de chez moi, je crois rêver en apercevant une baigneuse, en tenue très, très ample, faisant trempette dans le bassin des petits, tenue me permettant au passage de supposer – ce qui, dans ce lieu, n’était pas une information de première importance à communiquer à l’ensemble des baigneurs – qu’elle n’est pas athée.

Comme je demande, après d’autres baigneurs, à la direction d’intervenir, car une personne toute habillée est dans un bassin, on m’explique qu’il y a eu un dysfonctionnement dans le dispositif de sécurité qui contrôle l’accès au bassin. On tente de comprendre le dysfonctionnement. On m’apprend que c’est quand même un maillot de bain. Je fais état du problème d’hygiène de ce vêtement couvrant presque l’ensemble du corps alors que pour moi on ne tolère pas de short de bain qui serait un peu trop « flottant ». Mais le problème du moment est de comprendre le dysfonctionnement. Ou de fermer les yeux. Ou de noyer le poisson. Et à ma question naïve : « Mais avez-vous demandé à la personne concernée de sortir du bassin, car elle ne respecte pas le règlement intérieur ? », on me répond : « Euh, non… » En clair, le règlement intérieur n’est pas respecté, la laïcité non plus au passage, et la personne concernée n’est pas informée de ce règlement qu’elle semble ignorer, peut-être victime d’hallucinations causées par la chaleur lui montrant baigneurs et baigneuses tous en burkinis. Ou – plus sérieusement – en train d’effectuer un petit test sur le degré de soumission des baigneurs et de la municipalité du coin.

Du film admirable Les Choristes, j’ai, entre autres, retenu le principe d’action–réaction. Dans la piscine de ma ville, c’est action-soumission.

Et pourtant, le principe qui consiste à apporter une réponse à une question, voire une sanction proportionnée à un mauvais comportement (exclure d’un bassin avec courtoisie, pour irrespect du règlement) reste une base du vivre en harmonie avec les autres et permet d’élever, au sens noble du terme, ceux qui ont besoin de l’être à l’école ou dans les piscines municipales : personne agressive, pas en tenue, gestes déplacés, personnes qui enlèvent leur maillot de bain dans les vestiaires comme à la maison…

Eh bien, non, dans ma ville, le burkini peut tranquillement flotter à la piscine derrière le paravent de la complaisance et de la recherche du « dysfonctionnement ».