Lacanau, Libourne : les réalités et les chiffres de l’insécurité galopante

Un grand pays possède un territoire avec une population qui peut y vivre en toute quiétude au quotidien. Aujourd’hui, clairement, la France n’est plus une grande nation car sa population et sa police doivent se tenir constamment sur leurs gardes. Les exemples sont légion, surtout en été, un moment où les racailles profitant du beau temps sortent de leurs quartiers pour aller patauger en bord de mer.

Ainsi, ce fait divers balnéaire, relaté par Le Parisien. Sur la plage de Lacanau, station balnéaire de la Côte d’Argent, début juillet, une bande d’une quinzaine de « jeunes », originaires de Talence, une banlieue de l’agglomération bordelaise, jouent au ballon en importunant les plagistes. Un enfant touché par la balle trébuche, la mère demande aux participants de bien vouloir s’amuser plus loin. La seule réponse qu’elle reçoit est une bordée d’insultes. Un nageur sauveteur CRS témoin de la scène intervient et exige qu’ils respectent le « vivre ensemble » mais, loin de calmer les esprits, cette formule déclenche de nouvelles injures et une allusion à la mort du jeune de Nantes tué par un CRS au cours d’une interpellation. Face à cette violence verbale, le policier décide d’un contrôle d’identité mais la bande s’y refuse. Il tente alors d’appréhender l’un des jeunes les plus virulents pour l’amener au poste de police en le saisissant par un bras. Mais, atteint d’un coup de poing à la tempe, il tombe. Cette chute déclenche l’hallali, il est roué de coups de pied sous les yeux d’estivants terrorisés. Il faudra l’arrivée des fonctionnaires du poste de secours pour mettre fin au lynchage. Deux mineurs ont été placés en garde à vue et devront répondre d’outrage et violence en réunion sur une personne dépositaire de l’autorité publique. Le CRS, lui, a bénéficié d’une ITT de huit jours.

« On n’avait jamais vu ça sur une plage ! Sans l’intervention des collègues, cela aurait pu mal finir. Il a fallu ensuite quinze jours pour pacifier la plage et ramener le calme », a expliqué un gradé de la police en poste sur le 33. »

Cet épiphénomène est pourtant symbolique d’un accroissement de l’insécurité en Gironde. Entre janvier et juillet, « 98 policiers ont été agressés, un chiffre équivalent à celui de toute l’année 2017 », toujours selon Le Parisien. Ceci, sans compter les insultes, les crachats, les incivilités auxquels, malheureusement, nous sommes habitués.

Dans ce département, la police n’est pas la seule concernée par la violence. La compagnie de gendarmerie de Libourne, la plus importante de France de par son activité, a vu le nombre d’actes délinquants, crimes ou délits augmenter de 15 % au cours des cinq dernières années, passant de 5.730 faits constatés, en 2013, à 6.617, l’année dernière. Sur les bases du premier trimestre 2018, ils pourraient atteindre les 7.000 en fin d’exercice. Le maire de Castillon-la-Bataille, située dans cette zone de sécurité prioritaire, a vu son centre-ville squatté par des racailles qui terrorisent commerçants et habitants. Pourtant, il attend toujours son renfort de gendarmes mobiles depuis un an. Pour lui, aucun doute, l’État a baissé les bras, le laissant seul en première ligne, face à de jeunes beurs souvent originaires du Maroc. .

On le constate, plus le temps passe et plus la France se gangrène doucement mais sûrement. In fine, notre pays devient chaque jour, sans que nos médias s’en alarment, un peu moins le nôtre.

Source Boulevard Voltaire




Omerta à Clermont-Ferrand : qui peut m’aider ?

Publié le 20 août 2018 – par Camille Defrance (source Riposte Laïque)

J’habite Clermont-Ferrand, sanctuaire gauchiste depuis des décennies et où l’omerta règne en maître s’agissant des décisions arbitraires d’un groupe d’élus activistes, immigrationnistes et pro-palestiniens (des manifestations de soutien sont régulièrement autorisées par eux), élus circonvenus et infiltrés, au sein même des fonctions régaliennes de l’exécutif local, par une démographie arabo-africaine en croissance exponentielle dont, bien sûr, aucun média n’a pu témoigner objectivement à ce jour, car alors immédiatement recadré par un discours local convenu et trompeur.

Ma vie est devenue une souffrance quotidienne, car vécue dans l’indifférence médiatique et sous la chape de plomb de l’omerta. Dans le centre-ville, comme dans nombre d’autres quartiers, une personne sur quatre est musulmane (avec ostentation) ou africaine (et flanquée d’une progéniture innombrable et incontrôlée).

Comme dans toutes les métropoles gérées par la gauche ou LREM, certains quartiers sont devenus des zones « hors statistiques » avec un taux de population immigrée qui frôle probablement les 90 %. Ce qui caractérise ces individus, c’est la défiance et/ou l’indifférence qu’ils manifestent à l’égard de la civilisation occidentale, le mépris – même – avec lequel ils regardent les autochtones, communiquant à tue-tête dans leur dialecte d’origine, ne respectant que rarement les règles communes, sans même parler, bien sûr, de leur impolitesse et des insultes qui fusent si l’on a le malheur de manifester sa désapprobation, fût-ce seulement du regard, devant leurs incivilités permanentes et leur refus de se plier à nos usages citoyens.

Les musulmans, et leur très claire volonté de conquête, ont trouvé dans cette ville un eldorado inespéré, avec le soutien angéliste d’une horde d’activistes gauchistes, et prospèrent en toute quiétude grâce au traditionnel « je-m’en-foutisme nonchalant » des Africains, éternels écervelés assistés, matrices à allocations familiales, totalement indifférents à notre culture et même à l’islamisation galopante de cette ville.

De fait, le peu qu’il reste de nos racines culturelles, largement mises à mal depuis des décennies par ce que les élus de gauche appellent le « polyculturel », n’est plus qu’une image pour livre d’Histoire ; il vous suffit de vous connecter sur les sites de la ville pour constater qu’en ce moment même se déroulent expositions et manifestations promouvant l’immigration. De même, un plan d’urbanisme a été mis en place, uniquement destiné à « l’accueil » et certains quartiers ont été sacrifiés, vidés de toutes leurs références culturelles, et les derniers résistants n’ont eu d’autre choix que l’exil, pour laisser la place aux kebabs, au trafic de drogue, aux mosquées et centres culturels africains ou musulmans (dissimulés habilement par les élus locaux complices) venus remplacer les services et les commerces de proximité.

Tout cela semble se dérouler dans l’indifférence médiatique nationale et se trouve, bien sûr, totalement occulté par la presse locale, elle-même déja récupérée et infiltrée depuis des décennies par des gauchistes péremptoires et aujourd’hui, en outre, par des arabo-africains, mais surtout par des prosélytes musulmans habilement camouflés (comme d’habitude) et toujours à l’affût de la moindre possibilité de s’introduire dans les médias.

e ne peux pas, pour le moment, fuir cet enfer pour une autre ville moins immigrationniste (commme vous le savez, il en subsiste encore, mais probablement plus pour très longtemps) et je me sens bien isolé au sein d’une population clermontoise qui semble tout à fait s’accommoder de la situation. Dans les faits, les arabo-africains proliférent (aucune statistique ethnique n’est, bien sûr, possible) au milieu d’autochtones gauchistes qui, tous, ne cessent de voter en faveur de la pérénité de ce système. Dès lors, les rares personnes qui souffrent de cette dramatique situation se trouvent complètement isolées, ne communiquent pas entre elles et sont ainsi exclues de toute la vie sociale locale qui n’est vouée qu’à perpétuer cet état de fait.

QUI PEUT OU QUI VEUT S’INTÉRESSER À LA SITUATION PARTICULIÈRE DE CLERMONT-FERRAND ? QUI PEUT M’AIDER À ME FÉDÉRER ?

Camille Defrance