Quand un étranger demande la nationalité de son pays d’accueil, il paraîtrait naturel qu’il adhérât à ses principes et à ses valeurs. Bref, qu’il marquât sa volonté d’intégrer sa nouvelle communauté. C’est d’ailleurs, en théorie, une des conditions pour obtenir la nationalité française. Oh ! Oh ! Vous raisonnez comme un facho ! Cette évidence ne s’impose pas partout en Europe, comme le prouvent les deux exemples suivants.
À Lausanne, la nationalité suisse a été refusée à un couple de musulmans qui refusait de serrer la main de personnes du sexe opposé, voire de répondre à leurs questions. L’un des membres du comité de naturalisation a expliqué, pour justifier cette décision, que « la Constitution et l’égalité entre hommes et femmes l’emportent sur la bigoterie ». Le couple dispose d’un mois pour déposer un recours.
Nul doute que si l’affaire s’était passée en France, il trouverait de nombreux appuis parmi nos dirigeants « progressistes » et les associations antiracistes, plus prompts à défendre les cultures étrangères que la culture française. Horreur ! En avril dernier, le Conseil d’État a validé le rejet de la naturalisation d’une Algérienne qui avait refusé de serrer la main d’un représentant du préfet, lors de sa cérémonie d’accueil dans la nationalité française. Quelle intolérance, n’est-ce pas ? Il va falloir changer la loi ou la Constitution pour que le Conseil d’État ne tombe plus dans de pareils errements.
Dans le même temps, en Suède, un tribunal a condamné une entreprise à verser 3 822 euros de dommages-intérêts à une Algérienne, de confession musulmane : elle n’avait pas voulu serrer la main du responsable de l’entreprise, ce qui avait provoqué l’annulation de son entretien d’embauche. La justice suédoise a estimé que le refus de serrer la main pour des raisons religieuses était protégé par la Convention européenne des droits de l’Homme (CEDH). Exemple à suivre ?
Il est probable que l’Europe va redoubler d’attention pour repérer et réprimer tous les pays qui feraient preuve, à ses yeux, de « discrimination religieuse ». La femme algérienne, à qui le tribunal suédois a donné raison, s’est confiée à la télévision : « Je crois en Dieu, ce qui est très rare en Suède », a-t-elle déclaré, ajoutant que « dans [son] pays, on ne peut pas traiter différemment les hommes et les femmes » : c’est pourquoi « [elle n’a] de contact physique ni avec les hommes ni avec les femmes ». Non contente d’avoir gagné son procès, elle donne une leçon d’égalité aux pays occidentaux. Sans doute se moque-t-elle d’eux, mais ce serait pire si elle était sincère !
Cette anecdote montre, une fois de plus, la fragilité de nos démocraties, face à la montée des revendications religieuses et communautaires, qui ne s’embarrassent guère de scrupules puisqu’elles prétendent être l’expression de la vérité. Sous prétexte de respecter « les droits de l’homme » (je vais me faire accuser de sexisme pour ne pas dire « les droits humains »), on cède devant les manifestations d’une identité étrangère, criant haro sur ceux qui ont le culot de défendre l’identité française. C’est ainsi qu’on se couche devant ceux qui, loin de vouloir intégrer notre société et ses usages, veulent imposer leurs propres conceptions.
Par une sorte de perversion de l’esprit ou, pire, par la volonté délibérée d’effacer ce qu’il reste de notre culture chrétienne, des dirigeants politiques et associatifs prennent plaisir à saper les fondements de notre société. C’est pour l’enrichir, paraît-il !
Naguère, lorsqu’un problème surgissait, on le traitait : plus ou moins bien, mais on lui apportait des solutions. Aujourd’hui, si un problème apparaît, le (ou la) responsable du moment a une phrase magique, chaque fois la même, qui fait disparaître le mal, sans le traiter. La thérapie est radicale et se résume à : « Il y a eu un dysfonctionnement. »
Pas plus tard qu’il y a quelques heures, ce samedi, me baignant dans une piscine municipale voisine, dans la région toulousaine, près de chez moi, je crois rêver en apercevant une baigneuse, en tenue très, très ample, faisant trempette dans le bassin des petits, tenue me permettant au passage de supposer – ce qui, dans ce lieu, n’était pas une information de première importance à communiquer à l’ensemble des baigneurs – qu’elle n’est pas athée.
Comme je demande, après d’autres baigneurs, à la direction d’intervenir, car une personne toute habillée est dans un bassin, on m’explique qu’il y a eu un dysfonctionnement dans le dispositif de sécurité qui contrôle l’accès au bassin. On tente de comprendre le dysfonctionnement. On m’apprend que c’est quand même un maillot de bain. Je fais état du problème d’hygiène de ce vêtement couvrant presque l’ensemble du corps alors que pour moi on ne tolère pas de short de bain qui serait un peu trop « flottant ». Mais le problème du moment est de comprendre le dysfonctionnement. Ou de fermer les yeux. Ou de noyer le poisson. Et à ma question naïve : « Mais avez-vous demandé à la personne concernée de sortir du bassin, car elle ne respecte pas le règlement intérieur ? », on me répond : « Euh, non… » En clair, le règlement intérieur n’est pas respecté, la laïcité non plus au passage, et la personne concernée n’est pas informée de ce règlement qu’elle semble ignorer, peut-être victime d’hallucinations causées par la chaleur lui montrant baigneurs et baigneuses tous en burkinis. Ou – plus sérieusement – en train d’effectuer un petit test sur le degré de soumission des baigneurs et de la municipalité du coin.
Du film admirable Les Choristes, j’ai, entre autres, retenu le principe d’action–réaction. Dans la piscine de ma ville, c’est action-soumission.
Et pourtant, le principe qui consiste à apporter une réponse à une question, voire une sanction proportionnée à un mauvais comportement (exclure d’un bassin avec courtoisie, pour irrespect du règlement) reste une base du vivre en harmonie avec les autres et permet d’élever, au sens noble du terme, ceux qui ont besoin de l’être à l’école ou dans les piscines municipales : personne agressive, pas en tenue, gestes déplacés, personnes qui enlèvent leur maillot de bain dans les vestiaires comme à la maison…
Eh bien, non, dans ma ville, le burkini peut tranquillement flotter à la piscine derrière le paravent de la complaisance et de la recherche du « dysfonctionnement ».
Un nouvel accord sur les migrants pour l’Allemagne. Après l’Espagne la semaine dernière, Berlin a trouvé un terrain d’entente avec Athènes pour qu’elle reprenne des migrants arrivant en Allemagne après avoir été enregistrés sur le territoire grec. La Grèce s’engage ainsi à les reprendre les réfugiés dans les 48 heures.
« Nous avons trouvé un accord avec la Grèce, au niveau des ministères de l’Intérieur. L’accord est sur le point d’être finalisé. Il manque encore un échange de courriers officiels mais nous avons l’accord. » Prochain objectif pour le gouvernement allemand : s’entendre avec l’Italie, l’un des deux pays, avec la Grèce, où débarquent la majorité des demandeurs d’asile.
« Nous sommes encore en négociations avec l’Italie et nous en sommes à un stade très avancé. Il y a aussi des discussions au niveau ministériel et nous nous attendons à ce que cet accord avec l’Italie soit conclu. » Ces accords bilatéraux sont censés être transitoires, jusqu’à ce que l’Union européenne parvienne à un système d’asile commun. Une question qui déchire aujourd’hui les Vingt-Huit.
Le syndicat Alliance Police Nationale a dénoncé vendredi l’insécurité « catastrophique » régnant à Grenoble, un « Chicago français », […] dans son communiqué, l’antenne iséroise du syndicat policier met en exergue « une délinquance 63% plus élevée » dans la cité alpine « que dans des villes de même taille ».
« Rien que sur ces quinze derniers jours, on dénombre plusieurs agressions au couteau et règlements de comptes par armes à feu (un des protagonistes ayant moins de seize ans…) », relève-t-il. Le syndicat souligne qu’avec d’ »autres acteurs de la sécurité » (mairie, préfecture, direction de la sécurité publique), il avait « tiré le signal d’alarme » auprès du « gouvernement et des directions centrales », sans résultats.
Alliance Police Nationale rappelle les propos du procureur de la République à Grenoble, Jean-Yves Coquillat, qui avait affirmé il y a un an n’avoir « jamais vu une ville de cette taille aussi pourrie et gangrénée par le trafic de drogue« . […]
Moins 6,4%. Le chiffre inquiète les propriétaires immobiliers à Grenoble. C’est la baisse sur un an du prix de vente médian au mètre carré des appartements anciens. Il émane d’une étude publiée par les Notaires de France. Un record qui étonne, alors que le marché national est dynamique. Et l’image de l’agglomération se serait dégradée ces dix dernières années sur fond de faits divers.
[…] Moins 6,4% entre 2017 et 2018. Le prix médian au mètre carré dans le logement ancien à Grenoble affiche la plus forte baisse du pays. […] Ce phénomène de baisse des prix, quasiment unique en France, ne devrait pas s’inverser dans les mois qui viennent. La pression démographique est faible actuellement sur Grenoble.
Le 8 août dernier, j’avais publié un article, suite à l’agression mortelle subie au couteau, dans un bus parisien, à 7 heures du matin, par un homme présenté comme un quinquagénaire par les médias qui ne disaient pas un mot sur l’assassin.
Ainsi, il est intéressant de comparer le traitement médiatique du Parisien (qui, au moins, a évoqué l’affaire, contrairement au reste de la presse française) avec ce que j’avais écrit.
Un passager d’un bus RATP, âgé de 50 ans et originaire du Val-de-Marne, a été mortellement et « gratuitement » poignardé par un cycliste qui tentait de monter dans le véhicule avec son vélo. Le drame a eu lieu ce mercredi à 6 h 20 à l’arrêt du 255, porte de Clignancourt (XVIIIe), au nord de Paris.
(…) « Un passager s’en est offusqué », relate une source policière. Un autre témoin entend l’agresseur « demander à sa victime s’il parle arabe ». Ce dernier, qui ne semble pas le connaître, lui enjoint de « le laisser tranquille ». Le cycliste sort alors un couteau, le poignarde à la carotide et quitte le bus. La victime tente de le poursuivre, mais s’effondre sitôt sur la chaussée.
Bien évidemment, au lendemain de la mort d’Adrien, qui avait révolté la France entière mais avait été passée sous silence par les médias, ces derniers, et le régime qui les paie, n’avaient pas envie que nos compatriotes sachent ce que Jacques Guillemain, dans un article qui avait eu un grand succès, avait confirmé : nos compatriotes tombent de plus en plus souvent sous des coups de couteau presque toujours assénés par des musulmans.
Un article du journal « Le Point » nous en dit davantage ce jour. Quelques jours après le meurtre, les policiers ont arrêté le coupable qui nie avoir porté un coup de couteau et affirme avoir seulement frappé sa victime (à la gorge) avec son porte-clefs. Et il fait le coup, à 6 heures du matin, alors qu’il veut monter avec son vélo dans un bus, de l’état alcoolique et de la prise de stupéfiants pour minimiser sa responsabilité dans ce meurtre. Bref, ce serait un malheureux accident, causé, toujours selon l’assassin, par la panique, s’étant cru menacé. Voilà un témoignage qui confirme la taqîya des musulmans qui ont toujours besoin de se victimiser pour justifier leurs agressions et leurs crimes.
Mais le plus révoltant n’est pas là. On apprend d’abord que ce multirécidiviste était en situation irrégulière. On apprend ensuite que l’homme, qui multipliait les fausses identités, était, selon la formule habituelle, défavorablement connu des services de police en raison de multiples délits, dont des vols avec violence.
Bien que n’ayant pas suivi d’études de droit, je conclus donc que, dans la France de Macron-Philippe-Collomb, un Maghrébin, probablement musulman (il a utilisé les rituels d’égorgement des adeptes d’Allah), en situation irrégulière, ayant multiplié les fausses identités et les agressions, était toujours en liberté et qu’aucune procédure d’expulsion n’avait été entreprise. J’en conclus également que ce refus de renvoyer dans leur pays les clandestins délinquants a été assumé par ce régime, par la voix du Premier ministre, Édouard Philippe, à l’Assemblée nationale, qui se refusait, avec une certaine morgue, à envisager ne serait-ce que l’expulsion des fichés S étrangers, de même que l’incarcération des fichés S ayant obtenu la nationalité française.
En politique, un pouvoir doit assumer les conséquences de ses actes. Et comme il ne le fera pas, les citoyens doivent, de manière claire, pouvoir expliquer la vérité à leurs compatriotes avec les mots idoines. Emmanuel Macron, Édouard Philippe, Gérard Collomb ont commis une faute professionnelle. Dans n’importe quelle profession, c’est la porte, sans indemnités. Mais, à la différence de fautes professionnelles accidentelles, la leur est totalement volontaire et donc encore plus impardonnable. Avec tous leurs complices immigrationnistes, politiques, associatifs, artistes, experts et autres, ils ont sur les mains le sang de celui qu’on appelle le « quinquagénaire du bus de Paris ». Ils ont sa mort sur la conscience. C’est de leur faute si l’assassin était en liberté, ce sont eux qui, délibérément, ont livré la malheureuse victime, qui a juste eu le courage de protester contre un acte insupportable et délictueux, au poignard du criminel musulman.Ce sont eux qui, en ne prenant aucune mesure contre la prolifération du nombre des coups de couteau et des égorgements subis par nos compatriotes de la main des envahisseurs qui nous haïssent, mettent en danger la vie et l’intégrité physique de millions de Français à qui il peut arriver ce qui est arrivé à Adrien et à tant d’autres.
Ils ne pourront pas s’en sortir ainsi ; un jour, ils devront répondre de leur criminelle activité, d’autant plus que, malgré cette véritable épidémie de meurtres, ils continuent à faire venir en France des nouveaux clandestins, de la même nationalité qu’un assassin de médecin allemand.
En attendant, j’espère un jour participer à une manifestation où le mot d’ordre sera : « Dehors Macron, complice des assassins, Dehors Philippe, complice des égorgeurs, Dehors Collomb, complice des islamistes ! ». J’espère voir toutes les ordures immigrationnistes dans une cage en verre, rappelant le procès de Nuremberg.
Je voulais conclure ce coup de gueule en direction d’autres collabos, les journalistes. Sans doute échaudés par l’émotion suscitée par l’assassinat d’Adrien Perez, ils ne donnent plus aucun renseignement sur les victimes. Comment s’appelait le mort de 50 ans de l’autobus parisien ? Avait-il une femme, des enfants, allait-il à son travail ? Quel genre d’homme était-ce ? Comment s’appelait-il ? Quelle tête avait-il, on aimerait voir sa photo. Eh bien, rien, il ne restera qu’un homme de 50 ans « victime d’une rixe ». Et rien d’autre, comme s’il n’avait jamais existé, finalement. À la fosse commune !
Comme le trentenaire décédé le jour de son anniversaire, poignardé à mort, comme le jeune homme de 27 ans, entre la vie et la mort à Grenoble, dont on n’a pas de nouvelles, comme le jeune homme de 19 ans, à Bondy, qui s’est défendu quand des racailles ont voulu lui voler son scooter et qui est, lui aussi, entre la vie et la mort.
Ils vont les laisser dans un coma artificiel pendant un mois, le temps qu’on ne parle plus de l’affaire, et on annoncera leur mort, en noyant le poisson, quand l’émotion sera retombée, comme cela s’est fait à Issoire, où un homme de 46 ans est officiellement décédé un mois après son agression.
En pratiquant une véritable omerta sur ces crimes de masse, les journalistes, au service du pouvoir, contribuent à tuer une deuxième fois les victimes, dépersonnalisées, dont, bien sûr, on tait l’origine des assassins.
Ce qualificatif, pour conclure, s’adresse à tous les complices de l’invasion migratoire musulmane qui ont sur les mains le sang de nos victimes et à tous ceux qui organisent l’omerta autour de ces crimes racistes : Salauds !