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« Ce qu’on ne vous dit pas sur la crise migratoire », titre le Figmag.
Immigration et asile : ce ne sont que mensonges et trahisons. Tout est orchestré pour détruire la France. Macron est un personnage éminemment diabolique.
L’asile est devenu la principale filière clandestine.
Les Français doivent savoir que les demandes d’asile baissent partout en Europe sauf en France, devenue la destination privilégiée des migrants.
Tout clandestin arrivant en France est assuré de l’impunité et de la régularisation à terme, tant les recours sont illimités pour éviter l’expulsion, comme nous le verrons plus loin.
C’est le résultat du discours de Macron, qui fait de l’immigration une fatalité à laquelle il va falloir se résigner avec l’explosion démographique en Afrique, un continent perdu, incapable de se sortir de la misère malgré ses immenses ressources naturelles.
Pour Macron, il faut subir l’invasion. Et sa loi asile-immigration n’est qu’une fumisterie de plus pour faire croire qu’il agit. Mais plus personne n’est dupe.
64% des citoyens ne lui font plus confiance (Kantar-Sofres)
71% jugent sa politique injuste (Odoxa-Dentu Consulting)
65% la jugent inefficace. (Odoxa-Dentu Consulting)
L’article du Figmag nous rappelle quelques réalités que le pouvoir cache aux Français. Artisan de l’invasion afin d’accélérer la mixité de la société, Macron fait tout pour maquiller les chiffres du désastre identitaire qu’il orchestre sciemment.
Tout d’abord Gérard Collomb annonce 300 000 clandestins en France, alors que leur nombre augmente de plusieurs dizaines de milliers chaque année, notamment avec les déboutés du droit d’asile jamais expulsés.
Un rapport parlementaire, pour le seul département de la Seine-Saint-Denis, département de moins de 2 millions d’habitants, les estime entre 150 000 et 400 000 !!
400 000 pour le seul département du 9-3, mais 300 000 pour toute la France !
20% de clandestins dans le 9-3, mais 0,05% dans toute la France !
C’est dire le machiavélisme du pouvoir pour tromper les Français.
En ce qui concerne les demandes d’asile, elles ont explosé en 2017, dépassant les 100 000 candidats, record historique.
Mais pour les 5 premiers mois de 2018, elles sont en hausse de 15%.
On peut donc tabler sur 115 000 demandeurs sur l’année, dont seulement 5% seront expulsés, selon la Cour des Comptes.
Petit rappel à l’usage du migrant économique, arrivé d’un pays sûr. Ahurissant !
Le tandem Macron-Collomb ose nous parler de fermeté avec sa loi asile-immigration, alors que ce n’est que débandade généralisée.
Tout d’abord, il faut savoir qu’un migrant n’est soumis à aucun délai pour demander l’asile.
S’il est arrêté sans papiers, il fait sa demande auprès de l’Ofpra, qui a 6 mois pour la traiter.
S’il est débouté, il fait un recours devant la Cour nationale du droit d’asile.
On lui accorde alors une aide juridictionnelle que le contribuable se fait un plaisir de financer.
Ce recours est suspensif.
S’il échoue, le clandestin est donc soumis à une obligation de quitter le territoire français. OQTF
Mais il oppose alors un nouveau recours devant le Tribunal administratif.
Si le Tribunal administratif confirme l’OQTF, le clandestin se retourne vers la Cour administrative d’appel.
En fin de parcours, il peut soumettre encore son dossier à l’Ofpra.
En cas d’ultime refus, il peut aussi se présenter comme “étranger malade”, donc inexpulsable.
Le but du jeu, pour tout migrant parfaitement informé de ses droits et du maquis des procédures d’asile, est d’atteindre le délai de 5 ans, le jackpot au delà duquel il sera automatiquement régularisé, en vertu de la circulaire Valls de 2012, qui a permis de régulariser 30% de clandestins de plus en 5 ans !!
Une circulaire dévastatrice que Macron a refusé de supprimer !
On l’aura compris, tout est fait pour détruire le pays. C’est une entreprise de démolition de la nation française minutieusement organisée.
Macron n’a même pas touché à la loi de 2016, qui a raccourci de 5 à 2 jours le délai accordé aux policiers pour étayer les dossiers de reconduite d’un clandestin.
Mais si d’aventure un débouté du droit d’asile est en passe d’être expulsé par avion, les associations pro-migrants s’organisent pour empêcher le décollage de l’appareil.
Un guide pratique circule sur le net, pour mobiliser les passagers contre cette “déportation”, en faisant pression sur les policiers accompagnateurs et sur l’équipage.
En fait, tout repose sur la volonté du commandant de bord qui a le dernier mot.
Pour ma part, je n’ai jamais refusé d’embarquer un clandestin expulsé, étant systématiquement du côté de la loi et l’ordre, donc des policiers accompagnateurs.
Hélas, trop de CDB font le choix de la tranquillité et débarquent le clandestin. Il est tellement plus facile de renoncer !
Selon Eric Ciotti, des avions modulables pouvant transporter des passagers ou servir de bombardiers d’eau, sont en cours d’achat pour éviter les expulsions par voie commerciale. Réelle volonté de régler le problème ou simple poudre aux yeux…A suivre !
Ensuite, pour renvoyer un clandestin, encore faut-il qu’il ne se déclare pas apatride.
Maghreb et Afrique noire sont évidemment réticents à reprendre leurs ressortissants. Il faut dire que la manne des transferts de capitaux envoyés au bled et en brousse par les immigrés est vitale pour les pays.
Ces pays n’accordent pas les laissez-passer consulaires indispensables à toute expulsion.
Et comme Paris ne veut en aucun cas conditionner sa coopération avec ces pays, à une politique d’expulsion, aucun clandestin ne repart dans son pays d’origine.
Il va de soi que toute l’Afrique, et même au delà, connaît la musique !
Le coût exact de la politique migratoire est évidemment tenu secret.
Plusieurs études ont chiffré ce coût entre 80 et 100 milliards par an, si on inclut toutes les dépenses induites.
La Cour des Comptes a chiffré en 2015 le coût d’un demandeur d’asile à 13724 euros. On appréciera la précision à l’euro près, alors que la France ne sait pas combien elle héberge de clandestins à un demi-million près !
Le coût de l’asile dépasse 2 milliards. L’AME, qui soigne les sans papiers mieux que les Français, atteint 1 milliard par an.
Un mineur isolé coûte aux départements 50 000 euros par an.
En 2016, ils étaient 13 000 et en 2017, ils étaient 25 000, dont 60% de faux mineurs, selon un rapport sénatorial. Faites le compte !
Car pour pratiquer une radio des os et détecter un faux mineur, il faut l’accord de celui-ci et une autorisation du juge judiciaire.
Un mineur isolé, c’est à terme 10 personnes arrivées en France, avec le regroupement familial élargi accordé par Macron.
En conclusion, Macron et sa clique parlementaire, sont aux commandes dans le seul but de promouvoir une société multiculturelle qui va tuer notre France millénaire.
Salvini ayant fermé les ports italiens et Merkel étant sur un siège éjectable, c’est Macron qui se pose en défenseur de la politique d’accueil européenne, avec son nouvel allié espagnol, le socialiste Sanchez.
Si les Français ne veulent pas voir leur pays devenir un pays du tiers-monde totalement désintégré, en proie à l’insécurité et à l’appauvrissement généralisé, ils devront se débarrasser du président le plus machiavélique que la France ait connu.
Les élections européennes seront l’occasion pour les patriotes, les identitaires et autres lépreux qui aiment leur pays, de dire non au mondialisme et au vivre ensemble.
Car le vivre ensemble version Macron, c’est donner les clés de la France aux immigrés, sans aucune contrepartie. C’est accélérer le Grand Remplacement et le changement de civilisation.
Jacques Guillemain (Riposte laïque)