Mondial : FO dénonce la censure en direct de l’envoyé spécial de France 3 car il parlait trop des incidents sur les Champs Elysées


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Curieux incident d’antenne, ce dimanche 15 juillet, lors de la diffusion du Soir 3 entièrement consacré à la victoire de la France au Mondial de football.

Un journaliste de la rédaction s’apprête à intervenir en direct dans le journal depuis la terrasse Publicis qui surplombe la place de l’Etoile et les Champs Elysées.

Il est un peu plus de minuit et le journaliste décrit la situation qui se déroule sous ses yeux : la fête devait se prolonger une bonne partie de la nuit mais elle a dégénéré et est désormais finie. Le drugstore et de nombreux magasins ont été pillés. Les Champs Elysées et l’Etoile sont désormais évacués, quadrillés par les CRS et baignés dans des effluves de gaz lacrymogène qui rend l’air irrespirable, y compris sur la terrasse au sommet de l’immeuble d’où se tient le direct…

…On n’en saura pas plus. Au bout de quarante secondes, le direct est coupé sans plus d’explications sur décision de la rédactrice en chef. (de 3’14 à 4’00)

L’explication n’a été donnée que le lendemain au journaliste : son direct a été interrompu parce qu’il a exagéré l’ampleur des violences et qu’il aurait dû évoquer « l’atmosphère de liesse… » qui n’existait plus depuis près de deux heures !

On peut toujours discuter de la pertinence ou de l’angle d’un papier, les conférences critiques sont là pour ça.

Mais interrompre volontairement un direct est un acte grave réservé aux circonstances exceptionnelles ou aux cas de force majeure.

Cette interruption intempestive est d’autant plus incompréhensible que le journaliste n’a fait que son métier : décrire une réalité – certes déplaisante – qui a été largement rapportée et développée dans la presse du lendemain.

Cette censure est d’autant plus absurde qu’elle alimente le fantasme d’une télévision d’Etat qui voudrait « dissimuler des informations » au public

De nombreux internautes ont d’ailleurs réagi en ce sens à l’interruption du direct du Soir 3.

L’incident de dimanche soir témoigne aussi d’une certaine dérive dans les pratiques professionnelles en vigueur dans les rédactions de France Télévisions.

De nombreux confrères déplorent de se voir de plus en plus en dicter leurs papiers par des chefs qui prétendent mieux appréhender un événement depuis les bureaux de la rédaction que les journalistes qui se trouvent sur le terrain.

FO France TV

Après la grande messe footballistique, c’est la chienlit…

Après la grand-messe footballistique ( il est préférable de parler d’un orgasme footballistique collectif), c’est la chienlit qui a pris possession de Paris. La caste politico-médiatique découvre que les agressions sexuelles contre les femmes venues célébrer la victoire des bleus, la casse des magasins, le vol et les incendies de voitures font partie désormais du paysage français. C’est un rituel bien rôdé qui surgit lors de chaque grande manifestation. Des comportements scandaleux qu’elle a tenté de dissimuler, se sont déroulés sur la plus belle avenue du monde (les Champs Elysées), à deux pas du Palais de la république. Des images montrant une guérilla urbaine au cœur de Paris ont fait le tour du monde. Désormais, il n’y a plus rien à cacher, tout se sait à la seconde qui suit.
Ces agressions sexuelles, ne sont-elles pas identiques à celles qu’ont subies plus d’un millier de femmes allemandes à Cologne le 31 décembre 2015 ?
Le même scénario, ne s’est-il pas reproduit sur les Champs Elysées, le 15 juillet 2018, à minuit ?
Qu’attendent les journalistes d’investigation intègres (s’il en reste encore, car le doute est permis) pour éclairer l’opinion publique sur ce qui s’est réellement passé durant cette orgie footballistique ?

En vérité, le succès des bleus a été gâché par les comportements bestiaux des énergumènes qui considèrent la femme comme une proie qu’Allah a mis à leur disposition. Les bisounours et la bien-pensance refusent de condamner ces actes inqualifiables d’un autre âge parce qu’ils ne veulent pas scier la branche sur laquelle, ils sont assis. En un mot, leur fonds de commerce…
Le vivre-ensemble commercialisé a un goût amer pour la caste hors sol qui gouverne la France. Après les mensonges distillés par les médias aux ordres, la réalité finit par exploser à la figure des chamans du multiculturalisme, ces champions de la morale de bas étage, malgré le silence assourdissant imposé aux Français qui sont encore endormis.

L’overdose communautariste déborde de toute part… Et c’est de bon augure. Car désormais, la célèbre réponse ‘circulez, il n’y a rien à voir’ de l’oligarchie politico-médiatique ne tient plus la route. Les digues du vivre-ensemble ont craqué sous le poids de la réalité quoiqu’en pensent les colporteurs du mensonge permanent. Est-ce la fin du déni entretenu sciemment par les puissants ?

Auront-ils, ces messieurs-dames, le courage de reconnaître que leur politique mène la France droit au mur (ou plutôt vers le précipice). Il ne suffit pas de vanter le vivre-ensemble pour effacer par une baguette magique les difficultés que subit le Français moyen (en tout cas, celui qui n’a pas le pognon nécessaire pour fuir les quartiers perdus de la république qui deviendront des émirats où la charia fera force de loi), livré à lui-même face à l’adversité du communautarisme et de l’islamisation.
L’intégration a échoué parce que le seuil d’absorption est atteint depuis longtemps.
Il n’y a plus rien à vendre. La morale infantilisante et culpabilisante ne fonctionne plus. Le roi est nu…

Cette caste est uniquement impitoyable contre le Français qui se lève tôt pour gagner son pain à la sueur de son front et qui paie ses impôts mais par contre, elle se montre lâche, laxiste face aux casseurs, aux violeurs, aux djihadistes et aux barbares.
Même, l’ancien président américain Obama est venu au secours de cette secte mondialiste qui se croit progressiste. A partir de Cap Town, en Afrique du Sud, il a salué le succès footballistique des bleus, qui est dû, selon ses propres termes à la diversité (comprendre à l’africanisation et l’islamisation de la France). Son message subliminal signifie encore plus de diversité pour la bonne cause. Car pour lui, la France n’a pas encore fait le plein de migrants.

Toutes les occasions sont bonnes pour les adeptes de la mondialisation, sans port d’attache afin d’occuper le terrain et qui veulent détruire les nations, en imposant la fin des identités des peuples au nom de la libre circulation des biens et des personnes (pour s’enrichir davantage sur les cadavres des autres).

Et toute personne qui refuse cette idéologie suicidaire est taxée de lépreuse.
Ces fameux progressistes sont en vérité les fossoyeurs de la liberté. Au nom de la pensée unique, ils ont préparé les guerres tribales du futur surtout en Occident et notamment en France.

hamdane ammar (dans Riposte laïque)

Ils répondent « Vive la France » à des racailles qui crient « Vive l’Algérie » : lynchés !

« Bravo les Bleus », nous sommes champion du monde, tout est bien… mais ce qui n’est pas bien du tout c’est le bilan chiffré des dégâts, dégradations et débordements est non seulement considérable mais accablant.

Entre magasins dévastés et pillés, vitrines brisées, voitures brûlées, arrêts de bus et de tram détruits, terrasses de café balayées, etc.

Des dizaines de personnes blessées plus ou moins gravement.

Et, ce qui est bien plus grave, plus désolant, un cas de viol, rue de Savoie, dans le 6e arrondissement parisien, des agressions et des exhibitions sexuelles au milieu de foules indifférentes et lâches.

Plusieurs femmes ont eu le courage de s’exprimer sur les réseaux sociaux. Nombreuses ont jugé préférable de se taire, de rester dans l’anonymat, car elles n’attendaient rien des autorités.

Le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, invite les femmes à porter plaine, fort bien, mais contre qui ? Qui va rechercher et surtout retrouver ces agresseurs, ces harceleurs ?

292 individus placés en garde à vue en France, dont 90 à Paris et 18 à Lyon.

45 policiers et gendarmes blessés plus ou moins gravement.

« La fête a été gâchée à cause d’une poignée de « casseurs », des minables » s’est indignée sur « Twitter » Jeanne d’Hauteserre, la maire du 8e arrondissement de Paris.

Pas une poignée, madame la maire, des milliers, des dizaines de milliers dans toute la France.

« C’était l’heure des vandales », a témoigné Sophie de Ravivel, journaliste au « Figaro ».

Les « Vandales », Chère Sophie, ravagaient les autres pays, pas le leur !

Drugstore Publicis, sur les Champs, vandalisé.

Intermarché, avenue de la Grande Armée, ravagé.

Franprix, Boulevard Haussmann, dévasté.

Epicerie, Avenue Marceau, pillée.

Restaurant attaqué Place de la Bastille.

Bar dégradé, avenue Bosquet, près du Champ de Mars.

Ligne 13 du métro dévastée, les voyageurs ont dû descendre à la station « Liège ».

Des camions de pompiers endommagés.

Bref rappel uniquement sur Paris. Il serait trop long de citer également les destructions et les agressions à Grenoble, Lyon, Nantes, Rouen, Marseille, Mulhouse, Strasbourg, Menton, Annecy, Toul, La Roche-sur-Yon, en Alsace, enfin dans toute la France.

Combien de millions d’euros nous coûte cette victoire des « Bleus », qui nous met dans le « rouge » un peu plus ?

A combien se chiffre ce triste bilan ?

Et qui va payer ? Nous, bien sûr !

Selon une étude du « Figaro », les actes de vandalisme et de dégradation de biens publics sont en constante progression, plus de 300.000 signalés chaque année.

Le professeur en économie, Jacques Bichot, les a estimés à plus de 5,2 milliards d’euros, l’équivalent de la construction de 140 hôpitaux !

La Ciotat (13) – Le dispositif mis en place pour sécuriser les manifestations de dimanche avait fait ses preuves lorsque, vers 20 h 30, 80 « racailles » cagoulées se sont rassemblées au rond-point Wilson dans l’objectif unique d’agresser les forces de police.

Des projectiles ont été lancés de toutes parts mais, soyez rassurés braves gens, les policiers ont fait preuve d’un sang-froid exemplaire.

Ils n’ont interpellé qu’un mineur de 17 ans, très défavorablement connu de leurs services, et placé en garde à vue (avant d’être probablement remis en liberté !) pour « jet de projectiles et participation à une attaque armée. ».

Saint-Denis (9.3) – Lundi 16 juillet vers 9 h, un « Grand Frère » trouve sa jeune sœur, âgée de 18 ans, faisant l’amour dans sa chambre de l’appartement familial.

L’individu, âgé d’environ la trentaine, entre dans une très grande colère, au point de sortir l’amoureux du lit, de l’entraîner à l’extérieur du domicile vers le hall de l’immeuble et là de le frapper de plusieurs coups de couteau, notamment au visage.

Touché à l’œil, le jeune homme de 21 ans, tente de se protéger avec ses bras, qui sont lacérés en plusieurs endroits.

Il a été conduit dans un hôpital parisien et ses jours ne sont pas en danger, mais il l’a échappé belle !

La jeune sœur est en état de choc et on la comprend.

Le « Grand Frère », conduit au commissariat de la ville, a été placé en garde à vue prolongée.

Nous ignorons l’identité et les origines de ce « Grand Frère » !

Lille (Nord) – Dimanche, en début de soirée, une bande d’une cinquantaine de « racailles » se rassemble dans l’objectif de remonter le centre piétonnier, partant de la place de Béthune jusqu’à Lille-Flandres.

« On va tout casser ! On va tous vous tuer ! »

L’amusement était d’agresser au hasard les « supporters » fêtant la victoire des « Bleus ».

Plusieurs victimes ont eu droit à un tabassage en règle.

La police a réussi l’exploit d’appréhender deux individus sur les 50 présents, âgés de 18 et 22 ans, originaires de Villeneuve-D’ascq.

Ils attendront en prison la prochaine audience du 27 août, mais ils paraissent très sereins !

Chevilly-Larue (Val de Marne) – Cinq individus, bien connus des services de police et de la justice pour des faits graves, ont été arrêtés et placés en garde à vue, mercredi 18 juillet, pour avoir organisé et participé à l’enlèvement d’une femme, à son domicile, une semaine plus tôt, le 11 juillet.

Une première fois, la veille, elle avait réussi à échapper à cette « racaille » des cités proches.

Il s’agit, selon les enquêteurs de la brigade criminelle de la PJ parisienne, « D’un commando parfaitement structuré. »

Une rançon de 700.000 euros avait d’abord été exigée, avant d’être ramenée à une somme moins élevée, pour obtenir la libération de la femme.

La remise de la rançon a échoué à plusieurs reprises faisant craindre le pire pour la victime de ce rapt. Cette femme est présentée comme la fille d’une ex figure du grand banditisme, autour du gang célèbre de la banlieue sud.

Bien entendu nous ne sommes pas informés sur les identités et les origines de ces cinq individus !

Le Mans (72) – Une femme de 35 ans et sa fille de 16 ans, déjà connues des services de police pour menaces de mort et ayant fait de la prison, ont commencé à frapper une jeune voisine, adolescente de 16 ans, parce que «Elle les avait mal regardé. »

Puis elles se sont dirigées vers l’arrêt du tram des « Atlantides », quartier des sablons, et là elles ont agressé à coups de claques, pour une raison identique, une femme, âgée de 34 ans, enceinte de 9 mois, sa fille et une amie.

Des passants sont intervenus et les « agresseuses » sont parties en tramway.

Nous ignorons pourquoi « Elles étaient mal regardées » !

Poitiers (86) – Dans la nuit de dimanche à lundi, vers minuit, un jeune couple qui circulait en voiture, dans le quartier Saint-Eloi, en déployant un drapeau tricolore, est dépassé par un véhicule au bord duquel « la racaille » de sortie, les invectives tout en hurlant « Vive l’Algérie ».

La jeune femme s’est permis de leur répondre : « Non, vive la France ! ».

L’individu conduisant l’autre voiture descend et lui donne un violent coup de poing et la jeune femme tombe sur le sol.

Les complices de cette « racaille » se précipitent sur le jeune compagnon et le rouent de coups sur tout le corps.

Il a un arrêt de travail de huit jours.

Cette « racaille » est recherchée par la police.

Le général Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie nationale, dénonce le taux très élevé des suicides : 20 depuis début 2018, chiffre le plus élevé depuis dix années.

Entre de nombreuses constatations, il trouve que l’on sanctionne encore un peu trop en interne.

Que le travail effectué par les gendarmes n’est pas toujours connu ou compris. La population voit trop souvent seulement le côté répressif du gendarme (cela se comprend, les gendarmes ne sont-ils pas bien plus répressifs envers les citoyens pour des infractions qui n’ont rien de comparables avec les actions répréhensibles des « casseurs » et de la « racaille » ?)

Manuel Gomez dans “Riposte Laique”

La France est championne du monde de foot… et des violences festives !

La France est championne du monde de foot ! Joie sans mélange ? On aurait pu le croire, si Paris, Grenoble, Villefranche-sur-Saône, Mulhouse, Nice, Nantes, Bordeaux, Fougères, Redon, Nancy, Châlons-en-Champagne, Lyon, Rouen, Menton, Marseille, Bastia, Saint-Chamond, Aix-les-Bains, Annecy, Annemasse, Bourgoin-Jallieu… et j’en passe n’avaient connu leur nuit de violences en tout genre, avec, pour finir, 292 gardes à vue et 45 policiers et gendarmes blessés !

Aurait-on pu voir pareils agissements en Russie, en Turquie, en Iran ou en Arabie-Saoudite ? Qu’est-ce qu’un Pouvoir qui n’a pas le pouvoir de faire respecter l’ordre civil le plus élémentaire ? Que dire d’un pays qui s’enorgueillit des « Droits de l’Homme » et se révèle incapable d’assurer la paix sociale en des jours de liesse nationale ? Que doivent penser ceux dont les biens matériels ont été détruits par des individus à qui ils n’ont jamais fait le moindre mal, puisqu’ils ne les connaissent même pas ? Est-ce cela le « vivre-ensemble » à la française ?

Moi qui ne suis pas un fou de foot, je m’étais pris à rêver, en ce dimanche 15 juillet 2018, d’une France unie et fraternelle ! J’oubliais alors que la réalité balaye bien souvent nos rêves les plus beaux, en nous enfonçant toujours davantage dans les pires incohérences, à l’instar de ces millions de personnes qui hurlent pour un 4-2 français et se taisent contre la défrancisation d’un 9-3 !

J’avais donc oublié que la réalité est toujours politique, et que la politique se joue de nous… par le pain et les jeux !

Maurice Vidal dans “Riposte Laïque”

Football : si cela continue, dans 10 ans, il ne restera plus un Blanc chez les Bleus

Publié le 14 juillet 2018 – par Paul Le Poulpe : “Riposte laïque”

C’est curieux, il y a 20 ans, quand l’équipe de France a été sacrée championne du monde, les antiracistes, ceux qui viennent de réussir à faire supprimer le mot « race » de la constitution, à la demande du président de la Licra, Mario Stasi (cela ne s’invente pas) n’avaient à la bouche que le mot Black-Blanc-Beur, qui devait remplacer Bleu-Blanc-Rouge, jugé trop Gaulois.

Pourtant, lorsque le coup d’envoi de la finale avait été donné, il y avait sur le terrain 7 Gaulois, 2 originaires d’Afrique noire (Desailly et Thuram), un Kanak (Karembeu) et Zidane, originaire d’Afrique du Nord. Cette équipe était donc majoritairement gauloise, quoi qu’en disent les adeptes du multiculturalisme.

20 ans plus tard, les choses ont bien changé. Sur les 23 Bleus retenus par Deschamps, 16 ont des racines africaines très visibles, ce que ne manquent pas de relever les journaux africains, mais aussi les suppôts de l’invasion migratoire comme Le Courrier International, Le Monde ou Libération. Et pourtant, ce fait est dissimulé, car le Onze titulaire ne réflète pas la marginalisation des Gaulois. En effet, cinq joueurs français de souche sont titulaires de l’équipe type, complétée par deux métis et quatre Africains noirs. Au début de la compétition, il ne devait y en avoir que trois, mais les latéraux, Pavard et Hernandez, ont su gagner leur place au détriment de Sidibé et de Mendy, ce qui a changé le visuel de l’équipe.

Chose étonnante, alors que les antiracistes stigmatisaient ceux qui, comme Jean-Marie Le Pen ou Alain Finkielkraut, osaient évoquer le fait que cette équipe de France ne ressemblait pas au pays pour lequel elle jouait, cela devient, à présent, un argument de fierté repris par tous ceux qui expliquent que parler de la couleur des gens, c’est être raciste.

Chose étonnante encore, les footballeurs noirs, qui se disent en permanence victimes du racisme, sont les seuls qui parlent de la couleur de peau des Blancs, comme si cela était une obsession. Nul n’a oublié le témoignage de Christophe Dugarry, rappelant à « l’antiraciste Thuram » que, dans les vestiaires, au soir de la victoire de 1998, celui-ci appelait « les Blacks » à faire une photo ensemble, se faisant sermonner ensuite par Franck Leboeuf, qui lui avait demandé quelle serait sa réaction si lui demandait aux Blancs de faire une photo ensemble.

C’est également le Guyanais Bernard Lama qui, dans un livre, qualifie son rival de 1998 dans les buts, Fabien Barthez, de « Blanc ». Imaginez ce dernier qualifier lui aussi le gardien de but du PSG de l’époque de « noir »…

Chose étonnante encore, tous les antiracistes professionnels, qui hurlent parce qu’il n’y aurait pas assez de diversité dans les instances élues (sans réfléchir à l’apport des élus de la diversité, qui, trop souvent, utilisent leur mandat pour reproduire des pratiques claniques), n’ont rien à redire sur la sur-représentation de la diversité dans cette équipe de France.

Par ailleurs, le football est un magnifique résumé du Grand Remplacement qui se met en place. En 1998, les Gaulois étaient majoritaires. En 2018, ils sont devenus minoritaires. Il suffit de regarder la liste qu’a retenue le sélectionneur des Espoirs français Bernard Diomède (antillais) pour comprendre que, dans dix ans, il n’y aura plus aucun Blanc en équipe de France ! Cela provoquera sans doute chez Rokhaya Diallo et Houria Bouteldja l’orgasme de leur vie !

http://www.fdesouche.com/1040735-equipe-de-france-la-liste-des-u19-joueurs-espoirs-pour-leuro-2018-de-football

Cette sélection, qui devrait poser des questions à l’ensemble de la classe politique, n’est que la conséquence de la politique des centres de formation des grands clubs professionnels français : de l’Africain, de l’Africain, de l’Africain. Ce que confirmait l’ineffable Guy Roux, invité par Macron à Moscou, quand il entraînait Auxerre : 80 % d’Afrique noire, 10 % d’Afrique du Nord et 10 % de Gaulois ! Et cela donne cette sélection de Bernard Diomède, par ailleurs ancien Auxerrois. Et là, les anti-colonialistes se taisent, sur ce véritable pillage des forces vives d’un Continent. Faut-il rappeler que, à cause de ces critères, les clubs français sont passés à côté d’un Griezmann, d’un Valbuena, et de combien d’autres « petits blancs », jugés pas assez costauds pour devenir professionnels ? Et faut-il rappeler que quand un courageux Directeur Technique National français voulut remettre en cause cette politique des « Gros blacks » dans les centres de formation, et évoqua la double nationalité de nombre de ces joueurs, qui, ensuite, choisissaient leur pays d’origine, la crapule Plenel et le faux anti-raciste Thuram le qualifia de raciste, et que l’ensemble de la presse le lyncha, ainsi que Laurent Blanc, accusé d’avoir prêté une oreille complaisante à ces propos.

La suite, on la connaît, et si cela continue ainsi, Griezmann, Giroud, Lloris, Pavard et Hernandez auront été les derniers des Mohicans !

Et cela ne dérangera certainement pas les élites de ce pays, qui ont décidé que les nôtres devaient disparaître.

Le nombre de mosquées salafistes grimpe encore en 2018 pour arriver à 152

Le Figaro rapporte aujourd’hui que, hors préfecture de police de Paris qui en compte vingt, le nombre de mosquées salafistes en province atteint le nombre de 132. Ce malgré les quelques fermetures de mosquées à Aix-en-Provence, Marseille et Ecquevilly. A titre de comparaison, un rapport consacré au salafisme du SCRT mentionnait 120 mosquées salafistes hors Paris dans un rapport de juin 2016. Ce rapport à l’époque faisait état d’une hausse de 170% du nombre de mosquées de ce courant entre 2010 et 2016.

Emmanuel Macron a, à plusieurs reprises, annoncé son refus d’interdire le salafisme et les Frères Musulmans en France, se contentant de s’en référer à la justice lorsque des prêches tombent sous le coup de la loi. Mais l’imâm de la Grande Mosquée de Toulouse a beau évoquer un combat à mort contre les juifs en se filmant et diffusant le prêche sur la chaine Youtube de la mosquée, sans que cela n’entraine ni la fermeture de cette base de l’islamisme, ni l’expulsion de l’imâm algérien.

Défense du CRS de Nantes, abandonné par Collomb, lynché par la presse


Le policier « assume le caractère illégitime de son acte » titre BFM dans son édition de la mi-journée. Chapeaux bas, Messieurs !! Nous sommes au-delà des procès de Moscou, au-delà des séances d’autocritique, au-delà de « L’aveu » de Costa-Gavras. Un policier en service dans un quartier où des bandes rivales s’affrontent, parfois avec des armes à feu, se retrouve aux prises avec un délinquant recherché. Celui-ci, au volant de son véhicule, effectue des embardées, ou tout au moins se débat pour ne pas se laisser interpeller, se plaçant ainsi lui-même dans une situation périlleuse, est abattu par un membre des forces de l’ordre.

Dans un contexte de criminalité ultra violente, et sur fond de menace terroriste, le policier, contraint de réagir en une fraction de seconde, juge qu’une sortie d’arme est nécessaire pour procéder à l’arrestation d’un individu potentiellement très dangereux. L’agent est alors sans doute en proie à une montée de stress intense, rendue plus aiguë par le dilemme que représente une sortie d’arme sur la voie publique. Il sait que son geste, loin d’être anodin, l’expose à de rigoureuses sanctions disciplinaires, voire pénales. Il sait aussi qu’il constitue le moyen ultime pour contraindre un individu à se soumettre à ses injonctions. S’il laisse filer sans réagir un terroriste ou un braqueur, il lui sera reproché d’avoir commis une faute professionnelle. S’il braque son arme sur un simple fumeur de joints, il lui sera reproché d’avoir commis une faute professionnelle.

Le suspect se trouvant au volant de son véhicule, la tension est extrême car la voiture peut devenir une arme par destination et son habitacle dissimuler un pistolet ou un revolver. Le CRS de Nantes doit donc dans le même temps, d’une part, gérer « physiquement » une scène instable, où les actes codifiés d’un contrôle d’identité laissent brusquement place à une altercation confuse, et, d’autre part, analyser « mentalement » les dispositions de l’article L.435-1 du code de la sécurité intérieure réglementant l’ouverture du feu. Tout cela dans un environnement hostile, entouré de témoins pouvant se métamorphoser en agresseurs, sous les objectifs de smartphones malveillants. Un peu comme si on demandait au pilote d’un avion dont le moteur serait en flammes de participer dans sa cabine à un concours de fléchettes. La situation n’est pas tenable.

Peut-être le CRS a-t-il quelque part enfoui dans le fond de sa mémoire le cas de Amine Bentounsi. Braqueur multirécidiviste en cavale, il avait été abattu à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) en 2012 par un policier après lui avoir lancé une grenade qui s’était révélée factice. Le policier auteur du tir avait été condamné à 5 ans de prison avec sursis, conformément aux réquisition de l’avocat général, Rémi Crosson du Cormier, dénonçant « un tir de panique, et non de riposte » du gardien de la paix. Oui, Monsieur l’Avocat Général, quand un fugitif jette dans votre direction une grenade, fût-elle factice (mais ça, c’est après qu’on l’apprend), il est possible, voire humain, de ressentir une certaine panique. Monsieur Rémi Crosson du Cormier aurait d’ailleurs pu revêtir un uniforme de police, se munir d’un Sig Sauer, et aller patrouiller en Seine-Saint-Denis pour nous expliquer la différence entre « un tir de panique, et un tir de de riposte ».

Mais revenons à nos moutons nantais. Le CRS réalise qu’il a effectué un tir. Dans cette zone grise, l’utilisation d’une arme n’entre jamais dans les petites cases prévues par le législateur, assis bien tranquillement sous les ors des palais de la République. Sauf exception, l’usage de son arme s’effectue toujours dans un « entre-deux » ou l’intentionnel et l’accidentel se distinguent difficilement.

Conscient que dans un pays où des policiers peuvent être accusés d’avoir violé une racaille avec leur bâton de défense (ailleurs que dans la backroom d’une boîte gay), l’agent se dit qu’il va devoir quelque peu modifier sa version des faits pour assurer sa survie professionnelle. On peut imaginer la pression que lui ont fait subir les pouvoirs pour qu’au cours d’une garde à vue il reconnaisse que son tir était accidentel. « Oui, j’avoue être coupable de dérives bourgeoises et avoir trahi le camarade Staline » on disait à l’époque.

Que le malheureux ne compte pas sur sa hiérarchie, et pas davantage sur Collomb pour le défendre ! Ils vont participer à la curée…

Seul le Rassemblement national aura le courage d’organiser un rassemblement de soutien aux policiers, perturbé par les antifas, que les autorités protègent honteusement.

Car ça y est les médias aux ordres du pouvoir tiennent leur homme ! Le responsable n’est pas le délinquant recherché par l’autorité judiciaire qui tente de se soustraire à son interpellation, c’est le flic ! Celui-là même qui a assassiné tous les Adama, tous les Bentounsi, tous les Zyed et Bouna.

Paul Le Poulpe (dans “Riposte Laïque”)

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/03/10/un-policier-condamne-en-appel-a-5-ans-de-prison-avec-sursis-pour-avoir-tue-un-fugitif-d-une-balle-dans-le-dos_5092860_1653578.html