Benalla-Macron : il s’en raconte des choses…

Le roi de la transparence pris la main dans le sac.

Car les Français ont une volonté, souvent négligée par leurs gouvernants. C’est cette volonté que je veux servir car je n’ai pas d’autre désir que d’être utile à mon pays.
(Emmanuel Macron, « Révolution ») (Si, si, c’est vrai, je n’invente rien, lisez vous-même)

Benalla, amant d’Emmanuel Macron ?
La photo circule sur les réseaux sociaux depuis ce week-end. « Manu et moi, on est plus que des amis… » annonce le titre, tandis que l’article détaille qu’entendu par les enquêteurs, Alexandre B. « aurait déclaré entretenir une relation amoureuse avec le président de la République ».

Quelqu’un sait-il si le scooter de Hollande est encore disponible ? Notre président va en avoir besoin… Où donc a-t-on fourré le casque ? On laisse entendre qu’il va donner une conférence de presse et avouer qu’il entretient bel et bien une love story avec sa protection rapprochée… A mon avis, une actrice, c’est quand même plus pimpant, non ? Quant à l’estafier de sa majesté, il ne savait même pas qu’il se mariait, il l’a appris dans la presse.

Certains détracteurs racontent même que c’est lui, en fait, qui tenait la main du bambin suspendu au 5ème étage du bâtiment, vous savez, lorsque Mamoudou Gassama a grimpé pour aller le sauver. Mais je n’en crois rien… Je ne suis pas une mauvaise langue…

Manu et Alex à l’apéro
Le vigoureux Alexandre était bien plus qu’un garde du corps pour le couple Macron.
Il était dans l’ombre d’Emmanuel Premier depuis plusieurs années. Bénéficiait d’un appartement de fonction dans une dépendance de l’Elysée.

Si le grand public est loin de connaître cet homme qui le suit partout, son statut semble largement dépasser celle d’un simple garde du corps. Le bienheureux Alexandre était très proche du président de la République et de son épouse. Certes, avec des fonctions subalternes, mais dans l’intimité du couple présidentiel, confirme un intime ce 23 juillet. Ce statut était tel que dès la campagne présidentielle, il s’était vu confier par Macron les clefs de sa maison. L’une des photos les plus relayées ces derniers jours est d’ailleurs celle où le chevalier servant apparaît en vélo au côté du président de la République, captivant dans son chandail rose.

Le gorille n’a pas été sanctionné, mais protégé. Sur ordre de qui, sinon du président lui-même ? Et pourquoi cette mansuétude ? On craint de comprendre : diverses sources corroborées par d’autres vidéos montrent que le grand Alexandre vivait en fait dans l’intimité du couple, qu’il accompagnait même le chef de l’Etat dans ses activités privées, au tennis, au ski ou pendant ses vacances. Pourquoi s’en remettre à lui, alors même qu’il est sans la moindre qualification et connu pour son impulsivité ? Parce que c’est un proche, qui a rendu tant de services, ou qui en sait trop ? Redoutables hypothèses…

Un climat nauséabond
Selon Médiapart, l’affaire Benalla répand un climat nauséabond de basse police et de cabinet privé au cœur de l’Élysée. Cette privatisation de la sécurité présidentielle dévoile la part d’ombre du monarchisme macronien. Cette affaire est une alerte sur la dérive de cette présidence vers un pouvoir encore plus exclusif du chef de l’État.

Pourquoi diable s’être acharné à protéger un collaborateur de second rang qui aurait dû quitter l’Elysée depuis des mois ?

Le souci constant de restauration de l’autorité politique voulu par le président a volé en éclats. Tout cela dégrade l’exemplarité qu’Emmanuel Macron est le premier à revendiquer.
Ces faits démontrent qu’il existe au ‘château’ des musclés au statut flou, chargés de besognes opaques. Cette découverte fissure l’image d’Emmanuel Macron, qui a toujours insisté sur l’ex-em-pla-ri-té et l’in-té-gri-té indispensables à sa fonction. La communication présidentielle, jusque-là parfaitement lissée, a volé en éclats.

La tentative manifeste d’étouffer le scandale est explosive. Pourquoi ce président, qui dès son arrivée n’avait pas hésité à virer le chef d’état-major des armées pour quelques mots critiques sur le budget de la Défense, a-t-il été incapable de se défaire d’un collaborateur instable traînant déjà plusieurs casseroles ? Pourquoi l’Elysée avait-il besoin de ce gros-bras, alors qu’il existe un service officiel pour cela, le Groupe de Sécurité de la Présidence de la République ? Quelle était la relation exacte entre le candidat-puis-président Macron et le cerbère qui le suivait comme son ombre ? En ne traitant pas cette affaire comme elle aurait dû l’être, l’Elysée a ouvert la boîte des mille questions légitimes, mais forcément embarrassantes.

L’accroc est d’autant plus voyant qu’il vient marquer une république auto-proclamée inflexible sur la déontologie, intraitable sur la transparence, intransigeante sur la probité. A chaque départ d’incendie, et il y en a eu quelques-uns depuis le début de sa campagne victorieuse, Emmanuel Macron a réagi sans délai et sans états d’âme. Cette fois, il faudra plus, beaucoup plus qu’une déclaration lourdaude du porte-parole du chef de l’Etat pour circonscrire le feu.

D’évidence, des têtes vont tomber au château. Toute réorganisation, si sophistiquée soit-elle, toute redéfinition politique de la sécurité présidentielle, n’exonérera pas Emmanuel Macron de payer l’addition. Ce président, volontiers donneur de leçons, est trop fine mouche pour ne pas comprendre qu’avec cette déplorable affaire, un énorme doute a gagné les Français qui ont cru en ses promesses de lendemains vertueux. Et sous réserve d’autres révélations plus désastreuses, et en l’absence de résultats probants de sa stratégie, notamment économiques, son crédit politique s’en trouve d’ores et déjà sévèrement entamé. Nul ne peut ôter à Emmanuel Macron son sens de la communication et sa capacité à se mettre au premier plan lorsqu’il le faut et nul ne peut imaginer non plus qu’il est inconscient des dommages que cette affaire provoque dans son propre camp et bien au-delà.

Mais alors, pourquoi ne le fait-il pas ? Pourquoi contribue-t-il par son silence, à couvrir implicitement celui dont l’ascension au cœur du pouvoir fut aussi rapide que sujette à suspicion ?

Il faut en être parfaitement conscient, en matière de communication de crise, l’absence de prise de parole ouvre toujours la voie à la prolifération de spéculations de la part des observateurs qui laissent aller leur imagination. Et celle-ci peut les amener très loin. Les adeptes de la théorie du complot évoquent déjà sur les réseaux l’existence d’un cabinet noir à l’Elysée dont Benalla serait l’un des principaux animateurs. On ne sait pas très bien à quoi ça sert, mais on imagine des actes d’une autre époque, des scènes dont les films d’espionnage regorgent. Sur d’autres espaces, la vieille rumeur d’homosexualité du président français refait surface avec l’idée folle que celui qui fut élevé à moins de 30 ans au rang de sous-préfet sans que l’on sache pourquoi et sans qu’il en ait les compétences sur le papier serait en réalité l’amant caché du locataire de l’Elysée.

En politique, lorsque les choses se compliquent, le silence est toujours retenu contre vous.
Probablement pour la première fois de son quinquennat, Emmanuel Macron est illisible et absent. Pire, il semble ne pas être aux commandes.

Le silence d’Emmanuel Macron n’est pas seulement pesant, il est porteur d’interrogations multiples et pas uniquement celles qui relèvent du fantasme. Elles vont jusqu’à poser de nombreuses questions, car lorsqu’un membre de la garde rapprochée du pouvoir est impliqué dans de telles histoires, c’est une faute, une entorse à l’esprit des institutions de garder le silence, ne rien dire et tenter, par le refus de prendre la parole, de s’exonérer d’une responsabilité pourtant évidente.

Anne Schubert (dans “Riposte laïque)

Orléans : une église incendiée. Un tag « Allah ou Akbar » retrouvé

L’origine criminelle de l’incendie ne fait aucun doute. Dans la soirée de mercredi, l’église Saint-Pierre du Matroi à Orléans a été la cible d’une série d’actes de malveillance, a appris 20 Minutes de source policière. Des partitions de musique religieuse ont été incendiées, du mobilier a été dégradé et des tags haineux ont été découverts sur plusieurs murs de l’édifice religieux. Au milieu de ces graffitis, les enquêteurs ont découvert, l’inscription « Allah ou Akbar » (sic), précise cette source.

L’incendie, rapidement pris en charge par les pompiers, n’a pas touché la structure du bâtiment. Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat d’Orléans.

www.20minutes.fr

(Merci au Baron)

Pourquoi Macron a-t-il propulsé le franco-marocain Benalla, 26 ans, au sommet de l’Etat ?

Plus l’enquête avance, plus les auditions se poursuivent, devant les députés ou les sénateurs, plus les élus posent des questions et moins la vérité se fait jour. On noie le poisson, on se dérobe, on botte en touche, mais le seul qui sache tout, Emmanuel Macron, reste enfermé dans sa tour d’ivoire et se tait.

Sa rapide apparition devant son clan, consistant uniquement à faire applaudir Benalla et à jouer les grands seigneurs avec son numéro d’esbroufe, est pitoyable.

Protégé par son statut, Macron ricane, se fout du peuple, des institutions, de la police, de la gendarmerie. Son arrogance et son mépris sont sans limite.

“Qu’ils viennent me chercher”, fanfaronne notre président.

Ca fait un peu “tu vas voir ta gueule à la récré”, mais passons. Il n’a pas l’étoffe d’un de Gaulle, c’est flagrant. Question honneur, un abîme sépare le Grand Charles du petit Emmanuel.

Quant à tous ceux qui passent l’oral, c’est à celui qui sortira le plus grand parapluie pour se dédouaner. Les contradictions sont légion. On ment carrément en étant sous serment ou bien on opère un virage à 180° pour contredire de précédentes affirmations catégoriques. Un chapelet de bobards.

Y a t-il des pressions de l’Elysée pour de tels retournements de veste ? La question est posée.

On a même entendu le Directeur de cabinet prêter serment en précisant qu’il ne pourrait pas tout dire ! Seule la vérité élyséenne a droit de cité.

Dans les hautes sphères, plus personne ne connaît Alexandre Benalla. Pas même le premier flic de France. Collomb est le citoyen le moins bien renseigné du pays ! Un ministre de l’Intérieur qui ne sait rien, c’est génial !

Aveu du premier flic de France censé informer la commission : “J’en apprends tous les jours” (par la presse ). Les commissariats doivent bien se marrer.

« Une mascarade », nous dit Dupont-Aignan qui préfère en finir avec cette farce honteuse.

Mais revenons au chouchou de l’Elysée, Benalla, le personnage incontournable, le petit génie qui fait tourner la boutique à lui seul, si on en croit la pluie d’éloges venus d’en haut.

Il emmerde les préfets et les officiers supérieurs, mais pas grave…

Voilà un individu de 26 ans qui fait la pluie et le beau temps au cœur du pouvoir, qui accompagne le couple présidentiel dans tous ses déplacements privés et officiels, et personne ne le connaît si on en croit ceux qui sont interrogés par nos députés.

Il n’y a pas une seule image télévisée sans que Benalla n’apparaisse aux côtés de Macron, mais il est inconnu des services de police ! C’est vraiment se foutre du monde.

Car c’est bien là le cœur du problème, les questions majeures auxquelles Macron devra répondre au lieu de nous faire le coup du mépris.

Qui est réellement Alexandre Benalla ? D’où vient-il. Quels sont ses liens avec le Maroc, avec l’étranger ?

Quels pouvoirs réels avait-il en matière de sécurité et de protection du couple présidentiel ?

Pourquoi est-il surprotégé par la présidence ?

Pourquoi une ascension aussi fulgurante dès l’âge de 25 ans ?

Pourquoi a t-il bénéficié de privilèges exorbitants qu’un ministre n’a pas et n’aura jamais ?

Et enfin, qui a diffusé les images vidéo pour que le scandale éclate, alors qu’il était sciemment caché depuis près de 3 mois par l’exécutif ?

A croire que ses immenses privilèges et passe-droits lui ont été attribués par le Saint-Esprit. Résumons :

Un revenu confortable, on évoque 10 000 euros, que le Directeur de cabinet a refusé de diffuser devant la Commission parlementaire. Circulez !

Un appartement quai Branly, attribué le 9 juillet, alors que l’épisode du 1er mai était connu de l’Elysée et que Benalla avait soi-disant été rétrogradé dans ses fonctions, perdant sa mission de sécurité pour descendre au rang de simple logisticien et “bagagiste”, si on en croit l’inénarrable Castaner.

Un privilège accordé après sanction, ce n’est pas courant, avouons le. Combien de chargés de mission à l’Elysée ont droit à un appartement de 200 ou 300 m2, rénové au prix de 180 000 euros gracieusement accordés par le contribuable ?

Lieutenant-colonel de réserve dans la gendarmerie à 25 ans. Pourquoi ? Mystère. Par la volonté de qui ? Mystère. Il n’a ni expérience, ni formation, ni aptitude au commandement. C’est vraiment mépriser la hiérarchie militaire.
Il faut près de 20 ans de service pour être promu au grade de Lieutenant-colonel.

Voiture de fonction avec chauffeur, équipée de gyrophare, de radio et d’accessoires réservés aux forces de police, pendant que nos policiers chassent les malfrats avec des guimbardes essoufflées qui affichent 300 000 km au compteur, voilà qui interpelle le citoyen écrasé d’impôts. Qui a attribué cette voiture à Benalla, qui a fourni l’équipement spécialisé ? Mystère.

Une habilitation au “secret-défense”, information confirmée par la DGSI. En vertu de quoi un franco-marocain de 25 ans a t-il pu obtenir cette habilitation en 2017 ?Dans quel but ? Est-ce que le risque pour la sécurité nationale a été évalué ? Mystère.

Une autorisation de port d’arme, refusée deux fois par le ministère de l’Intérieur mais accordée par le préfet à la troisième tentative de l’Elysée. Un port d’arme pour un conseiller qui est davantage “bagagiste” que “bodyguard”, selon Castaner, ça surprend…

Enfin, un badge d’accès à l’Assemblée nationale, où sont traités des sujets qui n’ont rien à voir avec les fonctions de Benalla. Pourquoi ce badge ? Qui l’a accordé ? Mystère.

Ce personnage sorti de nulle-part aurait-il des appuis mystérieux pour que Macron lui déroule le tapis rouge ?

On sait qu’il travaillait dans une société de sécurité privée.

Il a assuré la sécurité durant la campagne présidentielle de Macron. Et selon le Figaro, il assurait “la sécurité du cheikh irakien Jamal al-Dhari, neveu d’Areth al-Dhari, un responsable islamiste décédé en 2015, que la France avait sollicité pour obtenir la libération des deux journalistes Chesnot et Malbrunot”.

Quand nous saurons qui est réellement Benalla, nous saurons pourquoi Macron le protège et l’a couvert de tant de privilèges, alors qu’il n’a que 26 ans et n’a jamais été un grand serviteur de l’Etat.

Comment ce franco-marocain a t-il pu prendre en main la sécurité présidentielle, au détriment du GSPR et de ses 77 professionnels de la protection, tous issus de la gendarmerie et de la police ?

Car si la présidence a jugé bon de réclamer pour la troisième fois un port d’arme, c’est bien que monsieur Benalla n’était pas le simple logisticien et « bagagiste » qu’on nous vend.

Il coordonnait toute la sécurité autour du président, avec apparemment autorité sur le GSPR.

Et pourquoi Benalla a t-il pu recruter d’autres personnels civils qui gravitent autour du Président ? Comment pourraient-ils avoir les compétences des policiers et gendarmes en matière de protection des personnes ?

Le stage de sélection du GSPR est le même que celui du GIGN en gendarmerie.

C’est dire qu’aucun civil n’est en mesure de rivaliser avec les hommes du GSPR en matière de professionnalisme. Alors pourquoi autant de pouvoirs accordés à Benalla pour la protection du président ?

Car, contrairement à ce que dit Castaner, Benalla n’était pas simplement chargé de la logistique des déplacements présidentiels. Ce n’est pas le simple « bagagiste » de service. Benalla coiffait l’ensemble des services de sécurité.

Par conséquent, au delà des violences du 1er mai, dont Benalla s’est rendu coupable, c’est l’énigme du personnage qui pose problème dans une République qui se veut transparente et exemplaire.

Que nous cache Macron ? Que veut-il en créant une Direction de la sécurité de la présidence de la République, alors que le GSPR remplit parfaitement cette fonction depuis 5 présidences ?

Veut-il une police parallèle ? Un corps de barbouzes ne dépendant que de lui ? Une cellule des coups tordus, comme il y en eut dans le passé ?

Non, Benalla n’était pas « qu’une petite main de seconde zone » comme le prétend un proche du Président. Il était devenu un personnage majeur, protégé et choyé par Macron.

Aucun des autres chargés de mission de l’Elysée ne possède un appartement de fonction quai Branly et autant d’avantages.

La question est de savoir pourquoi ?

Il a été licencié. Soit.

Mais Macron, “seul responsable” n’a apporté aucune réponse.

Quant aux deux avocats de Benalla, ils se retranchent derrière l’article 73 du Code pénal, qui précise que tout citoyen doit prêter main forte aux forces de l’ordre en cas de nécessité. Il faut oser !

Primo, les policiers n’ont jamais été débordés, selon leurs dires.

Secundo, est-ce qu’un passage à tabac particulièrement violent, effectué par un membre de la cellule élyséenne, déguisé en policier avec casque et brassard, doit être considéré comme un acte de civisme ?

Est-ce que le passage à tabac fait dorénavant partie des modes opératoires reconnus dans l’exercice du maintien de l’ordre ? Si c’est le cas, c’est nouveau.

Benalla, connu pour ses violences, s’est défoulé sur un manifestant, point/barre.

Enfin, on s’étonne que le pouvoir, si prompt à accabler les policiers accusés à tort de brutalités par des malfrats, se soit montré aussi discret et complaisant à propos des violences exercées par Benalla contre un manifestant.

Au sein des forces de l’ordre, c’est la colère et l’écoeurement.

Le patron du Syndicat général de la police, SGP, déclare :

“Cette affaire ne fait qu’accentuer la rupture de confiance ressentie par les gardiens et les gradés : lors de l’affaire Théo, quatre collègues ont été suspendus sans attendre alors que, dans l’affaire Benalla, la hiérarchie a tout fait pour que la vidéo ne sorte pas”.

“Deux poids, deux mesures, qui permettent à ceux dans le giron élyséen de commettre des fautes qui restent impunies jusqu’à ce que les médias s’en emparent.”

Quant à l’ancien commandant du GIGN, Frédéric Gallois, il enfonce le clou.

“Alexandre Benalla. J’ai du mal à comprendre pourquoi on forme des super gendarmes et policiers du GSPR, alors qu’un ancien vigile militant PS peut assurer la présidence de la République.” Tout est dit. Où se cache le lézard ?

On ne dira jamais assez combien Macron, en protégeant un individu violent comme Benalla, a fait de mal à des personnels de police et de gendarmerie, dont la rigueur et la loyauté sont exemplaires. Macron est en train de casser le moral de l’armée et des forces de police, institutions qu’il n’aime pas.

Aucune affaire mettant en cause le pouvoir, n’aura été aussi mal gérée que l’affaire Benalla.

Par son silence coupable, son mépris du peuple, son orgueil de souverain intouchable, Macron n’a fait que mettre de l’huile sur le feu.

On s’attend à plus d’une vingtaine d’auditions par le Parlement, parce que le roi Macron n’a pas daigné s’expliquer dès la connaissance des faits par les citoyens.

Un égo démesuré qui transforme une simple bavure en affaire d’Etat et dévoile les dérives maffieuses du pouvoir.

C’est la République des pieds nickelés. Macron est le contre-modèle du président exemplaire et transparent. Avec lui, la France est vraiment mal partie.

Jacques Guillemain dans “Riposte laïque”

Les syndicats de police dénoncent les « barbouzes » au sein de la sécurité du président Macron : « Benalla faisait régner la terreur »

Lors des auditions de l’après-midi, plusieurs représentants des syndicats de la police nationale ont insisté sur le comportement d’Alexandre Benalla envers les fonctionnaires de police et de gendarmerie.

Lien VIDEO : https://twitter.com/twitter/statuses/1021796711780503553
Cette déclaration du secrétaire général de l’unité police FO au Sénat est sans doute l’élément le plus important dans cette “affaire” Benalla.

« Cador », « exécrable », « comportement indigne », les policiers auditionnés n’ont pas mâché leurs mots pour qualifier le chargé de mission auprès du chef de cabinet de l’Élysée.

Différents syndicalistes ont en effet dénoncé « la confusion des rôles, l’ambiguïté des fonctions » de l’ex-collaborateur du chef de l’État et décrit les « relations exécrables » qu’il pouvait entretenir avec les forces de l’ordre.

Alexandre Benalla a fréquenté deux ans l’avocat Karim Achoui très proche des islamistes

Lu sur M6 infos

« Selon nos informations, Benalla a entretenu des relations avec l’avocat Karim Achoui, radié du barreau de Paris, notamment pour manquements déontologiques. Alexandre Benalla a-t-il assuré la sécurité d’Achoui ? D’après plusieurs sources, l’avocat controversé a sollicité par l’intermédiaire d’un confrère les services d’Alexandre Benalla en 2013. »(…)

Karim Achoui répond à M6 : “Il n’a jamais été mon garde du corps. Nous nous sommes fréquentés pendant deux ans. Il était très sensible à la cause musulmane et à la ligue de défense judiciaire des musulmans” Lire l’article intégral

Décryptage de l’Observatoire de l’islamisation :

Karim Achoui fonda en 2013 la Ligue de défense judiciaire des musulmans (LDJM). La même année, il attaque l’hebdomadaire Charlie Hebdo qui avait réalisé une couverture satirique sur le Coran. Il attaque également le maire de Chalon-sur-Saône qui voulait supprimer les menus alternatifs en cas de présence de porc dans un plat de cantines scolaires (Buzzfeed).

La LDJM d’Achoui est partenaire de la « Coordination contre le racisme et l’islamophobie » de Abdelaziz Chaambi, fiché S, qui milite contre la loi de 2004 interdisant le voile islamique à l’école. Pour le boutefeux Chaambi la police aurait déclaré la guerre à l’islam (vidéo). Caroline Fourest rappelait à propos de Chaambi lors d’un débat sur France 5 en 2008 que cette figure de l’islam associatif aurait des liens avec le Front Islamique du Salut: « ce monsieur [Chaambi] fait venir des penseurs du FIS à Lyon dans l’organisation dont il s’occupait l’UJM, Mustafa Abrahami vous connaissez? ». Nous n’avons pu vérifier mais Fourest n’a pas été attaquée en diffamation. Lors de cette même émission, Chaambi reconnait avoir invité Hani Ramadan à l’UJM : « Hani Ramadan on connait il est où le problème? ». Rappelons que Hani Ramadan milite pour que le jihâd armé rétablisse le califat :

« Le monde musulman est en ébullition. Cette force peut et doit être orientée vers un Etat islamique, un Etat appliquant le Coran et la Sunna.(…) Les musulmans ne retrouveront jamais leur bonheur perdu s’ils ne reviennent pas au jihad et ne cherchent pas à établir un Etat Islamique ». (Hani Ramadan, Sermons du vendredi rappels et exhortations, éditions Tawid, 2011, page 465.)

Karim Achoui est élu personnalité de l’année 2013 par le site islamiste Oumma.com (site qui promeut les livres de Qaradawi en page d’accueil) et remporte la première place du podium devant Claude Askolovitch, et le CCIF50.

Observatoire de l’islamisation, 23 juillet 2018.

Le scandale Benalla nous confirme que Macron est bien un agent de l’islam : dehors !

Publié le 22 juillet 2018 – par Cyrano

Nos journaleux paraissent découvrir, à travers ce qu’il convient d’appeler le scandale Alexandre Benalla (de son vrai nom Lahcène Benhalia), que dans la France de Macron, on peut être une racaille islamisée, et bénéficier de tous les passe-droits, si on est dans l’entourage du président. On peut n’avoir aucune formation spécifique, avoir été garde du corps de quelques pontes du Parti socialiste (dont celui de Montebourg, qui l’a viré pour tentative de fuite après un accident), et se retrouver responsable de la sécurité du président de la République, court-circuitant les services de la République qui sont payés pour cela. Bien sûr, profitant de ce statut, on peut recruter nombre de copains musulmans (dont Makao, le copain du fameux Jawad Bendaoud) dans les plus hautes fonctions de la sécurité de l’Etat.

Le scandale est tellement énorme que même le Nouvel Observateur, pourtant servile avec Macron depuis une année, se sent obligé, comme l’ensemble des médias de propagande, de monter au créneau, pour ne pas laisser le monopole de l’information à la réinfosphère. Nous n’irons pas sur le terrain (faute de preuves) de certains, qui théorisent sur le fait que Macron et Benalla seraient comme cul et chemise, ou que ce dernier, logé à l’Elysée, avec un salaire de 10.000 euros, serait surtout le garde du corps de Brigitte, pendant que le président irait vaquer ailleurs…

Et en outre, ce brave homme serait très sensible à la cause musulmane, pour reprendre les dires de son avocat Karim Achoui. Autrement dit, la mise de la charia.

http://www.valeursactuelles.com/societe/benalla-est-tres-sensible-la-cause-musulmane-selon-lavocat-karim-achoui-97524

Pour nous, le scandale Benalla, doté de la double nationalité franco-marocaine, ne serait rien, s’il n’était la face visible d’un iceberg qui confirme que Macron est bien un agent de l’islam, et que depuis une année, il a mis en place une accélération de l’islamisation de notre pays, protégeant de manière scandaleuse tous les musulmans (nombreux de son entourage) qui se comportent en parfaites racailles islamistes, ce qu’ils ont toujours été.

Que Benalla (appelons-le ainsi) frappe au sol, des manifestants, le 1er mai, et soit protégé par Macron en personne, ne pourra que révulser les vrais policiers, qui, eux, se retrouvent devant les tribunaux quand ils mettent une gifle à un petit con qui leur envoie des projectiles, quand ils ripostent vivement aux agressions physiques des malheureux migrants, quand ils bousculent un gauchiste agressif et insultant, ou quand ils tirent sur un fuyard qui force un barrage de police.

Mais en quoi le maintien au poste de député de M’jid El Guerrab, qui a massacré à coups de casques un socialaud parisien, et qui se retrouve toujours dans la commission Défense à l’Assemblée nationale (quand Marine et Gilbert Collard ont perdu leur immunité parlementaire) n’est-il pas aussi scandaleux que l’affaire Benalla ?

https://ripostelaique.com/el-guerrab-chassez-le-naturel-et-le-musulman-ressort.html

En quoi l’introduction de la racaille islamiste, déguisée en « comique », Yassine Belattar (qui a osé harceler le père d’une des victimes de Merah), qui a multiplié les provocations et les insultes grossières contre ceux qui se permettent de critiquer l’islam, n’est-elle pas aussi scandaleuse que l’affaire Benalla, surtout quand Macron en personne a volé à son secours, évoquant son « frère » Yassine ?

Nul n’a oublié son soutien inconditionnel à Mohamed Saou, dont pourtant la parfois excellente Céline Pina avait décrit la réalité de son « intégrisme ».

On pourrait ajouter sa complaisance pour la diversité, comme celle qu’il a affiché pour défendre Laetitia Avia (surnommé « La Cannibale », suite à sa morsure d’un chauffeur de taxi qui osait lui demander de régler sa note), ni celle affichée pour soutenir l’ineffable Sibeth Ndiaye, chargée de la communication du président, qui, à l’occasion de la mort de Simone Veil, se permit de dire « La meuf is dead ». C’est cette même Laetitia Avia qui est chargée, avec un autre « copain musulman » de Macron, El Karoui, de foutre en l’air notre laïcité, à la rentrée de septembre, pour imposer « l’islam de France » au pays.

https://ripostelaique.com/hakim-el-karoui-conseiller-islam-dali-juppe-il-est-devenu-celui-de-macron.html

Nous pourrions citer de nombreuses autres anecdotes, comme cette fête scandaleuse donnée à l’Elysée, le jour de la musique, où des rappeurs musulmans haineux et grossiers ont souillé les lieux, sous le regard complaisant de Macron et sa femme.

Donc, même si, à juste titre, l’excellent blogueur algérien Aldo Stérone pointe du doigt la gravité du cas Benalla, pour nous, il n’est que la suite de toute la politique de Macron depuis un an : soumettre la France à l’islam, et accélérer l’islamisation du pays.

Durant toute l’année qui a précédé l’élection présidentielle, nous avons martelé que Macron était le candidat des musulmans, et se comportait comme un agent de l’islam. Nous invitons tous nos lecteurs à bien réécouter ces deux vidéos de Maxime Lepante…

Agent de l’islam, en effet, ce président qui a pu bénéficier des voix de 92 % des musulmans lors du deuxième tour de la présidentielle. Agent de l’islam celui qui a osé donner raison aux islamistes du FLN, lors du conflit algérien de 1954 à 1962, marqué par les exactions barbares des insurgés du FLN contre le peuple algérien, et contre les ressortissants français. Il faut être un agent de l’islam pour oser accuser, depuis Alger, les soldats français de « crime contre l’humanité ».

https://ripostelaique.com/en-algerie-macron-crache-sur-la-france-accusee-de-crime-contre-lhumanite.html

Il faut être un agent de l’islam pour faire venir, en plein ramadan, trois cents imams d’Algérie, ou bien accepter que des policiers marocains viennent aider les policiers français à faire respecter l’ordre dans les rues du Paris d’Hidalgo (quel mépris pour nos forces de l’ordre) !

Il faut surtout être un véritable agent de l’islam pour continuer à imposer au peuple français (et vouloir contraindre l’ensemble de l’Europe) à subir une véritable submersion migratoire, majoritairement musulmane, alors que quotidiennement, les nôtres, dont nos plus jeunes, tombent, blessés ou tués pour les hommes, violées et insultées pour les femmes, sous les agressions des sympathiques « Chances pour la France » et autres « migrants qui fuient la guerre ».

L’invasion islamique qu’il impose à la France nous paraît, et de loin, bien plus grave que les exactions, par ailleurs inadmissibles, de Benalla. Encore plus grave, alors que la majorité des peuples européens est en train de retrouver, sur la question migratoire, sa souveraineté, par réflexe de survie civilisationnelle, Macron ose insulter les Italiens et qualifier de « lèpre populiste » tous ceux qui refusent de se laisser remplacer par des barbares qui veulent nous envahir. Sans Macron, l’Europe basculerait dans le camp de Mattéo Salvini.

Il faut être un agent de l’islam pour ne pas, en tant que président de la République, interdire le concert scandaleux de Médine au Bataclan, prévu les 19 et 20 octobre, véritable insulte à la mémoire des victimes. Notons que les islamistes défendent les islamistes, puisque Yassine Benattar soutient de toutes ses forces, grâce aux nombreuses émissions dont il bénéficie, ce concert. Nous, à RL, on défend Patrick Jardin, le père d’une victime, qui se bat pour l’annulation du concert. Deux camps, irréconciliables, d’un futur affrontement inévitable.

Question précise : la France peut-elle conserver à la tête de l’Etat français un homme qui, ouvertement, se comporte en agent de l’étranger, puisque l’islam est une idéologie étrangère, et hostile à la France ?

Les textes de loi sont très clairs, comme le rappelait François Fillon dans son dernier livre, « Vaincre le totalitarisme islamique ». L’article 411-4 du livre 4 du code pénal est clair : « Le fait d’entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger, ou avec leur agents, ou […] est puni de 30 ans de détention criminelle et de 450.000 euros d’amende.

Les choses sont donc limpides. Alors que l’islam, quotidiennement, livre un véritable djihad quotidien à la France, une guerre sainte sans pitié, au lieu de désigner clairement l’ennemi, et de le combattre, nous avons un président qui, dans toutes ses décisions, prend fait et cause pour l’islam, contre la France… C’est encore pire que dans les années 1940 !

Une démission de Macron, qu’appelle de ses voeux Serge Petitdemange, paraîtrait une bien douce sanction.

Ce qui est à l’ordre du jour, c’est sa destitution, son incarcération, et un procès public pour lui et sa clique, ainsi que tous les complices de l’invasion de la France, qui tombent tous sous le coup de l’article 411-4 du Code Pénal.

Et alors, la France redeviendra la France…

L’Intellectual Dark Web, refuge des intellectuels anticonformistes


Depuis quelques mois, la sphère intellectuelle anglophone observe avec suspicion ou admiration, c’est selon, l’émergence d’un mouvement nouveau. Vous connaissiez le Dark Web – cette partie du Web qui utilise l’Internet public mais n’est accessible que via des configurations spécifiques. Voici l’Intellectual Dark Web (IDW), un courant aux contours vagues qui utilise la technologie la plus nouvelle – réseaux sociaux, podcasts, vidéos YouTube – pour diffuser ses idées. Ce n’est pas la technologie parallèle qui en fait un mouvement de l’ombre, mais les idées de ses membres. Ceux-ci, malgré des expériences différentes, convergent vers un constat commun : le paysage intellectuel et médiatique anglophone n’accueille pas – ou plus – la diversité des opinions comme il le devrait.

Liberté d’expression.
La plupart des membres de l’IDW ont rejoint le mouvement après un conflit avec la « gauche identitaire » – celle qui se fait entendre dans des universités, influence certains médias et voit le monde par le prisme d’une lutte entre groupes « oppresseurs » et « opprimés ».(…)

Tendances intolérantes.
Dans cette nébuleuse, on peut citer aussi Debra W. Soh, neuroscientifique au style offensif, remarquée pour un article rédigé en 2015 et intitulé « Why Transgender Kids Should Wait to Transition » : elle y démontrait que, dans la majorité des cas, la « dysphorie de genre » de certains enfants – la détresse provenant d’une inadéquation entre le sexe de naissance et l’identité de genre – cessait à l’adolescence. Ou encore le docteur en neurosciences Sam Harris, qui déclencha en 2006 l’ire de la gauche, laquelle révérait jusque-là son athéisme militant. Pourquoi ? Parce qu’il s’en était pris à l’islam, critiquant ce qu’il estimait être ses tendances intolérantes.(…)

Véritable média.
On l’aura compris, l’IDW est un ensemble cohérent mais hétérogène. Et le paradoxe veut que la plupart des réflexions qui en émergent soient des idées modérées, inspirées par le libéralisme politique classique (…)

A ce phénomène médiatique trois grandes raisons.
La première est idéologique : dans les médias, à commencer par la radio et la télévision, le parti pris progressiste est de plus en plus flagrant. Ce déséquilibre est sournois : il ne signifie pas que certaines opinions n’aient pas leurs canaux médiatiques, mais que les chaînes et les émissions reconnues semblent terrorisées à l’idée de tendre le micro à ceux qui pensent autrement, même s’ils se fondent sur des faits. Loin de relever d’une censure directe, les obstacles sont alors plus subtils : ainsi, quand les membres de l’IDW s’expriment (ou s’exprimaient) dans les médias traditionnels, ils sont seuls contre tous, non pas parce que leur opinion est minoritaire, mais parce qu’elle l’est parmi ceux qui conçoivent ces émissions ou y sont invités. La deuxième transformation est liée aux formats mêmes des programmes de radio-télévision. En quelques décennies, aux Etats-Unis comme ailleurs, les émissions de débat sont devenues plus rares, plus courtes, de moins en moins sérieuses. L’idée même de nuance a disparu, les prétendus débats d’aujourd’hui confondant la polémique avec l’échange cordial. Pour traiter tout sujet, dès lors, il faut garnir un plateau de personnes en désaccord. Résultat, un biais de sélection qui nous porte à croire que tout sujet crée des oppositions irréconciliables. Cela, prétendument, serait générateur d’audience. Vraiment ?

(…)Contre toute attente, ces émissions de plusieurs heures passionnent.(…)

Le dernier livre de Jordan Peterson, « 12 Rules for Life », est un best-seller et son auteur remplit les salles. Quillette, confidentiel à son lancement, grossit de mois en mois.(…)

L’IDW n’échappe cependant pas aux critiques.
La première est idéologique. Certains médias de gauche, comme le Guardian ou Vox, tentent de dépeindre le mouvement comme le repère honteux du conservatisme 2.0, voire de l’alt-right (extrême droite). C’est une contre-vérité : si l’IDW compte son lot de conservateurs, il est surtout le refuge de libéraux classiques, et la gauche y a sa part.
(…)

LePoint
(Merci à Valdorf)

Macron victime de ses connivences musulmanes

Publié le 21 juillet 2018 – par Manuel Gomez dans “Riposte Laïque”

On ne vous dit pas tout, chers citoyens !

Les « racailles » soutenues par l’Elysée coûte que coûte et jusqu’à la dernière minute.

L’affaire Benalla arrive à sa conclusion. Les privilèges dont jouissait cet « intime » du couple présidentiel, âgé à peine de 26 ans, payé comme un ministre (10.000 euros mensuels) et bénéficiant d’une voiture de fonction avec chauffeur et dotée d’un matériel policier et, tout récemment (déclaré par Benalla en juillet), alors qu’il avait déjà été mis à pied dans cette affaire de violence, d’un appartement dans le 7e arrondissement, Quai Branly, dans une dépendance de l’Elysée.

Ce chargé de mission, devenu « par miracle » lieutenant-colonel dans la réserve citoyenne (fort heureusement un grade sans aucune autorité) a suscité une colère non retenue des milieux préfectoraux lorsque le président de la République l’a proposé au poste de sous-préfet.

Benalla, ambitieux mais prudent, a préféré renoncer bien malgré lui !

Mais s’il n’y avait que Benalla, parmi les « racailles » de l’entourage Macron ! Ce n’est pas le cas, on pourrait même être tenté de parler « d’association de malfaiteurs ».

Avant l’incident, devenu « affaire d’Etat », Benalla qui, rappelons-le, avait déjà auparavant agressé un journaliste et un militant communiste, et même, tout récemment, menacé un commissaire de police, à l’intérieur de l’hôtel Crillon, où devaient descendre « Les Bleus » et provoqué un accident de voiture en tentant de s’échapper.

Malgré tous ces « menus problèmes », en tant qu’adjoint au chef de cabinet du Président (c’était son titre officiel) c’est toujours Benalla qui était chargé de l’organisation des vacances du couple présidentiel au Fort de Brégançon.

Mais oublions un instant Benalla et souvenons-nous de cet autre garde du corps du Président, recruté par Benalla justement, le nommé « Makao », ce colosse, ex rugbyman de 2 m 10 d’origine congolaise, qui avait été surpris, dans une vidéo diffusée par « Snapchat », en juin 2018, à jouer à un jeu vidéo en compagnie de Jawad Bendaoud, vous savez : celui qui a logé (sans le savoir, paraît-il) les terroristes de Daech.

Cette proximité malencontreuse n’a entraîné aucun commentaire de l’Elysée.Autre « racaille », proche de l’Elysée, ce représentant de La République en Marche dans le Val d’Oise, Mohamed Saou, qui s’affiche comme un partisan inconditionnel du dictateur Erdogan et, ce qui à notre avis est plus grave, du CCIF de Marwan Muhammad.

Ce Mohamed qui a twitté : « Je n’ai jamais été et je ne serai jamais Charlie ! ».

Pour d’autres raisons, bien évidemment, que les nôtres.

Protégé par Emmanuel Macron : « C’est un type bien, Mohamed, et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré. Il fait un travail remarquable. Il a le droit de ne pas être Charlie. »

Ajoutons, dans cette « association », l’humoriste (paraît-il !) Yassine Bellatar.

Accusé, par « Marianne » notamment, de ne pas cacher son approbation à un « certain islamisme », ni aux discours contre les « Blancs », Bellatar s’est plaint, par SMS, auprès de « son frère » Macron : « C’est une guerre contre moi que lance Marianne, je suis au fond du trou ! »

C’en était trop pour Emmanuel, qui lui répond aussitôt : « Continue, les critiques suivent le talent. »

Son talent ? Avoir menacé le père du soldat français assassiné par Mohamed Mérah, affirmé que « Les hommes « Blancs » de plus de 60 ans sont les clés du problème. », comparé Thierry Ardisson à un « nazi », animé un gala du CCIF, etc.

Interpellé et placé en garde à vue, en février 2018, pour avoir insulté un policier, Belattar a été remercié pour ce geste par le Président puisque, quelques semaines plus tard, l’a intégré dans le Conseil présidentiel des villes, en le recevant à l’Elysée.

Terminons, enfin, cette énumération avec ce député de LREM, bien connu des services de police, M’Jid El Guerrab, élu des Français de l’étranger, qui avait frappé de deux violents coups de casque, un cadre du Parti Socialiste, Boris Faure, en août 2017, opéré et hospitalisé en soins intensifs.

Mis en examen pour violences volontaires avec arme, El Guerrab avait démissionné de son Parti tout en conservant sa fonction de député.

Toute cette « racaille » faisait partie de cette « République inaltérable », proposée par Emmanuel Macron, avant son élection, et même actuellement, mais bien loin d’avoir été réalisée !

Vacances marocaines = Danger !

Valérie, 41 ans, résidente à Colombes (Hauts-de-Seine) et cadre dans une grande entreprise, vient de vivre une mésaventure dont elle se souviendra toute sa vie.

En vacances à Marrakech, Valérie fait la connaissance d’un beau Marocain et, dans la folie des festivités du 14 juillet, passe la nuit en sa compagnie dans un luxueux hôtel.

Cela pourrait être une anecdote érotique agréable dans bien des pays du monde, mais pas dans un pays islamiste, même moderne (paraît-il) comme le Maroc, si proche pourtant des gouvernements français.

Le matin du 14, au saut du lit, elle est arrêtée par les policiers pour « délit d’adultère ».

Valérie ignorait que son bel amant d’une nuit était marié (En instance de divorce, lui avait-il dit !).

Elle s’est retrouvée en garde à vue et est restée plus de trente heures dans des conditions déplorables, dans un couloir très étroit et infesté de cafards, de femmes enceintes battues (par qui ? Leurs maris ou compagnons, ou la police ? Valérie ne le précise pas) et sous les hurlements continus d’un procureur qui ne l’appréciait guère, apparemment !

Relâchée, après avoir payé une caution de 5000 dirhams (450 euros), Valérie devrait se présenter, ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Marrakech.

Voyage que, bien entendu, elle évitera de refaire.

Elle ne se présentera pas à cette convocation et, d’ailleurs, ne remettra plus jamais les pieds dans ce pays, si cher à certaines personnalités françaises, pour des raisons autrement plus condamnables et répréhensibles qu’un vulgaire adultère et pourtant jamais interpellées, ni arrêtées !

Manuel Gomez (Dans Riposte laïque)

Alexandre Benalla : originaire du Maroc, il aurait modifié son prénom pour le franciser

En Normandie où il a grandi et commencé à jouer les gros bras, Alexandre Benalla a laissé l’image d’un ambitieux prêt à tout.

Il a passé son enfance et son adolescence dans la « ZUP » de la Madeleine, le quartier sensible, symbole d’une rénovation urbaine révolue à Évreux (Eure). « Alexandre » Benalla, 26 ans, en charge de la protection très rapprochée d’Emmanuel Macron est né en septembre 1991 dans cette ville, une arrière-cour de la banlieue parisienne.

Originaire du Maroc, lui qui aurait modifié son prénom pour le franciser, n’a pas laissé le souvenir du solide gaillard aux épaules larges qu’on lui connaît après les images de l’agression commise sur un manifestant le 1er mai dernier à Paris sur la place de la Contrescarpe.

« Il était plutôt fluet et mince. Presque trop discret. Mais à la réflexion, il se rêvait toujours en garde du corps. Il était fasciné par le film Bodyguard avec Kevin Costner et Whitney Houston. Et pour s’entraîner, il levait de la fonte comme un damné », se souvient cet ancien régisseur d’une salle de sport à Évreux. Très vite celui qui se fait déjà appeler « Ben » marche dans les traces de la politique à Évreux.

Sa famille milite au PS local et lui, dès 2010, entre au Mouvement des jeunes socialistes (MJS) à 19 ans. Dans ce département rural et industriel, il choisit de mettre sa carrure au service des personnalités locales. « Il faisait de la protection haut de gamme pour des gens qui estimaient en avoir besoin », rapporte Marc-Antoine Jamet, le maire socialiste de Val-de-Reuil dans Paris-Normandie.

« Il rêvait d’être indispensable aux stars »

Cette carrure imposante, « Ben » l’a acquise au rugby à l’adolescence après avoir changé plusieurs fois d’établissements. D’abord au collège Foch de L’Aigle dans l’Orne entre 2001 et 2005, il acquiert une réputation de bagarreur violent, selon un ancien élève.

Il finit sa terminale au lycée Augustin-de-Fresnel à Bernay (Eure) en 2009 où il « explose au rugby » selon un de ses compagnons de bancs toujours joueur. « C’était surtout pour s’imposer aux autres et auprès des filles. Il rêvait d’être indispensable aux stars », assure-t-il.

Il sera même quelques jours le garde du corps du couple Guillaume Canet Marion Cotillard lors du festival de cinéma de Deauville, selon le journal L’Éveil Normand.

« Il était attiré par le milieu politique »

Mais « Ben » est ambitieux. « Il avait de l’ambition trop sans doute… Mais il lui manquait un peu d’éducation. Sans lui faire injure, il était lourdaud mais côté physique il en imposait. Même trop. C’était le robocop de l’équipe. Il fallait parfois le retenir », se souvient un réserviste qui a fait sa préparation militaire gendarmerie (PMG) avec lui. Une formation accélérée d’une centaine d’heures qui permet à des civils d’endosser l’uniforme dans la réserve opérationnelle.

Il devient gendarme adjoint de réserve militaire du rang avant d’obtenir le grade de brigadier-chef et a pour responsable un certain Sébastien Lecornu, lieutenant de réserve de la gendarmerie et maire de Vernon (Eure), devenu depuis secrétaire d’État à la Transition écologique. Contacté, celui qui était le chef de peloton de « Ben » n’a pas répondu à nos sollicitations.

« Il ne cachait rien de ses ambitions. Il voulait briller. Il était attiré par le milieu politique, car il savait qu’il pouvait en tirer profit. Moi au bout de 8 ans, je suis toujours simple gendarme… », critique cet ancien qui a côtoyé Alexandre Benalla et qui juge « immorale » cette promotion « au grade de lieutenant-colonel ».

Dans un communiqué interne, la gendarmerie indique qu’Alexandre Benalla « n’a plus été employé dans la réserve opérationnelle depuis 2015 et radié en 2017 à sa demande ». Curieusement, il a été intégré comme « spécialiste expert » de la gendarmerie et son grade de lieutenant-colonel lui a été été attribué en raison de son « niveau d’expertise ».

Une promotion vertigineuse dans la gendarmerie permise grâce à l’Élysée

Une promotion qui « ulcère » dans les rangs de la gendarmerie. C’est sur proposition de l’Élysée que le brigadier-chef de réserve a en effet été nommé en 2017 lieutenant-colonel de la réserve opérationnelle, la plus prestigieuse, au titre « de la sécurité des installations » sans aucune référence militaire ou universitaire reconnue ou même professionnelle. Une promotion vertigineuse surtout pour son âge.

« Une hérésie. Nous on passe les concours de Saint-Cyr, d’autres l’École militaire inter-armes, ou de Polytechnique ! Au mieux on peut être colonel à 40 ans à quelques exceptions si on a réussi encore le concours de l’École de guerre. C’est plutôt vers 43/44 ans pour la plupart », s’étonne un patron de groupement de gendarmerie.

Le Parisien

VICTOIRE !

Partout sur le territoire, les mêmes scènes de pillages, de razzias, d’affrontements avec les forces de l’ordre, de destructions de biens, de saccages de magasins, de logements, de voitures, des rixes, agressions, vols, viols…

Aux yeux sidérés du monde entier, la France d’après a montré son visage de brute épaisse équatoriale montée sur Nike-Air avec sourates incorporées en écriture inclusive. Et comme de coutume, dans cette dystopie super-discount qui est désormais la nôtre, les médias officiels parlent aujourd’hui de “liesse”, de “joie populaire”, et de “célébration” émaillée de “quelques incidents”… Oh trois fois rien. Presque rien. On sent bien une petite gêne en bas à droite, un truc lancinant, ça grince un peu à Vivre-Ensemble-Land, mais heureusement la fête n’a pas été gâchée. Kevin-Marcel N’Ghanna Diop et Youssouf-Henry M’Giclo-Dan-ta-fass ont tout de même porté fièrement les valeurs républicaines, porté haut le drapeau tricolore, chanté bien fort la Marseillaise, et c’est tout ce qui compte.

En tous cas, pour Marie-So Loft-à-Soho et Mouloud Bien-intégré, c’est l’essentiel. C’est la France qu’on aime, c’est la France qui gagne, c’est la France qui te nique ta race, compagnon.

Trêve d’ironie. Ce serait une grave erreur de croire que ces exactions monstrueuses sont “gratuites” ou bien qu’elles ne seraient que le symptôme insignifiant d’une sauvagerie aveugle désindexée de tout sens profond. Que ce serait juste un prétexte.

En vérité, ces “manifestations” sont bien des témoignages de joie : la joie toujours obombrée de cruautés par laquelle s’affirme la victoire définitive d’un peuple sur un autre. Comme dans les récits de l’ancien monde, la peuplade barbare, une fois après avoir pillé la cité, la brûle – et son incendie authentifie son triomphe.
La cendre fixe les récits.

En l’occurrence, la destruction est tolérée par les administrateurs impériaux qui se servent de ce processus de submersion démographique et de colonisation car il les arrange dans la perspective plus globale de la désaffiliation technicienne de l’homme. L’homme européen, par son caractère racé, résiste un peu trop à la réduction physicaliste, il faut en finir avec lui.

Pourquoi pas le noyer avec des hordes d’Africains qui prétendent risquer la noyade ? Hum… Pas bête. Drôle en plus. Cette nuit, donc, avec l’aval de la techno-oligarchie mondialisée dont elle n’est qu’un protectorat, l’Union Panafricaine d’Europe de l’Ouest a célébré la victoire de son équipe et a chanté la mort du peuple français. L’ironie cruelle (et l’originalité historique) est ici que ce chant se réclame des valeurs mêmes du peuple vaincu, qu’il annonce que le drapeau du perdant est en fait le sien, que l’histoire du terrassé stupéfait n’est pas différente de la sienne… En une effroyable escroquerie, le 21ème siècle aura eu inventé l’usurpation d’identité à l’échelle d’une nation. L’oncle d’Amérique appelle Monsieur François à Paris et c’est Mamadou qui répond. Mais attention, Mamadou est bien le vrai Monsieur François – et le type qui gueule ligoté dans le placard n’est qu’un clodo un peu fou qui squattait là par hasard.

Pas d’inquiétude, il n’en a plus pour longtemps de toute manière, à force de ruminer son malheur il finira par s’étouffer avec sa langue étrangère pleine d’inintelligibles “Mademoiselle”, de “race”, de “vasque et de haute terrasse”, de “je vous en prie Monsieur, après vous”… Et puis… Mediapart sera toujours là pour le dénoncer au fisc.

Bien plus inquiétante que la passivité résignée qui fait liturgiquement suite aux attentats mahométans, cette ferveur exaltée qui succède aux témoignages éclatants de la conquête. Plus désespérante que la tristesse et l’impuissant chagrin des endeuillés, cette débauche furieuse de vulgarité contente des envahisseurs et de leurs vassaux, cette captation d’identité par et dans la vomissure joyeuse – ce crachat heureux sur la face du vieillard désarmé. Cette nuit, la bataille du Nom s’est une fois encore montrée dans sa nudité : ces gens qui osent se revendiquer de la France, de son drapeau, de son histoire, alors que tout dans leurs faits et gestes en constitue la négation, le rejet et la marque de mépris, ces gens sont des ravisseurs et des usurpateurs. Certes. Mais comme la législation prévoit que passé un certain délai, l’usage de la chose finit par donner des droits sur elle, en l’occurrence, la passivité révoltante des anciens Français est l’accusatrice véridique de leur lâcheté face à ces colonisateurs bien installés. Il ne sert de rien de vouloir leur reprendre un nom qui de fait leur a été cédé sans résistance, il ne sert de rien de vouloir leur arracher un drapeau qui en acte leur a été donné, il ne sert de rien de prétendre s’insurger alors qu’il n’y a pas d’insurgés, de se battre alors que personne n’est prêt à mourir, de reconquérir alors qu’il n’y a pas de conquérants et que Marie-Alix trouve que dans le fond il n’est pas si mal que ça ce “M’Babakar n’golo mwaka”….

Cette guerre est déjà perdue qui n’a pas été menée. Lorsque des millions de jeunes “Français” s’enthousiasment sincèrement pour des brutes d’Afrique de l’Ouest, c’est que nous n’assistons plus à la destruction de la France : nous sommes actuellement aux Pompes Funèbres et nous négocions le prix du cercueil. Cette césure, c’est pour toujours. Ce seuil est constant – il ne sera plus jamais franchi en sens inverse.

Si par miracle la France était un jour restaurée, elle ne pourrait pas repartir du point qui précéda sa colonisation par l’Union Panafricaine d’Europe de l’Ouest, elle ne pourrait qu’en authentifier le poids historique, la réalité. Il faut donc bien l’admettre : ces gens venus d’ailleurs sont réellement à l’image de la France contemporaine, et nous sommes donc, nous, ceux que la fête fait pleurer, des descendants d’Anciens Français, un peuple qui, il y a beau temps, habitait cette terre. Minoritaires, persécutés physiquement et moralement, passifs et maintenant tout à fait vaincus. On nous a pris nos terres, nos femmes, notre langue, nos symboles, notre drapeau, nos institutions et notre nom. Nos parents ont donné l’hospitalité à nos ravisseurs, ils ont payé les preneurs d’otages et nous ont enjoints de les traiter comme des frères. En bout de chaîne, chaque “Allez les Bleus” n’est donc rien d’autre qu’un “Hourra ! On crève !”…

Notre condition est d’ores et déjà celle d’exilés, de marginaux et de pourchassés. Des gens qui doivent se sauver pour pouvoir se sauver. Je ne sais pas quelle identité sera la nôtre, ni même si tout ceci n’annonce pas une extinction physique pure et simple. Je suis cependant sûr d’une chose : l’Histoire ne connaît que l’effectivité – elle n’a que faire des poses et des discours. Elle ne change de direction qu’au prix du sang versé. Ici et maintenant, “ils” sont la France, et ils sont les champions. C’est vrai. Mais s’ils ne méritent pas le nom de “Français” parce qu’il n’y entendent rien, nous qui y entendons quelque chose ne le méritons pas plus qu’eux puisque nous ne l’avons pas défendu… Qu’au moins cette lâcheté ne se donne pas la mine d’être une forme quelconque de résistance. Et que cessent pour de bon les imbécilités au sujet des divergences de “lignes” politiques nationalistes – ces cache-misères de l’aboulie honteuse et du consentement à l’africanisation. Ce serait bien le moins. Laissons-leurs donc ce nom et cette histoire pour nous achevée désormais et qu’ils prolongent de leurs cris d’animaux – nous n’avons plus d’autre choix que d’être les guetteurs d’un autre possible, les acteurs d’une autre légende, celle de la diaspora des descendants de l’Ancienne France. Je suppose que nous ne gagnerons jamais la moindre coupe du monde et que nous ne serons jamais les champions de rien.

Du moins nous sera-t-il épargné la honte, si nous survivons ailleurs, d’avoir à faire comme si le trophée qui dit notre indignité était un symbole de triomphe et de fraternité.

Source : “Journal de l’exil”