Une fois de plus, ce sont deux jeunes que l’Allemagne bichonnait depuis 2015 qui ont enlevé, torturé, tué et enterré une petite fille, qui pourrait être la nôtre.
Susanna est la nouvelle victime d’une agression sexuelle commise par des déplacés que les Allemands nourrissaient. Elle est morte par « violence au niveau du cou », comme l’explique un porte-parole du parquet. La petite fille avait très probablement été violée auparavant.
Le mardi 22 mai, Susanna Feldmann se baladait en ville, à Wiesbaden, avec des amis. Elle devait rentrer le soir à la maison – n’y est jamais arrivée.
L’épouvantable martyre que doit avoir vécu la petite fille, a manifestement duré toute la nuit. Entretemps, la police détient toute une série de détails macabres.
Ses deux assassins étaient arrivés en Allemagne, demandant protection. Protection conférée avec profusion.
Bien sûr, Angela ouvre tout grand les bras….
La police déclare que selon plusieurs témoins, « toute la famille » Bashar (8 personnes) aurait « précipitamment pris la fuite » en direction de la Turquie. Les billets ont été achetés sous un autre nom, non connu de la police. De là, toute la famille aurait pris une correspondance pour Erbil en Irak.
J’interromps ici la description des faits pour me demander où cette famille a trouvé si vite tant d’argent pour acheter 8 billets d’avion, surtout en urgence.
Ce jeune chéri des services sociaux et des bien-pensants est également suspecté dans le cadre d’une série d’infractions antérieures dans la région de Wiesbaden, dont un vol sous la menace d’un couteau.
On pense qu’il est arrivé en Allemagne en octobre 2015, au plus fort de l’afflux de migrants, et qu’il faisait appel du rejet de sa demande.
« Je suis choqué, attristé et abasourdi par la mort violente de Susanna » a déclaré le maire de Mayence »
Pour une majorité de citoyens européens, l’immigration musulmane est une malédiction.
Aujourd’hui, le quotidien BILD affiche :
Notre gouvernement doit demander pardon aux parents de Susanna.
Rien de pire que l’assassinat d’un enfant. Plus grave encore : l’assassinat d’un enfant par un auteur qui n’aurait jamais dû se trouver dans notre pays.
Lorsque des parents perdent leur enfant à cause d’un acte aussi abominable, l’Etat doit pour le moins pouvoir leur dire avec conviction : chaque jour, nous avons fait tout ce qui est en notre pouvoir pour protéger votre enfant.
Le pouvons-nous encore ?
Non, nous ne le pouvons plus. Durant ces derniers mois, trop d’enfants (mais pas seulement des enfants) ont été tués par des personnes ne devant plus se trouver ici depuis longtemps. Des personnes, qui, dans notre Etat de droit, n’avaient pas le droit d’y être et y étaient tout de même. Des personnes qui, à leur arrivée, ont menti à cet Etat, l’ont abusé, et s’y trouvaient pourtant. Des criminels violents qui auraient dû être expulsés depuis longtemps pour leurs actes et étaient tout de même là.
C’est ce qui s’est passé avec les assassins présumés de Susanna. La demande d’asile d’Ali Bashar avait déjà été rejetée en 2016. Il est tout de même resté – comme tant d‘autres. Il a activement participé à des braquages, s’attaquait à des policiers, a été arrêté en possession d’un couteau. Impossible de cracher autant sur l’hospitalité et la générosité, de l’abuser plus que ne l‘a fait Ali Bashar. Et pourtant, cet Etat ne l’a pas sanctionné. Il n‘est parti – sans être inquiété le moins du monde – que lorsqu’il a été obligé de fuir.
En Allemagne, le Parquet peut demander un mandat d’arrêt international contre un Irakien ayant fui l’Allemagne après une grave infraction. S’il a fui dans son pays, il peut demander l’extradition. Un coup dans l’eau. Car l’Irak n’extrade que si L‘Allemagne livre elle-même des coupables.
Selon Maître Euler, avocat à Francfort, dont le cabinet se charge de procédures d’extradition, le Guatemala et l‘Irak sont les deux pays les plus sûrs pour les délinquants qui ne souhaitent pas être livrés.
Une dernière remarque personnelle :
Cela ne peut pas être vraiment grave, dans ces zones en guerre : car il y est retourné, fuyant avec toute sa famille. Sous un faux nom. J’aimerais en écrire plus, mais ce ne sera pas autorisé. Où est donc passée la liberté d‘expression ?
Micheline de Doncker