Submersion migratoire : les thèses à rebours de Stephen Smith


Explosion démographique subsaharienne, « misérabilisme aveugle » à l’égard de l’Afrique : dans son dernier ouvrage, le professeur cité dimanche soir par Emmanuel Macron défend plusieurs thèses originales à contre-pied de certains poncifs sur l’immigration.

Pour Stephen Smith, journaliste, essayiste américain francophone et professeur à l’Université de Duke aux États-Unis où il enseigne les études africaines, nous ne sommes qu’à l’aube des grands mouvements migratoires du XXIe siècle. Il se base sur des prévisions démographiques implacables: en quelques dizaines d’années, l’Afrique a connu une explosion démographique sans précédent. Et en 2050, Stephen Smith anticipe un nouveau doublement de la population africaine, qui devrait passer à 2,5 milliards de personnes. «Sur un total de 10 milliards d’habitants, 25% seront des Africains», estime-t-il.

Pour le chercheur, «deux conditions majeures doivent être réunies pour déclencher la ‘ruée vers l’Europe»: la première, c’est le franchissement «d’un seuil de prospérité minimale par une masse critique d’Africains». La seconde condition est «l’existence de communautés diasporiques, qui constituent autant de têtes de pont sur l’autre rive de la Méditerranée». La diaspora facilite l’installation, l’orientation du migrant, voire l’obtention de son premier emploi.[…]

En Europe, la venue de migrants n’enrayera pas le déclin démographique, et ne sauvera pas le système de retraites et de Sécurité sociale fondé sur la solidarité intergénérationnelle. «Certes, les migrants adultes intégreraient la population active et contribueraient, à travers leurs cotisations, à financer le système des retraites, mais, compte tenu de leurs familles qui sont, en moyenne, plus nombreuses, le gain auprès des retraités serait compensé par le coût pour scolariser, former et soigner les enfants», écrit-il.[…]

Le Figaro




Stephen Smith : “la ruée vers l’Europe” de la jeune afrique


Est-on à la veille d’une “ruée vers l’Europe” des Africains issus des classes moyennes ? Cette thèse est en tout cas est celle de l’écrivain et journaliste Stephen Smith, qui la développe dans son dernier ouvrage : “La ruée vers l’Europe — La jeune Afrique en route pour le Vieux continent”. Entretien avec l’auteur.

Près de 80% des Africains ont moins de 26 ans : la démographie africaine explose. Fort de nombreux constats démographiques, sociologiques, économiques et de sa longue connaissance du continent africain, Stephen Smith signe un ouvrage dérangeant, qui prend à rebrousse-poil les théories établies du co-développement. Stephen Smith est Américain, a été correspondant en Afrique, notamment pour Radio France International, puis responsable du service Afrique du quotidien Libération, et finalement au journal Le Monde.

Aujourd’hui professeur d’études africaines à l’Université privée Duke en Caroline du Nord, il a publié une quinzaine de livres sur le continent africain, un continent qu’il connait très bien. Son dernier ouvrage bat en brêche sa croyance selon laquelle aider les pays africains à se développer économiquement permet d’empêcher la migration des populations vers l’Eldorado Europe. Selon Stephen Smith, ce ne sont pas les populations les plus démunies d’Afrique qui partent pour l’Europe, mais celles des classes moyennes, plus en mesure de faire le grand saut vers le paradis économique du vieux continent. Sachant que l’Afrique est un continent très dynamique de par la jeunesse de sa population, alors que celle de l’Europe est au contraire vieillissante, la migration massive d’un continent vers l’autre semble évidente pour l’auteur de “Ruée vers l’Europe”.




Immigration : Macron qualifie la démographie africaine de « bombe » et recommande de lire l’ouvrage de Stephen Smith qui affirme que « l’Europe va s’africaniser »


Trois jours après sa participation au 13 h de TF1, le chef de l’État était hier soir l’invité de BFMTV, RMC et Mediapart. Face aux pugnaces Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel, le président de la République a eu à cœur de convaincre une opinion publique de plus en plus circonspecte face à la politique qu’il conduit.

Emmanuel Macron : « Nous sommes face à un phénomène migratoire inédit et qui va durer », croit le président. « Il y a des conflits géopolitiques, des situations climatiques et une démographie africaine qui est là, une véritable bombe, il faut bien le dire. »

(…) Ouest-France




L’expulsion de la Zad de Notre-Dame-des-Landes vire au fiasco : Il reste 68 squats illégaux


(…)

Le mouvement, divisé ces dernières semaines, se ressoude illico presto. Modérés et anarchistes refont front commun. Les militants écolos, en sommeil depuis l’abandon du projet, rappliquent dans la zone. Dans le même temps, les 250 zadistes, qui restent dans la zone, sont rejoints par cinq cents autres, au bas mot. Dont plusieurs centaines d’activistes. Prêts à ferrailler durement face aux gendarmes mobiles, voyant dans une blessure une « médaille de guerre ».

La tension monte. Les affrontements se font plus violents. En particulier mercredi. À tel point qu’Emmanuel Macron décide de stopper les expulsions et les évacuations.

Une semaine d’opération pour quel résultat ? Si vingt-neuf squats ont été détruits, il en reste près de 70. Tout aussi illégaux. Les chicanes de la RD281 ont certes disparu. Mais désormais une autre route départementale est bloquée par des barricades, réinstallées juste après avoir été déblayées.

Le rapport de confiance entre l’État et la délégation chargée de négocier l’avenir de la Zad est aussi bien entamé. Face à la pression, la préfète a finalement proposé à ceux qui désirent créer un projet agricole un formulaire simplifié, bien moins complexe que le précédent. Et a repoussé la date butoir au 23 avril.

Au bout du compte, après plus 4 000 grenades tirées, la situation ne s’est non seulement pas arrangée d’un iota. Mais, au contraire, s’est aggravée par rapport à lundi matin, début de l’opération. Il faudra du temps, beaucoup de temps, pour faire revenir l’état de droit dans la Zad. (…)

www.ouest-france.fr




Saint-Denis (93) : les salons de coiffure afros contraints de baisser le rideau à 20 heures


Un arrêté du maire oblige désormais les salons du centre-ville à fermer boutique à 20 heures pour éviter les nuisances sur la voie publique. Les gérants des établissements sont fous de rage !

« Fermer à 20 heures, c’est impossible ! » Levens, le gérant d’un petit salon de coiffure dans la rue Gabriel-Péri à Saint-Denis ne décolère pas. Comme les dizaines de salons afro de cette artère du centre-ville et ceux des rues adjacentes, il a reçu en main propre, il y a quelques jours, l’arrêté pris par le maire le 1er avril. Celui-ci réglemente les horaires d’ouverture de 6 heures à 20 heures jusqu’au 30 novembre, sous peine d’une amende de 35 €, qui augmente graduellement en cas de récidive. La sanction peut aller jusqu’à la fermeture administrative. L’objectif, mettre un coup d’arrêt aux nuisances sonores des établissements qui « se transforment dès 20 ou 21 heures en lieu de rencontres, avec de la consommation d’alcool à l’intérieur et des attroupements dehors », dénonce le maire (PC) Laurent Russier. « De nombreux riverains se sont plaints », justifie-t-il.

« Cet arrêté nous cause un vrai préjudice. On reste ouvert tant qu’il y a des clients », poursuit Levens, adossé contre sa devanture. « Le week-end, à 20 heures, les gens font la queue devant le salon en attendant d’être coiffés. C’est difficile maintenant de leur dire : Rentrez chez vous, on ferme ! », ajoute Kelly, une employée, qui ne comprend pas l’utilité de cet arrêté. « La musique, on la met dans le salon, c’est dans notre culture de faire la fête. Mais quand je débauche à 20 heures, je n’entends pas boom-boom dans la rue », assure la jeune femme.

m.leparisien.fr




Comment Edwy Plenel et Mediapart sont devenus un instrument de propagande des Frères musulmans


La complaisance de Plenel vis-à-vis de tous ceux qui en veulent comme lui à l’Occident va parfois très loin. A titre d’illustration, l’affaire du fameux bloggeur Mehdi Meklat, que Le Monde avait baptisé «la voix des discriminés», mérite l’attention. Rappelons que ce furent le dessinateur Joann Sfar et la journaliste Eugénie Bastié qui révélèrent, en février 2017, le scandale concernant les milliers de messages injurieux, menaçants, homophobes, judéophobes, anti-flics, misogynes, pro-islamistes et même pro-terroristes tweetés par Meklat pendant des années.

Malgré cela, Meklat fut défendu par Edwy Plenel, Christiane Taubira et l’ensemble de la gauche tiersmondiste. Véritable vedette de la sphère médiatique, «enfant gâté du gauchisme culturel», l’homme d’une rare violence raciste et outrancière à faire passer l’extrême-droite française pour des antiraciste, fut longtemps présenté comme «le héraut de la culture de banlieue». Sous le pseudonyme Marcelin Deschamps, que personne n’ignorait parmi ses soutiens –, Meklat appela notamment à tuer Charb et la rédaction de Charlie Hebdo, considérés comme des ordures «islamophobes»… Malgré tout cela, Edwy Plenel soutint carrément Meklat et le remercia, ainsi que le Bondy Blog, dans un tweet affectueux, pour ces «moments de fraternité et l’exemple que vous donnez ». Rappelons que le Bondy Blog qui permit à Meklat de devenir une vedette de la sphère médiatique – officiellement pour relayer «la voix des oubliés, des discriminés, des sans-parole» – lui servit de tribune-défouloir pour déverser sa haine sur plus de 50 000 tweets incitant même aux meurtres et au terrorisme. Malgré cela, «Medhi Meklat fut encensé par tous les journalistes et médias de gauche France Inter, Arte, les Inrocks, Libération, Télérama, Le Monde, France 5, Mediapart».

Pour Edwy Plenel, Mehdi Meklat et Le Bondy Blog exerçaient une «influence positive sur les jeunes musulmans». Ce soutien n’est pas un hasard car, comme le rappelle Pascal Bruckner, «la gauche extrême qui a tout perdu, l’Union soviétique, le tiers-monde, la classe ouvrière, voit dans l’islam radical un prolétariat de substitution à mobiliser contre les forces de marché». (…)

www.atlantico.fr




Belgique : « Au cœur d’Islam », le parti qui veut instaurer la « Charia occidentale »


C’est une salle sans fenêtre, mal éclairée, derrière une porte de garage au pied d’un immeuble triste de Molenbeek. Sur la table sont éparpillés des tracts, des bouteilles d’eau et des brouillons de discours. Nous sommes au cœur du parti belge Islam, acronyme d’« Intégrité, Solidarité, Liberté, Authenticité, Moralité ». C’est ici, dans cette pièce vide, que sont nées les idées politiques les plus subversives de la campagne des municipales qui débute en Belgique. Les locaux sont déserts, mais la classe politique belge ne parle que du parti Islam. Et, pour une fois, il y a consensus : personne ne veut de ce parti au programme détonnant.

Redouane Ahrouch, l’un des trois fondateurs, s’est fait remarquer la semaine dernière en proposant la séparation des hommes et des femmes dans les transports en commun : « Durant les heures de pointe, certaines personnes, surtout d’origine étrangère, profitent du fait que les véhicules sont pleins à craquer pour se coller aux femmes. Ce ne sont pas seulement les femmes musulmanes qui se sentent ainsi humiliées. C’est pourquoi je plaide pour que les hommes montent à l’avant et les femmes à l’arrière », a défendu ce chauffeur de bus, élu communal d’Anderlecht en 2012 avec 4,12 % des voix. Il ne s’agit pas là de la première saillie politique de cet islamiste patenté. Juste après son élection – saluée par les Frères musulmans –, il avait surpris la Belgique en prenant position pour « une charia occidentale » en Belgique. Puis il avait envoyé une lettre au roi Albert II en l’invitant à se convertir à l’islam… […]

Le Point




La tentation radicale : Enquête auprès de 7000 jeunes

«Les lycéens musulmans sont nettement plus portés que les autres à adhérer à des idées absolutistes en matière religieuse. Ils justifient aussi plus souvent la violence religieuse.» Cela se disait depuis longtemps et notamment chez les premiers concernés, les enseignants – mais on les soupçonnait d’exagération. Cette fois, l’affirmation est le résultat d’une enquête approfondie conduite par deux directeurs de recherche au CNRS, Olivier Galland et Anne Muxel*. Aussitôt après les attentats de 2015, ceux-ci ont voulu mesurer le degré de «radicalité» existant chez les jeunes. Ils ont constitué un échantillon large, 7000 élèves de seconde dans 23 lycées de quatre académies (Lille, Créteil, Dijon, Aix-Marseille), sans négliger centres-villes et zones rurales avec, parmi eux, 1753 lycéens de confession musulmane. Un travail scientifique qui a exigé près deux ans de travail. Ce qu’ils montrent démolit les excuses répétées de la «radicalité»: celle-ci, disent-ils, n’est le fruit ni d’un contexte économique ou social ni de discriminations. En revanche, elle est bien le produit d’une idéologie, le fondamentalisme religieux, quel que soit le contexte. Les enquêteurs observent des «tendances radicales d’une ampleur et d’un caractère sans commune mesure dans l’islam.» Pour un lycéen musulman, son identité première, celle par laquelle il se définit, n’est pas la France mais sa religion, transmise par le père encore plus que par la mère. Pour 80 % de ces lycéens, «c’est la religion qui dit la vérité, c’est tout», et une lycéenne explique que «l’islam, c’est la religion que tout le monde devrait suivre». Lire la suite dans Le Figaro




Allemagne : le durcissement du regroupement familial incite les migrants syriens, éloignés de leurs proches, à rentrer dans leur pays


Une enquête de médias allemands a mis à jour un phénomène inattendu : de nombreux réfugiés syriens choisissent le retour dans leur pays. Et ce non pas parce qu’ils ne disposent pas de titre de séjour en Allemagne, car ces personnes ont des papiers leur permettant de rester en Europe. Ce sont les difficultés pour permettre à leurs proches de les rejoindre, les entraves au regroupement familial, qui les incitent à rentrer dans leur pays.

Sur des réseaux sociaux comme Facebook, des groupes permettent d’échanger des informations sur la meilleure façon de rentrer en Syrie et sur les prix. Bien qu’ils aient obtenu un titre de séjour en Allemagne, les difficultés rencontrées pour permettre à leurs proches restés au pays de les rejoindre poussent certains à quitter la sécurité de leur exil.

Les autorités allemandes sont certes au courant de ce phénomène, mais sont incapables de le quantifier. (…) Interrogées, les organisations de défense des migrants critiquent les restrictions faites au regroupement familial.

(…) RFI




Ces questions que Jean-Pierre Pernaut n’a pas osé poser à Macron…


L’interview de notre président par Jean-Pierre Pernaut aura été un grand moment d’ennui, tant cet exercice de communication ressemblait davantage à un thé entre amis plutôt qu’à une interview de politique majeure.

Il est vrai que Jean-Pierre Pernaut n’a pas posé les bonnes questions, se contentant de survoler l’actualité, sans jamais aborder les grands défis que doit relever la France.

A l’heure où plane la menace d’un bombardement sur la Syrie, où les étudiants occupent et bloquent les facs, où nos paysans sont désespérés, où le pays est bloqué par les grèves multiples, où la grogne sociale touche tous les secteurs d’activité, nous avons eu droit à un magistral exercice d’autosatisfaction.

Ce qui est choquant, c’est le cynisme d’Emmanuel Macron qui ose remercier les retraités après les avoir tondus de plusieurs milliards avec la CSG.

Mais le plus grave est que le chef de l’Etat reste persuadé que l’économie est la clé qui résoudra tous nos problèmes.

Il connaît parfaitement ses dossiers économiques mais ne voit rien du désastre qui s’annonce avec la fracture identitaire de plus en plus profonde.

Quel manque de lucidité !

Il n’a toujours pas compris que ce sont l’échec de l’intégration et l’islamisation de la société qui vont détruire le pays et qu’aucune politique économique n’a de chance de réussir si la France continue d’ouvrir ses frontières à toute la misère du monde et à partager son généreux social avec des millions de déshérités sans diplôme ni qualification, totalement inutiles à une économie moderne.

Ce sont des millions d’illettrés qui débarquent en Europe, à l’heure où s’engage la grande course mondiale à l’Intelligence artificielle.

Car nous en sommes là. Macron va investir 48 milliards dans un énième plan banlieues, le plan Borloo, alors que le mal n’a rien à voir avec le social qui coule déjà à flots dans les cités.

Nos banlieues se désintègrent parce que l’Etat a capitulé devant les barbus et les caïds qui font régner leur propre loi.

Quand on a plusieurs dizaines de nationalités dans une cour de récréation, avec les tensions interethniques que l’on connaît, ce ne sont pas les rénovations d’immeubles et d’ascenseurs qui changeront la donne et faciliter l’intégration.

Ces cités étaient jadis fleuries et souriantes quand Français, Italiens, Espagnols et Portugais s’y côtoyaient en parfaite harmonie.

Mais la cassure identitaire a fait fuir les Européens et transformé ces cités en bande de Gaza. Qui casse les ascenseurs et tague les cages d’escaliers à peine remis à neuf ?

On sait qui paie. Le contribuable, l’éternel dindon de la farce.

Macron veut “refonder la maison pour bâtir cinquante ans de progrès” !

Comment ? Avec des millions d’immigrés qui nivellent le pays par le bas et vont grossir le flot des assistés ?

Soyons sérieux. La France est en train de couler sous le tsunami migratoire.

Que Macron nous explique pourquoi il saigne les retraités, pendant qu’il accorde 800 euros par mois à des étrangers de 65 ans qui n’ont jamais cotisé ni travaillé en France.

Qu’il nous explique pourquoi des millions de Français diffèrent de plus en plus leurs soins, faute de moyens, alors que le budget de l’AME, qui soigne les sans papiers, vient d’être porté à 1 milliard.

Qu’il nous explique pourquoi le tiers de nos paysans crève de faim avec 350 euros par mois, pendant que nos départements doivent financer 50 000 euros par an, pour chacun des 25 000 mineurs isolés qui ont débarqué en 2017. Coût = 1,250 milliard.

Le coût d’un seul mineur isolé pourrait sauver 3 paysans en faillite !

50 000 euros, cela représente 12 années de salaire d’un paysan !!!

Qu’il nous explique pourquoi 25000 clandestins sont logés à l’hôtel chaque soir, alors que nos 140 000 SDF dorment sous les ponts. (chiffres officiels)

Qu’il nous explique pourquoi toutes les communes de France ont eu ordre de libérer des logements pour accueillir des migrants, alors que de jeunes couples de Français attendent un logement social depuis 8 ans pour pouvoir avoir leur premier enfant.

Qu’il nous explique pourquoi les banlieues bénéficient de classes de 12 élèves, alors que nos campagnes perdent leurs écoles.

Qu’il nous explique comment on peut protéger les Français contre le terrorisme, si on fait revenir 258 djihadistes de Syrie, comme l’a annoncé Castaner.

Qu’il nous explique pourquoi on ne ferme que 3 mosquées alors que plus de 100 mosquées salafistes diffusent régulièrement la parole anti républicaine.

Qu’il nous explique pourquoi Gérard Collomb n’a expulsé que 20 fichés “S” étrangers, alors que l’Italie en a expulsé plus de 250 à titre préventif.

D’après nos lois, ce qui est possible en Italie est impossible en France !

Qu’il nous explique comment on lutte contre l’immigration clandestine quand le nombre des expulsions a chuté de 36 800 en 2012 à 28 000 en 2017, alors que les demandes d’asile ont doublé sur la période.

Qu’il nous explique pourquoi un pays laïque comme la France, fait venir 100 imams algériens pour le ramadan !

Emmanuel Macron nous dit que nos 2200 milliards de dettes sont nos impôts de demain, que nos enfants devront payer.

Oui, mais quand on a une immigration qui coûte deux fois plus cher en social que sa contribution au PIB, soit un déficit de 80 milliards par an au bas mot, la baisse des impôts n’est pas pour demain !

Avec sa tête de premier de la classe, Macron embobine toute la planète.

Mais il va détruire la France au nom de son idéologie mondialiste.

Il va nous construire une France libanisée.

Si l’immigration était une richesse pour la France, avec nos 10 ou 12 millions d’immigrés extra-européens, nous devrions être la première puissance d’Europe, et de loin !

Mais depuis la fin des Trente Glorieuses, la France a subi un déclassement sans précédent en termes de niveau de vie.

C’est une immigration insuffisamment productive qui en est la cause principale.

Jacques Guillemain (extrait du site “Riposte Laïque”)