La bien-pensance un moment déconcertée par le manifeste contre le nouvel antisémitisme, cette bien-pensance a retrouvé ses esprits, ses repères et ses couleurs avec le nouveau plan Borloo pour les quartiers populaires. L’ancien maire de Valenciennes qui était déjà à l’origine d’un plan de rénovation urbaine qui a coûté 40 milliards d’euros nous dit maintenant que la collectivité doit faire un nouvel effort de même ampleur sans même esquisser le moindre bilan de la politique précédemment mise en oeuvre. Les quartiers rénovés sont-ils plus calmes, les médecins, les pharmaciens, les commerçants, les professeurs, les policiers s’y sentent-ils en sécurité ? Nous ne le saurons pas, ce que nous savons c’est que l’état n’en fait pas assez et que tout le mal vient de là, alors même que les blancs sont contraints de fuir ces quartiers rénovés ou non, Borloo repeint l’apartheid. Tout rentre dans l’ordre, le social se confond à nouveau avec l’énonomique et l’antisémitisme n’est plus un produit d’importation, c’est un produit dérivé de l’inhospitalité française.
19:16: (…) et dans ses interviews, Borloo répète à l’envie que cette jeunesse est l’avenir de la nation. Elle est notre avant-garde, elle est la France de demain. Donc si dans cent ans il existe un historien non boucheronisé (c’est loin d’être sûr) il expliquera ou tentera d’expliquer que nous sommes la première civilisation à s’être ruinée pour financer son propre anéantissement. Jean-Louis Borloo c’est l’apocalypse joyeuse.(…)
20:29: Moi j’ai vu des images d’Ozanam, le quartier où habitait l’assassin d’Arnaud Beltrame. C’était pas des barres d’immeuble (…)A Grigny, le grand ensemble de Grigny a été présenté comme une utopie urbaine. Et je voudrais vous signaler que les premiers habitants les considérait [leurs logements] comme une sorte de promotion. Et les déprédation, les difficultés, sont nées avec le changement de population. Ils ne sont pas le produit direct de Le Corbusier.
Les débats étaient pour le moins houleux et tendus lors de l’émission C’est pas tous les jours dimanche diffusée hier après-midi sur RTL-TVI. Et pour cause, lors d’un débat autour du thème « élections communales : la poignée de main qui divise » faisant référence au fait que les candidats du parti Islam refusent de serrer la main aux femmes, Redouane Ahrouch, conseiller communal à Anderlecht pour le parti Islam et invité pour l’occasion, a refusé d’être maquillé par une femme avant d’entrer sur le plateau et a tout le long des échanges, refusé de regarder dans les yeux les femmes présentes sur le plateau. Une situation qui a crispé les différents intervenants sur le plateau. « C’était très tendu sur le plateau, tout le monde se sentait mal à l’aise par son comportement », nous confie un membre de la production de l’émission d’RTL-TVI.
Présente sur le plateau en tant que chroniqueuse, Emmanuelle Praet n’a pas été saluée ni même regardée par Redouane Ahrouch lors des échanges. « Je me suis sentie choquée et offusquée par son comportement, c’est terrible à voir et humiliant à vivre. On se sent comme une moins que rien et ce qui fait peur, c’est que je ne pense pas que ce soit un jeu de sa part », confie-t-elle. [..]
Alors qu’une polémique sur les appels au meurtre des juifs dans le Coran a été déclenchée par une tribune signée par 250 personnalités, nous tenons à clarifier ce que dit exactement le Coran, avec la traduction de Jean Grosjean, dont l’institut de recherche islamique d’Al Azhar loue « le soin extrême apporté au style de la rédaction » ainsi que « la fidélité au sens ».
Le peuple français est en train de disparaître dans l’allégresse générale.
Il va disparaître, comme l’ensemble de l’Europe, et comme bien d’autres peuples ont disparu avant lui au cours de l’histoire, au nom du multiculturalisme et de l’idéologie mondialiste. Et il semble résigné.
Le peuple français a oublié qu’il appartenait à une des rares nations millénaires, comme l’Angleterre, la Chine ou le Japon, au passé chargé de gloire, d’épreuves douloureuses et de tragédies.
Il a oublié qu’il descendait de Vercingétorix, symbole de la résistance face à l’envahisseur romain. Vainqueur de Jules César à Gergovie, mais vaincu à Alésia.
Il a oublié qu’il descendait de Clovis, roi des Francs et premier roi barbare baptisé chrétien, faisant ainsi de tous les rois de France qui lui ont succédé les “Fils aînés de l’Eglise”, tandis que la France, deviendra plus tard “la Fille aînée de l’Eglise”.
Il a oublié la grande épopée des croisades, lancées au Moyen-Âge par l’Eglise pour libérer les Lieux Saints et auxquelles les plus grands rois d’Europe ont participé.
Il a oublié les grands noms de sa propre histoire, depuis l’illustre Charlemagne, le père de l’Europe 12 siècles avant l’heure, jusqu’à de Gaulle, dernier véritable défenseur de la nation française et des intérêts du peuple français.
Il a oublié le siècle des Lumières et le rayonnement de la France sur l’Europe du 18è siècle.
Il a oublié l’Encyclopédie élaborée par Diderot et d’Alembert, afin de rassembler toutes les connaissances du monde pour les diffuser au plus grand nombre.
Il a oublié que le Code civil de Napoléon est non seulement toujours d’actualité, mais a servi de modèle à tous les pays d’Europe.
Il a oublié que la France a régné sur un vaste empire de près de 13 millions de km2, sur tous les continents et toutes les mers du globe.
Il a oublié l’œuvre civilisatrice de la France, alors qu’en arrivant dans certaines contrées lointaines, nous y avons trouvé l’esclavage, le cannibalisme, les sacrifices humains, les guerres, les famines et les épidémies.
La colonisation est une des grandes fiertés de la France, n’en déplaise aux démolisseurs de la patrie qui crachent sur l’œuvre civilisatrice de leurs ancêtres.
Il a oublié les siècles de grandeur de sa patrie, subissant l’odieuse propagande mondialiste, véritable lavage de cerveaux destructeur de la nation.
Mais il a surtout oublié, et c’est impardonnable, le sacrifice de ses ancêtres, qui ont bâti la France dans le sang et les larmes, au fil des siècles, des guerres, des famines, des révolutions.
Il a oublié que dans quelques mois la France fêtera le centenaire de la fin du carnage de la guerre 14-18, où des millions de poilus ont vécu l’enfer des tranchées et sont morts pour notre liberté.
Il a oublié qu’il avait le devoir sacré de transmettre à ses enfants et aux générations futures, l’inestimable héritage légué par ses ancêtres.
Le peuple français est en train de disparaître et n’a même plus la force ni le courage de défendre son identité et l’avenir de ses propres enfants.
Voilà maintenant des décennies qu’il vote pour les mêmes fossoyeurs de la nation, qui n’ont qu’une obsession, faire de la France une simple parcelle du grand village mondial.
Ces élites autoproclamées qui ne savent que brader le pays, sont des ennemis de la patrie faisant l’éternel procès de la France et crachant sur les plus grandes figures de son histoire.
La France subit un tsunami migratoire sans précédent qui va non seulement ruiner le pays, vu le bas niveau intellectuel des arrivants, mais qui va aussi dynamiter le mode de vie des Français.
Au rythme actuel des arrivées, le basculement démographique entre natifs et immigrés se produira avant 2050. Car par le simple différentiel des taux de fécondité, la population de souche diminue de 20 % à chaque génération tandis que celle des immigrés double sur la période.
Taux de 1,6 enfant pour les natives et de 4 pour les femmes immigrées, d’autant plus que l’immigration africaine est en forte expansion depuis 10 ans.
Entre 2040 et 2050, la population française tournera autour de 80 millions d’habitants avec 40 millions de natifs et autant d’origine immigrée extra-européenne.
Avec les conséquences funestes que l’on imagine quand on voit que dans nos banlieues immigrées, la population juive, fuyant les violences et les menaces, a été divisée par 3, 4 ou 5 selon les villes.
Racisme antifrançais et antisémitisme sont omniprésents dans les quartiers.
C’est une France éclatée que nous construisent nos dirigeants, une France où des millions de jeunes immigrés ont la haine de leur pays d’accueil.
Et aucun plan Borloo, énième fumisterie ruineuse, ne changera la donne.
Son plan à 48 milliards, c’est un projet inique qui se résume en quelques mots : assistanat généralisé et discrimination positive pour les uns, donc négative pour les autres. Le contribuable a déjà donné, en pure perte !
Sans autorité de l’Etat, plus rien n’est possible. C’est la décomposition de la nation qui nous attend.
Cette décomposition est aggravée par une islamisation continue de la société, savamment orchestrée par les barbus, largement soutenus par les autorités musulmanes de France qui sont complices de cette expansion, tout en se prétendant attachées à la République.
On connaît l’éternel discours de ces musulmans modérés qui se disent victimes de discrimination, de stigmatisation systématique, en braillant à l’islamophobie.
On connaît leur refrain niant le lien entre islam et islamisme, alors que le Coran incite à la haine à chaque sourate.
On ne peut à la fois vénérer le Coran et prétendre combattre l’islamisme qui puise sa légitimité dans les versets du Coran, y compris les plus violents.
Il n’y aura jamais d’islam républicain, puisque les autorités musulmanes refusent de toucher à une seule virgule d’un Coran qui distille la haine des non croyants.
On vient de le voir avec l’appel des 300. Tous, y compris les musulmans soi-disant modérés, ont vu dans cet appel une démarche injuste et délirante, alors que l’islamisme tisse sa toile dans tout le pays.
Il est vrai qu’avec des gouvernements français qui combattent l’islamophobie avec dix fois plus d’acharnement qu’ils ne combattent l’islamisme, la tâche des barbus est une partie de plaisir. Plus ils exigent, plus l’Etat cède au nom du vivre ensemble.
Pour les autorités, l’ennemi de la France, ce n’est pas l’islamisme, c’est d’abord la sphère patriote qui entend défendre son patrimoine culturel et sauver la patrie du naufrage identitaire. Quel aveuglement !
Car les islamistes n’ont d’autre but que de nous déposséder de notre pays pour faire de la France leur nouveau califat.
Et pendant que le navire France est en train de sombrer, le peuple défile pour défendre ses acquis sociaux, sans réaliser que c’est l’ensemble du système social qui va s’effondrer avec l’arrivée de millions de déshérités.
Selon plusieurs études, jamais contredites par le pouvoir, le coût de l’immigration dépasse les 80 milliards d’euros et cela s’aggrave d’année en année.
C’est davantage que le budget de l’Education nationale et c’est près de trois fois le budget de la Défense.
L’immigration est la cause principale de notre endettement colossal de 2200 milliards, accumulé depuis 30 ans. C’est pour financer le coût de l’immigration que la France creuse son déficit de 80 milliards par an.
En 1975, date du regroupement familial, la dette publique était de 20 % du PIB.
En 2018, elle atteint 100 % du PIB.
Quand on sait qu’un seul mineur isolé coûte 50 000 euros par an, soit deux fois le salaire moyen annuel des Français, faut-il s’en étonner ?
A t-on besoin de millions d’immigrés avec 6,5 millions de chômeurs ?
L’immigration est la ruine de la France mais le peuple préfère défiler pour ses privilèges, plutôt que de mener le combat existentiel contre le tsunami migratoire.
C’est un choix suicidaire qui va détruire l’avenir des générations futures.
Plusieurs habitants du quartier Bellevue au Mans se plaignent d’incivilités et de nuisances répétées.
« Il y a beaucoup de nuisances sonores le soir et la nuit : la musique dehors, les rodéos à moto… Et mardi dernier, j’ai même vu une quarantaine de mecs se bagarrer à coups de barres de fer ! Quand on leur dit quelque chose en descendant du tram parce qu’ils nous frôlent à moto, sans casque, on se fait insulter… C’est grave ! » (…)
Le commissaire Guillaume Carabin affirme que « l’exaspération générale des habitants est due à une occupation du domaine public par des populations qui n’ont pas le même mode de vie. C’est un problème de savoir-vivre en collectivité ».
Selon ce commissaire, « il ne faut pas résumer les problèmes à l’arrivée de nouvelles communautés. Il y a aussi des habitants nés dans le quartier qui sont installés dans la petite et moyenne délinquance ».