Douglas Murray, le Zemmour britannique s’exprime…

Qu’il est bon de lire quelques vérités sur l’immigration et le terrorisme en Europe.
“L’Etrange suicide de l’Europe”, un succès mondial et numéro 1 des ventes en Angleterre. La version française est arrivée.

Ayant consulté les fonctionnaires français et européens, Douglas Murray a recueilli en privé “les choses les plus accablantes sur l’immigration, l’intégration et la sécurité”.

Les politiques taisent la vérité et continuent sur leurs erreurs passées, mais aucune illusion à avoir, car “le statu-quo ne pourra encore tenir qu’un cycle électoral ou deux, mais pas plus.”

Pour Murray, les “antiracistes” sont le plus souvent des “racistes”, puisqu’il est interdit aux natifs d’exprimer leur opposition à l’immigration qui bouleverse leur quotidien.

Il évoque le cas des 1500 jeunes filles violées dans une seule ville anglaise, par des Pakistanais rejoints par des Nord-Africains, qui ciblent des jeunes filles blanches vulnérables. Mais d’autres villes anglaises ont connu aussi cette tragédie.

Un odieux crime raciste que les autorités ont caché pendant des années.

“L’islamisme est la conséquence de la faillite des politiques migratoires européennes.”

“Le terrorisme islamiste est un problème importé, sous le responsabilité directe de nos politiciens”.

“La fragmentation des sociétés, la ghettoïsation de notre continent, constituent une menace existentielle bien plus grande que le terrorisme”.

Pour Murray, la Suède est condamnée par la lâcheté des politiques.

“Il n’y a rien à faire pour les Suédois”.

“J’ai fait le tour des banlieues et j’ai vu des quartiers désormais envahis par les crimes, les gangs, les viols et les attaques à la grenade”.

Et la presse relaie les mêmes mensonges rabâchés par les politiques capitulards.

Comme en Allemagne (ou en France d’ailleurs), si le nom d’un violeur n’est pas mentionné, c’est que c’est un migrant.

L’Europe a produit une culture exceptionnelle et des droits que le monde n’a jamais connus.

“Mais nous sommes dirigés par des gens qui ne veulent pas transmettre ce qui est bon, mais le remplacer”.

Le comportement de l’Eglise pose problème. Le pape tient une position insoutenable, à laquelle les politiques devraient s’opposer.

“Si la classe politique ne répond pas aux préoccupations des peuples, les extrémistes finiront par l’emporter”.

Il est grand temps d’agir au lieu d’insulter le peuple, jugé raciste, xénophobe et accusé de mal voter pour les partis “populistes”.

Et un réconfortant couplet sur Viktor Orban.

Murray pose une question simple :

“Qui avait raison en 2015 ? Orban ou Merkel ?

“C’est une arrogance extraordinaire que les politiciens et les commentateurs à travers l’Europe, se permettent de réprimander Orban, lui qui fait la volonté de son peuple.”

Le statu-quo ne pourra pas durer, nous dit Murray, il faudra bien crever l’abcès et le plus tôt sera le mieux !